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She's the tear in my heart + Wira

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She's the tear in my hear
She's a butcher with a smile, cut me farther
Mira ✧ Wolf
 Depuis Noël j'tais devenu une sorte de fantôme sur Harvard, même en ville j'dirai. J'faisais des passages éclaires au manoir pour récupérer des affaires, voir le courrier et m'occuper des chiens, mais ils vivaient presque chez ma voisine maintenant, et c'tait pas facile à supporter. Les cours, le football, Mira, tout ça c'était entre parenthèse parce que tout d'un coup ma gueule d'tatoué plaisait aux grands noms d'la mode alors j'devais trainer mes fesses aux quatre coins du monde. J'vais pas me plaindre de c'qui m'arrive, à la base j'tais mannequin pour m'divertir, sortir encore plus, j'pensais pas que j'en arriverai au point où Calvin Klein m'appelle pour m'ajouter à son book quoi. Mais c'tait ça aujourd'hui, j'faisais parti de ce monde là et j'avais dû quitté l'mien. Tous ces voyages c'est épuisant, physiquement et moralement, et pour la première fois d'ma vie j'peux dire que j'suis perdu. J'sais plus trop quoi faire, arrêter les cours et prendre cette opportunité, me reconcentrer sur la fac pour obtenir mon master, ou essayer d'allier les deux avec un bon équilibre. Ma chambre me manquait, mes chiens me manquaient, Mira me manquait plus que tout. Ne pas la voir, la toucher, sentir son parfum, c'est d'la torture. J'arrive même plus à la voir comme j'voudrais, depuis l'nouvel an on a pu se revoir ... Trois fois p'têtre ? J'sais que d'son côté elle est encore investie dans l'université, sa confrérie, son boulot, et ses potes ... Alors qu'moi j'me suis un peu isolé, dans une bulle de pseudo notoriété grandissante. Mais j'ai décidé d'mimposer un peu plus dans l'monde du mannequinat, de mettre mes règles à mon agence pour avoir à nouveau un semblant d'vie sociale, surtout aujourd'hui, première saint valentin avec Mira, et bientôt un an qu'on est ensemble. J'suis déjà rentré depuis deux jours, mais elle bosse et à ses trucs d'son côté, j'comprends pas tout mais j'ai patiemment attendu ce soir pour la revoir. J'ai tout rangé, nettoyé histoire que le manoir semble pas abandonné, puis aussi pour fêter comme il le faut ce moment. Pour une fois c'est calme ici, les chiens tellement heureux d'me revoir m'ont fait la fête pendant des heures et ils dorment maintenant, j'ai même pas allumé la télé une seule fois, ni même la radio, j'passe mon temps à réfléchir. J'ai donné rendez-vous à Mira vers vingt-heure, comme ça elle peut faire c'qu'elle veut d'sa journée, elle a un rythme de vie elle. J'entends enfin sonner, et chose rare, j'prends même la peine d'aller ouvrir la porte moi-même alors que d'habitude elle se débrouille toujours pour rentrer. A peine j'la vois que j'lenlace dans mes bras, la serrant fort comme pour rattraper ces moments d'absences, peut-être trop passionnément même, mais j'suis comme un gamin qui retrouve son doudou préféré. « T'mas tellement, tellement manqué » Y'a pas d'autres mots, c'est qu'la pure vérité, Mira c'est ma vie, j'déconne pas en disant ça, elle est irremplaçable, aucun mannequin Victoria Secret ou Chanel lui arrive à la cheville. J'me décide enfin à la lâcher pour la laisser rentrer, attrapant quand même sa main pour pas perdre ce contact. « Rentres t'vas attraper froid » Nan Wolf a jamais été aussi prévenant et affectueux c'vrai, mais là on parle de retrouvaille et d'la saint valentin aussi, alors j'peux me permettre de laisser éclater l'émotion non ?
© Starseed
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She's the tear in my heart
Wira

La vie peut parfois réserver bien des surprises auxquelles on ne s'attend pas. Harvard je n'en rêvais même pas dans mes rêves les plus fous. C'est un monde, un univers même, bien différent de celui dans lequel je vivais autrefois. Un monde d'intellectuels, de riche si on peut dire, de personnes ayant de brillants avenirs devant eux. S'intégrer dedans, me semblait vraiment impossible et pourtant. Niveau scolaire, je n'ai pas à me plaindre concernant les cous de design mode … Le théâtre, c'est une autre affaire, je manque de temps pour bosser les pièces, étudier les actes, décrypter les doubles sens . Je me sens perdu dans cette matière, comme dans beaucoup d'autres endroits. Malgré mon intégration, ma confrérie, mon boulot, je me sens seule, car il me manque toujours quelque chose ou plutôt quelqu'un... Cette personne, je l'ai au téléphone, je lui envoie des textos, mais ça ne remplace pas sa présence physique à ses côtés. Je ne sais pas comment les personnes vivant des relations longues distances font, car moi j'y arrive pas, j'ai besoin de Wolf auprès de moi. Je peux pas lui en vouloir de réussir dans le mannequinat, d'avoir cette opportunité et de la saisir, mais je mentirai si je disais que j'étais heureuse pour lui . C'est égoïste de ma part mais je préférerai qu'il reste avec moi à Harvard et se trouve un boulot pépère comme moi. Je me rend compte que, j'suis d'une certaine façon possessive et jalouse . J'aime pas le savoir avec d'autres filles à Paris, qui aimeraient passer la nuit dans son lit... Je lui fais confiance, c'pas ça le souci, mais j'ai peur que cette distance, elle foute tout en l'air, qu'elle nous éloigne .La peur d'une chose qui n'arrivera peut-être jamais, ne pas avoir de solution pour y remédier, et devoir simplement attendre... J'essaie de me changer les idées pour éviter d'y penser, j'essaie de réconforter Abby qui s'est fait quitter par son mec, j'essaie de convaincre Maly qu'être homo ne fait pas de lui un monstre, et les problèmes de la confrérie me prennent beaucoup de temps également. Essayer de trouver des arguments pour qu'on nous donne de l'argent pour sauver la Quincy m'a pris de nouveau l'après-midi : réunion de crise d'une certaine façon . Ne travaillant pas et sachant Wolf au manoir, rester assise sur un canapé avec mes frères et sœurs de confréries à chercher des solutions, n'a pas été des plus évidents . Un aller-retour chez moi, pour me préparer, nourrir Haribo, ne me prend pas plus d'une heure. J'avoue que j'savais pas trop comment m'habiller, sachant pas ce que Wolf avait prévu pour la St-Valentin, espérant une soirée tranquille de retrouvailles avec lui . J'arrive finalement plus tôt que prévu , mais j'ai vraiment trop hâte de le revoir que je vois pas l'intérêt d'attendre encore 15 minutes dans mon appart' alors que je pourrai être dans ses bras. À peine sonner, à peine la porte s'ouvre pour laisser apparaître Wolf. J'imagine la surprise qui doit se lire sur mon visage, ayant tellement l'habitude des non-accueils de mon copain. Je fous rapidement mon visage dans son cou, respirant son odeur et serrant son corps contre le mien. Ses bras me manquent, j'ai pas envie de le lâcher, de peur qu'il parte de nouveau, mais j me résigne finalement, affichant un sourire sur mes lèvres «  Toi aussi mon chat... j'veux plus que tu partes... » Ce surnom, venu de je ne sais où, mais devenu une habitude, que je vois pas d'autre manière de l'appeler. Le fait qu'il me prenne la main de sa propre initiative et soit aussi intentionné a tendance à agréablement me surprendre. «  On reste ici alors? » J'avance dans le manoir pour qu'il puisse fermer la porte derrière moi avant de me tourner de nouveau vers lui, gardant toujours sa main dans la mienne « où est-ce-que t'as caché le Wolf qui préfère son canapé à moi ? » J'aime le nouveau Wolf et ses petites intentions, mais peut-être que ça cache quelque chose...  

Emi Burton
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She's a butcher with a smile, cut me farther
Mira ✧ Wolf
La voix d'Mira c'est d'jà une récompense, après une dure journée à être sous les projecteurs, à devoir aller à une salle de sport, subir des longues heure d'maquillage, c'tait le moment que j'attendais le plus. Pouvoir enfin faire une conversation facetime ou skype, et quand c'tait pas possible de simplement l'appeler et l'écouter raconter sa journée entre les cours et l'bar. C'est p'têtre pas le truc le plus intéressant auquel j'maccrocherai d'habitude, j'me contente d'dire ce que moi j'ai fais d'ma journée, mais au fils des jour j'me rendais compte que d'entendre sa voix, son rire ou même ses soupirs, c'tait putain d'réconfortant. J'tais un peu comme un gamin loin de son repère, j'avais même pris cette habitude d'lui prendre un foulard ou un tee shirt, enfin d'lui voler on va dire, et d'lembarquer avec moi dans ma valise. Comme ça j'pouvais dire qu'Mira voyageait avec moi, mais qu'aussi elle m'aidait à m'endormir. J'savais que c'tait partagé comme sentiment, à chaque fois que c'tait l'moment de raccrocher, c'tait un peu la fin du monde, celui qui craquera avant pour mettre fin à l'appel, mais l'plus souvent c'tait en même temps, parce que j'tais incapable de terminer une conversation comme ça quand j'tais loin d'elle. J'avais l'coeur un peu serré quand elle avoua qu'elle voulait plus que j'parte, c'tait que des mots dit comme ça, pas un ordre ou une supplication, une p'tite politesse on va dire. J'refermais la porte, éprouvant de nouveau la douce chaleur d'la cheminée que j'pouvais encore allumer avec l'temps qui faisait. « J'voulais quelque chose d'intimide, pas une salle d'restaurant blindée d'gens » Pas question d'partager mes retrouvailles avec des inconnus, d'devoir se tenir l'un en face de l'autre dans un costume serré et une robe trop étroite, j'avais rêvé d'ce moment comme d'un vrai retour à la maison, de ceux dont on imagine la moindre seconde. J'serrais la main d'Mira comme si j'allais la perdre si je la lâchais, en fait j'me sentais comme un gamin perdu, qui avait besoin d'être guidé. « Il est fatigué Wolf, il a la flemme d'faire des gamineries aujourd'hui » J'tais auto surpris de c'que je disais, jamais, mais alors JAMAIS en vingt-deux ans d'existence j'tais redescendu sur terre, toujours la tête ailleurs, mais ce soir ouais j'tais exténué. J'tirais doucement Mira vers le salon où j'avais préparé la table, mais genre bien avec une jolie nappe blanche, d'la belle vaisselle, des fleurs, des pétales et tout les trucs qu'on peut voir dans les films. « J'ai appelé un traiteur, j'voulais pas risquer d'tintoxiquer c'soir » C'bien connu que niveau cuisine, j'suis pas un chef mais plus un danger public et qu'même les steak hachés ont du mal à survivre. J'reportais mon attention sur ma Blondie, l'observant des pieds à la tête, redécouvrant chacun de ses traits, sa taille fine, ses cheveux d'ange et son regard de biche. « J'tai déjà dis à quel point j'te trouvais magnifique ? » Y'avait du progrès niveau compliment si on repensait aux premiers temps qu'on se connaissait avec Mira, j'tais plutôt du genre à la taquiner sur son physique fin, vantant les mérites des formes plus généreuses, mais aujourd'hui Mira était la plus belle femme du monde à mes yeux, et pourtant j'cotoyais des mannequins tous les jours.
© Starseed
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Wira

C'était une vraie surprise de voir Wolf venir m'ouvrir la porte, alors que d'ordinaire je me débrouille toute seule, pour pousser la porte géante et le retrouver dans les différentes pièces du manoir. Le plus souvent, je me fais d'abord accueillir par les chiens que par lui-même. Mais ce changement, c'pas désagréable, bien au contraire J'aime ses câlins ses bras, ils m'ont manqué. C'pas quelque chose qu'on peut réussir à avoir avec une conversation vidéo ou quelques SMS. C'est quelque chose de solide, qui, dès qu'on en est privé, ne peut rester que par la force d'un souvenir , impossible à remplacer par quelque chose d'autre, et l'envie n'y est pas non plus. Des centaines d'autres hommes pourraient m'ouvrir leurs bras pour que j'y vienne m'y réfugier mais ce n'est pas pareil, le plaisir n'y est pas, l'impression d'être en sécurité, que rien ne peut m'atteindre n'y est pas. C'est comme une cigarette sans nicotine, qui ne vous apporte pas ce plaisir, rien de plus que l'impression d'avaler de la fumée... Il n'y a que lui qui peut m'apporter ça, un peu comme une dose de morphine, ou d'héroïne, procurant un instance plaisir, mais également un vide, un manque, dès qu'il est loin de moi. C'pas des conneries quand je dis que je ne veux pas qu'il reparte à l'autre bout du monde , je serai prête à l'enfermer dans son propre manoir pour qu'il ne reparte pas, d'appeler tous ses photographes ou agence pour faire croire qu'il est malade, ou même pour peut-être le faire se faire virer …Je peux être garce par moments mais on parle de ma vie de couple là, c'pas n'importe quoi. C'est ma santé mentale qui est en jeu lorsqu'il est dans je ne sais quel pays d'Europe... et aussi mon forfait mobile, qui ne prend pas en compte les appels à l'étranger... Mais pour le moment, je voulais profiter pleinement de cette soirée, ne sachant même pas quand serait la prochaine. Un sourire s'affiche sur mes lèvres tandis que je me tourne vers lui, pressant tendrement mes doigts contre les siens. «  Tant mieux, j'ai pas du tout envie de te partager ce soir, même avec le serveur ou le voiturier ! » Il est à moi et rien qu'à moi pour les prochaines heures qui vont suivre . Et c'est exactement ce dont on a besoin, de se retrouver, passer une soirée tranquille, dans les bras l'un de l'autre, pourquoi pas devant un film même . Saint Valentin, ne veut pas forcément dire devoir s'exhiber devant les autres , seulement de profiter de l'instant ensemble, seulement tout les deux. « j'espère que t'es pas trop fatigué quand même, je compte bien fêter ton retour ! » Je passe mes bras autour de son cou, un sourire aux lèvres avant de déposer tendrement mes lèvres sur les siennes. Je suis en manque de lui, mentalement, mais aussi physiquement. Sentir ses lèvres caresser chaque parcelle de mon corps, sentir ce dernier se coller contre le sien. Ces sensations, c'est ça aussi l'amour que j'éprouve pour lui. Je le lâche lentement, avec quelque regret, mais ça, c'est la fin de soirée. Surtout lorsque je vois ce qu'il m'a préparé dans le salon . Les efforts qu'il a dû faire pour redécorer son salon, ça me fou limite mal à l'aise de voir comment il s’investit autant ce soir «  T'es... T'étais pas obligé... Le fait qu'il prenne soin de moi comme ça, ses petites intentions, ça me touche réellement, j'ai pas l'habitude... Et je me sens un peu cruche de pas savoir quoi répondre à son compliment, presque certaine que le rouge me monte aux joues. . «  merci... mais à côté d'un mannequin comme toi, je fais pas vraiment le poids. » Ou même d'un mannequin tout court. Je dépose mes lèvres sur sa joue, un sourire aux lèvres. La serveuse et le mannequin, on a vraiment bouleversé les codes de la société. Je finis par m'approche de la table dressée avec soin avec même du champagne. «  Je m'habituerai jamais à ton argent... » Je secoue légèrement la tête, je pense que je peux les compter sur le doigt d'une main, le nombre de fois où j'ai bu du champagne.

Emi Burton


Bon 100 mots de trop , je reduirai au prochain She's the tear in my heart + Wira 1881463262
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