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MA GUEULE EN VRAC
Fiche d'identité
Nom VegaPrénom(s) Diego TömmasÂge 24 ansDate de naissance 11 décembre 1991Lieu de naissance HelsinkiStatut amoureux Célibataire. L'amour, au fond, c'est une forme de parasitage social rarement commun, un psychotrope qu'on t'injecte et qui nique ta réflexion.Orientation sexuelle Contradictoire. Mépris marqué pour l'influence de la pulsion sur la raison, mais une attirance obscène des choses interdites et de l'inexploré refoulé. Les femmes, les hommes, ça va au-delà de ça. L'ennui le tue et le banal est un Léviathan qui se nourrit du désir.Classe sociale Forcément plein de fric s'il peut se payer Harvard au calme, surtout sa famille plus que lui, en fait, mais qui n'en a rien à foutre de l'oseille. C'est pratique, c'est vrai, mais il a pas été éduqué comme un connard du XVIème : son PQ est pas en mohair, il a pas de majordome pour faire ses courses ou lui tenir la coquillette pendant qu'il pisse et on ne peut pas nourrir l'Éthiopie pendant un an juste avec trois de ses paires de chaussures. Études majeures Biologie. Faisant de l'épidémiologie et de la microbiologie ses spécialités, plus particulièrement tout ce qui touche à l'étude des organismes parasites au travers des systèmes qu'ils mettent en place pour permettre l'achèvement de leur cycle de vie.Études mineures Psychologie sociale et notamment l'interaction de l'individu dans la multitude, son évolution au sein de celle-ci en fonction de différents éléments perturbateurs, l'interaction entre la masse et l'unité et la façon dont l'un peut influer sur l'autre, notamment au travers des méthodes classiques de conditionnement inconscientes. Et tous les mécanismes de constructions de la psyché et du comportement.Occupation & job Étudiant en huitième année pour l'obtention de son doctorat. Se destine à devenir enseignant-chercheur. Parfois chargé de TD dans le cadre de sa thèse pour appuyer certains de ses professeurs, il est embauché d'appoint en tant qu'assistant d'intendance à l'université (quelques heures par semaines, c'était plus un choix qu'une nécessité).Choix de groupe #1 Winthrop HouseChoix de groupe #2 Dunster HouseWINTHROP HOUSE - Elegance is the new way
Des gentlemen, voilà le mot. L'élégance, c'est important, c'est ce que tu vas dégager envers les autres et comment ils vont te percevoir. Les bonnes manières, aussi. Au moins à défaut, une certaine classe cinglante. Vous me verrez jamais la barbe en vrac, débraillé, ou en train de friser comme un bichon à cause de la pluie. J'ai reçu une certaine éducation, des valeurs qui impliquent une certaine décence, à défaut de tact. Par contre, croyez pas que je sois une sorte de fashion victime, je suis pas mode et confettis, shopping et sacs à main. L'élégance, c'est un truc d'homme, on la trouve pas chez H&M, mais dans la sobriété et le détail. L'excès, c'est un truc de beauf, l'épilation et les crèmes de jour, c'est pour les fragiles. J'ai dit élégant, pas maquillé, mais beaucoup confondent les deux. La mesure dans le geste et la parole qui n'en donne que plus d'impact à l'idée. Si tu ressembles à un péquenot, alors pour les gens tu seras un péquenot. Si t'as l'air d'un connard, alors pour eux tu seras un connard. Tout est toujours une affaire de jugement, à toi de voir l'impact que tu veux imprimer au premier regard.
Par contre, quelqu'un peut m'expliquer qui a confondu gentlemen et sportifs ? Un beau corps, ok, mais ils font quoi les dopés débiles sous stéroïdes dans cette maison ? Ils se la mesurent ?
DUNSTER HOUSE - Don't test me biatches
La Dunster House. Vous savez, cette bande d'individus rongés par le travail qui s'écorchent jusqu'au sang dans le boulot pour réussir. Les gars dont on dit que ce sont les meilleurs ou les plus intelligents juste parce qu'ils se crèvent à la tache. Ceux qui confondent réussite et burn out. Y a sûrement des petits génies tu me diras, mais y en a aussi un paquet qui ont pas compris que s'ils avaient de meilleurs résultats, c'est parce qu'ils travaillaient plus, pas parce qu'ils étaient Einstein. Et pas saisir ça, ça en fait pas les plus malins du monde. J'ai une relation ambigüe avec eux, c'est pas la première fois que je les croise, pas la première fois qu'ils me parlent. J'ai refusé deux fois d'entrer dans leurs délires, deux fois je les ai snobés. L'Élite intellectuelle hm ? Au fond, j'en ai un certain intérêt, j'aime les sciences, la recherche, la connaissance. Je suis pas arrivé à Harvard par hasard, je vise les références les plus pointues dans mon domaine et l'excellence est une de mes valeurs. De là à m'acoquiner avec des grosses têtes pleines d'ambitions juste parce qu'ils savent résoudre la fonction d'onde d'une équation de Schrödinger, faut pas exagérer non plus. Y a des cons partout, même chez les intellos, affublés du qualificatif de charlatans. Je suis partagé, en fait, entre l'attirance du savoir et les défis posés et cet anticonformiste qui me dit de leur dire merde juste pour la forme.
Des gentlemen, voilà le mot. L'élégance, c'est important, c'est ce que tu vas dégager envers les autres et comment ils vont te percevoir. Les bonnes manières, aussi. Au moins à défaut, une certaine classe cinglante. Vous me verrez jamais la barbe en vrac, débraillé, ou en train de friser comme un bichon à cause de la pluie. J'ai reçu une certaine éducation, des valeurs qui impliquent une certaine décence, à défaut de tact. Par contre, croyez pas que je sois une sorte de fashion victime, je suis pas mode et confettis, shopping et sacs à main. L'élégance, c'est un truc d'homme, on la trouve pas chez H&M, mais dans la sobriété et le détail. L'excès, c'est un truc de beauf, l'épilation et les crèmes de jour, c'est pour les fragiles. J'ai dit élégant, pas maquillé, mais beaucoup confondent les deux. La mesure dans le geste et la parole qui n'en donne que plus d'impact à l'idée. Si tu ressembles à un péquenot, alors pour les gens tu seras un péquenot. Si t'as l'air d'un connard, alors pour eux tu seras un connard. Tout est toujours une affaire de jugement, à toi de voir l'impact que tu veux imprimer au premier regard.
Par contre, quelqu'un peut m'expliquer qui a confondu gentlemen et sportifs ? Un beau corps, ok, mais ils font quoi les dopés débiles sous stéroïdes dans cette maison ? Ils se la mesurent ?
DUNSTER HOUSE - Don't test me biatches
La Dunster House. Vous savez, cette bande d'individus rongés par le travail qui s'écorchent jusqu'au sang dans le boulot pour réussir. Les gars dont on dit que ce sont les meilleurs ou les plus intelligents juste parce qu'ils se crèvent à la tache. Ceux qui confondent réussite et burn out. Y a sûrement des petits génies tu me diras, mais y en a aussi un paquet qui ont pas compris que s'ils avaient de meilleurs résultats, c'est parce qu'ils travaillaient plus, pas parce qu'ils étaient Einstein. Et pas saisir ça, ça en fait pas les plus malins du monde. J'ai une relation ambigüe avec eux, c'est pas la première fois que je les croise, pas la première fois qu'ils me parlent. J'ai refusé deux fois d'entrer dans leurs délires, deux fois je les ai snobés. L'Élite intellectuelle hm ? Au fond, j'en ai un certain intérêt, j'aime les sciences, la recherche, la connaissance. Je suis pas arrivé à Harvard par hasard, je vise les références les plus pointues dans mon domaine et l'excellence est une de mes valeurs. De là à m'acoquiner avec des grosses têtes pleines d'ambitions juste parce qu'ils savent résoudre la fonction d'onde d'une équation de Schrödinger, faut pas exagérer non plus. Y a des cons partout, même chez les intellos, affublés du qualificatif de charlatans. Je suis partagé, en fait, entre l'attirance du savoir et les défis posés et cet anticonformiste qui me dit de leur dire merde juste pour la forme.
APRÈS LA BOMBE.
Qu'est-ce que vous voulez que je vous dise ? Je n'étais pas présent ce jour là, ni même à Boston. Bien sûr que je trouve ça tragique, bien sûr que c'est pas bien, mais après ça ne m'a pas touché, c'est à peine si j'ai vu la nouvelle aux infos. Vous savez les américains ils sont gravos un peu avec les armes, c'est régulier les descentes dans les universités, les collèges, etc... Je dis pas que je cautionne bien sûr, mais bon quand on n'est pas sentimentalement impliqué, ça reste distant et hors de sa vie. J'imagine qu'il y a encore quelques séquelles ici et là chez des étudiants présents, mais sans dire que ça me fascine, ça devait mine de rien être une expérience sociale intéressante dans ses impacts, ses conséquences et comment a tenté de s'adapter la société harvardienne pour survivre mentalement et continuer en se disant que ça en valait la peine.
Qu'est-ce que vous voulez que je vous dise ? Je n'étais pas présent ce jour là, ni même à Boston. Bien sûr que je trouve ça tragique, bien sûr que c'est pas bien, mais après ça ne m'a pas touché, c'est à peine si j'ai vu la nouvelle aux infos. Vous savez les américains ils sont gravos un peu avec les armes, c'est régulier les descentes dans les universités, les collèges, etc... Je dis pas que je cautionne bien sûr, mais bon quand on n'est pas sentimentalement impliqué, ça reste distant et hors de sa vie. J'imagine qu'il y a encore quelques séquelles ici et là chez des étudiants présents, mais sans dire que ça me fascine, ça devait mine de rien être une expérience sociale intéressante dans ses impacts, ses conséquences et comment a tenté de s'adapter la société harvardienne pour survivre mentalement et continuer en se disant que ça en valait la peine.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
Ça été un problème. Un gros problème. Autant une fusillade, ça passe, c'est facile de se dire que ça ne recommencera pas, en tout cas, au moins pas de si tôt. Mais là, un attentat à la bombe, suivi un an et demi plus tard par une prise d'otage et des viols en série, mon dieu vous imaginez pas le drama. J'ai dû faire des pieds et des mains, pour ne pas faire paniquer mes parents quand je leur ai annoncé que j'allais poursuivre mon cursus à Harvard. J'ai beaucoup d'ambition vous savez, et le genre flipette, c'est pas pour moi. Si certains n'osent pas, qu'ils se terrent dans leurs chez eux, mais l'insolence qui vit en moi me pousse à m'opposer à ce genre de diktat de la terreur que des individus tentent de faire régner. Et moins de candidatures à Harvard, ça signifie plus de chances pour moi. Non pas que je doute de mes capacités, mais je sais ce que je veux, reculer ne servira à rien.
Ça été un problème. Un gros problème. Autant une fusillade, ça passe, c'est facile de se dire que ça ne recommencera pas, en tout cas, au moins pas de si tôt. Mais là, un attentat à la bombe, suivi un an et demi plus tard par une prise d'otage et des viols en série, mon dieu vous imaginez pas le drama. J'ai dû faire des pieds et des mains, pour ne pas faire paniquer mes parents quand je leur ai annoncé que j'allais poursuivre mon cursus à Harvard. J'ai beaucoup d'ambition vous savez, et le genre flipette, c'est pas pour moi. Si certains n'osent pas, qu'ils se terrent dans leurs chez eux, mais l'insolence qui vit en moi me pousse à m'opposer à ce genre de diktat de la terreur que des individus tentent de faire régner. Et moins de candidatures à Harvard, ça signifie plus de chances pour moi. Non pas que je doute de mes capacités, mais je sais ce que je veux, reculer ne servira à rien.
INTO THE VOID
Diego, c'est le gars qu'a l'insolence fixée aux yeux, l'allure à mi-chemin entre le bad boy qui te regarde avec sa moto entre les jambes, une clope au bec, sans qu'on sache trop s'il se fout de ta gueule, s'il te drague silencieusement ou s'il en a rien à battre. A mi-chemin dans un ailleurs décalé, aussi, un horizon différent dans les yeux chaque matin, qui pense, trop, et qui réfléchit à ce qui l'entoure comme si le monde était sa putain de névrose brûlante. Diego dans sa caboche, il voit les engrenages et les systèmes, les mécanismes des choses, il comprends vite les trucs logiques, les causes à effets, et toutes ces merdes qui découlent l'une de l'autre dans un enchaînement mathématique et qu'on peut prévoir si on peut les calculer. Diego, c'est pour ça qu'il est à Harvard. Le petit génie de sa classe, le type qui t'explique mais que tu comprends rien, sans trop réussir à déterminer si c'est parce que c'est complexe ou qu'il fait des raccourcis qui lui paraissent simples. L'esprit, c'est ça qu'il maîtrise Diego. La logique, le calcul, les méthodes rigoureuses d'analyse et toutes ces choses du scientifique qu'il est qui permettent de modéliser le monde et qui te donnent une impression de contrôle. Si tu comprends les choses, tu les maîtrises, c'est un peu ce qu'il se dit, Diego, mais le problème il est là, c'est qu'il y a un tas de trucs qu'il comprend pas. Il déteste l'empathie, le gars, pas parce que c'est un connard insensible, mais dans tout ce qu'elle dévoie. Partout, c'est le règne du sentiment, le diktat de la connerie. Sa vie, il essaie de la raisonner, son intuition, elle lui sert à anticiper. Les gens sont pas logiques, et c'est ça qui le perturbe. Est-ce que c'est si dur, de pas penser avec sa bite, son ventre, son cœur, sa colère ? Il a un problème avec ça, Diego, il estime l'intellect et le raffinement de l'esprit, la compréhension par l'explication, l'analyse par la critique. Être esclave du sentiment, c'est être en dehors de la civilisation, un peu. Et l'éducation qu'il a reçue, elle lui dit d'être civilisé, à Diego. Mais à l'intérieur, des fois, ça grince, ça heurte, ça percute. Il est trop dans la tête, le gars, et les choses dans le cœur il comprend pas toujours. Ça le frustre, ça le désempare. Ça s'accumule en un amas de pulsions qui palpitent, là en arrière plan, et qui surgissent parfois violemment. Et ça l'attire, ça, l'ombre des choses, l'indicible, l'inexploré. La secrète transgression. Ces trucs à ressentir qui n'ont ni logique ni raison, cet instinct farouche qu'il refoule. C'est comme s'il y avait quelque chose de sauvage, chez lui, en filigrane, mais que jamais ça ne semblait vouloir se réveiller. Un quelque chose qui transparait parfois, qui attire ou qui inquiète, mais qui sous entend un irrationnel en cage, qui devient tantôt mépris cynique, tantôt violente ardeur, tantôt une fierté pleine de confusion. Des fois, il semble pris au piège, Diego, dans un abîme qui lui échappe.
Diego, c'est le gars qu'a l'insolence fixée aux yeux, l'allure à mi-chemin entre le bad boy qui te regarde avec sa moto entre les jambes, une clope au bec, sans qu'on sache trop s'il se fout de ta gueule, s'il te drague silencieusement ou s'il en a rien à battre. A mi-chemin dans un ailleurs décalé, aussi, un horizon différent dans les yeux chaque matin, qui pense, trop, et qui réfléchit à ce qui l'entoure comme si le monde était sa putain de névrose brûlante. Diego dans sa caboche, il voit les engrenages et les systèmes, les mécanismes des choses, il comprends vite les trucs logiques, les causes à effets, et toutes ces merdes qui découlent l'une de l'autre dans un enchaînement mathématique et qu'on peut prévoir si on peut les calculer. Diego, c'est pour ça qu'il est à Harvard. Le petit génie de sa classe, le type qui t'explique mais que tu comprends rien, sans trop réussir à déterminer si c'est parce que c'est complexe ou qu'il fait des raccourcis qui lui paraissent simples. L'esprit, c'est ça qu'il maîtrise Diego. La logique, le calcul, les méthodes rigoureuses d'analyse et toutes ces choses du scientifique qu'il est qui permettent de modéliser le monde et qui te donnent une impression de contrôle. Si tu comprends les choses, tu les maîtrises, c'est un peu ce qu'il se dit, Diego, mais le problème il est là, c'est qu'il y a un tas de trucs qu'il comprend pas. Il déteste l'empathie, le gars, pas parce que c'est un connard insensible, mais dans tout ce qu'elle dévoie. Partout, c'est le règne du sentiment, le diktat de la connerie. Sa vie, il essaie de la raisonner, son intuition, elle lui sert à anticiper. Les gens sont pas logiques, et c'est ça qui le perturbe. Est-ce que c'est si dur, de pas penser avec sa bite, son ventre, son cœur, sa colère ? Il a un problème avec ça, Diego, il estime l'intellect et le raffinement de l'esprit, la compréhension par l'explication, l'analyse par la critique. Être esclave du sentiment, c'est être en dehors de la civilisation, un peu. Et l'éducation qu'il a reçue, elle lui dit d'être civilisé, à Diego. Mais à l'intérieur, des fois, ça grince, ça heurte, ça percute. Il est trop dans la tête, le gars, et les choses dans le cœur il comprend pas toujours. Ça le frustre, ça le désempare. Ça s'accumule en un amas de pulsions qui palpitent, là en arrière plan, et qui surgissent parfois violemment. Et ça l'attire, ça, l'ombre des choses, l'indicible, l'inexploré. La secrète transgression. Ces trucs à ressentir qui n'ont ni logique ni raison, cet instinct farouche qu'il refoule. C'est comme s'il y avait quelque chose de sauvage, chez lui, en filigrane, mais que jamais ça ne semblait vouloir se réveiller. Un quelque chose qui transparait parfois, qui attire ou qui inquiète, mais qui sous entend un irrationnel en cage, qui devient tantôt mépris cynique, tantôt violente ardeur, tantôt une fierté pleine de confusion. Des fois, il semble pris au piège, Diego, dans un abîme qui lui échappe.
LA VRAIE VIE DU DEHORS
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Pépito et j'ai 25 ans. Je suis plein de surprise et j'ai connu le forum grâce au RP hot entre Jakob et Mike. Je suis impatient de pouvoir jouer avec vous et vous faire partager ma débilité affectueuse, alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Vinnie « Hmm Tshhh » Woolston comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Lithium (fiche) et Sparkles (avatar). Je fais environ plein de mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
Mot de la fin ? ▲ Je suis sauvage et je mords. La décence je la baise.
Je souhaite ▲
adhérer un flood d'intégration
je veux être parrainé par Zeke Cooper (Elle n'est pas dans la liste mais on a eu un bon feeling dans la CB. Aucune idée de si elle est d'accord mais sinon au pire, Andrew R. Windsor, j'ai pris au pif comme je connais pas :lol2: )
Mot de la fin ? ▲ Je suis sauvage et je mords. La décence je la baise.
Je souhaite ▲
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je veux être parrainé par Zeke Cooper (Elle n'est pas dans la liste mais on a eu un bon feeling dans la CB. Aucune idée de si elle est d'accord mais sinon au pire, Andrew R. Windsor, j'ai pris au pif comme je connais pas :lol2: )
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