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I like the darkness (Alaska)

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Auparavant, je ne faisais que très peu garder Summer. Enfin, je n’aimais pas trop l’idée qu’elle se retrouve avec des inconnus, oui j’étais très protecteur envers elle. Puis lorsque sa mère était encore avec nous, je ne sortais pas en boite, on sortait plutôt chez des amis et la trainait bien sûr, toutefois ce n’est plus ce que je faisais. Je m’étais coupé de la majorité de mes amis, ayant l’impression que ceux-ci ne m’apportait plus rien, ne comprenait pas non plus. J’aimais cependant sortir parfois et boire surtout. Sûrement trop d’ailleurs. Parfois je me trouvais une fille, mais jamais je ne la ramenais chez moi. Je n’aurais jamais fais cela auparavant, ce n’est pas moi, mais c’est une manière que j’ai trouvé afin de me sentir vivant et d’oublier l’espace d’un instant. Ce soir, j’ai pris une fille de l’université, Alaska comme babysitter. Je l’aime bien, étrangement. Je ne veux toutefois pas la faire patienter toute la nuit, donc je bois plutôt rapidement et me prend la première fille qui passe dans les toilettes. Si romantique. Je ne voulais rien de plus. Il doit être une heure du matin, plus ou moins, lorsque je rentre dans mon appartement. Ma tête tourne un peu, mais je suis encore capable de me diriger malgré le noir. Peut-être s’est-elle endormie? « Hey? Alaska? » J’enlève ma veste et referme la porte derrière moi. J’avoue ne pas être fatigué, mais j’avais l’impression d’abuser de sa bonté à la faire patienter ainsi toute la nuit sans rien à faire.
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Du baby-sitting pour arrondir les fins de mois. C'était certainement le job le moins difficile que je puisse faire, j'aimais tellement les enfants. Le feeling passait bien avec eux en temps normal, peut-être parce que je n'étais pas si différente. J'étais une personne enthousiaste, mais je savais me calmer quand le moment était arrivé de le faire. J'avais donc répondu à une annonce sur le campus. Un jeune homme recherchait une baby-sitter pour sa fille de cinq ans, Summer. J'étais d'accord pour me porter volontaire et le courant passait plutôt bien. Lui était gentil malgré qu'il faisait plus souvent la gueule qu'il ne souriait. La petite était adorable, un vrai rayon de soleil. Je supposais qu'elle était la lumière qui éclairait la mélancolie de son père afin de l'adoucir. Du moins, c'était le premier constat que j'avais fait. Personnellement, j'étais le rayon de soleil qui chassait ma propre mélancolie. Ce n'était pas plus mal, techniquement, je n'aurais besoin de personne pour me rendre heureuse. Si seulement. Ce soir, je gardais la demoiselle le temps de la faire manger, du coucher et le temps que son père revienne. Il partait faire la tournée des bars et je n'avais pas protesté à l'idée. Il avait bien besoin, lui aussi, à son moment de détente. J'avais donc fait un repas digne des plus grands restaurant pour enfant : des pâtes avec une tranche de jambon avant de finalement jouer un peu avec elle jusqu'à ce que l'heure du coucher arrive. Une histoire et au dodo. C'était là que ça devenait long. J'avais rangé les jouets sans faire de bruit, puis, je m'étais finalement installé dans le canapé. J'avais emmené un livre que je devais lire pour mes cours, regardant ma montre toutes les trente minutes et luttant pour ne pas m'assoupir. C'est finalement quand j'entendis du mouvement autour de moi que je me réveillais en sursaut. Mon Dieu, il m'a foutu la trouille ce con. « Je... » J'attrapais mon portable pour regarder l'heure. Une heure et onze minutes. « Je me suis endormie » Repris-je lentement.
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Je m’avançais dans mon appartement, que je connaissais pourtant par cœur puisque j’y habitais depuis quelque temps déjà, mais apparemment pas assez. Je cognai mon pied contre un meuble, ce qui me fit lâcher un juron. Qu’est-ce que je peux être maladroit. Enfin, je pouvais aussi mettre cela sur la faute de l’alcool aussi, voilà, je me sentais déjà moins idiot. Bien que je ne connaisse pas beaucoup Alaska, j’avais assez confiance en elle pour la faire garder. Summer ne cessait de me parler d’elle et de tout ce qu’elles faisaient ensembles lorsqu’elle venait le temps d’une journée ou d’une soirée. Je crois également que ça lui fait du bien d’avoir une présence féminine parfois. Une présence souriante également. Bien que j’essaie de faire le maximum pour elle, je suis certain qu’elle voit que je ne vais pas très bien. Je fais mon possible, mais ce n’est pas assez. J’aurais aimé lui offrir une vraie famille, mais la vie en avait décidé autrement. Bref, j’étais bien heureux d’avoir trouvé la demoiselle à l’université et d’ailleurs, je la cherchais à présent. Je finis par la retrouver, étendue sur le sofa. Il n’y avait peu à faire à cette heure tandis qu’on était enfermé dans un appartement, qui n’était pas le notre en plus, donc c’était compréhensible. Je m’approche d’elle, riant un peu. « Ce n’est rien, je suis un peu tard désolé… » Celle-ci prenant tout le sofa, je finis par m’asseoir au sol. De toute façon, après ce genre de soirée, je ne suis pas très difficile sur quoi que ce soit en fait. Je la regarde tout en sortant mon portefeuille de mes poches, je dois bien la payer. « Ça c’est bien passé? » J’étais curieux en effet, bien que je me doutais qu’elle ne me dirait pas le contraire, j’avais envie de l’entendre.
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Je me réveillais en sursaut. J'étais inquiète qu'il soit arrivé quelque chose à la petite, qu'elle soit réveillée et que je ne sois pas là pour m'occuper d'elle. Cela pouvait aussi être pire, quelqu'un pourrait s'introduire par effraction dans l'appartement de Phillip. Mais non, rien de tout cela, c'était juste lui qui rentrait dans son propre appartement. Il semblait avoir bu, ça se sentait à son haleine quand il s'approchait de moi. J'étais gênée de le voir s'asseoir au pied du canapé. Gênée de prendre toute la place et de faire comme chez moi alors que ce n'était pas le cas. Du coup, je me redressais en vitesse, reprenant mes esprits tant bien que mal. Il riait, certainement amusée de me voir dans cette situation. Personnellement, j'étais un peu sonnée, ce n'était jamais facile de se faire réveiller de cette manière. « Non, ça va aller... Ne t'excuses pas d'être allé t'amuser » m'exclamais-je doucement, un sourire aux lèvres. « Elle est restée devant la télé jusqu'à minuit en se gavant de bonbons » m'exclamais-je le plus sérieusement possible. Je souriais de plus belle en voyant sa tête. C'était faux bien évidemment. « Déstresse ! Tout c'est très bien passé... » continuais-je finalement. C'était une petite blague, rien de plus. « Par contre, tu devrais préparer un advil pour demain matin. Ta fille est en pleine forme ces derniers temps... » m'exclamais-je sans faire trop de bruit en remettant mes tennis ainsi que mon blouson en cuir. Je rangeais mon livre de poche, mon portable et les quelques billets qu'il venait de me donner dans mon sac à main avant de le regarder une nouvelle fois. « Ça va aller ? » demandais-je en fronçant les sourcils. Il a l'air d'avoir bien picolé quand même, il allait assurer demain matin ?
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Bien que j’adore Summer plus que tout, qu’elle soit ma raison de vivre, j’avoue avoir parfois envie de vacances. J’avoue que si je ne l’avais pas, probablement que ma dépression serait encore plus grave. Je serais constamment seul et ferais peu de choses de mes journées. Toutefois, en la voyant se lever tous les matins, pleine d’énergie, cela m’obligeait à moi-même m’en trouver un minimum pour m’occuper d’elle. Je n’avais pas assez d’énergie pour totalement la contenter et je m’en voulais. Je n’arrivais pas à remonter la pente, même malgré les mois qui passaient. Cela ferait bientôt 6 mois et je ne sais pourquoi, mais cette date me faisait peur. Ça serait ensuite 1 an et tout le monde l’aurait oublié. J’essayais au moins de parler souvent d’Amelia à Summer, afin qu’elle garde des souvenirs de sa mère, même si cela me faisait du mal de le faire. Bref, j’étais de retour chez moi et il était tard. C’était rare que je le fasse ainsi, mais j’avoue que j’avais besoin de cela également. J’étais chanceux d’avoir trouvé quelqu’un d’aussi compréhensif. J’étais venu m’asseoir au sol et même si je la vis se redressai, rapidement d’ailleurs, je ne bougeai pas. Une fois installé, je n’allais certainement pas dépenser plus d’énergie pour changer. « Je te remercie alors, tu me sauves la vie. » Je lui souris. Il est clair que j’en avais besoin, mais jamais je ne laisserais Summer seule ni boirais à la maison en sa présence. J’avais tout de même plus de jugement que cela. J’écarquille les yeux quand elle dit être restée debout jusqu’à une heure et avoir mangé des bonbons. Déjà c’était bien trop tard pour un enfant de 4 ans, mais en plus, mais fille n’avait aucunement besoin de bonbons pour courir partout. Je suis rassurée quand elle finit par sourire et simplement me répondre que tout c’est bien passé. Je pose ma main sur mon torse. « J’espère bien! T’imagine pas l’effet que les bonbons peuvent avoir, une drogue! » Je ris un peu mais m’arrêtai à son commentaire. Oh ça je n’avais pas hâte. Si ma tête tournait un peu ce soir, cela voulait certainement dire que demain matin, ce ne serait pas la joie. Malheureusement pour moi, cela ne posait aucun problème à ma petite blonde, elle avait raison. « Je vais certainement en avoir besoin… Je me lève ensuite, je vais essayer de bien me tenir tout de même. Je la regarde ranger ses choses, m’appuyant tout de même sur un mur. Je remonte mon regard dans le sien suite à sa question et hausse ses épaules. « J’ai pas bien le choix… » Je n’étais certainement pas la meilleure personne pour elle en ce moment et je m’en voulais. Mais comment faire autrement? Comment changer? Comment aller mieux?
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Faire du baby-sitting, c'était vraiment le bon plan pour se faire de l'argent et arrondir les fins de mois. En plus de mon travail de guide au musée de beaux-arts de la ville. J'aimais bien mon job, il était cohérent avec mes études et du coup, cela me faisait découvrir plein de choses. M'occuper des enfants, c'était quelque chose de easy pour moi. J'avais beau être à la Mather et me sortir d'une légère dépression nerveuse, j'adorais les mômes et j'aimais passer du temps avec eux, cela me permettait d'être bien en quelque sorte, vous savez, leur insouciance et tout ça. Phillip était cool et sa petite fille était mignonne comme tout. Elle avait quatre ans, c'était l'âge intéressant. Je m'étais occupée d'elle ce soir et je m'étais assoupie dans le canapé de l'appartement du jeune homme une fois que Summer s'était endormie. Le truc, c'est que je ne dormais pas vraiment, je somnolais plutôt parce que j'avais trop peur qu'il arrive quelque chose à la petite et j'avais peur de me réveiller. D'ailleurs, c'est quand j'entendis du bruit dans l'appartement que je me réveillais en sursaut, constatant finalement que c'était le papa qui rentrait de sa petite soirée en solitaire. Il était déjà une heure du matin et il me libérait donc de mon job, me donnant de l'argent. « Oh, de rien » lui glissais-je doucement avec un sourire. J'essayais de blaguer un peu, mais vu son état, il prenait le truc au premier degré, du coup, je me rattrapais, lui disant que ce n'était pas vrai. Je n'allais pas faire n'importe quoi, il pouvait me faire confiance. Je me disais rien quand il comparait les bonbons à une drogue. Ouais, c'était le sucre qui était addictif et qui mieux que moi pour comprendre les addictions ? Je lui prévenais aussi qu'il allait avoir besoin d'un advil pour demain matin, Summer était une petite pleine de vie et je crois bien qu'elle se fichait de savoir si son papa avait fait la fête la veille quand elle se réveillait le matin. Je le regardais se lever en pinçant mes lèvres, me levant à mon tour en gardant mes affaires en main. « Tu veux que je reste ? » Je pouvais très bien passer la nuit ici et m'occuper de la petite, demain matin, pendant qu'il récupérait.
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