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come a little closer to me
nienke et azarias
Ce soir, tu dois sortir faire quelques commissions. Tu ne veux pas, forcément, trimballer Arielle avec toi. Parce que tu ignores à quelle heure tu reviendras. Alors, tu appelles Nienke afin de savoir si elle est disponible pour garder, quelques heures. Elle répond, à ton plus grand bonheur, positivement. Après son arrivée, tu quittes ton appartement le coeur léger, en sachant que ta fille est entre de bonnes mains. Par coutume, tu n'as jamais aimé faire garder Arielle, par qui que ce soit. Sauf que lorsque tu t'es retrouvé seul, tu es arrivé à l'évidence que tu ne pouvais pas tout faire par toi-même et que tu avais besoin d'aide. Alors, tu t'es mis à la recherche d'une gardienne. Nienke répondit, tout naturellement, à ton annonce. Elle s'est avérée être une perle, à plusieurs niveaux. Tu es reconnaissant, envers elle. Pour cette façon d'être avec ta fille et avec toi. Tu rentres finalement chez toi quelques heures plus tard , trempé de la tête au pied parce qu'il pleut à torrent dehors. Temps de merde. Siffles-tu entre tes dents alors que tu franchis le pas de la porte. Tu poses tes achats par terre, tu accroches ton manteau et tu poses ton regard sur Nienke, assise sur le canapé du salon. Elle dort ? Demandes-tu alors que tu ne vois pas ta fille dans les parages, même si tu connais déjà la réponse, au vu de l'heure tardive. Puis, tu te laisses tomber lourdement sur le canapé, à côté de la jolie brune, fatigué après cette longue semaine. Dis, j'espère que tu aimes la pluie, parce qu'il fait hyper beau dehors. Laisses-tu tomber sur le ton de l'ironisme.
(Invité)
Ce soir j'étais de garde, je jouais la nounou. Depuis quelques temps j'étais devenue la gardienne attitrée de la petite Arielle qui n'est autre que la fille d'un des professeur d'Harvard. Quand j'avais vu l'annonce affichée dans un des couloirs de l'université je n'avais pas hésité une seule seconde. Je n'avais pas besoin d'argent, pas du tout même mais mon envie d'aider les autres avait prit le dessus. Alors j'étais assise sur le canapé du salon que je commençais plutôt à bien connaitre, mon ordinateur sur mes genoux entrain de taper un dossier que je devais rendre pour la semaine prochaine. La petite n'avait eu aucun mal à s'endormir, il fallait juste que je la berce et le tour était joué. La porte d'entrée s'ouvre et la silhouette d'Az franchit le pas de la porte. Le temps à l'air plus qu'horrible puisqu'il débarque complètement trempé, super. Il s'assoit à mes côtés et me demande si sa fille dort. Oui, depuis un moment déjà. Je ferme mon Mac et le pose sur la table basse avant d'accorder mon sourire doux et habituel au professeur. Oui, j'adore ça. Comme ça pas besoin de prendre de douche en rentrant à la maison. Je prends le même d'ironie que lui et me lève pour aller regarder le temps par la fenêtre. Non mais c'est pire que le déluge...