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HAZEL P. KOBERWEIN ► Lindsay Ellingson

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Hazel Poppy Koberwein

   
Lindsay
   Ellingson
Fiche d'identité
Nom KoberweinPrénom(s) HazelÂge 21 ansDate de naissance 31.12.1994 Lieu de naissance Laponie, SuèdeStatut amoureux en couple, mais libertineOrientation sexuelle BisexuelleClasse sociale RicheÉtudes majeures SportÉtudes mineures DanseJob danseuse de pole dance dans un bar Choix de groupe #1 Cabot HouseChoix de groupe #2 Lowell House

   
GROUPE 1.
 J'ai tendance à choisir Cabot House, parce qu'Hazel est une fille. Une vraie fille. Elle fait attention à elle, à sa réputation et fait de son travail une force. Elle doit être belle et séduire pour réussir et même si ça reste un travail, c'est aussi une passion. Elle à toujours tout donner pour être aussi belle que le prétend sa maman qui n'a jamais cesser de lui répéter et au fur et à mesure du temps, elle a fini par y croire. Elle est belle, elle fait attention à elle, elle veut mettre sa féminité en avant.
   GROUPE 2.
   Pour certains, la pole dance est un travail de prostituées choisi pour séduire les hommes. Peut-être que cette jeune Lapone s'en sert parfois pour la séduction, mais ce qu'elle veut avant tout, c'est le faire passer pour un art. Elle danse, elle fait ça depuis qu'elle est toute petite et pour elle, se tortiller, faire preuve de souplesse et de grâce. Elle travaille la danse, elle travaille sa souplesse et c'est une vraie passion pour elle. Ca va au-delà de la séduction, ça va au-delà de ce que peuvent penser certains, c'est un état d'esprit, une danse comme une autre pour s'exprimer.
APRÈS LA BOMBE.
Lors de cet évènement, Hazel n'était pas à Harvard, mais elle en a entendu parlé évidemment. Elle avait d'ailleurs remis en question son choix d'école. Peut-être que finalement Harvard n'était pas l'endroit aussi sûr qui lui convenait ? Peut-être devrait-elle se tourner vers d'autres écoles. Son rêve d'enfant s'écroulait petit à petit jusqu'à finalement en devenir totalement touchée. Elle avait rêvé de ça si petite, et à ce moment-là, à cause d'une bombe, tout était remis en question. Elle en a discuté avec son père, lui aussi ancien étudiant de cette prestigieuse école et comme n'importe quel père digne de ce nom, il a réussi à la persuadé qu'ici, à Harvard ou ailleurs, tout était possible et qu'il fallait parfois accepter son destin.
   
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
  Encore une fois, Hazel ne se trouvait pas sur le campus à ce moment-là, puisqu'elle débarque tout juste à Harvard. Néanmoins, elle avait déjà reçu une réponse positive quant à son inscription, c'était donc encore plus angoissant puisque maintenant, elle ne pouvait plus faire marche arrière. Hazel s'est rendue compte qu'elle était peut-être un peu trop fragile, pour se lancer dans cette culture qu'elle ne connait pas forcément qu'est la culture américaine. Peut-être devrait-elle s'endurcir, peut-être devrait-elle se préparer un peu plus. Tout ça, la endurcie, parce qu'elle sait que ça ne sera pas facile. Mais maintenant, elle est prête.
ITEM LIBRE (FACULTATIF).
   xxx xxx xxx


   
pseudo irl
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Bab0u et j'ai 25 ans. Je suis Belge et j'ai connu le forum grâce à un partenariat.  Vos impressions sur le forum alors j'ai décidé de m'inscrire sur le forum sous les traits de mon unique compte: Hazel. J'utilise Lindsay Ellingson comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par xCR. Je fais environ 1000 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

   Mot de la fin ? ▲ Welcome to the fun, Fanta !

   Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
    adhérer un flood d'intégration (?)
    je veux être parrainer si oui, par C. Nevada Lewis-Kennedy (voir la liste des parrains)

   
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Once upon a time

   
Le vol jusque Stockholm s’était bien passé, Hazel s’était occupée un peu comme elle pouvait : en écrivant, en dormant, mais elle savait que le pire était à venir. Elle avait maintenant son vol jusque New-York et ça n’allait pas durer une heure ou peut-être deux ou trois, non ça allait frôler les dix heures de vol et pour ça, elle devait être prête psychologiquement. Maintenant, qu’elle a passé quelques petites heures dans un avion, elle savait très bien ce que ça allait lui faire d’y passer autant d’heures, mais elle était prête, elle avait même hâte de se retrouver sur le sol Américain. New-York, qui ne rêve pas de s’y rendre un jour ? A nouveau, Hazel est installée dans un siège de l’avion. A ses côtés, il y avait un enfant dont les parents se trouvaient juste devant. Ceux-ci se retournent de temps en temps pour s’assurer que tout se passe bien pour leur petit garçon et Hazel, elle, elle lui sourit, puis écrit de nouveau …

Les vastes étendues de Laponie rendent l’homme tout petit, me rendent toute petite aussi, mais moi je connais, j’y ai vécu. Arpenter seul ces grands espaces, est le moyen idéal pour réfléchir et même pour trouver sa place dans la vie, savoir ce que l’on veut vraiment. La nature est un merveilleux recours contre l’anxiété et la confusion qui parasitent l’esprit de l’être humain, vous saviez ? L’idée de pouvoir se promener dans la nature sauvage, l’esprit vide de toutes pensées néfastes est sans doute ce qui fait que la Laponie reste un endroit exceptionnel où se réfugier. Je trouve que le sentiment de ne faire qu’un avec cette nature est l’un des plus intenses qui puissent se ressentir. Comme pour tout, il faut sentir et voir par soi-même pour comprendre, mais croyez-moi, c’est beau, envoutant, magique. Les mots manquent souvent pour décrire ce que l’on éprouve lorsqu’on est au sommet d’une montagne et qu’un paysage magnifique s’ouvre devant nos yeux : l’émotion nous donne la chair de poule et tout ça, ça se passe de mots.

Moi je suis née entourée de tout ça, j’y ai vécu, j’ai grandi et je me suis construite dans cet endroit, celui que je vous décris un peu plus haut. Mes parents s’y sont rencontrés au cours d’une expédition. Ils ont été charmés, totalement envoutés par cette région qu’est la Laponie. Ils s’y sont mariés et puis ils ont eu une première fille. Ma sœur est trois ans plus âgée que moi et je ne m’entends pas avec. Je ne me suis jamais entendue avec, parce que d’aussi loin que je m'en rappelle, elle a toujours fait en sorte de me montrer qu’elle était mieux que moi, que je n’étais rien à côté d’elle, que je ne valais rien et que je n’étais même pas aimable, ni regardable, alors que ma maman ne cessait de me dire que j'étais magnifique, j'essayais d'y croire malgré ce que me disait ma soeur. Quand j'eus cinq ans, ma mère a accouché de mon petit frère, j'étais tellement heureuse, j'avais promis à ma mère d'en prendre soin et de le protéger tout au long de ma vie... Mon père est éleveur de huskies, mais aussi musher. C’est à dire qu’il est meneur de chiens de traineau pour des randonnées l’hiver. J’ai toujours été en contact avec ces chiens, je crois que ce sont les seuls que je connaisse vraiment, les huskies. En Laponie on ne voit que ça. J’aime ces bêtes, elles sont courageuses et puis tellement attachantes.

Quand j’étais petite et que j’ai commencé à aller à l’école, j’ai intégré un internat. En Laponie, les écoles ne sont pas vraiment reconnues, c’est à peine s’il y en a, alors il faut se rendre plus loin pour pouvoir être scolarisé, d’où les internats. J’y ai appris l’histoire, la géo, les sciences, les mathématiques et aussi la religion et les langues, mais les enfants Lapons étudient aussi des matières plus laponnes afin de les aider à s’intégrer à leur vie de société, comme l’artisanat. On y apprend parfois un métier manuel, parce que rares continuent jusqu’à l’université. Moi j’y ai appris la cuisine, mais je savais qu’après je ne m’arrêterai pas à ça, je voulais aller plus loin. Plus petite je rêvais déjà d’être danseuse, parce que je pensais que c'était ce que faisais toutes ces filles qu'on voit à la télé, qui ont un corps de rêve et qui sont gracieuses et magnifiques. Ma soeur est mon modèle, elle est tellement belle, elle faisait attention à elle et je voulais lui ressembler. Je voulais qu'elle me dise que pour une fois, j'étais parfaite et ce, même si ce n'est qu'en dansant. A l’école j’étais pas trop mauvaise, j’étudiais ce qu’il y avait à étudier, je faisais mes devoirs et je ramenais des bonnes notes à mes parents parce que je voulais aller à Harvard, je voulais que ma soeur soit fière de moi, encore. J’avais toujours hâte de rentrer chez moi, surtout pour les vacances de Noël. C’est ma période préférée, parce que mon père m’emmène à chaque fois faire un tour en traineau, avec les chiens.

A mes douze ans, j’ai appris l’escalade et partir avec des amis en randonnée, c’était quelque chose qui me tenait aussi à cœur. On installait des tentes et on se laissait bercer par la beauté de notre région. Avec mon petit frère, j’aimais passer du temps, allongée dans l’épaisse couche de neige à regarder le ciel étoilé, parfois animé par les aurores. Je lui racontais des histoires alors qu’il n’avait que dix ans et il y croyait dur comme fer ; Il était mon petit rayon de soleil. Il y a quatre ans, alors que j’avais 17 ans et lui 12, on est partis faire un tour avec un voisin de l’âge de mon frère, alors que l’hiver touchait doucement à sa fin. Près de chez nous, il y a un grand lac et durant les grandes gelées, on s’amusait dessus. Ils voulaient absolument y retourner, mais je leur avais interdit. Mon téléphone a sonné et la conversation que j’avais au bout du fil semblait bien plus intéressante que mon petit frère et le petit voisin. Ils ont fini par aller sur ce lac gelé, pour y jouer. Moi j’ai rien vu, j’ai juste entendu le brisement de la glace et des cris étouffés. La glace commençait doucement à fondre sur ce lac, les températures se réchauffaient, on revenait vers des températures positives alors avec le poids des deux garçons ça a cédé. Je ne savais pas quoi faire, parce que si j’y allais, étant plus lourde qu’eux, j’y passerais aussi. J’ai crié pour qu’on vienne m’aider et un garçon d’à peu près mon âge a accouru pour me venir en aide, mais l’eau était tellement froide que mon frère et le voisin arrivaient à peine à bouger. Il a lancé une corde pour essayer de les tirer, mais à force de bouger dans tous les sens, c’était impossible, beaucoup trop de temps est passé et aucun des deux ne s’en est sorti. J’étais effondrée. Aujourd’hui encore je m’en veux, j’ai l’impression que l’amour que je porte à une personne est maudit, alors j’évite d’aimer. J’évite d’apporter ma poisse. C’est une douleur encore bien présente, c’est psychologiquement très difficile de culpabiliser pour la mort de son frère, mais pourtant c’est un fait, c’est de ma faute. J’aurais dû les surveiller, ma mère me l’a répété plusieurs fois. C’est dur à vivre, mais il faut être responsable de ses actes… . L'année d'après, j'ai un peu déconné et je suis partie à Stockholm. Je voulais vivre loin de ce drame et j'ai commencé à rencontrer des gens, à sortir, à m'amuser et à danser... faire de la pole dance. Au début, ce n'était qu'un travail malsain et mal vu, aujourd'hui c'est devenu une véritable passion. J’ai l’espoir de vivre autre chose, de penser à autre chose et d’essayer de trouver la paix avec moi-même. Essayer d’être quelqu’un de meilleur et de prouver que j'ai un don, que je sais avancer et que si mon frère était encore là, il serait surement fier de moi.


Hazel met un point final à ses écrits. Elle a su mettre sur papier tout ce qu’elle a besoin d’extérioriser. Ecrire qu’on est responsable de la mort de son frère, c’est dur, c’est douloureux, mais le penser sans l’extérioriser l’est encore plus. Elle se trouve désormais dans l’avion qui la mènera à Boston. Elle voit la fin de ce voyage, elle a pu profiter de New-York une heure ou deux, de l’aéroport du moins. Les américains pensent différemment, ils vivent différemment, mais ça lui plait déjà. La jolie blonde ferme son carnet et le fourre dans son sac à côté d’elle. En levant les yeux, il y a ce garçon. Un garçon qui ne la laisse pas indifférente et qui l’empêche de détourner le regard. A son tour il l’a regarde, ou la voit. Dans sa tête, le film se fait déjà, elle ne peut rien y faire. Le pire c’est qu’elle y croit. Ce garçon l’a regardé, il a posé ses yeux sur elle, son attention plus de cinq secondes. Ils se rendent tous les deux à Boston, mais le plus important pour elle, c’est qu’il l’ait regardé parce que maintenant, elle peut commencer à rêver …
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Bienvenue sur ILH et bon courage pour ta fiche! HAZEL P. KOBERWEIN ► Lindsay Ellingson 3850463188
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bienvenue parmi nous HAZEL P. KOBERWEIN ► Lindsay Ellingson 2511619667
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bienvenuuuuuue HAZEL P. KOBERWEIN ► Lindsay Ellingson 2511619667 et excellent choix HAZEL P. KOBERWEIN ► Lindsay Ellingson 3850463188 .
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Bienvenue HAZEL P. KOBERWEIN ► Lindsay Ellingson 2109348208
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Bienvenue, très bon choix. HAZEL P. KOBERWEIN ► Lindsay Ellingson 152426858 HAZEL P. KOBERWEIN ► Lindsay Ellingson 1001568715
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Merci beaucoup :3
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bienvenue sur ilh hanwii
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Bienvenue HAZEL P. KOBERWEIN ► Lindsay Ellingson 3850463188
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