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royce ≈ we don't talk anymore like we used to do.

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we don't talk anymore like we used to do.
feat. royce magyar.
Ma main se referma sur la feuille de papier, mettant celle-ci en boule. Ma première idée avait été de jeter la feuille et de régler ce problème sans l’aide de personne. Dans l’inconnu et de reléguer ce souvenir très profondément et de ne plus y penser. Au fond, je savais que cela allait me torturer l’esprit, que j’allais toujours y penser et que j’allais être incapable de le garder pour moi. Puis, ma seconde idée avait été d’en parler avec Samaël et de lui demander son aide sans en parler à Royce. Sauf que malgré toute la haine que je ressentais à son égard, je savais qu’il méritait de connaître la vérité. Donc, ma dernière idée était de lui avouer et ça me dérangeait parce que cela voulait dire que je devais lui faire une petite place dans ma vie. Et ça, je ne voulais pas. J’essayais tellement de l’oublier que bah maintenant il fallait que je fasse le contraire. Donc, je tournais en rond, sur Charles Street à la recherche des bons mots. De la bonne attitude aussi. Puis, où est-ce que je lui disais ? Chez lui ? Non, merci. J’allais entrer dans une boutique d’antiquités pour trouver un truc à mettre au-dessus de mon lit – pour que ça ne fasse plus vide – lorsque mon regard est attiré par je-ne-sais-quoi ce qui fait que j’apercevais Royce là-bas. En moins de deux secondes, je savais que c’était là le moment pour lui dire alors je m’approchais de lui. Rien à foutre qu’il soit occupé, il va se désoccuper et rien à foutre qu’il soit avec ses potes, j’en avais seulement pour quelques minutes. Cinq minutes maximum. « Magyar, faut que je te parle. Suis-moi. » J’avais un peu laissé tomber les politesses le concernant.

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— Palmyr.

Je traînais avec mes potes aujourd'hui. Ils avaient séché les cours donc ils m'ont emmené faire un tour en ville. On a été boire quelques verres, on se baladait un peu dans les boutiques à la recherche d'un truc cool. Bah ouais, faut bien faire quelque chose de sa vie et perdre son temps intelligemment. Un gars de la bande voulait allait dans cette boutique spéciale à Charles Street donc on y allait, mais franchement, j'avais rien d'autre à faire que de regarder tout ce qu'il y avait dans le rayon. Puis soudain, quelqu'un m'appela, une vois féminine. Je levai la tête et je fus surpris de croiser le regard de Palmyr. Tiens tiens, on était pas sensé ne plus se calculer? Aux dernières nouvelles, elle ne voulait même plus m'écrire dans son histoire, je ne faisais plus partie de sa vie. Puis m'appeler par mon nom de famille me donnait l'impression d'être appelé comme un moins que rien. Je regardais mes potes puis je lançais un regard interrogateur à Palmyr. « Tu m'enverras un texto? » pouffai-je de rire car je savais très bien qu'elle ne le fera pas vu qu'elle coupait toujours court à la discussion quand j'essayais de la contacter. Bon sang qu'est-ce qu'elle avait à me dire? Et pourquoi je devrais la suivre? Je suis bien là. « Si tu as quelque chose à me dire, dis-le ici. » avec mes potes qui nous regardaient le sourire aux lèvres. Ils étaient bien trop curieux, ils s'incrustaient dans notre conversation avec des yeux en coeur en regardant Palmyr.

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Oh, surprise, Royce faisait son intéressant. Je croisais mes bras sous ma poitrine en secouant légèrement la tête. Pour faire changement, il jouait avec mes nerfs en agissant comme un enfant. Bordel, on m’expliquait comment c’était possible que je sois l’adulte entre lui et moi ? Hors de question que je lui envoie un texto parce que si je l’avais fait, on m’aurait traité de lâche et Royce aurait débarqué chez moi en furie. Alors, malheureusement, cette option est impossible. J’aurais aimé qu’elle soit possible tout comme les autres sauf que non, il fallait que je fasse ça face-à-face. « Crois-moi si ça avait été possible, je ne serais pas ici à te faire la discussion. » Au contraire, je serais en train de faire du shopping pour décorer ma chambre. Encore une fois. Fin, il faisait son difficile, j’avais envie de lui foutre une baffe pour cette raison et son attitude m’agaçait. Puis, ses amis aussi m’agaçaient à absolument vouloir entendre tous les mots qui sortaient de ma bouche et de la sienne. Okay, j’allais lui laisser une dernière chance et s’il ne bougeait pas, ça allait sortir devant ses potes. Ils pourront le lui remémorer pour le restant de sa vie. « Tu arrêtes de faire ton gamin, un peu ? Ce que j’ai à te dire ne regarde pas tes amis, mais juste toi. » Et moi, ahem, mais ça je crois que c’était assez clair. « Ça va juste prendre cinq minutes de ta vie précieuse. Tu peux, au minimum, m’accorder cinq minutes… » Je ne lâchais pas son regard, patientant. Mentalement, je me préparais à son refus de vouloir m’accorder ce temps et à moi qui lui disait dans quel merdier nous étions.

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— Palmyr.

Je me suis fait à l'idée de ne plus être dans la vie de Palmyr, alors qu'elle ne se ramène pas en mode je dois te parler c'est urgent. Je m'en foutais, complètement. Je m'attendais à des excuses de sa part, je ne voyais que ça. Ou alors elle essayait de me tendre un piège mais ce n'était pas le genre de Palmier. Du coup, je n'avais pas d'autre choix que de lui accorder un peu de temps pour entendre ce qu'elle avait à dire. Je n'aimais pas le ton qu'elle employait devant mes amis, à me traiter de gamin. Plus elle se justifiait et plus ça m'inquiétait. Okay, quelque chose n'allait pas. C'est quoi? Son frère? Elle a le cancer? C'est pas drôle mais je cherche quelque chose. Je soupirais et je lançais un regard désolé à mes potes. Je leur disais de ne pas m'attendre, je les rejoindrai bien après. « Cinq minutes pas plus. » dis-je l'air complètement désintéressé. Je la suivais puisqu'elle m'avait demandé de la suivre et je mettais mes mains dans mes poches. Je ne sais pas pourquoi mais je sens que ça va être ma fête aujourd'hui. Une fois que nous étions plus tranquille, je la regardais et j'haussais les épaules. « Ben alors, accouche, crache le morceau. » j'étais pas du tout patient, elle le savait très bien.

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Voilà, il avait décidé de grandir et d’agir comme l’adulte qu’il était. J’avais droit à cinq minutes et promis, je comptais ne pas prendre les cinq minutes. Pourquoi il doit dire accouche ? God. Après me sentir attaqué par son impatience, j’ai l’impression de me sentir oppressé de lui dire ce que j’ai à lui dire. « Tu te rappelles de ce qui est arrivé y’a deux mois ? Laisse-moi te rafraîchir la mémoire : on a couchés ensemble. Sans protection. » Rire nerveux. J’espérais que dans sa tête, les pièces du puzzle s’assemblaient parce que je n’avais pas envie de lui expliquer en long et en large. « Bah devine ce que j’ai appris aujourd’hui parce qu’il semble que je ne puisse pas vivre ma vie sans que tu sois quelque part. » Ma main plongea dans mon sac à main pour en ressortir la feuille que j’avais chiffonner puis je tendis le papier dans sa direction. « Comme t’es le seul mec avec qui j’ai fait l’erreur de couché ces derniers mois, je t’interdis de douter que je sois… Voilà. » Pourquoi j’étais incapable de prononcer ces mots ? Pourtant, ils étaient simples : je suis enceinte de toi.. Non, j’attendais de Royce qu’il fasse le calcul dans sa tête. Pour ma part, j’étais toujours en train de me faire à cette nouvelle. Disons que cela ne m’enchantait pas plus qu’il le fallait et j’attendais une réponse de la part de Royce. Je voulais entendre des mots sortir de sa bouche, une réaction. N’importe quoi. Sa réaction n’était pas obligée d’être positive, la mienne ne l’étant pas. « Et je ne sais pas quoi faire. » Mais alors pas du tout. Je ne voulais pas d’un bébé, pas à 22 ans, pas avec Royce.

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— Palmyr.

Je tapais gentiment du pied sur le sol en attendant qu'elle m'explique le problème et quand elle parla de nos histoires de coucherie, j'ai bien crû qu'elle me faisait marcher. Palmyr a toujours été très sévère à ce sujet, elle refusait catégoriquement les rapports non-protégé sauf que la dernière fois j'avais fait le gugusse et je lui avais dis que je gérais. Bah non, j'avais clairement pas géré. J'avais des sueurs froides, mon visage devint livide lorsque je lisais le papier qu'elle m'avait donné. Plamyr, enceinte. Palmyr enceinte de moi. PALMYR ENCEINTE DE MOI? Je refermais le papier en faisant une drôle de tête puis je relisais une deuxième fois la fin pour en être sûr. « Eh. » ben oui Royce maintenant tu ne sais plus quoi dire, imbécile va! J'avais mal au coeur, j'avais presque envie de vomir. C'était à peu près la même réaction que j'avais eue quand j'ai appris que Leevy était enceinte. Car quand je l'ai appris, on était en froid et elle m'avait quitté le jour même. Je déglutis puis je laissais mes bras tomber le long de mon corps. « Euuuh. » arrête de beugler essaye encore. « Je ne sais pas quoi dire em... j'imagine que tu me détestes encore plus. » car c'était de ma faute, j'ai vraiment pas été prudent. Même si ça n'allait pas du tout entre elle et moi, je ne lui souhaitais pas ça. Elle méritait d'être enceinte de l'homme de sa vie et plus tard, vraiment tard. Déjà à 25 ans je trouvais ça tôt, mais elle, elle est encore plus jeune et elle est encore étudiante. Puis merde j'ai déjà un enfant! « Bordel de merde. » soupirai-je en plaquant mes mains sur mon visage et en posant mes fesses sur le banc qui se trouvait là.

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feat. royce magyar.
Voilà, c’est le Karma qui s’acharnait sur moi avec cette nouvelle monstrueuse. Ça allait m’apprendre d’avoir des rapports sexuels non-protégés. À l’avenir, j’allais mettre un frein direct au mec qui voulait avoir une relation sans condom. Incapable de le regarder, j’attendais toujours une réponse de sa part, une phrase entière. Des mots qui faisaient du sens et la réaction de Royce ne me surprenait pas. Je m’y attendais. C’était prévisible. Le contraire m’aurait surprise, honnêtement. « Non, j’ai atteint mon niveau de haine te concernant. » Puis, je n’avais plus d’énergie à lui consacrer. Je voulais juste l’oublier lui et toute cette histoire. Évidemment, être tombée enceinte de lui n’aidait pas. Absolument pas. Ce n’était pas comme ça que je pensais tomber enceinte pour la première fois. J’adorais les enfants, vraiment, mais je n’étais pas prête et encore moins d’avoir un enfant avec le mec dont j’étais amoureuse que je détestais maintenant et que j’essayais d’oublier. Moi, je voulais les parents qui s’aimaient et qui étaient heureux d’avoir leur premier enfant. J’inspirais profondément en me laissant tomber sur le banc près de lui sans être vraiment près de lui. J’imposais une certaine distance entre Royce et moi. Profond soupir. « Je ne peux pas et je ne veux pas avoir ton enfant, Royce. Ce n’est pas la vision que j’avais d’avoir des enfants. » Si je décidais d’avoir des enfants « Alors, j’ai besoin que tu me dises ta manière dont cette situation doit s’arranger. » Qu’il me dise le fond de sa pensée et peu importe ce qu’il me dit, j’allais le prendre en considération. Même celle de garder l’enfant quoique je ne voulais pas l’entendre me dire cette phrase.

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— Palmyr.

C'était vraiment la merde. Je me sentais moins fier là, je descendais de bien haut et je touchais la connerie en pleine face. Même, je touchais le fond mais je continuais de creuser. J'en ai marre de me plaindre que ma vie est pourrie, c'est de ma faute et uniquement moi. Je ne peux pas imposer ça à Palmyr, je ne peux pas la punir, je lui ai assez fait de mal comme ça je pense. Je devais prendre un peu de temps pour réfléchir sur ce banc. Palmyr s'installa à côté de moi et je n'osais toujours pas la regarder. Je regardais mes mains, le sol, puis mes pieds. Ouais je me faisais le plus petit qu'il soit. Cela me faisait mal au coeur qu'elle ne voulait pas mon enfant, car si c'était l'enfant de quelqu'un d'autre elle aurait voulu peut-être? Je prenais ça comme une insulte. Comme si elle me haïssait de toutes ses forces, ce qui était probablement le cas. Alors si elle n'en voulait pas, qu'elle en fasse ce qu'elle veut. Je veux dire, je ne veux pas me battre tout seul pour un enfant si en plus la mère me déteste. J'ai déjà eu ça avec Minnie-Love et, c'était le cauchemar tous les jours. Je ne veux pas revivre ça, surtout que j'en pinçais toujours pour elle. Mais je devais reconnaître que la nouvelle me faisait aussi un peu chaud au coeur car... je pouvais encore être papa et j'adorais ce rôle, j'adorais m'occuper de mon fils et de le voir grandir. Bon certes, ce n'était pas comme ça non plus que j'avais imaginé avoir mon deuxième enfant mais si la vie en avait décidé autrement, c'était comme ça. « On devrait peut-être y réfléchir avant de prendre une décision. » je frottais mes mains puis je finissais par la regarder. « D'accord, tu me détestes et tu ne veux même pas de mon enfant mais... moi je te déteste pas et... peu importe. » je ne dis pas que je veux qu'elle garde l'enfant, mais le tuer, je ne pourrais pas. L'adoption est possible, tout est possible si vraiment elle a trop honte de son enfant d'avoir un père comme moi. « Si tu ne veux vraiment pas le garder alors je ne vois pas pourquoi tu viens m'en parler. Tu aurais très bien pu ne rien dire. » garder ça secret pour elle, se faire avorter et faire comme si de rien n'était.

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feat. royce magyar.
Un silence s’installait tandis que je jouais nerveusement avec une mèche de mes cheveux. Je commençais à m’impatienter et dans ma tête, je me jouais les scénarios possibles quant à cette grossesse inattendue. Il y en avait trois et les trois ne me plaisaient pas. Le premier était que j’avortais, Royce m’en voulait, mais on vivait nos vies chacun de notre côté. Le deuxième était que j’allais au bout des choses faisant une minuscule place à Royce dans ma vie lui adressant la parole uniquement pour ce qui concernait cet enfant. Et finalement la dernière option était l’adoption, mais ça je savais que ça allait me hanter pour toujours. Donc, ouais, on devrait peut-être y réfléchir avant de se décider. J’allais répliquer un simple d’accord avant qu’il ne relève deux vérités : je ne voulais pas de son enfant et je le détestais. Je ne me voyais pas avec son enfant dans les bras. « Tu penses que je n’y ai pas pensé ? Tu te trompes. » Ça avait été ma première idée. M’occuper de ce problème comme une grande fille et ne plus jamais y repenser, en l’apportant avec moi jusqu’à ma tombe. « Mais ça m’aurait détruite. » Lâchais-je avec un soupir parce que je me connaissais et je savais que je n’aurais jamais eu la force nécessaire pour passer à travers. Et avorter ne me faisait pas plaisir, je n’étais pas contre, mais là ça me concernait. Enfin Royce et moi parce que malgré tout, il avait un droit de parole dans toute cette histoire. « C’est juste que je ne nous imagine pas avoir un enfant ensemble… Ça compliquerait les choses. Je veux dire tu veux faire l’école de police, tu as déjà un gosse, je suis à l’Université pour je-ne-sais-combien-de-temps encore. Avoir ton enfant reviendrait à rester ici alors que je n’en ai pas envie. » Au contraire, je voulais partir d’ici une bonne fois pour toute et vivre ailleurs. Où ? Je ne savais pas encore, mais pas ici. Je ne me voyais pas vieillir ici.

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— Palmyr.

Je pense qu'elle y a pensé mais comme nous étions deux impliqués là-dedans, c'était mon devoir de savoir, d'être au courant, de la conseiller ou je ne sais quoi. Car elle, elle portait le bébé dans son ventre pendant neuf mois, mais moi après, j'aurais un rôle tout aussi important que le sien. La grossesse de Leevy avait été si horrible. J'en gardais encore des séquelles. J'espère que celle de Palmyr se passera mieux si elle le garde, malgré son jeune âge. Elle avait encore la bouille d'une petit fille alors qu'elle avait le corps d'une femme, et là, à l'intérieur d'elle il y avait un petit être qui vivait, que nous avions créée. Oh mon dieu je suis trop sentimental. J'ai presque envie de verse une larme. Non Royce c'est mal! Même si tu aimes les enfants tu ne peux pas obliger Palmyr à le garder. J'hochais la tête et je serrais ma mâchoire. Un enfant ça change tout votre avenir, deux enfants ça change encore plus. J'étais déjà complètement déboussolé depuis la naissance d'Oscar. On devait sérieusement peser le pour ou le contre. Palmyr voyait juste, ce n'était pas possible, même si... « Je te laisse choisir de faire ce qui est bien pour toi et ton bébé. C'est aussi le mien mais, je vois que je ne compte pas vraiment dans ta vie et je n'ai pas envie que tu ai honte de ton enfant car il a un père comme moi. » mon dieu mine de rien ça me rendait vraiment triste de dire ça. C'est la fatigue, je suis à fleur de peau alors que c'est Palmyr qui est sensée avoir les hormones en feu. « Je veux juste te dire que quoi que tu fasses, j'assumerais. Je ne te dis pas que dois avorter, je ne te dis pas que tu dois le garder, je te dis juste que je serais disponible si jamais tu as besoin d'aide. » je lui faisais un faible sourire et je ne pouvais pas m'empêcher de regarder son ventre plat qui allait bientôt s'arrondir. « Et s'il te plaît, arrête de me voir comme un ennemi, on devrait plutôt être allié. » moi je faisais des efforts, malgré l'autre nuit où j'ai cassé mon nez pour la sauver. Je serais toujours là pour elle comme je l'ai dis, ça sera impossible de m'oublier, surtout avec le bébé.

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