Parlons bien, parlons peu ! ¤ Stuart

Parlons bien, parlons peu… ▬ Stuart & Mecky ▬

Nous étions arrivé la veille... Entre la durée du vol et le décalage horaire, je me demandais encore pourquoi nous avions proposé au groupe de nous rejoindre en ville pour une soirée chicha. Cela dit l'excitation du voyage n'avait pas empêcher de voir arrivée une à une chacune des filles. Maelys et moi avions ensuite programmée pour le lendemain une sortie au souk d'Agadir. Une activité immanquable du pays. J'en avais d'ailleurs profité pour acheter quelques tenues orientales, dont cette ensemble absolument sexy que les femmes utilisait pour faire la danse du ventre. Nous avions mangé à l'hôtel puis avais démarré l'après midi piscine. Ou l'hôtel avait mis à la disposition de ses clients, des pâtisseries orientales. Curieuse, j'en avais goûté quelques unes, mais j'étais trop attentives à mon physique pour me laisser aller à ce genre de gourmandise.
J'avais croisé et recroisé le jeune homme depuis la veille, à notre arrivée, et de nouveau dans la piscine, sans trop l'aborder. Ou que trop brièvement, cependant j'avais bien remarqué qu'il y avait depuis cet après midi quelque chose qui le tracassait.
Avant après que le diner ne soit servi, j'avais enfilé l'ensemble que j'avais acheté et je ressemblais à présent, hormis la clarté de mes longues boucles blondes à une khabil prête à faire une petite danse du ventre. La prestation affiché sur le planning de l'hôtel ne tarderait d'ailleurs pas à commencé.
Stuart était au bar, seul, il semblait songeur. N'y tenant plus, je le rejoignais enfin. Tu ne serais pas contre un peu de compagnie ? lançais-je à son attention en m'installant sur la chaise haute disposée à côté de la sienne.

Parlons bien, parlons peu… ▬ Stuart & Mecky ▬

J'avais passé mon temps à le croiser à Harvard. Finalement nous avions pas mal d'amis en commun. Cela dit, aussi accompagné que lui, je n'étais pas encore aller lui parler avant aujourd'hui. Si je connaissais son prénom pour avoir édité les billets électronique de chacune des Cabots et de leurs invités, nous n'avions pas encore été officiellement présenté.
Je ne savais pas ce qu'il buvait, mais j'avais demandé la même chose que lui au mec qui tenait le bar. L'alcool que j'avais avalé depuis la fin d'après midi me faisait agréablement tourner la tête, mais je n'avais rien contre un verre de plus. Juste un. me promettais-je pour moi
Je m'étais donc installée à côté de lui après avoir eu son autorisation. Comme si tu en avais besoin ! songeais-je intérieurement en l'étudiant silencieusement du regard tout en me demandant ce qui occupait à ce point ses pensées. D'un autre côté il avait avoir l'air de se contre carré de ma présence. Ce dernier m'avait à peine regardé, s'adressant au barmaid avant de s'adresser à moi à nouveau. J'étais certes pompette, mais peut-être pas encore assez pour ne pas voir que ma présence l'indifférait totalement. Ce qui était finalement assez frustrant, pour moi qui avait pour habitude de sentir les regards de ces messieurs posés sur moi, d'autant plus dans la tenue orientale qu'était la mienne. J'hésitais à jouer la carte de la provocation. De toute évidence le bel Eliot n'était pas d'humeur pour les blablas. « La vice présidente aurait aimé que tu l’as raccompagne dans sa chambre pour l’honorer tout le reste de la nuit. » avais-je répondu du tac au tac avec un certain sérieux, considérant enfin avec une satisfaction non dissimulée la réaction qui se lisait sur son visage. Je riais alors doucement tandis qu’un large sourire apparu sur mon visage. « J’ai enfin réussi à attirer ton attention ! » me félicitais-je en attrapant le verre que l’on m’avait servi en même temps que lui.

Parlons bien, parlons peu… ▬ Stuart & Mecky ▬

Ma proposition était lancée et le voilà qui souriait à ma requête.Une requête des plus audacieuse je devais bien l'admettre mais j'avais choisi de miser sur mon spontanéité et mon attitude aussi séductrice que provocatrice tout en espérant ne pas me faire chambrer. Toute pompette que j'étais avais été quelque peu surprise de sa réponse. Et en avais d'ailleurs ri tout bas assez fière de moi parce que finalement, j'avais visé juste, l'Eliot avait aussitôt terminé son verre avant de tendre vers moi l'une de ses mains que je m'empressa d'attraper.
S'adressant au barman pour la suite ľappréhension de ce à quoi allait ressembler les prochaines heures provoqua en moi un agréable frisson. Je donnais mon numéro de chambre aussi bien au barman qu'à Stuart, qu'il puisse nous guider jusqu'à cette dernière. Et nous voilà parti quittant tous deux le coin bàr du l'hôtel, longeant les couloirs pour atteindre la 212C. J'avais ôté sur le chemin mes chaussures à talon, ces dernières se trouvaient à présent dans ma main libre, l'autre se trouvant toujours dans la paume de Stuart.
Un sourire en coin je lui tendais mes clefs, je le laissais nous ouvrir tout en achevant de détacher sa chemise, passant derrière lui tout en l'embrassant dans le cou. Je lui caressais le torse, commençant même déjà à ouvrir son pantalon. J'essayais en quelque sorte de le déconcentrer. Sans succès puisque nous entrions finalement dans ma chambre. Je balançais mes chaussures à travers la pièce et me tournais vers lui le considérant -non le dévorant ďu regard. Tu veux qu'on attende le champagne ou tu commence par le dessert? avais je demandé d'une voix taquine en laissant tomber la fine manche de mon haut de danse orientale. Il était bien sur inutile de lui préciser que les ragots qu'il avait pu entendre à mon sujet était faux. Non ! Pas avec la façon dont je l'avais abordé! J'aurais peut-être été plus crédible si la proposition était venu de lui. Quoiqu'il en soit, en dépit de ľextravagance de ma demande, les quelques plans d'une nuitée que j'avais eu ne s'était jamais conclu aussi vite. Mon humeur était plus enjouée que d'ordinaire, l'alcool sans doute. Mais je ne pouvais pas mettre la faute uniquement sur le nombre de verre que j'avais avalé. Non ... Il fallait bien avouer que j'avais envie de ça, dune présence masculine, de me blottir contre le corps d'un homme, de leur bras autour de ma taille après qu'elles aient parcourues mon corps nu. La dernière fois remontait à la soirée Candy Crush. Alors j'avais envie de sexe tout simplement ! Les choses avaient fait qu'il s'était trouvé près de moi à ce moment la. Qu'importe ce qu'il en penserait...

Parlons bien, parlons peu… ▬ Stuart & Mecky ▬

Stuart m'avait suivi, à moins que ce soit moi qui le suivait à travail les couloirs de l'hôtel. La chaleur d'Agadir venait se mêler à celle que provoquait sa présence. A moins que ce ne soit l'alcool que j'avais bu qui en soit à l'origine. J'avais commencé à goûter à sa chaire, me collant à son corps, frottant mon corps svelte contre le sien. Mes mains étaient partie à la rencontre de la fermeté de ses bras musclés pour ensuite toucher son torse. Le beau brun restait pourtant de marbre, touchant une fois de plus ma fierté. Pourtant l'instant d'après il me lançait une nouvelle opportunité de le taquiner. Un sourire en coin s'était dessiné sur mes lèvres et me voilà qui m'avançait vers lui. Une fois face à ce dernier je me mettais de nouveau à l'embrasser dans le cou lui disant entre chaque baiser. " J'ai quelques idées... De choses... Dont tu pourrais... Profiter... Toute la nuit. " J'avais tout en embrassant et lui suçant la peau du cou, tout en remontant progressivement jusqu'à ses lèvres. Une fois mon discours achevé je l'embrassais libérant toute la fougue que j'avais contenu jusqu'ici. Et je ne parlais pas seulement des quelques minutes qui avait précédé mon audacieuse demande, mais des quelques semaines où j'avais croisé le jeune homme lors de plusieurs événement sans jamais venir l'aborder.
Ses paroles parvinrent jusqu'à mes oreilles et je me mettais à sourire moi aussi. Alors que je poursuivais de dénouer son pantalon, je délaissais ses lèvres pour aller mordiller le lobe de son oreille. : J'aime que tu me parles comme ça. avais-je murmurer en avançant vers lui jusqu'à ce que ses mollets butent sur le sommier du lit.
Le mini haut de ma tenue orientale était attaché en un jolie noeud dans le dos qui était partiellement caché par un long châle transparent de couleur assortie que je retirais de mes épaules et un sourire en coin aux lèvres, après un dernier baiser, je nouais le châle comme bandeau sur ses paupières et je le poussais doucement pour qu'il puisse se laisser tomber sur le lit.