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Supporter l'insupportable (Charlie)

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 Midi. Cafet horrible. Bouffe infâme. C’était devant un café sans goût que j’achevais ce médiocre repas. A ne pas refaire. Je relevai la tête quand on annonça alors que la vice présidente quincy, une certaine Charlie je ne sais pas quoi, allait nous faire un discours. Je relevai les yeux vers la demoiselle, plus par réflexe que par réel intérêt. Et c’est avec un air franchement désabusé que j’observais la jeune femme nous servir son speech assommant sur l’importance des confréries, la nécessité de tous nous serrer les coudes, de s’unir face à la menace de voir disparaître cette tradition ancestrale… Blablabla. C’était maintenant qu’elle allait nous chanter qu’on était tous frères, qu’on devait se tenir la main et s’aimer les uns les autres. Barbant. Et pas très étonnant de la part d’une quincy. Je mimais un bâillement pour manifester mon ennui. La jeune femme termina son speech sous quelques applaudissements des étudiants présents. Ca aurait pu s’arrêter là. Mais c’était plus fort que moi. Mon esprit critique devait parler. Et puis c’était ma BA du jour. Dire à cette jeune femme à quel point elle venait d’être mauvaise, c’était épargner les autre en l’empêchant de nous resservir ce genre de speech sans intérêt. Je me levai donc pour la rejoindre, en grand sauveur de l’humanité, prêt à la remettre à sa place, me sentant d’une humeur particulièrement cinglante aujourd’hui. Je claquai mes mains lentement avec un air volontairement narquois. « Quel discours… » Félicitations qui suintaient l’ironie j’avoue. « Tu t’es jamais demandée pourquoi tu n’étais que VICE présidente ? Parce que clairement on vient d’en avoir une belle démonstration… » Manque de charisme évident ma belle.
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« Respire Charlie ça va bien se passer. » marmonnai-je à moi même avant de prendre une profonde inspiration. Un inconnu me refila un mégaphone et je grimpais souriante sur la petite estrade qui avait été placée là. Ce meeting était organisé à la va vite à l'annonce d'une possible fermeture des confréries par le nouveau doyen et je n'étais, du coup, pas vraiment prête. Déjà je partais du principe que prendre la parole devant autant de monde était un véritable métier, et que ce n'était pas le mien. J'étais plus à mon aise avec un scalpel à la main, et du sang plein ma blouse que devant une foule d'étudiants impatients, avec un micro. Je n'avais rien de préparé, pas de petites cartes pour m'aider en résumant mes grandes idées... rien. Et pourtant je me lançai quand même. Je me plaçai au centre de l'estrade avant d'amener le micro à ma bouche et d'improviser. L'idée était simple: j'allais remotiver les troupes. Ce n'était pas compliqué, je l'avais déjà fait. Peut-être pas devant autant de personne, mais je n'avais qu'à imaginer qu'ils n'étaient que dix et ça se passerait bien. Je commençais donc mon speech, restant relativement basique, ne prenant pas trop de risque puisque je n'avais rien préparé. Je me contentais de rappeler les valeurs de la Quincy, qui selon moi devaient être, en cette période, les valeurs de tous, mettant tout de même l'accent sur l'idée de solidarité. Après cinq longues minutes je descendais de l'estrade, mon boulot était terminé et je m'en étais bien sortie. Des applaudissement, quelques cris de soutiens... bref j'étais plutôt fière de mon improvisation. je rendais le mégaphone à son propriétaire avant de m'éloigner un peu. Je fus rapidement rejoins par un gars, que je n'avais jamais vu avant. Il prit son air le plus sarcastique en me félicitant pour mon discours. Je plantais mes yeux dans les siens, fronçant légèrement les sourcils. Il reprit rapidement la parole expliquant que mon rôle de vp était justifié par ma prestation. « J'ai fait ce que j'ai pu.» déclarais-je simplement avant d'ajouter: « En faite... t'es qui ?» pas besoin de politesse, il ne le méritais clairement pas. Je me retenais toute fois de rallonger ma question en un "t'es qui pour dire ça ?". Je n'avais pas envie de chercher les embrouilles, bien que honnêtement: je trouvais ses remarques blessantes.

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  La demoiselle afficha un petit air pincé devant mes remarques. J’aurais pu m’en tenir là, mais voilà, aujourd’hui j’étais de mauvaise humeur et c’était contagieux, j’avais envie de partager et de propager mon irritation voyez vous. Et cela semblait en bon chemin, puisque déjà la chère VP Quincy avait perdu un peu de son sourire devant mes marques de sarcasme narquoises. Elle m’interrogea sur mon identité sans y mettre les formes, même si fut mon entrée en matière, les politesses auraient surement été de trop de toute façon. « Cole Smythe-Wildingham. » répondis-je en me redressant, torse légèrement bombé, fier de mon nom et de mes origines friquées. Peut être que ce nom lui dira quelque chose d’ailleurs, l’entreprise familiale ayant acquis une certaine notoriété du fait de son essor. Dans le doute j’ajoutai quand même : « Je suis le frère de Victoria. Tu sais la PRESIDENTE de la Eliot House. » Insistant volontairement sur la place de dirigeante de ma jumelle alors que concernant mon interlocutrice, de son côté, elle devait se contenter du second rôle. « J’imagine que si elle avait été là, elle, elle t’aurait montré ce que c’était qu’un vrai discours. » Méchant, cassant, impoli… Je n’étais pas sûr que la quincy allait me supporter bien longtemps, même si les oranges étaient censés n’être qu’amour et générosité. Ca rendait le fait de la mettre hors d’elle encore plus drôle, comme un jeu…

HJ : je t'autorise à le frapper hein Supporter l'insupportable (Charlie)  3997999705
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Cole Smythe-Wildingham ? Je n'avais jamais entendu parler de lui, mais il avait l'air très très sure de lui, comme s'il était une sorte de star du cinéma à l’ego surdimensionné. Il n'était pas Justin Timberlake, il n'était pas aussi beau que lui, en faite s'il avait l'air attirant à premier vu il pardait tout son charme dès qu'il ouvrait la bouche. Il fallait qu'il redescende de son petit nuage: il n'était personne et il n'avait aucun droit de me parler comme ça. « J'connais pas. » dis-je simplement en haussant les épaules. Il ne tarda pas à ajouter qu'il était le frère de Victoria, la présidente des Eliot. Il insista sur le rang de sa sœur au sein de la confrérie, ce qui me laissait deviner que c'était son unique raison pour me prendre de haut. Il devait certainement être un Eliot aussi, ce qui, peut-être, expliquait son comportement si arrogant et limite impolie. « Ouais elle aurait certainement fait mieux que moi. » avouais-je, sans aucune honte, avant d'ajouter: « Mais elle n'est pas là. » j'esquissais un sourire presque taquin. Je n'avais rien contre Victoria, en faite je ne la connaissais pas personnellement mais j'étais persuadée qu'elle était une très bonne présidente. Son absence ici était certainement justifiée, mais en cet instant c'était mon seul argument contre le crétin qui lui servait de frère et qui me prenait de haut. « Par contre toi, je n'pense pas que tu aurais fait mieux. » poursuivai-je en pouffant de rire. Déjà parce qu'il n'était visiblement rien, si ce n'est le ''frère de la présidente Eliot'', et surtout parce que son petit numéro de méchanceté gratuite me laissait deviner qu'il n'était pas du genre à donner de sa personne pour une bonne cause. Non, il devait être le genre de gars qui rigolait en voyant quelqu'un tomber, et qui comptait ses billets verts le soir, bien installé dans un imposant canapé en cuire. Il était d'ailleurs certainement venue uniquement pour se moquer des autres, ça devait faire partie de ses passes temps préférés.

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 Elle espérait me vexer avec son petit haussement d'épaule et son affirmation qu'elle ne me connaissait pas ? Raté. Elle allait apprendre à me connaitre tiens ! Et pour commencer, j'allais retourner son ignorance contre elle : "Ça ne m'étonne même pas que tu ne me connaisses pas. J'ai entendu dire que tu n'avais pas un très bon sens du discernement concernant les gens." Pique visant sa relation passée avec l'un des quatre tarés qui s'étaient mis à commettre de terribles agressions l'an passé. Parce que oui, il me semblait bien avoir lu quelque chose sur ça dans un des ramassis de ragots du campus. Quand à ma soeur, dont j'étais plutôt fier, elle brillait en effet pour son absence à ce moment précis. Sauf que j'avais déjà les mots pour la défendre. "Non elle n'est pas là et elle a bien raison : cette cafétéria est vraiment mal fréquentée." affirmai-je avec un petit regard de mépris bien appuyé sur mon interlocutrice. "Mais c'est certain, je t'aurais pas égalé. Il n'y a que les Quincys pour déborder d'autant de bons sentiments. Vous serez les premiers à sauter c'est sûr. Surtout avec des discours pareils..." Voilà que je m'attaquais clairement à sa maison maintenant, histoire de la pousser à bout, affirmant que les oranges fermeraient leurs portes en premier, qu'ils seraient incapables d'amasser les 20 000 dollars demandés. "Je ne vois pas qui pourrait vous donner de l'argent... Ou alors peut-être par pitié. D'ailleurs tiens..." Je lui tendis un billet d'un dollar avec un air dédaigneux. "Ne me remercie pas..."
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Bon j'avais vraisemblablement réussi à le vexé puisqu'il passait aussitôt à l'attaque, et frappant là où ça faisait le plus mal. Evidemment je compris son sous-entendu sans soucis, ces événements avaient beau remonter à plus d'un an, j'en faisais encore des cauchemars la nuit et j'avais toujours bien du mal à en parler. Ce début d'année 2015 m'avait traumatisé, j'avais même songé au suicide tant j'étais au fond du gouffre et pourtant Cole semblait en jouer, ignorant totalement l'horreur que j'avais traversé. Il n'avait décidément aucune compassion, c'était même à se demander s'il connaissait ce mot. Je me contentais de baisser légèrement la tête, ne préférant même pas répondre, de peur qu'il ne parvienne à être encore plus blessant et à me faire pleurer. Il reprit rapidement la parole pour défendre sa sœur, et une fois de plus me lancer un pique qui n'était, une nouvelle fois, pas mérité. « Parce que tu penses que les gens vont faire des dont à des connards plein de frique comme toi ? » C'était sortie tout seul, honnêtement je ne le pensais pas, je connaissais quelques Eliot et ils n'étaient, bien heureusement, pas tous comme Cole. Comme si ce n'était pas suffisant il me tendit un billet d'un dollar et là ce fut simplement plus fort que moi. Ma main partie toute seule et vint s'écraser bruyamment contre sa joue, y laissant une jolie marque rouge. « Ton billet tu peux te le garder puisque de toute façon tu n'vaut pas plus que ça. J'suis pas la pour me faire insulter ou me faire prendre de haut par un mec aussi puant que toi. Mon discours ne te plait pas ? c'est pas mon problème, il ne t'était de toute façon pas adressé. » Lâchais-je d'un trait, franchement énervée.

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  Je pensais avoir rabattu le caquet de la belle avec mes insinuations plus que maladroites se référant à sa liaison avec une des agresseurs, puisqu’elle baissa un instant la tête. J’étais presque déçu de ne pas pouvoir observer ses yeux, de ne pas pouvoir y voir apparaître avec un plaisir sadique la lueur de tristesse que mes paroles devait avoir provoqué dans son regard… Je crois même que j’aurais adoré la voir verser sa petite larme. Horrible garçon ? Surement un peu… Elle sembla très vite comprendre à qui elle avait à faire puisque le qualificatif de –connard plein de frique- me fut directement destiné. Un petit rire s’échappa de mes lèvres. « Je n’inspire pas la pitié, moi. » répliquai-je avec fierté avant de dégainer un billet d’un dollar, en grand salopard.  Et la sentence tomba. J’avais finalement atteint les limites du supportable de la demoiselle il fallait croire puisque sa main s’abattit en une gifle sonore sur ma joue. Mes doigts allèrent caresser instinctivement ma peau rougie et douloureuse avec une grimace alors qu’elle perdait son calme. « Y’a pas un commandement chez les quincys qui dit –tu ne frapperas pas ton prochain- ou un truc culcul dans le genre ? » me moquai-je en lui jetant malgré tout un regard noir. « Tu peux me frapper autant que tu veux, tu sais ce que ça veut dire, tu le sais très bien qu’il n’y a que la vérité qui blesse… Tu devrais démissionner, ça serait surement une vrai BA envers tous les membres de ta confrérie. » Je continuais de jouer les langues de vipères, rangeant mon billet calmement. « Et puis d’où tu sors que je suis puant ??? » La gifle j’encaissais, la remarque sur mon odeur corporelle nettement moins. Surtout vu le prix que j’avais mis dans mon dernier flacon de parfum haut de gamme…
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La dernière fois que j'avais giflé quelqu'un ça remontait au bal de fin d'année. J'avais giflé ma meilleure amie, après qu'elle ait évoqué, contre moi, mon ex petit-ami, le fameux preneur d’otage, durant une dispute des plus violente. Et au jour d'aujourd’hui, je regrettais encore ce geste. Je perdrais très rarement mon calme, mais là il fallait bien avoué que j'avais atteint ma limite. Et malgré cette gifle Cole ne semblait pas vouloir de taire, ni s'excuser. Non, au contraire, il en rajoutait encore une couche, me donnant presque des envies de meurtre. Il ne voyait en moi que la Quincy, inoffensive. Alors qu'il avait aussi en face de lui une future chirurgienne qui maniait le scalpel comme personne. L'espace d'un instant je me laissais partir dans tout un tas de scénario: il y avait évidemment le moins probable, celui dans lequel je me transformais en une folle furieuse et où je le tuais. Puis il y avait le plus probable: celui où il avait un terrible accident et où il se retrouvait sur la table de mon bloc opératoire, devant compter sur moi pour lui sauver la vie. Alors que je me demandais ce que je ferais dans ce cas là, je fus sortie de mes pensé par un nouvelle remarque de sa part. Il me sortait la fameuse excuse du : "il n'y a que la vérité qui fâche", un vrai gamin ce Cole. « Tu n'sais visiblement rien de la Quincy, donc  ne parle pas de ce que tu ne sais pas. » dis-je froidement alors qu'il se frottait la joue tout en me fusillant du regard. Il rangea enfin son billet, puis j'esquissais un léger sourire lorsqu'il sembla blessé de ma remarque concernant son odeur. J'aurais bien retourné sa réplique concernant la vérité, mais je me refusais de m'abaisser à son niveau. « J'ai mieux à faire que de me prendre la tête avec toi.» lâchais-je enfin. Je préférais partir avant de vraiment commettre un meurtre. Je tournais donc les talons, prenant la direction de ma voiture. Le plus loin je serais de ce crétin, le mieux je me porterais.


HJ: je n'sais pas si ça clôture ou si tu veux ajouter quelques choses Supporter l'insupportable (Charlie)  3997999705
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