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VAS-Y PARLE A MA MAIN !
Y'a des jours comme ça où tu te sens juste prise pour une conne ; tu es là tranquillement, tu penses à ta vie, à ce coté sentimental que tu préfèrerais nettement ne plus avoir puis clairement, tu sens que tu restes romantique et c'est la merde ! Totalement mon cas, on se rend toujours compte de ça après et surtout les nanas. On se dit qu'on va se dévergonder, se la jouer garçon en couchant sans sentiments mais au final, lorsqu'on s'aperçoit que derrière, y a aucun contact du tout, juste des regards louches, prouvant surement un petit désir, et bien, disons, que ça énerve, ça déçoit et on redescend très vite sur terre. C'est exactement ce que je ressentais ; j'avais voulu laisser mon désir prendre le dessus et j'avais couché avec ce beau mec, ancien d'Harvard, super canon, que j'avais beaucoup admiré quand il était à Harvard de loin avec mes copines plus ou moins proches de lui mais jamais, je n'aurai cru qu'il coucherait avec moi puis quand cela s'est produit ; j'étais heureuse ! Bien sur, je m'imaginais n'attendre rien mais au final, on attend au moins de la considération et rien, totalement rien... Le mec, il se pointe à des coins de rues, dans des bars, il te regarde comme un abruti mais non, il viendrait pas te voir ... ce serait trop simple ! Bonjour ! Bonjour ! C'est si compliqué ... Rien qu'en pensant à cela, tombant dans ma réflexion, je me tape le front, navrée. Enfin, oui, cela m'a clairement saoulé alors c'est ainsi que j'ai décidé de me la jouer à la sauvageonne, à la fille qui ne se laisse pas faire et que je me trouve, à présent, dans la rue sur mes talons, bien habillée entrain de marcher d'un pas décidé, presque imbibé de mon énervement. C'est con d'avoir fini chez lui, je peux aller lui pourrir sa vie à ce con qui ne daigne même pas faire attention à moi. Je fonce et quand je monte chez lui, je ne perd pas d'assurance, j'ai pas peur parce que au fond, si je suis si énervée, c'est qu'il me plait et si je n'attendais rien, je voulais pas me sentir si déçu. Plan numéro un, frapper et le deuxième est prêt, un mot avec un sitting de 1 heure au cas où. Je frappe donc avec une certaine force mais pas comme une cinglée tentant de garder de la sérénité. Quand j’entends quelques bruits de plus en plus fort, je comprend qu'il est là et au fond de moi, je fais moins la maligne ne pouvant stopper un mordillage de lèvre, signe d'anxiété. La porte s'ouvre et je ne me démonte pas. T'as zappé sans soucis Ofélia mais je n'ai pas zappé ton adresse vois-tu ... t'es vraiment décevant pourtant je te demandais rien mais que tu m'ignores comme ça, c'est un manque de respect au vue de ce qui s'est passé ... Je tapote du pieds au vue de l'anxiété.
CODE BY RESSAPANDA.
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