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MARGAUX RUTHERFORD ► Zoey Deutch

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Margaux Rutherford

   
Zoey
   Deutch
Fiche d'identité
Nom RutherfordPrénom(s) MargauxÂge 23 ansDate de naissance 18 janvier 1993Lieu de naissance Californie, Los AngelesStatut amoureux CélibataireOrientation sexuelle HétérosexuelleClasse sociale AiséeÉtudes majeures Psychologie de la sexualitéÉtudes mineures Antropologie des culturesJob Emmerdeuse Choix de groupe #1 Eliot HouseChoix de groupe #2 Cabot House

   
ELIOT HOUSE
   Sous ordre précis de son père. Jules se doit d'intégrer au groupe. Encore une autre condition de sa part. Selon lui, trainer avec les progénitures de ses amis/connaissances lui permettront de former de solides alliers plus tard. De toute façon, c'est ce que tout le monde attend d'elle, vagabonder avec " the rich kid " comme elles les surnome. Même-si l'hypocrisie était la seule solution pour elle de se lier d'amitié avec eux, Margaux croit sincèrement que c'est le pire supplice que son père lui fait subir. Comme elle veut qu'il lui fiche la paix et avoir un semblant de liberté, c'était le prix à payer. Seulement, avec une grande gueule comme la sienne, ça sera tout un défi de tenir parole.

   CABOT HOUSE.
   Pour la simple raison qu'elle ne voit pas n'y ailleurs où aller. Si ce n'est pas Eliot ou c'est rien, mais elle croit tout de même qu'au cas contraire, rejoindre les reines des abeilles de la fac allait peut-être la divertir. Elle se demande toujours qu'elle était la sensation d'être dans cette position. Et puis, Margaux est d'une beauté saisissante, gracieuseté des gênes  de ses parents. Sauf que le terme de solidarité féminine est encore un point auquel, elle doit retravailler. Le fait que les cabots s'entendent comme des sœurs ne lui plait pas autant. Elle aime semer la zizanie où elle passe. La fraternité féminine n'est pas son fort, mais bon, on peu tous changer non ?
APRÈS LA BOMBE.
Il n'y aura pas de délectables détails sur cela, pour la simple et bonne raison que cette journée Margaux n'avait pas de cours. Un trou dans à son horaire puisqu'elle avait annulé le cours de cette journée. À la place elle a passé cette journée à roupiller sur son fauteuil après une nuit tourmentée par l'alcool, la danse et de marijuana.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
Elle est peut-être forte tête, parfois insensible et insolente, c'est la première fois de sa vie qu'elle n'a jamais été aussi silencieuse. Normale quand on a quelqu'un qui pointe son flingue sur vous et vous ordonnes de la boucler. Comme elle n'a pas très envie de se faire explosé la cervelle, elle s'est tu jusqu'à sa libération. À la base, elle n'aurait jamais mis les pieds dans cette fac après un tel truc. Seulement, courir comme une  brie apeurée, ce n'est pas Margaux. Bien sûre qu'elle a eu peur, même était terrorisée. Sauf qu'elle a eu la chance de s'en sortir vivante. Au lieu de s'acharner sur son sort, elle en ressort avec un caractère aussi dure qu'autrefois.
   


   
pseudo irl
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Anna et j'ai Twentyz. Je suis Canadienne et j'ai connu le forum grâce à top-site.  Il est trop extra alors j'ai décidé de m'inscrire . J'utilise Zoey Deutch comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Glamor. Je fais environ 400 à 300 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

   Mot de la fin ? ▲ Let's have some fun MARGAUX RUTHERFORD ► Zoey Deutch 152426858 .

   Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
    adhérer un flood d'intégration (?)
    je veux être parrainer si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)

   
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Once upon a time

« Tu crois que c'est une bonne idée ? » dit-il en arrêtant de m'embrasser pour me regarder dans les yeux. Ce cher Zadig se souciait trop des conséquences que du moment présent, contrairement à moi qui ne voulait que continuer notre charmante activité physique. « Ne t'inquiète pas. Elle ne reviendra pas avant un long moment. » Lui dis-je d'une voix enchanteresse. Il hésita encore ce qui m'agaça « Merde Zadig, tu t'actives ou pas ? J'en meurs d'envie » finis-je ma phrase d'un air suppliant. Finalement, il reposa ses lèvres sur les miennes et je miaulais à cette sensation agréable. Ses mains n'en restaient moins active, elles pétrissaient mon corps allant de mes hanches à mes fesses. Les miennes s'étaient enfouis dans son chandail, appréciant avec délice sa peau douce et ses muscles fermes. Je n'eus pas l'occasion d'explorer plus, car ma mère avait débarquée en alerte dans ma chambre. Aussitôt, Zadig bondis hors du lit me laissant hébêtée de ne plus le sentir sur moi. En remarquant la présence de ma mère, je compris le changement d'attitude de Zadig. Elle lui jeta un regard si noir qu'il déguerpit sans demander son reste et disparu dans le couloir. En soutien-gorge, je ne pris pas la délicatesse de me rhabiller et croisa les bras tout en regardant d'un air détaché ma mère. « Alors, c'est à ça que tu t'amuses maintenant, draguer les employés d'entretien ? N'as-tu donc aucun respect pour toi-même Margaux ? » Je grimaçais à la prononciation complète de mon nom. Tout le monde, même les connaissances, savaient très bien que je déteste qu'on m'appelle par mon nom de baptême et préférais mieux qu'on le fasse par mon diminutif. Bien sûre, ma mère le faisait exprès pour faire peser ses mots. « Je ne fais que vous prendre comme modèle mère » dis-je en récoltant un air plus sévère de cette dernière. Depuis son divorce, ma mère avait développé une réputation de femme volage en changeant presque de partenaire par mois. Le nombre d'hommes qui étaient passés dans son lit est incalculable, j'avais même perdu le compte au dixième. Elle était mal placée pour me faire la morale et de toute façon j'avais  pour l'instant conservé ma virginité, pour l'instant. « Enfin bref je suis venue te donner ça » dit-elle en tendant un dépliant vers moi. Je la scrutais d'un critique avant de prendre le pamphlet de ses mains. « Académie du Montana » lisais-je à voix haute. C’est quoi cette connerie . Le Montana ? Mais elle dingue ou quoi ! Je la dévisageais pour une seconde fois, mais cette fois, d'un air ahuri. « Tu veux m’envoyer au Nord de l’État . Autant me déporter au Canada tant qu’à y être ! » M’emportais-je en envoyant valser le bout de papier dans la pièce. « Ce n’est plus matière à discussion, tu t’en vas lundi », elle tourna les talons et s’en alla vers la sortit avant que je l’interpelle « Tu n’as pas le droit de me faire ça ! » m’écriais-je dans la pièce. Elle se retourna pour m’offrir un sourire sarcastique et un regard dénué de compassion, « Tant aussi longtemps que tu es sous mon toit et sous ma responsabilité, j’ai tous les droits. Ah ! Au cas que tu voudrais t’enfuir en pleine nuit comme le ferait une adolescente telle que toi, sache que ton compte bancaire a été bloqué jusqu'à nouvel ordre de ma part. Ne t’en remet pas à ton charmant ami pour te débourser, de ce que j’ai compris, il est loin de pouvoir subvenir à ses propres besoins » je grognais en réponse. Elle avait raison, en dehors de nos moments intimes, Zadig se plaignait souvent de ne pas pouvoir payer son loyer ou même se nourrir correctement. Dans ces cas-là, je lui offrais un petit bonus de plus, ce qui est sûr, elle le savait. Maintenant que j’étais pauvre d’une certaine façon, je ne pourrais ni l’aidé et encore moins m’assurer que ma mère ne le renvoie pas dès que j’ai le dos tourné. Vache de vie.  


« Encore vous mademoiselle Margaux. » dit une voix lassante et stricte. Je levais les yeux de mon portable pour observer la directrice de l’académie. Cette vielle bique m’avait à la peau depuis mon arrivée et notre relation ne fait que se détériorer à chaque rencontre à son bureau, ce qui arrivait plus d’une fois dans une semaine. Mon record à ce jour tenait de six, en une journée. Disons que je ne m’entends pas très bien avec mes enseignants et ne restait pas muette quand il me réprimande. « Je n’ai pas eu le choix de contacter cette fois-ci un de vos parents. Votre dossier commence vraiment à se faire lourd mademoiselle. » Je levais les yeux au ciel, du tout pas enthousiasme de voir apparaitre ma mère dans son bureau. Sauf que ce ne fut pas elle. « Vous pouvez rentrer monsieur Rutherford. » dit-elle d’une voix forte pour se faire entendre. Mon père fit son entrer sans plus attendre et prit place dans la chaise vide à côté de moi. Dans aucun scénario je n’aurais cru imaginé mon père ici, à ma connaissance, sa compagnie pétrolière prenait tout son temps, donc il n’avait que faire de ce genre d’ânerie de rencontre parent-directeur. Le regard toujours consterné de sa présence, il m’offrit un sourire dont lui seul avait le secret. Je ne compris pas cette douce humeur de sa part. Me préparant au pire, je détournais mon regard ,pour fixer mes pieds. « Désolé de vous avoir dérangé monsieur Rutherford, mais mademoiselle Margaux commence à devenir un problème majeur ces derniers temps. » et elle n’exagérait pas. J’avoue que moi-même je m’étonnais d’être toujours ici ,après le foutoir que j’ai causé. Ah oui, j’oubliais, être la fille dé d’une famille haut placée et d’un riche propriétaire pétrolier, leur donnait une bonne raison de me garder parmi eux. « Je comprends madame Hemingway » s’exclama mon père d’un accent qui ne cachait pas ses origines. Ce dernier était  turque tandis que ma mère irlandaise. J’avais hérité de lui mes boucles brunes, mon teint hâle et mes yeux. Pour ce qui est de ma mère, dont tout le monde ne cesse de me le dire, j’avais hérité de son fort caractère. C’est pourquoi on arrivait jamais à s’entendre parfaitement, deux fortes têtes ne faisaient jamais bon ménage. Avant le divorce de mes parents, ma mère et moi ne cessait jamais de se battre pour avoir l’attention de mon père. Éprouvant malgré un amour différent pour l’une et pour l’autre, certains jours l’une remportait contre l’autre ce qui ne fit qu’aviver l’animosité. Bien sûre après leur séparation ce ne fut plus le cas, mais cela n’empêchait pas de nous chamailler pour autant. « Il faut y remédier au plus vite monsieur Rutherford, sinon je n’aurais pas le choix de me passer de votre fille. » dit-elle d’un ton lourd de reproche à mon égard. Je ne pus m’empêcher d’affronter son regard noir au mien. « Ce n’est pas la première fois que vous y penser » dis-je d’un ton hautain tout en me calant sur la chaise dans laquelle j’étais assise. « Vous voyez ! C’est de ça que je parle. Votre fille n’a aucun sens du respect. » Je ne fis pas attention à son accusation et portai mon regard ailleurs. « Elle a tout à fait le sens du respect, sauf qu’elle le donne à qui le mérite. » répliqua mon paternel d’une voix sans appel. Une chose que mon père détestait, qu’on critique l’éducation de son enfant. Il s’est peut-être absenté souvent durant mon enfance, mais ne m’a pas moins négligée et c’est ce pourquoi je ne contredisais pas son autorité. Je fus tout même sidéré la façon doit-il ferma le clapet à Hemingway. « Est-ce tout ce que vous voulez me dire madame ? » demanda-t-il après un moment de silence. « Oui, c’est tout que j’ai à dire. D’ici là, j’espère ne plus vous revoir dans mon bureau mademoiselle Margaux sinon c’est l’expulsion immédiate.» dit-elle en reprenant son masque de femme froide. « C’est- » allais-je répliquer, mais le regard réprobateur de mon père me fit taire. « C’est compris » répond mon père à ma place. « Dans ce cas, il temps pour moi de vous quitter mesdames, j’ai à faire ailleurs. Madame Hemingway. » Il lui fait la révérence avant de quitter son bureau, moi le suivant derrière. « J’espère que tu vas t’abstenir cette fois-ci Margaux. À la prochaine intervention n’espérée pas de moi de la bonté. Cette école te paraîtra merveilleuse à laquelle je t’enverrais au moindre faux pas. ». J’acquiesçais sans répliquer, connaissant trop bien mon père, il le ferait sans hésiter. Sans au revoir, il disparut de ma vue tandis que moi je restais quelques secondes dans le couloir vide avant de retourner à ma chambre.

Par un miracle quelconque, j’étais arrivé à finir le lycée. Bien sûre, sans manquer de m’y faire réputation. Bien avant l’intervention de cette chère Hemingway, j’étais le genre de peste qui ne manquait pas à se battre, à rouspéter, ou encore à défier l’autorité. Je comptais les amis sur les doigts, les vrais. Je m’intéressais peu aux reines de l’école, les trouvant fades et idiotes. Le seul change qui m’intéressait chez eux, était les innombrables teufs de délires qu’elles organisaient. C’est ces seuls moments qu’il m’arrivait de traîner avec eux, pour le reste je préfère rester à l’écart et me lier avec les mecs. J’oubliais aussi que je ne manquais jamais l’occasion de draguer l’un d’entre eux. Je trouvais fascinant et divertissant de voir la manière dont les mots pouvaient les émoustiller. Plus d’un me faisait la proposition de continuer ce petit jeu dans leur chambre. Je n’ai aucunement donné ce plaisir. C’était seulement pour m’occuper que je draguais. Même-ci parfois il m’arrivait de céder et de m’offrir une torride séance de baiser avec un camarade de classe. Appelez-moi pute ou marie-couche-toi-là, mais jamais je ne suis allé plus loin que des baisers. Je ne voulais pas encore offrir ma seule fierté à l’un d’eux pour qu’il la souille. Sans frasque, j’ai pu finalement sortir de cet enfer. Comme récompense, mon père m’avait offert un fabuleux voyage à Dubaï. Voyage que j’aurais bien voulu prolonger jusqu’à ce qu’il revienne à la charge et qu’il me force à me rendre à l’université. Quel intérêt de faire d'autres études quand vous être riche au point de prendre votre retraite à même pas 18 ans ? Bien sûr, mon père refusait que son seul unique enfant n’ait qu’un pauvre diplôme de lycéenne. J’avais grincé des dents en sachant que je devais me remettre aux bouquins tandis que mes amis profitaient de la belle vie. Mais, en tant que jeune héritière de deux familles renommées, je n’avais pas le choix de m’intégrer à ceux qui ont un portrait familial tout aussi glorieux que le mien. Génial. C’était un effort surhumain d’assister à des événements mondains et aux bonnes œuvres de charité qui fallait y ajouter une couche de plus. Contrairement à d'autres, j'étais peu enthousiaste par ce genre de mode de vie. Bien sûr le luxe, je ne m’en plains pas, mais supporter tous ceux qui font partie des plus grands de ce monde, Erf, c’est affligeant. Je pèse mes mots. Se vanter n’est que la seule chose qu’il puisse faire. Et ce ton snobinard par lequel ils s’exclament, une bonne raison pour que je leur ferme clapet. Leurs progénitures ne faisaient que les imités, fille et garçon. Certains faisaient leur rebelle, mais tôt ou tard ils revenaient aux pieds de maman et papa après avoir flambé tout le pognon qu’ils leur restaient. Sous obligation je n’avais pas le choix de rentrer dans le jeu, tout autant aussi longtemps que mon père l’exigera. Pour ce qui est de ma mère. Cette dernière avait trouvé bonheur auprès d’un homme qui avait le double de son âge. L’amour fou comme elle aimait me répéter. Cela ne m’étonnera pas de recevoir un carton d’invitation à son mariage d’ici peu. L’argent était tellement une obsession chez elle, qu’elle prête à marier un sur son lit de mort pour récolter une part de ses biens. Désespérant. Dire qu’elle est ma mère. Heureusement que mon père était là pour m’empêcher de finir comme elle. Enfin bref, je ne l’ai plus revue depuis qu’elle m’a enfermée dans cette stupide académie, dieu merci. Sous ordre du paternel, j’ai dû intégrer l’université au moment que je posais pied au pays. Il s’est même permis de m’inscrire à ma place et de m’envoyer au même endroit où il avait étudié. Harvard. J’aurais préféré définitivement Colombia. Qui ne rêve pas de vivre à la grosse pomme ? Malheureusement, ce rêve ne se réalisera pas puisque mon cher père en a décidé. Me rebeller ? Et puis quoi encore, donné une raison valide à mon père de me déporter du pays pour m’envoyer dans je ne sais quel coin vide de civilisation. Que j’ai 34 ans ou même 40 ans, rien n’arrêtera mon père de me faire subir les conséquences de ma désobéissance. Effrayant pas vrai ? C’est un peu le même effet que je fais aux autres quand j’impose mon autorité. Tout comme lui, je n’ai pas froid aux yeux.
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Bienvenue sur ILH ! MARGAUX RUTHERFORD ► Zoey Deutch 2511619667 :D
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ZOEY. MARGAUX RUTHERFORD ► Zoey Deutch 4205929361 MARGAUX RUTHERFORD ► Zoey Deutch 1946740601
bienvenue et bonne chance pour ta fiche. MARGAUX RUTHERFORD ► Zoey Deutch 2605996181 MARGAUX RUTHERFORD ► Zoey Deutch 3850463188
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bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche MARGAUX RUTHERFORD ► Zoey Deutch 3850463188hanwii
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