heaven is a place on earth with you ✩ samaël

« JE NE CRIS PAS. » dis-tu.. alors que tu hurler, mais tu t'en rendais pas compte, parce que tu devait t'expliquer. Tu n'avais aucune idée de ce qui se passer, juste que ça t'enerver d'entendre tout ça, alors que tout ça, c'est la vérité. Il avait fait une dépression, une rechute d'après les médecins, son propre frère n'est pas venu le voir à l'hôpital, tu l'avais engueuler d'ailleurs, Lincoln de merde. Tu ne pouvais pas le voir, il lui ressemblait, mais rien n'était comme lui, il était plus froid et son corps été moins harmonieux, peut être que tu avais pris pour habitude d'aimer celui de son frère que tu ne le trouvais pas du tout attirant. Tu baisses les yeux et te calme. Jusqu'à ce que tu fasses la plus grosse connerie que tu n'est jamais fait. Tu l'as embrasser. Tu glisses jusqu'à lui pour coller ton corps au sien, caressant sa nuque du bout de tes doigts, plaquant tes lèvres contre les siennes. Elles avaient un goût de passer, un goût de déjà vu, un goût de paradis. Comme si le temps s'était stopper dans ses lèvres et que le minuteurs se mettait de nouveau sur play à chaque fois que vous vous écartez l'un de l'autre pour respirer. Ses mains se balade sur tes hanches et tu le laisse faire, tu t'abandonne à lui, comme tu l'avais fait au par avant, après quelques minutes, tu finit par te détacher doucement, tout en glissant jusqu'à l'autre côté du lit pour t'assoire. Une main sur ton crâne, bordel, Alaska.

Tu ne cries pas, tu me hurles dessus y a une différence. » Tu as l'impression qu'elle ne le voit pas. Qu'elle ne s'entend pas hurler. S'il faut lever la voix, tu le ferais pour la calmer. Tu n'as pas besoin de ça, présentement. Tu lui avoues que tu avais fait une petite dépression en étant enfermée là-bas. Personne de ton entourage était venu te rendre visite à l'hôpital à l'exception de Nesayem. Même ton frère avait mis du temps à venir te voir dans ton appartement. Alors, qu'Holly la petite-amie de celui-ci n'avait pas hésité une seule seconde pour venir le lendemain de ta sortie. À croire que le monde ne tourne pas bien ces derniers temps. Tu regardes Alaska se calmait toute seule. Ton regard toujours ancrait sur son visage, tu l'as voit s'approchait de toi pour t'embrasser. C'était une très mauvaise idée. Pourtant, tu te permets de prolonger le baiser. Tu laisses tes mains se balader sur les hanches d'Alaska alors que de son côté, elle te caresse la nuque. Quelques minutes plus tard, tu te détaches d'elle pour la laisser s'allonger à tes côtés. Tu réalises l'énorme connerie que tu viens de faire. Pour éviter de dire des choses que tu pourrais regretter. Tu te contentes de te lever du lit, prendre un boxer ainsi qu'un jean et tu files dans la salle de bain pour prendre une bonne douche froide. Comme pour te refroidir les idées. Tu ne comprends toujours pas, pourquoi Alaska t'a embrassé. En sachant, qu'elle a déjà un homme dans sa vie. C'est le flou total dans ton esprit.

Tu savais pas ce que tu venais de faire. Pendant ses longues minutes, tu savais que ce n'était pas une erreur, parce que tu en avait envie, et que tu as tendance a écouter tes pulsions. Quand elle te dise de faire quelques chose, tu aimes juste les écoutes, juste t'abandonner à elle. C'est pour ça que tu as coller tes lèvres à ceux de Samaël, que tu l'as pousser à te toucher les hanches et à te déhancher sous ses gestes. Ses mains t'avais manquer, son odeur, ses lèvres, tout ceux à quoi tu t'étais promise de t'éloigner pour ne pas à le blesser d'avantage. Mais il semble que tu es un fille qui attire le chaos, et que le mal et les blessure font partit de toi. Tu t'éloigne de lui et baisse de nouveau les yeux, les mains dans ta tête alors qu'il soupire. Il se lèves et se dirige vers la douche, alors que tu le suit du regard. Tu ne savais pas quoi faire, ni quoi dire qui pourrais arranger les choses, alors tu as frapper contre la porte de la douche. « Je suis désolée. » dis-tu en reculant, et t’essayer de nouveau. « Sam.. je crois que c'était juste parce que .. tu me manques. » personne ne peut le remplacer, il est ton meilleur ami, et tu as beau essayer de t'en trouver un autre, il ne sera jamais remplaçable.

Ce baiser est la deuxième grosse erreur de ta vie. La première avait été de te marier avec elle. Tu n'aurais jamais dû faire ceci lors de votre voyage à Las Vegas. Tu aurais dû te retenir, de la repousser un maximum. Sauf, qu'elle avait une emprise sur toi et que tu n'arrives toujours pas à comprendre. Tu te lèves en récupérant tes affaires pour rejoindre ta salle de bain. C'est le seul endroit qui te semble idéal suite à ce baiser échangé entre vous. Tu as beau savoir que ce baiser va foutre la merde dans le couple d'Alaska. Ça n'empêche pas que t'aies appréciée ce petit moment de tendresse entre vous. Tu laisses l'eau froide coller le long de ta peau. Tu soupires silencieusement ... ne sachant plus quoi faire pour éviter de commettre les mêmes erreurs à l'avenir. Tu pensais être tranquille un court instant. Sauf, que tu te rends compte que tu ne connais pas Alaska. Elle ne laisse jamais les gens tranquilles quelques minutes. Non elle revient à la charge à chaque fois. Tu l'écoutes s'excuser une énième fois. Tu soupires en essayant de trouver tes mots. Chose compliquée, en ce moment. « Arrête de t'excuser à chaque fois. » Ça commence à te taper sur le système. Dès qu'elle fait un truc, elle revient vers toi pour s'excuser. Ce n'est pas la solution, vraiment pas. « Trouves d'autres options à l'avenir pour me prouver que je te manque. » Dis-tu en sortant de la douche avec une serviette autour de ta taille. Tu savais que la vu que tu peux offrir à la jeune femme pourrait te porter préjudice. Pourtant, tu restais nu devant elle avec pour simple vêtement une serviette autour de ta taille. En sachant, que ton corps était encore trempé de la tête au pied. Tu te contentes d'ancrer ton regard dans le sien. Tu ne sais faire que ça, sur le coup.

T'sais pas pourquoi tu as fait ça, peut être que c'est parce que tu as envie et que généralement Alsaka Clayton-Granger écoute toujours ses envies ? Qu'elle se laisse toujours guidé par cette instinct de survit qui la caractérise si bien et qu'elle réfléchis toujours après avoir agit ? C'est le cas, ça la toujours été et Sam le sait très bien. « Je m'excuse.. Non je voulait pas dire ça. » si tu voulais qu'il sache que tu été désolée, mais tu es surtout perturbée parce qu'il est... TOUT NU ???? TOUT NU TOUT NU. Et les habits que tu aimes les plus chez l'humain en générale c'est l'habit d'Adam et Eve. Tu as un peu de mal à te concentré sur ce qui vient de se passer, parce qu'il est TOUT NU JE REPETE TOUT NU HELP SOMEONE ??? HELP. Tu restes de dos alors qu'il avance dans la pièce. Respire, respire, alaska, respire. « Je le voulais. Je voulais t'embrasser, pour voir si c'était différent de ce que ça a toujours été. Je veux pas te blesser, j'ai jamais voulue et.. » tu te perd, parce qu'il est tout nu, et que ses abdo son si bien dessiner et que l'eau glisse doucement sur son corps, et que son cul est cacher par cette unique petite serviettes qui pourrais tomber à tout moment. « Tu veux pas t'habiller ? Juste comme ça, pour qu'on soit plus à l'aise tout les deux parce que ça me met mal à l'aise de te voir comme ça. Non pas que ça ne plait pas mais.. c'est pas sensé me plaire. » par principe. Tu restes sur tes gardes, debout près de la porte de la douche, à déguster ce beau spectacle. Habille toi bon sang.

Tu ne comprends pas ce qui vient de se passer. Tu as accepté qu'elle te rend visite pour que vous puissiez parler de tout ce qui se passait entre vous. De remettre les choses aux clairs. Cependant, elle t'a embrassé. Comme un crétin tu as prolongé tout en caressant ses hanches. Comme tu as pu le faire par le passé. « Le message est bien passé. » Tu as très bien compris ce qu'elle voulait te dire. Elle a beau s'excuser, tu sais très bien que c'est ce qu'elle voulait t'avouer. Tu sors de la baignoire pour mettre une serviette autour de ta taille et t'asseoir sur le bord. L'envie de la faire flancher n'était pas dans ton esprit. Bien au contraire. Toutes les révélations qu'elle t'avoue depuis qu'elle est arrivée ... te fais comprendre pas mal de choses. « Tu m'emmerdes Granger. Tu ne cesses de me dire que tu ne veux pas me blesser. Cependant, tu recommences à chaque fois ... » Ça t'épuise toute cette guerre que tu mènes contre elle. Tu restes assis avec un torse encore légèrement mouillé. Tu la regardes dans les yeux pour essayer de retrouver l'ancien regard que t'apprécies d'Alaska. Tu as l'impression qu'il s'est éteint au fur et à mesure qu'elle prenait ses distances avec toi. « Tu n'avais pas à me suivre dans ma salle de bain. Tu n'as pas à me dire ce que je dois faire dans mon propre appartement. » Répliques-tu froidement ! Tu sors de la salle de bain pour rejoindre ta chambre. Tu enfiles rapidement un boxer ainsi qu'un short et un débardeur. Tu caches toutes les parties de ton corps le mieux que tu puisses.

« Est-ce que c'est vraiment de ma faute, alors que tu fais tout pour que je suis attirer par toi ? » tu pointe du doigt sa serviette, ses abdos, la total. Tu n'a aucun droit de lui dire ce qu'il doit faire, bien sur, mais tu ne savait pas comment réagir autrement, alors qu'une attraction regner entre vous deux. Tu ne sait pas comment expliquer ça, tu n'as jamais sût, le fait est que tu as toujours une envie folle de l'embrasser et que parfois il faut que tu t'éloigne de lui pour que ça s'estompe. Quoi qu'il en soit, tu poses tes mains sur ta tête et frappes dessus comme pour te dire d'arrêter d'avoir des penser débile, tu soupires de plus belle et sors de la salle de bain pour la chambre, la porte de la chambre, de ce qui été votre chambre. « Je tiens à toi Sam, je me soucierais toujours de toi. Peut être qu'on pourras pas redevenir comme avant parce que j'ai toujours abimer entre nous, mais j'espère que tu sais que tu n'es pas seulement une passe de ma vie, mais une part très importante. » alors ne l'oublie pas, ne laisse pas ce que tu lit ou ce que les gens disent de moi changer ton avis. « T'es ma moitié. » dis-tu en baissant les yeux, tu finit par tourner le talons et quitter l'appartement, toutes les cartes étaient dans ses mains désormer.