Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility(flashback) « La vie est trop courte pour être petite » [Marloes & James]
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(flashback) « La vie est trop courte pour être petite » [Marloes & James]

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marloes & james
« la vie est trop courte pour être petite »


La nuit est tombée au Summer Camp, ce soir là, personne ne fait la fête, ou du moins James ne le savait pas. C'est plutôt probable, il ne s'est pas encore très bien intégré au groupe, il est aussi vrai qu'il n'est pas très sociable. Il n'est pas dans son monde, « tous des bourges », selon lui. Mais il y aura forcément quelques personnes pour le contredire, à vrai dire, il n'attend que ça : des amis. Être posé sur l'herbe regardant les étoiles en solitaire, c'est son passe-temps. Et c'est à ce moment qu'intervient le sachet d'herbe, des feuilles et du papier cartonné qui sert une nouvelle fois de toncard. Trois petits mouvement, une coup de langue et le tour est joué. Non, il n'essaye pas d’emballer une fille comme bon nombre d'étudiant de Harvard, il ne fait que rouler son énième joint de la journée. Le cannabis est sa femme, il est en symbiose avec. Les femmes ne l'intéressent pas, les hommes non plus, que se soit dit. L'amitié est le lien le plus fort qui soit pour lui, la loyauté en est la règle numéro un, c'est se qu'il s'est toujours dit. Jamais il ne dérogera à cet règle. Il sort alors le même briquet de sa poche et start son joint, un pur, l'odeur si particulière qu'il dégage fait valser toutes les narines au milieu de la végétation reluisante du Vermont. Bienvenue dans son monde, un monde rempli de questions et de débats.
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On vit, on mange, on dort, on baise, on fume, on boit en sachant pertinemment que le jour d'après sera pareil. Chaque jour est l'inconsciente répétition du jour d'avant, on mange autre chose, on dort ailleurs, on baise quelqu'un d'autre, on se dit que ce n'est pas pareil pour ne pas avoir pitié de soit même mais si c'est exactement la même chose. On continue, on se fixe des objectifs factices, on se dit qu'on va arrêter de fumer, qu'on va manger équilibrer, qu'on va aller faire un jogging tout les matins et pourtant comme à chaque fois on fume toujours autant, on mange toujours des merdes et on a pas le courage d'aller courir alors on reporte tout ça au lendemain, puis au sur-lendemain mais au final on sait très bien qu'on ne le fera jamais. On se dit qu'on va oublier, qu'on va arrêter d'avoir mal et là c'est pareil, on y arrive pas, surtout quand un nombre incalculable de choses te ramène à ses souvenirs qui te rongent. Trois mois c'est court, mais ces trois mois étaient intense, trois mois de pur bonheur et un jour on se retrouve à jouer seul. Celui qui rendaient ta vie vivable t'as laissée seule, à attendre. Parce que on ne peut faire que ça, attendre. Cesser d'attendre, ça voudrait dire que c'est fini. Mais comment passer à autre chose quand la copie conforme de ce que tu attends le plus au monde te croise tous les jours. Impossible d'aller vers lui ce serait comme perdre la bataille, se résilier à retourner vers lui, même si au final lui et ton ancien amour ne sont pas les mêmes personnes. Cette ressemblance te trouble, énormément.
Les yeux rivés vers le sol tu avances, bière en main traînant des pieds sur l'herbe humide tu continus d'avancer jusqu'à que cette odeur plus que familière te chatouille les narines, tu lèves la tête, tu l'reconnaîtrais parmi cent-mille, c'est lui, ce mec qui te renvois tes premiers mois à Harvard dans ta gueule, ces mois qui t'ont littéralement changés. Tu sais pas quoi faire, demi-tour ou continuer ta route et faire comme si de rien n'était, tu choisis de continuer de marcher.
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Un joint allumé, une trainée de fumée à l'odeur si spéciale à mes yeux, mais pourquoi ça ? Tant de questions sans réponses, chacun cherche son idéal, que ce soit en amour ou pour soi-même. Ceux qui croient être ce qu'ils ne sont pas, les menteurs, les égoïstes. Et les autres, qui profitent de la vie sans même savoir où ils le destin les emmennent, ce sont les rêveurs, les surréalistes. Inutile de me demander dans quelle catégorie je me case, on ne catégorise pas un être humain, pourtant c'est ce à quoi je pense et ce que j'ai fais à l'instant. Nous sommes tous identiques, nous nous ressemblons tous dans l'âme. Façonné par plus puissant que soi-même, à l'instar de pantins qu'on manipule avec grâce.
Après un énième joint de weed à la belle étoile au beau milieu du Vermont, je la vis à nouveau. À quoi jouons-nous ? Terrorisée à l'idée de me croisée, je ne comprend pas. Qu'ai-je de si spécial pour que nos corps se croisent jour après jour ? Tu me suis, tu me fuis, avec toute la logique que cela a, je ne comprend décidément pas ce jeu là. Inutile de croire que mes yeux n'ont jamais apperçue ta silhouette, j'ignore totalement tout de toi. Ignores-tu absolument tout de moi ? Toi, cette fille.

« Arrête donc de jouer à cache-cache je t'en pris, tu m'as vu, je t'ai vu. James, c'est mon prénom. Et inutile de préciser que je veux bien savoir s'qui s'passe. »

Je me retournai alors en direction de la jeune femme et lui fit signe tout en tirant sur mon bédo avec l'application d'un spécialiste en la matière. J'hésitai alors à l'éteindre en attendant son arrivée mais je l'ai vue, elle aussi est une praticante du cannabis. De bière également, c'est en tout cas se que je remarquai à l'instant. Une jeune femme mourrant de froid titubant seule au milieu d'une plaine. J'eus alors un léger sourire en coin, rien de méchant. Je fus juste surpris à l'idée d'enfin pouvoir penser à discuter avec cette anonyme en cette énième nuit étoilée au Summer Camp.
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« Arrête donc de jouer à cache-cache je t'en pris, tu m'as vu, je t'ai vu. James, c'est mon prénom. Et inutile de préciser que je veux bien savoir s'qui s'passe. » L'espoir de passer inaperçu vient de s'effondrer comme un chute du World Trade Center quand les tours s’élevaient encore dans le ciel. Tu n'sais quoi faire, t'arrêter et lui répondre ou faire comme si de rien n'était continuer de fuir comme ce que tu fais depuis tellement de temps, mais à force de fuir on finit pas se perdre. Fuis moi je te suis, suis moi je te fuis qu'il est dit, mais quand on est seule à fuir personne n'est là pour te suivre et c'était bien le problème. Faut que tu te décide ma belle, pense qu'aller vers lui te feras peut-être passer à autre chose après tout, tout le monde sait qu'il faut combattre le mal par le mal. T'avales ce qu'il reste de ta bière en une gorgée et la balance au sol, pas top pour une ancienne Quincy mais tu t'en tapes. Tu prends ton courage à deux mains Salut James, j'vois pas c'que tu veux dire., t'as à peine l'impression de le prendre pour un con, mais t'as pas envie qu'il te prenne pour un tarée, une fille qui n'arrive pas à se remettre de sa rupture, sauf que si justement t'es entrain de t'en remettre, doucement mais surement. Tu baisses les yeux et tu fais le grand plongeon, mieux que le saut de l'ange, Marloes va tout avouer les amis. Moi c'est Marloes, je sais que t'as l'impression que j'te fuis mais ... non tu vas m'prendre pour une tarée.
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Marloes, maintenant que son nom ne met plus inconnu, la conversation peut être entamée, c'est du moins se que je crois pour moi. Un sourire me vain quand elle arrêta sa phrase pour dire le classique " Tu vas me prendre pour une folle ". Devrais-je plutôt chercher la vérité ou continuer laisser le sujet au point mort comme il l'est déjà, ce qui est sûr, c'est que la blonde n'est pas à l'aise en face de moi. C'est indéniable. « Parfait, tu veux faire quoi alors, rentrer maintenant alors que t'es seule et complètement morte ? » Je suis fis donc signe de s'asseoir à mes côtés en cette nuit, un peu de compagnie, aussi étrange soit-elle, ne fait aucun mal. Je tendis une bière et commença à rouler un nouveau joint, vu son apparence, ça ne devrait pas trop la déranger. Une fois roulé, je le startai lentement mais sûrement, laissant planer des tas de questions dans mon esprits. Je pourrai lui faire pression, c'est vrai que j'aime savoir la vérité, encore plus quand cela me concerne directement. C'est inutile, si elle veut m'avouer quelque chose, elle peut le faire, je ne vais pas plus lui faire chier. Je me couchai sur l'herbe observant les étoiles dans le ciel dégagé de la nuit, et je regardai Marloes par la même occasion, son visage était pétrifié, ses yeux rivés sur les miens, mais que ce passait-il pour que la jeune fille soit aussi appeurée. « Poses toi ici si t'en a l'envie, avec un p'tit joint et une bière, t'es mieux que debout ... à moins que tu veuilles te casser, toute seule, le chemin est long encore jusqu'au Camp. » Après tout, si telle est sa volonté, que voulez-vous que j'y fasse, je la connais pas, et j'ai l'impression qu'elle crie à l'aide en fixant mes yeux. Mon simple devoir est uniquement de savoir se qu'il se passe et de l'aider par la suite si j'en ai la moindre possibilité. Encore plus si la jeune fille est mignonne ... et c'est le cas pour ce soir.
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« Parfait, tu veux faire quoi alors, rentrer maintenant alors que t'es seule et complètement morte ? » complètement morte ? d'un seul coup j'me posais des questions sur la gueule que j'devais tirer, je ne m'étais pourtant pas mis la race, une bière, un joint, c'était tout. Il m'invita à m'asseoir, j'haussais les épaules, après tout il n'y a rien de mal à passer la soirée avec le sosie de son ex alors qu'on essaye de l'oublier et qu'on y arrive presque, non j'avoue la situation était plus qu'étrange mais lui n'en savait rien. Il m'tendit un bière merci un léger sourire à peine visible sur mes lèvres. J'voulais pas non plus passer pour plus bizarre que ce que je n'étais déjà ! J'tentais en vain d'arrêter de le dévisager du regard mais c'était plus fort que moi, je buguais sur lui, tous les moments passé avec Deon me revenait en tête, c'était pas lui, c'était pas lui ! « Poses toi ici si t'en a l'envie, avec un p'tit joint et une bière, t'es mieux que debout ... à moins que tu veuilles te casser, toute seule, le chemin est long encore jusqu'au Camp. » après tout il avait raison, j'm'asseyais à côté de lui. J'devais arrêter de penser la situation étrange, pour moi elle l'était mais pour lui absolument pas, fallait peut être que j'm'explique, non il avait l'air cool, j'voulais pas l'faire fuir !
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