Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityPlease don't kill my vibe - Cole & Indigo
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Please don't kill my vibe - Cole & Indigo

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PLEASE DON'T KILL MY VIBE
Cette soirée promettait autant que le mariage de son grand oncle Steeve qui avait décidé de se marier avec son infirmière à domicile. Donc, en quelques sortes, elle ne promettait qu'un fiasco total. L'agent de sécurité qui contrôlait les entrées observa brièvement sa carte d'invitation, lui demanda son nom et elle put enfin entrée après lui avoir littéralement arrachée des mains l'enveloppe d'invitation. La musique était légèrement médiocre et l'envie de s'en aller devint pressante, pourtant, il allait falloir qu'elle se fasse une raison et reste ici jusqu'à deux heures du matin, au moins, son père lui ayant fortement demandé de se rendre à cette soirée qui inaugurait l'ouverture d'une grande marque de montre de luxe dont Indigo n'avait jamais entendu parler et de toute façon, elle ne portait que des Rolex. Laissant quelques personnes la complimenter sur sa tenue ou lui souhaiter la bienvenue en ville ou bien encore, lui demander des nouvelles de ses parents, ce ne fut qu'au bout d'une dizaine de minutes qu'Indigo réussit à se sortir de cette passe qu'elle trouvait toujours aussi ennuyeuse. Elle arriva près du buffet et eut une légère grimace de dégoût « Ça ressemble à de la pâté pour chien » qu'elle marmonna avant de chiper une coupe de champagne et de s'évertuer à de ne pas fixer un point fixe, histoire de ne pas avoir le mal de mer. Ses talons glissèrent sur le tapis moelleux sous ses pieds et elle remarqua alors un camarade qui était arrivé en même temps qu'elle à Cambridge. Presque soulagée d'avoir un acolyte pour cette soirée qui se promettait ennuyeuse, elle demanda à la jeune femme qui se pâmait littéralement devant lui « Excuse moi, tu dois sûrement porter du H&M, tes sous vêtements doivent dater de 2012, au moins et tu as du rouge à lèvres sur les dents … Il n'est donc pas très intéressé » acheva finalement l'Eliot en affichant une mine faussement désolée, prenant une posture parfaitement insolente et puant le mépris pour l'être insipide qu'elle représentait pour elle. L'inconnue rougit brusquement et s'en alla en mettant une main sur sa bouche. C'est en lâchant un soupir qu'Indigo s'assit alors près de Cole, croisant élégamment ses longues jambes avant de se tourner vers lui « Et bien, tu excuseras le fait que je t'ai évité de devoir faire semblant d'être captivé par ce qu'elle disait. Et bonsoir ! » Un fin sourire vint étier ses lèvres et la jeune femme plongea enfin ses lèvres dans sa coupe de champagne.  
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Une soirée pour fêter le lancement d’une nouvelle marque de montre ? Je regardais à deux fois le carton d’invitation en grimaçant alors que Victoria me répétait qu’avec ses responsabilités de présidente, elle n’avait certainement pas le temps pour ce genre de divertissement, mais qu’il fallait que la famille soit représentée, que l’entreprise était l’un des actionnaires de cette nouvelle marque. Je défis avec un air nonchalant la Panerai à mon poignet, posai mon précieux sur mon bureau avec un petit air résigné. Se rendre à cette petite sortie avec sur soit une autre montre de luxe concurrente, c’était surement un mauvais plan. Et ce geste était révélateur que j’allais céder, que j’allais me rendre à ce –divertissement- qui prenait malgré tout des airs de corvée. Douche faite, trois pièces revêtu, et direction l’adresse de la fameuse réception. Et cela ne faisait pas un quart d’heure que j’étais arrivé, coupe de champagne bas de gamme en main, qu’une potiche me tenait déjà le crachoir, me lançant des œillades plus qu’équivoques. A l’aide. Je la saute maintenant ou je m’enfuie en courant ? Voilà ce que j’étais en train de me demander lorsque le destin m’envoya la réponse sous la forme d’Indigo, cette camarade Eliot, obligée comme moi de subir cette hérésie de bizutage. Et aux mots de ma sauveuse je ne pus retenir un rire, qui m’attira le regard outré de mon interlocutrice, qui cramoisie, tourna les talons sur le champ. « Tu sais que je ne l’aurais pas vu, son rouge à lèvres sur les dents, vu ce que j’avais en tête de lui faire… » Grossier ? Vu le manque de forme que l’Eliot venait de mettre pour chasser l’importune, elle ne risquait pas d’être choqué par mes insinuations. Indigo s’installait ensuite à côté de moi avec prestance, fière de son petit coup et mon sourire amusé s’élargit. Je ne dirais pas merci, même si je le pensais vraiment et qu’en chassant la demoiselle, elle m’avait surement épargné de longue heure de parlotte pour une partie de jambe en l’air médiocre. Mais la reconnaissance et moi, ça faisait deux. Alors la remercier ça serait avouer que je lui étais redevable. Fierté oblige, je me tus donc, préférant lui rendre l’appareil en laissant échapper un conseil précieux, alors que ses lèvres allaient se plonger dans sa coupe : « Ne bois pas ça malheureuse, c’est du mousseux. » Oui, parce que clairement, vu le goût, ce n’était pas du vrai champagne. De luxe, cette nouvelle marque n’avait que la réputation. Cette réception ressemblait plus à une mascarade qu’autre chose.  D’ailleurs, la présence d’Indigo ici m’intrigua, tournant ma tête vers la demoiselle, je l’interrogeai : « Qu’est-ce que tu fabriques ici ? » Je l’imaginais plus dans des soirées d’un standing nettement supérieur que cette petite sauterie décevante.
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S’installant plutôt confortablement près de Cole, Indigo observa un instant les convives, tous plus laids et mal fringués les uns que les autres avant de se tourner vers son compagnon dont la première remarque la fit rire. « Oh, je vois très bien ce que tu comptais lui faire mais … -elle eut une légère grimace- ça n'en valait pas le coup, réellement. » Bien évidemment, qu'il couche avec cette fille ou une autre, lui importait peu, réellement. Seulement, elle avait juste ressentit le besoin de s’asseoir et notamment près de lui, vu qu'il n'y avait personne d'autres vers qui elle pouvait se diriger à cette soirée des plus ennuyeuses. Le PDG et créateur de cette nouvelle marque de luxe passa alors devant eux et elle retint une grimace de dégoût, remarquant son air trop fier et ses habits faussement coûteux. Il lui rappelait presque son père, si engrossé par la richesse qu'il aurait pu exploser. Ses lèvres plongèrent presque dans la coupe de champagne qu'elle tenait avant que Cole ne l'arrête de sa main. Elle tourna un visage étonné vers lui avant de regarder son verre un peu plus attentivement et d'en sentir l'odeur « Hm … En effet, je n'avais pas remarqué. Ce champagne est bien représentatif de cette réception : médiocre. » dit Indigo sur un ton blasé. Choppant par la manche un serveur qui passait par là, elle le fit se baisser vers elle et sans marque d'une quelconque politesse demanda « Ramenez moi un martini, frais … sans olive. » Le jeune serveur fut un instant désappointé avant de s'exécuter, bien malgré lui. Avait-il seulement le choix ? Indigo reprit une contenance plus gracieuse avant de se tourner à nouveau vers l'Eliot, ravie de pouvoir discuter avec lui et surtout de pouvoir lâcher la colère qui l'animer « Ce que je fais ici ? Je représente mon père et ses actions ainsi que son soutien à cette nouvelle marque de luxe. En soit, je fais la potiche parce que je ne peux échapper à mon destin de fille de PDG. » Elle roula des yeux, lâcha un soupir et reprit « Et toi ? Je ne pense pas que ce soit vraiment le genre de soirée dont tu raffoles. »  
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Ma sauveuse sembla amusée par ma réflexion. Pas besoin de lui faire un dessin donc, elle voyait très bien le sort que j’avais projeté de réserver à l’autre potiche, mais elle affirma que ça ne valait pas le coup, avec une petite grimace. « Oui mais maintenant, il va falloir me tenir compagnie vois-tu… Toute la soirée… » m’amusai-je à répondre alors. La chasseuse prenait la place de la chassée, c’était la règle. Elle était donc coincée avec moi pour le reste de cette réception. Je n’étais pas certain qu’elle irait jusqu’à remplacer l’autre cruche dans mes draps, je n’en demandais pas tant, quoi que le sexe avec une demoiselle telle que miss Carlson, ça devait être électrique… Mais dans tous les cas, elle devait au moins rester avec moi à cette fête, c’était une question de survie…  D’ailleurs, c’est la sienne que j’assurais en lui empêchant de boire l’horreur contenue dans sa coupe. J’hochai simplement la tête à sa réflexion concernant la réception, le champagne et tout le tralala des lieux, et je pouffais légèrement en la voyant interpeller un serveur avec un ton directif. Ouais le sexe avec Indi’ ça devait être explosif… Je me raclai la gorge, adoptant le même ton impérieux pour demander au garçon : « Et ça sera la même chose pour moi. » Sauvons nos papilles, boudons les bulles bas de gamme. Je reportai ensuite mon attention sur la jeune femme, l’écoutant me confier les raisons de sa présence ici, au milieu de ces clowns et de ce standing médiocre. Et j’appris ainsi que, comme moi, elle faisait figuration. « Je suis venu ici pour découvrir le petit peuple… » lâchai-je avec une certaine ironie avant d’expliquer plus sérieusement : « Non, en fait je fais aussi office de représentant, représentant du clan Smythe-Wildingham… » Petit air dégoûté en regardant autour de moi. Mais à présent, j’avais une camarade à ma hauteur, à mon niveau, tout ce petit cirque allait pouvoir devenir plus drôle… « On devrait s’amuser un peu. Ca te dit un cap ou pas cap ? Celui qui perd doit boire une coupe de ce tord-boyau cul sec ? » Et sans attendre, de toute façon elle avait pas le choix, si on ne voulait pas mourir d’ennui il fallait bien s’amuser un peu, et se foutre des autres étant un art dans lequel j’excellais, je repérai ma victime et lançai : « T’es cap de faire croire au type là bas que t’es la fille du président ? » Le président était black, le défi était donc grand. Mais le type que je lui désignais avait vraiment l’air crétin. J’étais certain qu’avec un bon discours, c’était dans ses cordes.
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