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SAVANNAH LYNN EWING fiche;terminée C'est le 3 septembre 1991 à Miami, que la famille Ewing m'ont accueillie dans leurs bras, ils m'ont prénommée Savannah Lynn. Je suis une fiancée en fuite et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuelle et j'en suis fière. Je viens d'une classe sociale aisée. J'ai décidé de participer au Summer Camp organisé par Harvard pendant l'été. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de Neurosciences. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Eliot House ou les Dunster House. |
Études Je ne souhaitais pas retourner dans ce domaine, je pensais laisser ce cercle vicieux me rapprochant de ma famille à d'autres. Hélas, je n'ai aucune autre passion dans la vie, j'aspire à aider mon prochain malgré toutes les horreurs que l'ont peut dire sur mon matricule. J'ai envie de laisser une trace de mon passage et de faire avancer la recherche. Le cerveau est une chose très complexe que j'aimerai apprendre à déchiffrer et pourquoi pas apprivoiser afin de parvenir à afin trouver des solutions à certaines maladies dégénératives. Personne ne devrait avoir de maladies liées au cerveau, c'est un mauvais tour du destin car il n prévient pas ce n'est pas comme si l'on fume toute sa vie ou boit afin de tomber malade, là c'est inexplicable et inadmissible. | Caractère Beaucoup me trouvent superficielle et portée sur l’argent. Ma vie n’a toujours tourné qu’autour de ce petit plus qui fait la différence. Néanmoins, je suis une battante qui se donne à fond dans ce qu’elle fait. Je ne lâche jamais le morceau et j’aime avoir raison. Je reconnais hélas rarement avoir tord et je ne sais pas pardonner. Je suis assez entière comme fille, soit je vous aime, soit je me mets en chasse pour vous éliminer. A vrai dire, c’est soit blanc ou noir avec moi, il n’existe pas de juste milieu. Je ne sais pas non plus faire la part des choses, j’ai tendance à croire que tout m’est du et à me prendre pour une petite reine. Cependant, j’aime les gens avec du cran qui savent me remettre à ma place, me secouer et qui ne me cèdent pas tout. Je ferai la tête certes, mais vous compterez comme mes plus précieux alliés. Je suis sociable paraît-il bien que je ne sois pas blessante. J’ai les mots pour réconforter et suis de bons conseils bien que je n’applique guère ces derniers à ma personne. Il y a une chose dont vous pouvez être sûrs, je ne parle jamais dans le vide et je tiens toujours mes promesses. Ma parole est d’or, je n’ai pas la prétention de mentir. Je ne suis pas de celles qui jouent la fausse modestie quand j’ai fait quelque chose de bien, je le fais ressentir. Je suis appliquée et j’aime parler. J’apprécie ce qui sort de l’ordinaire, l’originalité me plaît et il n’est pas rare que vous soyez surpris. Si j’apprécie le shopping, j’aime aussi les vieux livres poussiéreux. Je ne suis pas susceptible et j’encaisse assez bien les coups. Hélas, j’ai tendance à être obstinée et à ne pas savoir m’arrêter, je suis souvent excessive et je peux excéder les personnes qui m’entourent. |
Everyone Has Their Own Story
« Les petites princesses vivent dans un monde fait de merveilleux et d’imaginaire, les contes de fées ne sont que le reflet de ce que l’être humain aspire à posséder. Hélas, quand on en vient à posséder ce que beaucoup voudraient, on s’en lasse et on désire toujours plus. La vie est si compliquée, la mienne aurait pu être à l’image d’un conte de fées mais les princes et vies rangées ne m’ont jamais réellement attirée. Sur ce, laissez-moi vous conter ma propre épopée. »
C’était un obscur soir d’un mois lointain, les volets claquaient à cause de l’orage qui s’annonçait et des bruits pétaradant de moteurs bourdonnaient aux oreilles des personnes présentes. Nous n’étions pas à Privet Drive et Albus Dumbledore était bien gentiment resté dans son livre mais l’ambiance semblait angoissante, voire étouffante pour un homme présent dans l’assemblée. Le gala de charité se tenait sous l’enceinte d’un quelconque hôtel de Miami. Les grandes baies vitrées seraient souillées par l’apparition de la pluie et chacun brandissait un grand sourire, cachant toute les mauvaises pensées qu’on peut éprouver à l’égard de son voisin. Il fallait posséder un carton d’invitation pour pouvoir séjourner en ce lieu et Ryan Ewing lui, avait même un pass VIP étant l’un des organisa teurs de cette hautement snobinarde soirée. Je ne vous conseille que de fuir car, quand j’observais dans le temps de mes petits yeux curieux la scène, je ne voyais que des froufrous, des drôles de personnages se lançant dans des pirouettes grotesques et jouant à qui sortirait le plus gros chèque. Mon père travaillait dans l’industrie pharmaceutique. Je ne comprenais pas ce qu’il faisait mais il était à la tête d’un grosse entreprise mettant au point des médicaments pour soigner des maladies rares. Il m’avait expliqué qu’il fallait que je sois une petite princesse et que je fasse du zèle à nos invités afin de récolter le plus de fond possible. Si l’homme qui se tenait face à moi appréciait l’être humain et désirait le sauver, il ne quémandait qu’après des dons après avoir investi toutes ses économies dans son entreprise, ma mère paradait aux bras de ses amies, ce serait à celle qui parlerait le plus fort afin de se faire respecter. Cette mini jungle m’agaçait et m’agace toujours. Néanmoins, mes parents étaient heureux, d’une certaine façon. Ils ne s’aimaient pas comme à la télévision mais partageaient une certaine complicité. Je les aimais et ils me le rendaient bien même si ma mère me laissait trop souvent aux mains d’étrangers.
J’étais sage à l’époque, je jouais avec les quelques enfants présents bien que nos cavalcades ne passèrent pas inaperçus et que nous furent renvoyés à nos places respectives. Ce petite interlude plante le décor de ma onéreuse vie. Nous ne manquions de rien, pour faire plus simple, nous étions riches. Je n’ai jamais compris ce concept bien que j’allais devoir vivre avec, bien trop heureuse qu’on cède à tous mes caprices et satisfasse toutes mes envies. J’étais la petite reine de mon monde et je n’en ressentais aucune honte. On devait tout m’offrir sinon je piquais des colères digne d’un titan. Nous grandirent, dans notre grande villa de Miami. Ma maison était à elle seule un vrai terrain de jeu et je me plaisais à chercher des objets perdus dans ma maison. Je grandis, mon père travaillait de plus en plus et ma mère se rapprochait de moi. Nous partagions des activités communes durant mon adolescence, tant et si bien que le jour de mes dix-sept ans, on me présenta à l’un des petits enfants avec qui je jouais d’antan lors de nos réceptions et grandes fêtes. Il me paraissait quelconque et j’avais bien mieux à faire que minauder auprès de ce bellâtre sans attrait. J’avais brûlé mes ailes lors de ma jeunesse, en toute discrétion. Mes nombreuses escapades nocturnes avaient marqué le début de ma rébellion. Je ne supportais plus cette pesante autorité et ces choix qu’on faisait à ma place. J’avais besoin de souffler et cette liberté, je me l’étais choisie. Elle se nommait Jake ou bien Peter ou encore Mélinda avec qui je sortais plusieurs soirs de suite dans les endroits branchés de notre ville ensoleillée. Mes fréquentations n’étaient pas tendres mais j’avais toujours eu de la chance, jusque là. Je vivais comme une jeune, je ne tombais pas non plus dans l’excès de la drogue ou de l’alcool, j’avais juste besoin d’évacuer mes frustrations en sortant et en m’amusant, que peut-on donc me reprocher ? J’étais comme toutes les adolescentes en passe de devenir femme d’Amérique. J’avoue m’être parfois laissée emporter mais tout de même. J’étais devenue transparente aux yeux de mon père et ma mère fuyait chaque soir pour retrouver cet homme qu’elle nous cachait. Je l’avais découvert mais, elle savait que j’avais compris son petit manège c’est pourquoi elle ne dénonçait pas le mien. Néanmoins, cette traîtresse venait de m’enchaîner à vie.
Mes notes ont toujours su rester à un certain niveau car mon père me payait de bonnes écoles pour que je réussisse, à sa façon. Sa dite femme pensait que mon petit cerveau de femelle ne pourrait supporter toute cette dose d’informations et elle préféra anticiper mon avenir. Elle venait de conclure un mariage arrangé avec l’une des familles avec qui nous étions amis. Sérieusement, j’avais dix-huit ans, vous croyez encore que ce genre de vieillerie existe ? Et bien, c’est bel et le bien le sort qui m’attendait. Je pouvais me défiler mais pour faire quoi ? Que deviendrais-je seule ? J’étais trop faible et dépendante de ma cage dorée à l’époque. Alors, à mes dix-huit ans nous furent fiancés et devions nous marier deux ans après. Nous nous voyions régulièrement mais aucune alchimie n’en découlait. Cette homme n’avait que des chiffres en tête, ces chèques que je détestais. Il discourait tel un savant et se prenait pour le bienfaiteur de notre belle terre. De plus, son arrogance me déplaisait et sa nonchalance m’agaçait. Ce n’était qu’un fils à papa, ce que ne dénonce pas mais cupide au plus au moins. L’argent me plaît, je ne le nierai pas mais je ne vis pas pour lui, je vis pour moi. J’entamais donc ma première année à l’université de Miami malgré les recommandations de ma mère sur le fait d’arrêter mes études et de me consacrer à mon mariage. Je n’ai guère besoin d’un an pour décider de quoi faire et je lui laissais cette futile tâche. Mon monde était bousculé, je ne supportais plus cette inquisitrice de mère et j’avais mûri en passant le cap de mes dix-huit ans. Je n’étais plus cette personne timide et complément paumée qui ne savait comment échapper à ce stupide destin. J’effectuais mes deux années de faculté sans pouvoir sortir de ma tête cette prison qui m’attendait. Je n’appréciais pas ce mufle et lui faisait bien comprendre en continuant mes anciennes petites escapades. Nous vivions désormais ensemble mais je me refusais à lui. Il s’en accommodait apparemment très bien, faisant de même de son côté. De plus, seul mon patrimoine lui importait. J’étouffais, j’étais dans une ca ge, la vie eu raison de moi car je finis par me défiler. Un soir, je ramenais un inconnu chez nous, dans notre soit disant lit conjugal. Je pensais qu’il romprait nos fiançailles, au contraire, il me proposa de se joindre à nous. Suite à cet incident, je levais les talons, je me dirigeais vers mon armoire, fourrais mes affaires en vrac dans un sac et partis avec pour seules économies les centaines de dollars que j’avais pu mettre de côté à mes dernières dépenses. Je sautais dans le premier bus, étant trop pauvre pour prendre l’avion ou le train, je m’essayais à ces inhumains transports en commun. J’avais eu peur au début mais les gens ne me dévisagèrent pas et je filais vers une destination qui m’était encore inconnue. Quelques semaines plus tard, je pris contact avec ma cousine Daenerys avec qui j’étais restée en bon termes, elle m’expliqua se trouver à Harvard et je choisis de m’y poser afin de continuer mes études, mon dossier n’étant guère médiocre lors de mon ancien passage dans le système universitaire de Miami. Aujourd’hui, cela fait quelques mois que j’ai quitté Miami, je suis comme qui dirait en fuite de chez moi et je n’espère pas que l’on me cherche, je voudrais plutôt qu’on m’oublie. L’argent ne fait pas tout mais j’avoue que ma vie confortable me manque parfois.
the face behind
↬ PSEUDO/PRÉNOM - Secret I'm Miss President ↬ ÂGE - 21 ans ↬ PAYS/RÉGIONS - Le Sud ↬ OÙ AS-TU CONNU LE FORUM - Par Daenerys A. Ewing ↬ TES IMPRESSIONS - Ca pète le feu (a) ↬ CRÉDIT(S) - Clochette / redhedlund ↬ AVATAR - Minka Kelly ↬ SCÉNARIO OU PI? - PI s'vous plait ! ↬ LE MOT DE LA FIN - Patate ? Non c'est pas ça ? |
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