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(flashback) jules&margaux ✗ baby be the life of the party

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Cela devait faire plus ou moins deux mois que les cours avaient repris et donc, que Jules se trouvait à Harvard. Et s'il n'était pas encore véritablement fait à l'idée et au changement radical de pays, il y avait tout de même certaines choses qui lui faisaient voir les choses du bon côté, comme ses retrouvailles avec Jules, sa jumelle de prénom ou bien les confréries, les fameuses confréries et leurs fêtes à n'en plus finir. Ça, c'était certainement ce qu'il appréciait le plus, parce qu'au moins là, il n'avait pas l'impression d'être un étranger - bien que son accent français soit présent pour le dénoncer - et puis, fallait avouer que c'était le meilleur moyen pour parler à de nouvelles personnes et s'intégrer. D'ailleurs, ce soir, c'était les Mathers qui recevaient et, en tant que bizut exemplaire, il était évident que le brun répondait présent. Assis dans l'un des canapés, le De Lacroix bavardait avec une jolie demoiselle donc il ne connaissait même pas le prénom, pour le moment du moins. Enfin, de toute manière, il s'en fichait pas mal de comment elle pouvait s'appeler. Se remettant sur ses deux jambes, il indiqua à la jeune femme qu'il allait chercher à boire et qu'il revenait, avant de se diriger vers le bar où le choix était nombreux. Deux red cups en mains, il fit volte-face avant de se retrouver nez-à-nez avec une jolie brune qu'il reconnut aussitôt. Margaux. Quel hasard ça avait été de la retrouver là, après tout ce temps. Il l'avait tout de suite reconnue parce qu'un visage comme le sien ne s'oubliait pas. Elle avait été la première qu'il ait aimé, peut-être même la seule. Mais c'était de Jules qu'on parlait, alors forcément, il s'en était rendu compte trop tard et n'avait rien fait pour la retenir. Et maintenant, elle l'évitait, faisant comme si de rien était. Lui ? Il n'avait pas non été vers elle, ce n'était pas son genre après tout, de courir après les gens. Trop de fierté, sûrement. Mais ce soir, ils ne pouvaient pas faire comme si de rien était une fois de plus, non. Ses yeux bleus plongés dans ceux de la jeune femme, il dit simplement, s'exprimant dans sa langue maternelle qu'était le français et qui était aussi celle de la Du V.-Montet : "Bonsoir, Margaux." Et un sourire se dessina au coin de ses lèvres, un de ceux qui voulaient dire "tu ne peux pas m'échapper, cette fois".
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Une nouvelle soirée à laquelle je devais absolument me rendre, ces temps-ci je passais plus mon temps à faire la fête et m'amuser que rester posée chez moi. Ça ne me ressemble tellement pas, je suis une fille qui aime sortir, jamais on ne me verra tranquillement chez moi en train de réviser ou bien ces moments sont rares. La fête bat de son plein, il y a une bonne ambiance, comme toujours en même temps lorsqu'il s'agit d'une fête organisée par un Mather. Je n'étais pas venue seule ce soir, mais accompagnée d'un ami, je l'avais laissé un moment pour me diriger en direction du bar afin d'aller me chercher un verre, une fête sans boire un coup, ça n'existe pas. Je lui fis signe de loin pour lui dire que je n'en aurais pas pour longtemps, en même temps je n'en sais trop rien, il y a du monde autour du bar. Alors que je me retournais pour avancer lorsqu'une ouverte se fit voir pour que je puisse m'y faufiler et me chercher ce verre, je tombe entre temps nez à nez avec un homme que je connais que trop bien. Jules, le seul, l'unique. Mon sourire s'efface, je ne m'attendais clairement pas à le voir là ce soir, surtout aux Etats-Unis, Harvard et tout le reste. Je le pensais toujours en France encore en train de faire la misère à une autre fille à lui briser le cœur etc. Comme avec moi. Ça me refroidie direct de plonger mes yeux dans les siens, j'avais passé du temps à lui échapper lorsque je me trouvais encore en France et le voilà ici devant moi. Impossible de m'esquiver cette fois, quoi que, rien ne m'en empêche, il n'a pas cherché à me retenir une première fois, il ne le fera pas la deuxième fois. En même temps, je ne voulais plus jamais le revoir depuis que j'ai compris son petit manège. Il me salut Qu'est-ce que tu fous là? Est la seule chose que j'ai trouvé à répondre, toujours en français. C'est un cauchemar, c'est ça? Je suis en train de dormir? Non, malheureusement, non.
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Un sourire narquois se dessina sur le visage de Jules face à la réaction de la jeune femme. Non, bien sûr que non, il ne s'attendait pas à ce qu'elle lui offre son plus beau sourire et qu'elle lui saute au cou, pas vu la manière dont ça s'était terminé entre eux. Mais après tout ce temps, il aurait peut-être attendu une réaction différente. Quoique, dans un sens, ça se comprenait qu'elle lui pose cette question. Après tout, lui non plus n'avait jamais imaginé se retrouver ici, au beau milieu d'une fête étudiante organisée par une confrérie, aux Etats-Unis, à Harvard qui plus est. Mais il était bel et bien là, qu'elle le veuille ou non, aucun des deux ne pouvaient y faire quelque chose. Toujours la même expression sur le visage, il reprit la parole, continuant en français. "Et bien je profite de la soirée des Mathers, j'en fais à moitié partie après tout." Il savait très bien que ce n'était pas là où Margaux voulait en venir, mais il ne voyait pas trop comment lui expliquer qu'il était ici par obligation. Il n'avait pas envie d'en parler de toute manière. Jules était là et elle devrait s'y faire, point final. "Moi aussi, je suis content de te revoir, après tout ce temps." C'était ironique, bien entendu. Déjà parce que le De Lacroix savait très bien que ça ne réjouissait pas la jeune femme, de le revoir - rien que l'expression de son visage parlait pour elle - mais en plus, car lui-même, ne savait pas quoi en penser. Il avait du mal à y croire, à vrai dire. Et il lui faudrait sûrement du temps pour s'y faire. Mais une discussion s'imposait, c'était certain. "Tu veux boire, peut-être ?" Il lui tendit le deuxième verre qu'il tenait, se fichant complètement qu'il était destiné à quelqu'un d'autre, de base. C'était Jules, il était comme ça. Et c'était Margaux.
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Jules à Harvard? Je rêve ou... non ce serait plutôt un cauchemar, car je me suis toujours efforcée à l'oublier et il suffit qu'il soit planté devant moi pour que tout me revienne en mémoire, foutue mémoire. Je me demande ce qu'il fiche ici, mais bien sûr, il ne faut pas compter sur lui pour qu'il se montre sérieux. Je fronce les sourcils. Donc c'est un Mather? Je l'observe de la tête aux pieds, cela ne m'étonne pas de lui. Je ne réponds rien, il se fout de moi en évitant la question, je n'insisterais pas, même si la question de sa véritable raison de sa présence aux Etats-Unis me brûle les lèvres. Il aurait pu aller partout où il le désire, mais non, c'est Harvard qu'il choisit. Comme s'il ne savait pas que je m'y trouvais... en fait, il l'ignorait probablement. Plaisir partagé Répondis-je avec autant d'ironie dont il pouvait faire preuve. Je lui en veux encore et il le sait, je ne lui réserve pas un bel accueil et mon expression faciale parle pour moi. Un verre, il m'en faudrait sûrement plus d'un pour digérer la nouvelle, mais j'accepte celui qu'il me donne Tu ne cherches pas à m'empoisonner j'espère Toujours à voir le mal en lui. J'esquisse un mince sourire en guise de merci avant de boire une gorgée. Je fais quoi maintenant? Je fuis, je reste plantée devant lui sans savoir quoi faire Tu es là depuis combien de temps? Curieuse, comme toujours.
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Hum, finalement, peut-être que c'était une bonne chose que de se trouver face à la Cabot en cet instant précis. En fait, peut-être même que ça le réjouissait, intérieurement. Parce que contrairement à la jeune femme, lui ne l'avait jamais détestée, non, jamais aucune haine à son égard. Il l'avait aimée, certes, mais avant cela, Jules avait toujours pris un malin plaisir à l'embêter, la taquiner à sa façon, uniquement pour s'amuser. Alors finalement, la revoir ici, à Harvard où il ne connaissait quasiment personne pour le moment, ce n'était pas plus mal. On avait beau dire, mais ça restait tout de même un repère, un moyen de ne pas totalement faire abstraction du passé, dans un sens - bon ça, par contre, il n'était pas certain de le vouloir. D'autant plus que Margaux avait son petit caractère bien à elle qui le faisait rire, encore aujourd'hui. Un faible pour les femmes qui ne se laissaient pas faire ? Très certainement. Souriant légèrement à la remarque de la Cabot lorsque celle-ci accepta, contre toute attente, le verre qu'il lui tendait, il la défia du regard : "Pourquoi ? Je devrais ?" C'est vrai, entre les deux, c'était Margaux la plus susceptible de vouloir l'empoisonner puisque s'il y avait quelqu'un qui en voulait à l'autre, c'était elle. Jules, lui, n'avait aucune raison de lui vouloir du mal. C'est lui qui avait foiré dans l'histoire et il le savait très bien pour s'en être voulu pendant très longtemps. En fait, s'il y avait bel et bien eu du poison, c'est même lui qui aurait dû prendre le mauvais verre. Mais soit, voilà qu'elle lui posait une autre question. "Trop peu, apparemment." répondit-il dans un premier temps, en référence au fait qu'ils ne s'étaient pas encore croisés une seule fois depuis son arrivée à Harvard. Puis, se doutant bien que cette réponse serait loin d'être suffisante pour Margaux, il reprit, d'un ton plus sérieux : "Depuis la rentrée. Et toi ?" Lui aussi était curieux d'en savoir un peu plus sur le sujet, tellement tout cela était peu croyable.
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