Quinze février, joyeux anniversaire Alaaaaaska et bonne saint valentin. Tu ne savait pas vraiment quoi acheter à Lucas, déjà parce que tu ne savait pas si vous êtiez en couple, mais aussi parce que tu ne savait pas ce dont il avait besoin. Après tout, il ne manquer de rien. Sa piole été déjà remplis de truc inutile et d'objet de riche. Tu ne savait pas vraiment dans quoi dépenser le peu d'argent que tu avais mis de côté. Si tu été une bonne copine, tu aurait mieux économiser, pour lui acheter un vrai cadeau genre une montre avec ses initiales graver ou un nouvelle iphone 6 avec des photos de toi dans tes tenue de mère noël sexy, mais rien de ça. À peine 100$ dans la pôche et rien à moins de 300$ dans les magasins qu'il a l'habitude d'aller. Tu es donc prise au piège et sans aucune autre idée, tu lui demande de te rejoindre au Cambridge Side dans les eaux de 23h. Oui alaska et ses plans tordu sont de retour, tu lui avait aussi demander de s'habiller tout ne noir, rien de bien romantique pour un soir de lendemain de st valentin, mais c'est bien connue Luska ne fait rien comme on l'attendrais. « BONNE SAINT VALENTIIIIN ! » dis-tu en lui jettant des conféties sur la tête. « Oui, je sais, j'ai l'air plus mince parce que je porte du noir. »
Et oui, c'est la Saint Valentin, et en plus de ça, c'est l'anniversaire d'Alaska. Du coup, je n'ai pas un mais deux cadeaux à faire. Super, heureusement que j'ai de l'argent...Bon, je sais qu'Alaska n'est pas du genre à vouloir des diamants brillants, des trucs pétant quoi. Pour son anniversaire, j'ai déjà le cadeau, pour la Saint Valentin, c'est plus difficile car je ne sais même pas si on est redevenu un couple ou non. Bref, Alaska m'a donné rendez-vous à 23h au CambridgeSide, ajoutant que je dois être en noir. Je ne sais pas pourquoi, ce n'est pas bien romantique mais bon, c'est sa journée, je vais donc lui faire plaisir. C'est donc à 23h, que je me pointe au lieu de notre rendez-vous, tout en noir alors que Granger est déjà là. Joyeux Saint Valentin, et bon anniversaire, je lui répond à mon tour, alors qu'elle me lance des confettis. Aaaah, c'est donc ça, moi qui pensais que t'avais maigris, dis-je en arquant un sourcil, avant de venir l'embrasser. Ouais, bah qu'on soit en couple ou non, j'ai le droit de l'embrasser hein. Alors, quel est le plan de notre soirée ?, dis-je alors que je remonte le sac que j'ai dans le dos. Bah ouais, j'ai quelques petites trucs dedans, et ça ne rentre pas dans les poches de mon jean.
Il a un sac, un sac qui a l'air bien lourd. Tu lui jette tes confetis à la gueule, avant de sourire de plus belle, lorsqu'il pose ses lèvres sur les tiennes. Tu te sentait mieux à présent, tu ne savait pas vraiment ce qu'aller donner cette after party après tout ce qui s'est passer avec Adriel, Maxwell, Amir et tout le groupe, mais rien que de savoir que tu été avec Lucas, ici, et maintenant, ça te faisait sentir mieux. « Merci, mon cœur. » dis-tu en posant une main sur son torse. Bien sur que t'as pas maigris, t'as même bien du prendre deux trois kilo à cause de la tonne d'alcool que t'as ingurgité et bien sur, le sport c'est loin d'être ta passion. Tu tapes sur son épaule et ramasse ton sac, toi aussi t'avais un sac à dos, mais loin d'être remplis de cadeau. « J'ai décidée qu'au lieu d'aller au résto, s'embrasser dans ta voiture et baiser dans ton salon. - parce que c'est le seul lieu qu'on a pas encore fait chez toi, et le jardin aussi. - au lieu de ça, on va... braquer un magasin. » tu lui adresse un grand sourire et file ouvre la porte que tu avait réussi à déscativer une heure au par avant. Ça sert d'être en informatique, non ? Tu invites ton.. va savoir ce que c'est pour toi, à entrée en premier dans le centre commerciale vide de vie et lui demande de rester sur le côté. « Cache ton visage Watson, t'es trop beau pour aller en prison. » dis-tu en sortant un ordinateur portable de ton sac ; en quelques cliques, tu arrives à desactiver les caméra de surveillance. « Par quel magasin tu veux commencer ? »
Je sais pas si je dois avoir peur de cette soirée, mais j'ai déjà une boule au ventre qui se forme. Est-ce que là, maintenant, tout de suite je suis prêt à hurler comme une petite fille ? Oui, certainement, surtout quand elle m'avoue qu'on va braquer un magasin. ON VA QUOI ?, je cris sans vraiment trop faire attention. Oh mon dieu, mais je n'ai pas signé pour ça moi. Je suis le genre de bad boy qui fume, boit, se drogue, saute -enfin sautait- des nanas et non pas le genre à braquer des boutiques ou des banques. Elle veut ma mort, c'est ça. Après m'avoir dit je t'aime c'est "chéri c'est l'heure d'allé en prison". J'te préviens, si on se fait choper, je te balance aux flics, je lui répond en haussant la tête à vive allure, alors qu'elle semble bien occupée avec son ordinateur. Fuck. Je finis par enfoncer deux fois plus mon bonnet sur la tête, et relever le col de mon pull, histoire de couvrir -comme je peux- mon visage. Je veux pas aller en prison, je vais me faire violer avec un cul comme le mien !!, je lui chuchote tout en la suivant. Une fois dans le magasin, je laisse Alaska trifouiller je ne sais quoi, regardant autour de nous, comme si quelqu'un allé nous sauter dessus. Par quel magasin je veux commencer ??? AUCUN, je lui répond en baissant mon col, avant de reprendre, quoique, tu aurais bien besoin de nouveaux sous-vêtements, soit, met toi à poil que je regarde ton beau petit corps dans de la lingerie sexy.
« Quel solidarité, j'adore. » Bien sur que tu l'avais déjà fait tout ça. Généralement tu bossais pour des gens qui avaient besoin d'un moment de silence pour des gros coup, mais jamais pour des raisons personnelle. C'était exceptionnelle, parce qu'il est exceptionnelle. Tu ne peut t'empêcher de rire alors qu'il se cache sous sa capuche, tu finit de taper à toute vitesse les codes pour désactivé les alarmes et les caméras de surveillance. « C'est sûre qu'ils ne feront qu'une bouche de cette adorable petite cul. » dis-tu en ricanant. Finissant ce que tu été entrain de faire ensuiter désactiver les alertes qui prévient la police. Pendant que lucas panique totalement à côté de toi, ça te fait rire, plus qu'autre chose, trop occuper à vous sauvez le cul. Tu arques un sourcil à sa réponse, avant de ranger le matos. « Je fais déjà des efforts quand j'vais chez l'esthéticienne pour m'enlever la touffe que j'ai entre les jambes, alors soit content. » dis-tu en tapant sur son épaule. Non mais je rêve, mais c'est vrai que ce serai cool de faire un tour dans un magasin de lingerie. « Bon, c'est d'accord on peut faire un tour chez Victoria Secret, ou chez Calvin Klein, au choix. » dis-tu en avançant de quelques pas, c'est votre terrain de jeu maintenant.
Je suis devenu beaucoup trop sensible moi, il faut que je me reprenne. Je ricane à la réflexion d'Alaska, bien qu'au fond, ça ne me fasse pas du tout rire. La prison, je connais...bah ouais, j'y suis allé un soir parce qu'une fois j'étais trop bourré, et j'ai pissé sur la voiture d'un flic alors qu'il était à l'intérieur...Erreur de jeunesse merde... Tu viendras m'apporter des oranges hein ?, je lui demande tout en n'arrêtant pas de bouger à ses côtés, alors qu'elle pianote encore et encore sur son ordinateur. Je sais qu'elle est une pro de l'informatique du coup, ça ne m'étonne même pas qu'elle ait déjà tout désactivé. Un vrai petit génie cette fille. Hey, je ne t'ai jamais demande de faire l'intégrale hein !, je lui dis super choqué, comme si c'était de ma faute. Bon ok, les poils c'est beurk, mais je ne lui ai rien demandé pour le coup. On va faire les deux, dis-je en attrapant sa main, tout en l'attirant vers ce qu'il semble être la boutique de Victoria's Secret. Bah, c'est tout rose donc je pense que c'est ça. Lui lâchant la main, je regarde la boutique et....gosh, je suis au paradis. Quoi ? Oui, je suis entrain de tout m'imaginer sur Alaska et alors ?. Essaye celui-là, je lui demande, en lui lançant un ensemble rouge.
« Bien sur, et j'te toucherais en dessous de la ceinture, pendant que les gardes regarde pas. » dis-tu dans un rire alors que tu ranges tout ton matos à l'entrée. Ce qui est bien avec la shooping gratuit c'est que vous aviez pas besoin de porter des sac ou des portes feuille, juste vous. « C'est quand même un effort que je fais pour toi, alors tu devrait me remercier. » parce que quand même, quand tu été avec des filles, elles s'en ficher pas mal que tu es des poils partout sur les jambes, maintenant que tu es avec lucas tu prend la peine d'aller chez esthéticienne histoire qu'il puisse dire à ses potes : hey mater moi ce canon sans poil. Et surtout pour ce genre d'évènement quoi, imagine si t'avais pas fait un peu d'abdo et virer tout les poils pour une séance d'essayer de sous vêtement. T'étais déjà venu à victoria secret mais sans pouvoir rien acheter, maintenant tout est à toi, et tes yeux pétilles. « Celui-là t'es sûre ? J'veux aussi essayer celui-là. Un peu transparent et peut être un truc plus sexy genre une nuisette ? J'me pas assez de nuisette, on finit toujours par faire ça à la va vite. » dis-tu en rentrant dans une cabine, faut dire que c'est de ta faute aussi, tu évites toute soirée romantique. Quoi qu'il en soit, tu enfiles la tenu qu'il ta passer et sort de là en faisant des petits pas de mannequin. bien que ce ne soit pas très réaliste du haut de ton mettre cinquante.
Super, je pourrais m'envoyé en l'air comme ça, enfin, d'une certaine manière, parce que bon, se faire trifouiller le bidule c'est excitant qu'un temps. Bref, Alaska ayant tout désactivée, nous pouvons désormais prendre place dans les magasins, sans qu'on se fasse attraper par la police. Putain, vous les filles vous êtes chiantes quand ! Vous faites des trucs pour vous, et vous nous remettez la faute sur nous les mecs, alors qu'on a rien demandé, dis-je en secouant la tête de gauche à droite. Bah ouais, ticket de métro ou l'épilation totale, j'en ai rien à foutre. Elle fait ce qu'elle veut de son corps, enfin, tant qu'elle ne laisse pas non plus une forêt de 10 ans....Nous entrons ensuite dans le Victoria's Secret, ce qui semble être le paradis d'Alaska. Je lui passe un ensemble, mais madame en propose un autre bien plus sexy. Essaye les deux va, je lui répond avec un grand sourire, tandis qu'elle rentre dans la cabine d'essayage. En attendant, je prend place sur un petit fauteuil -un peu trop rose à mon goût- puis, aperçois Alaska sortir et faire un défilé dans la tenue que je lui ai passé. Je crois que je pourrais avoir un orgasme quand te regardant dans cette tenue, je lui dis en rigolant, bien que mes yeux ne quittent pas sa petit silhouette. Bien, tu la prends, essaye l'autre maintenant, je lui demande en faisant des gestes de la main, pour qu'elle rentre à nouveau dans la cabine.
Tu fronces les sourcils. Je rêve, tu fais des efforts POUR LUI et ça trouve encore le moyen de dire : mais fait comme tu le sent, c'est ton corps. Oui, mais les efforts, les abdo, le sport, l'aquagym de merde et sans passer par la suppression des vendredi pizza, frite et chédar. Tu hausses les épaules et dit tout simplement. « Peut être que Madisson a pas besoin de faire trois heures de sport par semaine et un régime pour avoir un ventre plat. Elle l'a juste en respirant, on est pas tous comme elle, hein. » dis-tu d'un ton assez sec et dépité. Mais tu vas pas zapper l'ambiance. Tu voulait que ce soir parfait, t'enfiler un première ensemble pour voir si ça te vas, et sors de là en rentrant le ventre et serrant les fesses. « Je sais, je sais, je suis ton plus gros fantasme. » dis-tu dans un rire. Le deuxième a un peu de mal à rentrée. Tu te rend compte que ton corps est boudiner, large sur les hanches et tes seins son minuscule. Tu retires le tout avant de le mettre dans ton sac, ça suffit, tu veux plus faire ça. « Je veux plus essaie ça, c'est pour les mannequins, je suis pas une mannequin. On va ailleurs. » dis-tu en ramassant ton sac en direction de calvin klein, à peine entré dans le magasin, tu reste bloquer sur l'affiche. Une grande, jolie et mince mannequin. Comme Madisson. Comme Lucas en fait. Qu'est-ce qu'il fou avec un troll petit et boudinet. « Tu t'es jamais dit que j'étais pas fait pour toi ? J'veux dire. T'es grand, mince, riche, populaire. » tu te tourne vers lui pour lui montrer ses longues jambes. Qu'est-ce qu'il peut bien te trouver ? Petite alaska venant du quartier sud de chicago. Rien, de la pitié surement. « Tu n'as rien à faire avec quelqu'un comme moi. Qu'est-ce que tu vas dire à tes parents quand tu vas me présenter ? Alaska Granger, élever dans une boîte en carton, première de sa classe mais bosse à mi-temps comme serveuse, enchanter. Ah non papa, fait gaffe elle est plus bas ! » dis-tu en faisant des mimique. Tu te soucie de lui, tu sais ce qui serais mieux pour lui, ce qui serais mieux pour sa famille, pour les gens qui l'entoure. Et justement parce que tu l'aimes, tu sais qu'il a pas besoin d'une gamine qui rentre pas dans un enssemble victoria secret. « Je pense pas qu'on soit fait pour être ensemble. Je pense que tu es fait pour le lux et la gloire et que je fais partit de celle qui seront là pour nettoyer après toi. » accepte là lucas, juste, accepte le. Tu ramasses ton sac sur son dos, et rebrousse chemin. Un rencard dans un centre commerciale, faut vraiment être une granger pour trouver ça cool. Il mérite les diner romantiques au clair de lune, pas les mcdo sur la banquette arrière de ta voiture crade. Laisse le alaska, il trouvera mieux.
Elle parle, encore et encore, comme toujours en fait. Là, sans comprendre elle commence à dire des choses sur les mannequins, notre apparence, le fait qu'on ne soit pas fait l'un pour l'autre. Je fronce les sourcils, tout en écoutant ce qu'elle est entrain de me dire. Voilà, ça repart, Madisson encore et encore. Que dois-je faire ? Arrêté de la voir ? Non, elle ne m'a jamais abandonné et elle est ma meilleure amie, ma sœur. On a fait une erreur sans vraiment le vouloir, on ne va pas en parler 150 ans. Alaska voit toujours Maxwell alors qu'il est raide dingue d'elle, alors pourquoi devrais-je me séparer de ma meilleure amie, surtout quand ni elle, ni moi sommes amoureux l'un de l'autre. Bref, Alaska décide finalement de rompre, encore. A croire qu'elle aime faire ça. Bien...je ne vais rien dire cette fois-ci, j'en ai marre de parler dans le vent Alaska..., je lui dis en attrapant mon sac. Tiens, fais-en ce que tu en veux, jette le tout, garde-le....je suis fatigué de tout ça. Sur ce, je finis par lui donner la petite mixtape qu'elle rêvait tant, un semblant de mon premier album. Elle a toujours été honnête sur mes chansons, et qu'elle est probablement ma seule et unique femme. En suite, un long écrin bleu nuit contenant un bracelet : avec des petits brillants. Tu vas me manquer, je finis par lui dire en me mordant l'intérieur de la joue, avant de ressortir du magasin en baissant la tête. Si j'avais su que j'allais me faire larguer, je ne serais jamais venu à cette "après" saint valentin.