NIENKE VAN DIJK ► Jessica Sikosek

Ma famille et moi avons toujours vécu à la Haye aux Pays Bas. Enfin nous avons déménagé un an après la naissance de ma petite sœur. ON n'a jamais manqué de rien mon frère, mes sœurs et moi. La fraternité chez les van Dijk c'est la chose la plus importante. Tommy et moi nous étions inséparables, on était le duo de la fraternité même si nous étions la plupart du temps fourrés avec Saskia et Jennie. Nous n'avons jamais manqué de rien, notre famille peut être place dans la case aisée mais nos parents nous ont toujours appris à travailler. On a jamais rien sans rien, telle est la devise familiale. Tous petits, nous partions avec notre père et notre mère pour des voyages humanitaires et moi j'adorais ça. D'ailleurs je pars souvent l'été dans des pays peu développer pour leur apporter mon aide, je trouve cela important. J'aime enfiler un vieux jeans délavé, une paire de basket et un débardeur pour construire du mieux que je peux, avec d'autres, des écoles pour les enfants qui n'en ont pas. Je pense être une personne nature qui ai la superficialité. Je n'aime pas les coquilles belles de l'extérieur mais qui sont vide à l'intérieur.

Pendant toute notre scolarité, les autres nous voyait comme une famille qu'il fallait respecter, les van Dijk étaient reconnus de tous. Pour vous imager la chose, imaginez les Cullen dans Twilight et vous verrez tout de suite de quoi je veux parler (même si je ne suis pas très fan de films un peu nianian). J'étais une très bonne élève et pour tout vous dire je n'avais pas besoin de passer des heures devant une feuille pour que les leçons rentrent. Non, j'avais juste besoin d'écouter en cours et de relire mes notes une fois rentrer à la maison et tour était jouée. C'est plutôt cool, non ?

Après le lycée j'ai directement été reçue à Harvard où j'ai pu retrouver ma grande sœur Saskia qui faisait déjà ses études. Ca a vraiment été difficile de quitter le cocon familial et encore plus mon frère avec qui je passais le plus clair de mon temps. Mais au fond de moi je savais pertinemment qu'un jour ou l'autre il me rejoindrait, je ne savais pas quand ni pour quoi mais je le sentais. Finalement, mon pressentiment c'était révélé être vrai puisqu'après la prise d'otage il est venu à Cambridge. Nous avions plutôt bien vécu la séparation mais le fait de se retrouver c'était come si nous étions au complet, comme si j'avais retrouvé la partie de moi qui me manquait.

Depuis petite j’aime toucher à tout, j’ai un regard très ouvert sur le monde qui m’entoure et j’aime surtout comprendre les choses. Je ne supporte pas le fait d’être enfermée ni d’être prise pour une jeune femme naïve. Je ne comprends la bêtise des gens et surtout leur volonté de frapper là où ça fait mal. Je suis plutôt une calme dans mon genre, douce et aimante mais quand on me cherche en général on me trouve. Je trouve toujours le moyen d’aider mon prochain et de tout remettre en question. Je n’ai jamais vraiment eu de petits copains, il faut dire que je ne suis pas très douée pour parler de sentiments et c’est au lycée que je m’en suis rendue compte quand un garçon était fou amoureux de moi, moi aussi mais je n’ai jamais eu le courage de lui dire. Je ne pense pas vraiment à l’amour, je ne le cherche pas. J’attends plutôt de rencontrer quelqu’un qui me frappera en plein cœur et qui comme premier rendez vous m’emmènera manger un kebab sur le terrain de foot du campus. J’aime les choses simples et efficaces, la musique et la photographie. Je suis contre tout type de stigmatisation, contre la religion seulement je respecte l’avis de chacun. On aime souvent me protéger et parfois je peux me rebeller pour ça mais quand on me regarde je n’ai l’air que d’une jeune femme sans défense.