J’m’en branle, j’fais comme j’l’e sens.
Ceux qui m’aiment comprendront
pourquoi je le fais justement parce
qu’ils m’aiment, j’m’en branle.
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christopher miles
@skins uk
4 mai 1997Joyeux anniversaiiiiiiiiiiiiiiiiire Lana. Tu sais que ton nom à l'envers ça fait anal ? Voilà, voilà, welcome to my world. Ici c'est le coin ou je range mes livres, j'en ai beaucoup, Martine à la mer, Marine fais du vélo, Martine a un nouveau chien, elle fait plein de chose Martine, maman dit que c'est parce qu'elle est déscolarisé et que ses parents s'en fiche pas mal qu'elle se promène seule dans les bois. Et moi, j'me dit que parfois j'aimerais pouvoir vivre de grande aventure comme Martine, mais j'doit aller à l'école, apprendre à lire et à écrire et retenir des poèmes qui me sert à rien, comme le Cancre de Jacques Pervers ou alors la Cigale et le lièvre, t'sais c'est l'histoire d'une cigale qui court contre un lièvre et elle fait des réserves pour l'hiver, ou un truc dans le genre. J'ai un peu du mal avec la littérature de nos jours. Bref, j'ai six ans et maman m'a offert ce magnifique journal, avec une photo de moi comme ça on s'est que c'est moi, et un L écrit en argent, brillant et y a même un cadena, mais maman dit que je risque de perdre les clés alors elle l'a enlever. J'espère pouvoir t'écrire encore, souvent. Si tu veux savoir ou tu es, tu es cacher sous mon panier à linge sale, dans la chambre que je partage avec Théa, dans l'appartement 91260 de l'immeuble Jean L'amour, dans une rue, dans le centre ville de Vancouvert. Comme ça, ni papa, ni maman, ni Théa, ni Daya, ne pourrais te trouver. Ce sera notre secret.
31 juillet 1999Papa c'est mon super héro. Il sent la menthe et l'eau de toilette. Le soir quand il rentre, il vient dans nos chambres pour nous portez sur ses épaules, et nous demandez :
« C'est qui les petites filles les plus gentille de la planète ??? » Parfois j'doute, surtout quand j'ai envie d'étrangler ma sœur parce qu'elle prend mes paillettes pour dessiner ses arc en ciel, moche. Mais la réponse évidente est et sera toujours :
« C'est nouuuuuuuuuus. » et on fait une cabane avec nos draps, et on roule dans les escaliers avec des boîtes en cartons et parfois on prend le thé avec les peluches et papa porte très bien son chapeaux haut de forme et sa petite jupe.
« Un peu de sucre mon cher ? » sa moustache frissonne quand il sourit, et des fossettes se dessine sur ses joues, alors il me tend son verre et lève son petit doigt pour me répondre.
« S'il vous plais, my lady. » papa adore joué avec nous, il adore aussi prendre des photos, les parades les jours de fêtes, l'odeur de la pluie, et les films allemand. Il pars tout les jours au travail, mais je préfère dire qu'il part tout les jours vivre de grande aventure.
25 septembre 2000Il est 3h du matin et j'arrive pas à dormir. Je me tourne, me retourne et me re-retourne. Et puis, je me fait chier, et j'ai faim aussi ! Je me fais chier, j'ai faim, je me fais chier, j'ai faim, je me fait faim, je... quoi ? Euh atta, je me suis encore embrouillé toute seule ! Grrrrrr, je me retourne, en essayant tant bien que de mal de trouvé une bonne position mais rien à faire... LIT DE MERDE UN JOUR JE VAIS TE BUTER TU VAS RIEN COMPRENDRE A TA VIE DE LIT YAKOI ? Mon chat se met soudainement à miauler, AAAAAAAAH je sursaute en le voyant à la fenêtre. Ses yeux me fixer et il continué son miaulement, je ne vous l'ai pas dit, mais je pense qu'intérieurement mon chat se prend pour Susan Boyle, mais ça c'est un de ses lourds secret de quand il vie dans le monde des chats.
« Miaou ? » « Miaou ! » hihi, je parle chat oui.
« Miaou, miaou ? » « Miaooooou » Il est adorable ce petit. Quand j'étais gosse, j'aimais bien lui caresser le dos avec ma brosse à cheveux, ça la rendue accros à mon odeur, du coup le soir quand il se sent mal il vient se blottir dans mon tiroir à chaussette et met plein de poil sur mes chaussettes, mais bon, tant qu'il vomit plus ses boules de poiles dans mes chaussures ça me va. Il ronronne, et tomber d'un coup.
« MR PANTOUFFLE ! » viiiiite, la lumière, mon dieu ne me dite pas qu'il est mort ! Son dernier mot a été.... MIAOU ! Je m'en remettrais jamais, c'est comme quand Théa a tué mon poisson rouge, Bublle, il mérité de vivre, Théa n'avais pas à l'assassiner en mettant du poivre dans ce bocal ! NON PAS ENCORE! Je saute du lit en mode superwoman (enfin, je me pense pas que supergirl dorme dans un pyjama Snoppie, mais passant sur les détails) je m'étale sur le ventre, dans une grâce non imaginable et le ramasse du bout des doigts avant de gueuler (toujours avec cette même grâce)
« A L'AIIIIIIIIIIDE MONSIEUR PANTOUFFLE IL EST MOOOORT ! » j’entends des bruit de pas et la lumière qui s'allume. Quand la porte s'ouvre soudainement, je voit mon père dans un contre jour et la lumière du couloir qui m'aveugle.
« MA PUCE QUE PASA ? » je lui montre monsieur pantoufle et il nous porte tout les deux la voiture. Je passe devant pour la première fois de ma vie, je crois que maman est rester dormir mais c'est pas grave, c'est une occasion de passer un peu de temps avec mon père. Monsieur Pantoufle est sur la banquette arrière, je me retourne de temps en temps pour lui soufflais des
« courage mon gros minous ! » mais très vite l'émotion me submerge (je n'ai que huit ans je vous le rappelle) et je me met à pleuré. Mon père se déconcentre très vite de son trajet et passe ma main dans mes cheveux.
« Ma puce.. Faut pas pleuré comme ça, il va s'en sortir notre gros minou ! » j'essuie mes larmes.
« Tu le penses ? » -
« J'en suis certain ! Comme deux et deux ça fait six ! » -
« ça fait quatre, papa. » on se met à gloussais doucement. Mon papa c'est un super-héro. Non je fais pas comme dans les films, mais mon papa c'est VRAIMENT un super héro, il est a l'armé et je le voit très peu mais je sais qu'il sauve plein de monde, parce qu'à chaque fois qu'il rentre de mission il a ce sourire qui dit qu'il est fière de ce qu'il vient de faire. Un jour j'aimerais retrouver se sourire sur le visage de maman.
« PAPA REGARDE ! » mon père s'arrête et se retourne. JE REVE ? MONSIEUR PANTOUFFLE EST UNE FEMME ! Toute mes excuses ma toute douce, j'ai longtemps pensait que tu était un chat mais en fait t'es une chatte. Et tu n'es pas malade, mais tu es en train de mettre au monde des pitis chatons. SO CUUUUUUTE.
« On pourras les garder, hein papa ? » 28 septembre 2000Mr Pantouffle a eu trois bébés, comme promis on a garder les trois, chacune a eu le sien, j'ai appeler ma chatte Marie-France, parce qu'elle a une tâche en forme de France sur le dos.
3 février 2001Maman a inventé une nouvelle rappe à fromage, enfin, elle crois.
« Donc tu voit, tu met ton fromage, ta carotte ou legume, à part des tomates bien sur, dessus, et tu grattes. Et.. TADA ! Ça le rend leger et facile à étaler sur tes pâtes, t'es penses quoi ? » -
« J'peux en avoir sur mon omelette ? » -
« Non, mange tes céréales au blé complet, ça va refroidir. » on roule des yeux en cœur, si c'est pas beau ça. C'est pas la première fois de l'année que Théa se prend un gros vent de la part de maman, non, ici on a pas le droit au fameux eggs, bacon and pancake tel de vrai petite canadienne, non, nous c'est céréale, avoine, biscotte et si on mange des œufs c'est parce qu'il est mixer au smoothi fraise, kiwi, copeau de banane qu'on doit boire avant d'aller en cours.
« Bon pour la peau, équilibrer, apporte tout ce qu'il faut, là ou il faut. » c'est ce qu'elle dit, parce que c'est ce qu'elle pense. Maman pense que la beauté est la chose la plus importante du monde, que c'est grace à ça qu'on fait le monde. J'pense que c'est vrai, sinon la maîtresse se mettrais pas en mini jupe pour montrer ses jambes au directeur, mais je pense aussi qu'y autre chose de beau chez les gens. Comme leurs rires, leurs sourires, et le truc qu'ils font quand ils sont gêner, genre je baisse un peu la tête et un mini-sourire, c'est tout ces petits trucs là qui sont beau, moi je trouve ça beau quand une voiture même presser, laisse passer une mamie et je trouve ça beau aussi quand mes sœurs et moi on s'entraide en volant des desserts à la cantine pour les cacher sous mon lit, mais ça encore une fois, c'est un secret entre nous.
10 août 2001On déménage à New Yoooooork ! Dans une résidence, avec plein d'enfant, et j'aurai une chambre rien qu'à moi et un jardin, avec une balançoire, tu trouves ça cool journal ? MOI JE TROUVE CA EXTRA MEGA COOL !!!
« J'ai hâte de me rouler dans l'herbe !! » Daya est excité comme une puce, la dernière fois qu'elle était comme ça, c'était quand elle a avaler un pot de deux kilos de crème glacer et que ça lui ai monté au cerveau. Vous riez, mais ça arrive tout les jours !! dans les faits divers, une fille a déjà fait une crise dépilation parce qu'elle a manger trop de nutella, hé ouai.
3 octobre 2003J'suis énervé, non pire que ça, je suis super méga énerver. Y a deux jours de cela, Daya est rentré en pleure, elle a essayer de cacher ses larmes avec son écharpe, mais on me l'a fait pas à moi, non, détective Lana a l'oeil sur tout, pire qu'Hercule Poirot.
« Daya, ça va ? » « Oui, laissez moi tranquille. » Alors on l'a chopper dans sa chambre avec Théa, fermer a porte et on a convoquer le conseil des trois sœurs. C'est un cercle secret dans lequel on est les seules membres et même les parents n'ont pas le droit d'y entrée, surtout pas maman.
« Raconte ! » la voix ferme de Théa et les bras croiser sur son torse met tout de suite l'ambiance, si on devait être le gentil flic et le méchant flic, elle serais probablement le méchant et moi le gentil, parce que j'arrive même pas fixer Daya dans les yeux, parce que j'aurais trop envie de la câliner, mais ELLE NOUS MENT, donc pas de calinage qui tienne.
« Aller Daya raconte. » elle me regarde, je la regarde, elle me regarde avec ses yeux de merlan frie, je la regarde en sachant que je vais céder et.. et...
« Les garçon d'à côté, m'appelle Barbie, parce qu'ils disent que mon cerveau c'est du plastique. » on fait de gros yeux, c'est pas possible, je fronce les sourcils et je voit bien que Théa commence à monter dans les tours, elle ne répond même pas, claque la porte et enfile sa doudoune. Ça va chier sa mère !!!!!! et on sent l'inquiétude et la peur dans les yeux de la benjamine qui n'arrive même pas à mettre sa doudoune à l'endroit, poor little thing, elle doit avoir hérité des neurones en retard de la madré. On la suit au pas, tout aussi énerver. On dévale les escaliers, puis la rue, puis leurs jardins, ils sont tranquille dans leurs balançoire ; j'ai vu ce crétin de Scott rire en nous voyant arriver, mais il s’attendait pas à ce que Théa lui saute au coup! Qu'elle le plaque au sol et qu'elle commence le frapper dans tout les sens. Son frère a essayer de la stopper, alors j'ai sauté sur son dos, attraper ses tétons et tirer de toutes mes forces. On savait pas ce battre, non, loin de là, mais on sait prendre soin des uns et des autres et sortir les crocs quand il le faut. Grrrr arg, ça va dans tout les sens. J'ai mis se gros balou au sol, et j'ai commencer à lui filer tes coups de pied dans le ventre, et un bon coup dans les partits génitale.
« APPEL ENCORE MA SOEUR BARBIE ET J'TE FERAIS BOUFFER DU PLASTIQUE ! » lance Théa avant de lui cracher dessus. Je lui fait un doigt en mode thug life alors qu'il est encore au sol. TOUCHE UN MEMBRE DE MA CLIQUE NEGRO TU VERRA QU'ON EST PAS TOUT SEUUUUL AAAH.
« Vous êtes folle ??? Maman va vous étranglez. » « Pas si elle n'est pas au courant ? » je lui fait un clin d'oeil à Daya avant qu'elle se jette dans nos bras. Aïe, il m'a quand même déplacer une côte j'crois, mais j'vais évité d'en faire part à ma petite chose, et la sert tout contre moi. Je serais prête à tout pour cette enfant, à tout.
1 janvier 2004Théa et moi on s'est cacher dans la chambre des gens chez qui on était invité, impossible de me souvenir de qui sont ses gens, ni même de comment on a atterrie chez eux. En tout cas ils avaient plein de pot de crème glacer et on s'en ai enfiler au moins trois chacune. Caramel, Bubble Gum, Fraise, Pistache et le meilleur de tous : speculos. Je savait pas que des goûts de glace pouvait provoquer en moi de tel émotion.
21 mai 2004On est rentrée de la kermesse de l'école, c'était grave fun, j'adore l'odeur des barbe-à-papa et le bruit que font les gosses quand ils en avalent, un truc du genre
« mmmmmh, c'est bon. » ou un truc dans le genre. New York me plaît pas mal, j'ai eu du mal à mis faire, mais au final j'adore me perdre dans la foule et regarder les gens dans le métro, parfois je fait un arrêt de plus et j'essaie de les faires parler dans ma tête. Bref, on est rentrée, Daya a virer ses chaussures et tournoyer sur elle même avant de tomber tête la première dans un tas de robe empiler.
« REND MOI CA ! Je t'avais dit de ne pas toucher à ça. » maman, une voix stridente, et une paire de chaussure volante.
« Arrête, tu voit bien que je suis entrain de la porter. Tu ne vas pas me l'arracher tout de même ? » « Pourquoi est-ce que je me gênerais? Tu sais tout ce que tu m'arrache toi ? Tu m'as arracher les ovaires, tu m'as arracher le cœur, tu m'as arracher toute forme de dignité, tu m'as arracher mon vagin à présent en miette à cause de trois énorme tête et maintenant tu veux m'arracher ma magnifique robe ? Tu peux toujours RÊVER. » j'ai pousser la porte, et on a vu une chose plus incroyable encore que michael jackson et lady gaga réunit aurait eu un mal fou à le croire. Mon père, dans la robe bleu pacifique de ma mère, sur des talons de cinq centimètres, et ma mère le frappant avec une paire de tong beige claire pailleté. Y a eu un gros blanc, le genre de gros blanc qui est tellement blanc qu'on pouvait entendre la voisine éternué à travers les murs, alors qu'elle vit dans la maison d'à côté, et qu'on est genre séparer par deux jardin, trois chien et un grand chêne. Papa c'est racler la gorge, et Théa a passer une main sur sa nuque.
« Allez vous couchez. » il était 18h, ou dans ses eaux là, ma mère nous a limite pousser dehors, sans explication, sans rien, elle a fermer la porte a clés.
18 novembre 2004« Code rose. » Théa tire sur mon draps pour me réveiller. Le code rose est jumelé au pot de nutella, jumelé à la carte bleu, jumelé au enregistrement de la chaîne de télé-achat, soit le quotidien de ma mère depuis que papa a quitté la maison. On en a plus jamais reparler de ce lendemain de kermesse, on fait comme si ça n'avait jamais exister et que papa n'avait pas quitter la maison pour vivre une toute nouvelle vie, dans un tout nouveau corps, sans nous.
« T'as combien sur toi ? » je fouille les poches de ma veste, un ticket de métro, des tic tac et un billet de vingt que les voisins m'avait filer après une journée de baby sitting, que je tend à ma sœur.
« J'peut pas sécher, j'ai un devoir de maths, et toi ? » elle secoue positivement la tête.
« J'vais rester ici. Tu peut me ramener un flan de la cantine ? J'en ai rêver hier soir. » c'est le seul point positif de cette nouvelle vie. Au chiotte les régimes bio, les trois heures de sport, les petits déjeuner qui finit en chiasse. Ma mère dormais dans le canapé, je la rejoint, pose ma tête sur la sienne pour embrasser le haut de son crâne, et lui adresse un sourire. Elle cache ses larmes sous une tonne de mascara waterproof et des grosses lunettes.
« Regarde ça ma puce, un nettoyeur vapeur. Tout ce que tu as a faire passer un riquiqui coup de balais et BOUM, tout est propre, tout vas bien. » « Voilà enfin quelques chose qui nous serez utile. Tu penses que ça nettoie la mémoire des saletés aussi ? » 3 Septembre 2005J'ai rencontré ce garçon, il me rend un peu maboule. Il s'appelle Sasha. Toutes les filles de ma classe craque pour lui, et pourtant c'est moi qu'il regarde. On a parler, il a fait un jeu de mot qui m'a fait rire, et m'as demander si j'aimais bien lire. Je lui ai parler des Martine que j'avais dans ma bibliothèque et ses grandes aventures et il a rit. Un petit rire mignon, il ne se moquait pas, il était juste heureux d'en apprendre un peu plus sur moi. Faudrait que je lui parle plus souvent, que je lui demande ce qu'il aime, ce qu'il voudrait faire plus tard, si il aime bien Oasis, parce que c'est l'un de mes groupes préférés. Si il a déjà bue un smoothi avec des œufs à l'intérieur et si ça lui ai déjà arriver de rêver être un légume. J'ai envie de lui dire plein de chose, des choses futile, que j'ai envie de lui partager, juste pour qu'il le sache.
14 février 2005« Parfois j'ai juste l'impression que tu me subit. » quel beau jour de saint valentin que d'être allongé sur le tapis de ma chambre, une coupe de glace à la vanille au pépite de chocolat et au morceau d'oreo dedans. Sacha était ici comme chez lui, il s'entend parfaitement avec Théa, traite Daya comme sa propre sœur et arrive à être à la fois polie et ignorer ma mère quand il le faut.
« Pourquoi tu dis ça ? » ses yeux, mon dieu ses yeux, quand il les poses sur moi j'ai l'impression que mon utérus s'emballe déjà.
« Parce que j'ai juste l'impression que tu me subit. » dis-t'il avec la même fermeté, comme si c'était évident pour moi de savoir comment décoder cette phrase. Non mon cher, ça ne l'est pas, tu n'es pas un sac Marc Jacobs transparent et encore moins du papier film, c'est assez dur pour moi de savoir quel est le font de ta penser. D'ailleurs je fronce les sourcils et hausse les épaules, un morceau d'oréo sur le menton.
« Tu te trompe. » qu'il m’enlève du bout de son index, ses mains, mon dieu, ses mains, quand elles me touche mon vagin s'enflamme, comme un feu d'artifice vaginale.
« C'est sûrement juste une impression, alors. » « Tu me fait respirer. » « C'est à dire ? Que je suis une genre de bonbonne d'air ? J'pige pas trop ta métaphore. » « ça semble un peu confus, je sais. Mais parfois, il m'arrive de me retrouver dans une pièce, seule ou avec une troupe autour de moi, de manger avec ma famille, ou encore de faire la queue pour un sandwich. Quand j'ai soudainement l'impression de manquer d'air. J'ai une sensation horrible qui m'attaque les poumons, comme si j'étais en apnée depuis trop longtemps et qu'il faut que je respire un coup avant de crever dans les profondeur de l’océan. J'ai beau me débattre, je continue de couler, et le ciel au dessus de ma tête ne fait que s'éloigner de plus en plus, la froideur des abysses m'empêche de me débattre plus, mon coeur ralentis sous le manque d'oxygène et mes cheveux me revienne sans cesse dans la face, je ne voit plus que le soleil sous un fond bleu qui s'éloigne doucement. Et c'est là que t'arrive. Tu sautes dans l'eau froide sans avoir peur des requins, ni des algues, ni de ne sait quel autre merde aquatique qui pourrais t'attaquer. Tu m'attrapes par le bras et alors que je lâche cette bouffer d'air que j'ai tenus si fort entre mes dents, tu m'allonges au sol et me réveille avant que quelqu'un dans l'autre monde ne s'en occupe. » 20 mai 2006je l'aime.
Est-ce que c'est moi qui vient d'écrire ça, journal ? Aucune idée, j'ai l'impression de tout savoir sur l'amour. J'ai lu des livres d'ailleurs, dessus et je ressent tout ! Les papillons dans le ventre, la tête qui tourne, dessiner son nom sur tout les coins de page, parler de lui quand il n'est pas là, parler de lui quand il est là, penser à lui partout, tout le temps, avoir toujours une envie folle de fourrer ma langue dans sa bouche et caler ma tête contre son torse, et respirer ses cheveux jusqu'à en avoir les jambes molles. Oh, j'ai aussi les jambes molles, mais ma mère est sûre que c'est parce que j'ai pris du poids, mais je suis sûre que c'est pas. C'est l'amour, le vrai. Je l'aime. Je pense l'aimais, j'aimerais que quelqu'un me dise si oui ou non c'est réel, mais tout les testes dans Elle magasine et dans Vanity Fair disent que oui je l'aime, et Vanity Fair ne ment jamais, surtout quand c'est Angélina sur la couverture.
3 octobre 2006Vanity fair ne m'a parler de la séparation. Du cœur briser. De cette horrible sensation de n'avoir plus aucune raison de se lever le matin. Il est partit, déménager, je lui ai donner mon corps, mon cœur, tout ce que j'ai pu le donner et tout ce que je peut encore lui donner et il a quand même du partir. Avec du recule j'aurais dit crever les pneus de sa voiture, ou m’allonger devant leur garage pour qu'il ne s'en aille jamais.
29 décembre 2007Un jour, j'me marierais avec Troy Bolton ou Gabriella Montez.
12 mai 2008Je suis prise à Yales, Théa a Harvard. Nos deux lettres dans la main, j'me demande encore comment j'ai réussi les admissions. J'me roule sur le sol et elle fait de même, tête contre tête, on fixe le plafond pour savoir que faire. C'était pas facile d'être une Westbrook, trois filles, trois petite tête blonde diriger par la reine mère qui vit des allocations familiale, de rosé et de toutes ses merdes du télé-achat. Elle ne fait que ça, depuis pratiquement six ans, elle ne fait que ça, et parfois elle se lève pour aller jeter du sable sur les gens qui font leurs joggings à Central Park, une veille mégère, qui sait à peine se géré, alors lui laisser Daya ? Hors de question.
« Je l’emmène. » « Hors de question, JE l’emmène. » « Pourquoi 'hors de question' ? Je l'ai géré quand tu as du passer tes oraux. » « Mais je l'ai fait quand tu as passer tes examen préliminaire. » « On peut faire une semaine, une semaine ? » je me met à rire, elle fait de même, comme si c'était notre gosse, et qu'on était un couple marier, je rêve. Où sont les géniteur de cette petite ? On les attend à l’accueille pour leurs donner le prix des parents de l'année !
« Hors de question. » sa petite tête blonde, on se retourne vers elle, elle est ensevelie de pétale de cerisier dans les cheveux et se pose lourdement sur le tapis, nous poussant pour se mettre au milieu.
« J'ai plus que deux années à tiré. Je ferais comme vous, piquez des sous sur les allocations familiale et prendre la pension avant qu'elle ne tombe dessus. » « tu penses enfin comme une Westbrook. » 1 juillet 2008WHAT TIME IS IT ? SUMMER TIIIIIME !
Moi j'aime bien tout faire à l'arrache
à la dernière minute,
comme ça j'suis en stress,
c'est bâclé et tout le monde
m'engueule. C'est mieux.
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mon grand talent de conteuse
@me askip
27 novembre 2008« Pénis. » Briony se retourne, elle me lance un regard électrique, 'fin j'sais pas vraiment si on peut appeler ça un regard électrique, parce que devrait sentir des électrochoc, mais dans mon cas j'me sent super bien. Je pousse d'ailleurs un peu sa chaise pour plus de réaction.
« Pénis. » dis-t-elle en se raclant la gorge. J'lache un rire, pas du tout discret. QUOI ? TU CONNAIS PAS CE JEU ??? Alors j'te fait un petit topo, c'est un jeu qu'on a inventé, ou qui est déjà inventé mais on le connais pas et on a sûrement modifier les règles comme au monopoly parce qu'on a perdu le monde d’emploi, je suis pas sûre qu'on puisse acheter des piscine dans le monopoly mais Briony est persuadé que si, alors on la laisse faire, et on la fait payer plus quand elle passe sur nos terres. Et donc on a inventé ce tout nouveau jeu qui consiste à dire Pénis de plus en plus fort, jusqu'à ce que la dernière personne hurle
PENIS et attire toute l'intention sur lui.
« Pénis. » dis-je donc en réponse à la brunette qui commencer à se déconcentrer de son devoir, parce que faut le faire quand y a un silence, sinon c'est pas drôle on passe juste pour des FOLLES. Ah oui, petites présentations de Briony, on s'est rencontrer à Yales, dans une de ses fraternités pourrites dans lequel je comptait m'inscrire mais qu'au final, j'ai été salement jarté. Bri est quand même rester avec moi, il m'a offert un putain de burritos supplément formage et on a danser sur du HSM, fin elle m'a regarder danser sur du hsm pendant que je m'envoyer sur Breaking Free.
« Péniiis. » dis-t-elle avec un petit plus d'ardeur, faisant tournée deux trois mec de l'amphi vers elle, je suis morte de rire, mais VRAIMENT MORTE DE RIRE !!! et tu comptes avoir ton année comme ça ? La ferme la conscience.
« PENIIIS. » dis-je dans un espèce de faux gémissement, je suis persuadée d'être toute rouge à cette heure-ci. Elle me fait penser à un mélange de Théa et Daya, et c'est peut être ça que j'aime chez elle (aussi parce qu'elle arbore un de ses magnifique fessier, mais ce n'est qu'un détail.)
« PENIIIIIIIIIIIS. » dis-t-elle en hurlant presque, le professeur se retourne TOUT AUSSI MORT DE RIRE QUE MOIIIII.
« J'connais ce jeu, mais c'est pas le moment, Silver, Westbrook, dégagez de mon cours. » apparemment, on a pas inventé ce jeu.
3 mars 2009« Elle est où ? » ma mère est une incapable, incapable de tout. Incapable de s'occuper d'elle, incapable de s'occuper des autres, incapable de se soucier des autres personnes en dehors de sa personne. ET OU SON MES FOUTU CLES ? Je fouille partout, je trouve pas, j'suis devant la maison et cette vielle morue refuse de m'ouvrir, une maison que j'ai pratiquement battit ! (fin pas vraiment, mais vous avez compris quoi, c'est moi qui m'en occupe depuis toujours) (aidez de mes sœurs) (et non elle et ses putains de télé-achat)
« MAMAN OUVRE. » je frappe contre la porte, rien. J'suis sure qu'elle est endormis contre le radiateur devant une rediffusion de plus belle la vie, ou une merde dans ce genre là. Ou alors c'est jeudi ? Et elle serait au central park pour balancer du sable sur les jeunes ??? Je suis dans le trou, fin pas littéralement puisque je suis devant chez moi, mais dans ma vie en générale oui, métaphoriquement parlant.
« MAMAN !!!! » « Elle n'est pas là, Lana ! » je recule d'un pas, et là.. OH MON DIEU LA. Je voit cette magnifique et merveilleuse créateur, bien former, des cheveux dorée tombant en cascade sur ses épaules et ce même petit minois, cet œuvre d'art, j'ai nommé :
« Daya. » elle est si belle, je la prend dans mes bras, où est partit le petit oiseau ? Deux ans sans la voir et voilà qu'elle devient un putain de cygne ? Elle me ressemble, fin moi je ressemble à Théa alors dans un sens on se ressemble toute. Je prend son visage dans ses mains, comme si je l'avais pas vu depuis des années, ce qui est le cas, puisque je l'ai vu il y a trois ans de cela il me semble, ne croulant pas sur l'or, j'n'ai pas vraiment les moyens de faire des aller retour Yales/Maison toutes les vacances, étant donner que ma bourse ne finance qu'un quart de ce que je doit dépenser, les études vous me dite ? OU plutôt, comment mettre un gamin de dix huit ans dans une merde pas possible, financièrement parlant. En fond sonore c'est Céline Dion qui passe et qui nous englobe dans de parfaite retrouvailles, everytime i see you, nananana AND I ALWAYS LOOOVE YOU. Wait c'est pas Céline ça !!!!!! et wait fois deux, comment ça ta mère n'est pas là.
« Où est maman ? » « à l'hôpital. » pour de vrai ? Genre le vrai hôpital ? Je lui fait de gros yeux, avant de la prendre nouveau dans mes bras. À quel moment est-ce que les rôles ce sont inverser ? Quand est-ce que ce fût son tour de tout porter sur ses épaules ??
« Je suis venu prendre les catalogues du Target, elle veux voir si y a des promos. » maman sera toujours maman.
« Et il m'a déposer. » mon regard se lève sur la voiture qui était juste derrière nous, que j'n'avait même pas vue en fait, je n'avais même pas remarquer qu'y avait une voiture, faut dire que c'est un dépotoir pas possible cette rue, entre les poubelles, les voitures et moto abandonner et les crottes de chien, c'est pas facile de reconnaître les voitures en marcher.
« Soit pas facher, et soit gentille. » dis-t-elle en passant ses doigts sur mon ventre, ce qui m'arrache un rire nerveux. Mais j'arrive pas à croire ce que je voit, il était là, enfin elle, et ses grandes jambes, et ses talons haut et un maquillage super bien fait digne de Caroline et Safia.
« Bonjour, Lana. » j'arrive pas vraiment à parler, en fait je suis scotcher, j'sais pas ce que j'ai le droit de dire, ce que je pourrais dire, et même ce que je devrait dire, alors j'dit rien. Parce que quand on a rien a dire on se tait quoi.
« Ta mère a fait une crise cardiaque. On m'a appeler pour que je viennent signer des papiers et comme Daya était seule, je voulait lui venir en aide. » noble de ta part, mais ça répare tout le reste que tu l'es aider pendant deux jours ?
« C'est quel hôpital ? » j'me tourne vers Daya, qui ne sait pas vraiment qui regarder, moi, puis elle, puis moi de nouveau, puis elle.
« Saint-Gisberg, elle va mieux, j'pense qu'elle va pouvoir rentré d'ici deux trois jours. Tu comptait passer la semaine ? » je secoue la tête, en fait j'en avait aucune idée. J'l'avait dis à personne, même pas à Théa, mais j'ai tout arrêter. J'ai bouffer la bourse en fête et téquila et j'ai envoyer chier Yales, et leurs programmes et leurs petits gens qui me faisait mal à la tête. En mode yolo, j'm'en fou de tout. J'étais revenu pour revenir, pour trouver un plan B, parce que c'est toujours ici que j'trouve mes plans B, mais apparemment, c'est moi leurs plans B.
« Je doit passer mon bac blanc cette semaine, et j'ai besoin que quelqu'un veuille sur maman, j'peut pas raté Lana, tu le sait aussi bien que moi. Mais quand j'partirais, qui restera avec maman ? » ses petits yeux de merlan frie, qu'elle pose sur moi, comme pour me forcer à faire confiance à notre père.
« Elle le peut, elle a dit que ça ne l'a déranger pas, qu'elle pourrais faire tout ce que maman à fait pour elle. » je la regarde, elle fait de même, elle me sourit, je ne lui répond pas, un regard ferme.
« Tout ce que tu doit faire c'est lui faire confiance. » qu'est-ce que je doit faire journal ? T'as une solution, toi ? Ah oui c'est vrai, tu n'est que du papier.
30 avril 2010C'est étrange comme sensation. Je ne pense pas avoir eu ce genre de sensation au cour de ma vie. C'est comme de nouveau avoir 10 ans, ne se soucier de rien, que ce qui se passe actuellement. Veillez les un sur les autres dans une confiance totale. Je fait un brin de ménage tout les deux jours, et elle, elle s'occupe de maman. Elle fait à manger, elle l'aide à se laver, elle lui parle des actualités, et parfois même, elle s'occupe de moi. Cette toute nouvelle personne que je ne connais pas, et qui m'aime si fort.
« Tu es toujours la même personne. » j'étais allongé sur le tapis de ma chambre, quand elle est venu me couvrir.
« J'pensait que tu t'étais endormis. » je lui fait un signe pour qu'elle viennent près de moi, elle s’exécute.
« Elle ne s'est pas embellie avec l'âge, elle est devenu aigri et méchante, elle en veux à toute la planète des malheurs qui lui sont tomber dessus, sans même voir que de bonne chose lui arrive. » « comme vous ? » « comme nous. » un silence s'installe, mais pas le genre de silence gênant qu'il y avait eu lorsqu'on a appris le poteaux rose, mais plutôt un silence compréhensif, on avait pas besoin de dire plus, on était sur la même longueur d'onde.
« Tu devrais de nouveau t'inscrire à Yales. » je fronces les sourcils et secoue la tête.
« Que pense tu d'harvard alors ? » « C'est pas aussi facile de que ça. J'choisit pas des universités que j'aime bien en me disait : aller j'y vais ! C'est compliquer. » « Financièrement parlant ? » « Aussi, mais c'est surtout qu'il faut que je soit assez intelligente pour y aller. » « Tu l'es. » un rire, pourquoi est-ce que ça me fait rire de m'imaginer assez intelligente pour intégrer Harvard ?
« J'te paierais la première année. J'ai de quoi faire, tu me rembourseras quand tu seras riche et célèbre. » « J'te rembourserais même le double, avec les intérêts. » 10 juin 2010message de papa, reçu hier à 12.00 pm :
« Il doit rester quelques rêves d’enfant cachés sous mon oreiller, je tenterais de ne pas les écraser avec ma tête lourde de soucis d’adulte. » Mathias Malzieu
ne laisse pas ta tête d'adulte te mener la vie dur ma fille, vie tes rêves, je t'aime.
People will forget what you said.
People will forget what you did.
But people will never forget how you made them feel.
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1 août 2011Je voulais faire ma rentrée l'an dernier et j'ai été rattraper par.. la vie ? Je suppose que ça doit être ça. Par le temps, les saisons, les gens autour de moi. Engloutis si fort par le présent que penser au futur était trop compliquer. J'aurais aimer vous dire que j'ai choisit de ne pas être venu à la rentrée 2010, mais ce n'était pas un choix. Vous n'avez jamais eu l'impression d'être dépasser ? Par tout ? Et tout le monde ? Comme si vous ne pouvez plus rien contrôler, même pas votre propre corps. Vos mots, vos gestes, vos sentiments ne vous appartienne plus. Quand quelques chose grave arrive et que vous perdez totalement le contrôle, vos gestes sont lent et votre cerveau se met en pause, parce qu'il n'arrive pas à avaler autant d'information ? Vos sentiments deviennent de la bonne bouillabaisse et votre corps, plus qu'une enveloppe qui sert à cacher tout ce chaos qui fait de vous ce que vous êtes actuellement. Tout est aller très vite, ma mère est morte, mon père a essayer de se suicidé, ma sœur c'est fait viré de son université, et j'ai soudainement du tout porter sur mes épaules. Du haut des mes vingts ans, j'ai du géré trois énorme crise, et quand je suis arriver à bout de chacun, j'ai juste eu l'impression que ce n'était qu'un début. Et quand j'ai eu votre lettre d'admission, votre seconde lettre d'admission donc, j'me suis dit que c'était ma solution. Je devait m'extirper de tout ça. Vivre ma propre vie. Avoir mon propre chez moi, mes amis, mes études, avoir des soucis qui soit à la porter de mes épaules. J'ai réparer le tout. J'ai essayer, mais on ne peut pas construire une maison sans béton non ? J'ai essayer avec un scotch et c'était pas top. J'sais pas où j'en suis, ni même ce que j'ai envie de faire, mais je sais où je veux être, et j'veux être à harvard.
> pour soutenir Lana Westbrook faite un don <25 août 2011we can't
we can't
back down
not right nooow
we can't back down
* pense à se marier avec Nick jonas*
1 septembre 2011HERE WE ARE. Quatorze ans que je tiens ce journal, trois ans que mon père est de nouveau dans ma vie, un an que ma mère est morte, six ans que je ne suis pas tomber amoureux, deux heures que je ne suis pas tomber tout cours, trois mois que je sais ce que je veux faire de ma vie, quatre minutes que je suis officiellement étudiante à harvard. Qu'est-ce que j'ressent ? J'en ai aucune idééééééée. J'pense que si en fait, j'ai une sensation étrange d'être là où je devrais être. J'me suis toujours demander si j'étais au bon endroit, au bon moment. Et si j'avais arrêter les cours au lycée ? Et si je n'avais pas rencontré certaine personne ? Et si j'avais pris d'autre choix ? Pourtant là, maintenant, tout de suite, depuis ses quatre longues minutes, j'ai l'impression d'avoir fait les bons choix, penser dans le bon sens, fait les bonnes choses. Meilleure université du monde, enfin l'une des meilleurs, et arriver sur le campus grace à une pétitions signer par des élèves qui ont été sensibilisé par mon histoire si touchante. Je n'ai mentit à personne, j'ai pas troquer, j'ai pas tricher, j'me suis débrouiller par mes propres moyen de la manière la plus proche et la plus noble possible. Et me voilà. Cher journal, ça va être les derniers mots que je t'écris. J'sais que tu aimerais continue à suivre mes folles aventures, qui sont au final plus folle que celle de Martine à la pêche aux thons, mais il est temps pour moi de mettre à un point à cette histoire, du moins, une virgule. Et de te donner à ton vrai propriétaire : maman.