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Ismaël Wellington
Fiche d'identité
Nom Wellington. Il porte le nom de famille de sa mère, puisqu'il ne connaît pas son paternel.Prénom(s) Ismaël, Peter, Eden, Shannon. Et oui, bordel, il s’agit bien de deux prénoms de fille. Mais n’allez pas le lui faire remarquer, il le prendrait relativement mal. ge 24 ans.Date de naissance Le onze octobre.Lieu de naissance Juste de l’autre côté du pont, à Boston.Statut amoureux Célibataire, bien qu’il se vanterait sans doute d’être en couple avec ses comics, ses jeux vidéos et ses trois chats qui lui fournissent tout ce qu’un couple devrait offrir. Agacement, tendresse et désespoir face à une connerie grandissante.Orientation sexuelle Homosexuel assumé. Ismaël n’a jamais eu le moindre problème avec ses tendances. L’ouverture d’esprit de sa famille y est sans doute pour beaucoup.Classe sociale Assez mauvaise. Les Wellington ont toujours eu sale réputation à Boston. Quant au contexte financier, il reste relativement bas. Fort heureusement, il s’agit d’une famille soudée qui s’entraide pour sortir la tête hors de l’eau.Études majeures Sociologie.Études mineures Philosophie.Job Il travail de nuit dans une maison de retraite, à Boston, en tant qu’agent de service hospitalier. En somme, il récure les chiottes et nettoie le sol. Trompeur, le nom du poste, hein ? Il est aussi speed-runner de jeux vidéos, mais ça gagne peanuts en vrai ce truc.Choix de groupe #1 Student. Ismaël n’est vraiment pas du genre à intégrer une maison quelconque.Choix de groupe #2 écrire ici (facultatif)Student.
J’aime être entouré, reconnu, apprécié. Pour autant, être parqué dans un groupe connu et reconnu de tous me refroidit clairement. Ceux qui se rapprocheraient le plus de ce que je suis seraient peut-être les membres de la Quincy House, mais je suis sans doute trop revanchard et impatient pour intégrer ce genre de groupe. De quoi m’exaspérer par leur volonté folle d’aider les autres alors que parfois, la nécessité absolue est tout autre. La Mather House m’aurait peut-être plu également, pour autant, je ne me vois pas écumer les soirées alcoolisées à grand renfort de hurlement de types bourrés. Ça va, merci, je retournerais chez ma mère si j’avais besoin d’une soirée aussi dingue. Je ne suis d’aucune communauté, je n’aime pas ça. Tout le monde porte des étiquettes au jour le jour, des étiquettes qui changent selon les gens, l’humeur et le lieu. Le matin bon samaritain et l’après-midi idiot sans nom. Je peux me vanter d’en porter une ribambelle sur le coin de la face, inutile de m’en rajouter encore, n’en jetez plus la coupe est pleine.
J’aime être entouré, reconnu, apprécié. Pour autant, être parqué dans un groupe connu et reconnu de tous me refroidit clairement. Ceux qui se rapprocheraient le plus de ce que je suis seraient peut-être les membres de la Quincy House, mais je suis sans doute trop revanchard et impatient pour intégrer ce genre de groupe. De quoi m’exaspérer par leur volonté folle d’aider les autres alors que parfois, la nécessité absolue est tout autre. La Mather House m’aurait peut-être plu également, pour autant, je ne me vois pas écumer les soirées alcoolisées à grand renfort de hurlement de types bourrés. Ça va, merci, je retournerais chez ma mère si j’avais besoin d’une soirée aussi dingue. Je ne suis d’aucune communauté, je n’aime pas ça. Tout le monde porte des étiquettes au jour le jour, des étiquettes qui changent selon les gens, l’humeur et le lieu. Le matin bon samaritain et l’après-midi idiot sans nom. Je peux me vanter d’en porter une ribambelle sur le coin de la face, inutile de m’en rajouter encore, n’en jetez plus la coupe est pleine.
APRÈS LA BOMBE.
Bien sûre que je me souviens de ça. Comment l’oublier ? Je n’étais pas dans le coin, au moment de l’explosion. J’étais retourné chez ma mère pour l’aider à foutre l’un de ses petits copains dehors. Mais ma petite soeur, elle, était bien présente. L’angoisse qui m’a pogné les tripes quand on a entendu l’information arriver à la radio… Je m’en souviendrais chaque jour qui passe. Un sentiment de peur, d’horreur, d’incompréhension. On est bien resté cinq minutes, scotché, à regarder d’un air hagard le journal télévisé. On était mort de trouille. Jusqu’à recevoir l’appelle de Judith. Ma soeur. Elle était saine et sauve. Perdu, et un peu sonné, mais elle avait eu l'intelligence de sécher les cours ce jour-là, pour profiter de son petit ami de l’époque. Je crois qu’on ne l’a jamais autant félicité pour sa connerie !
Bien sûre que je me souviens de ça. Comment l’oublier ? Je n’étais pas dans le coin, au moment de l’explosion. J’étais retourné chez ma mère pour l’aider à foutre l’un de ses petits copains dehors. Mais ma petite soeur, elle, était bien présente. L’angoisse qui m’a pogné les tripes quand on a entendu l’information arriver à la radio… Je m’en souviendrais chaque jour qui passe. Un sentiment de peur, d’horreur, d’incompréhension. On est bien resté cinq minutes, scotché, à regarder d’un air hagard le journal télévisé. On était mort de trouille. Jusqu’à recevoir l’appelle de Judith. Ma soeur. Elle était saine et sauve. Perdu, et un peu sonné, mais elle avait eu l'intelligence de sécher les cours ce jour-là, pour profiter de son petit ami de l’époque. Je crois qu’on ne l’a jamais autant félicité pour sa connerie !
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
Ces personnes me dégoûtent. J’ai toujours été un peu trop emphatique, et lorsque des jeunes filles se font agresser gratuitement par une bande de cons, je ne peux pas me sentir détacher face à cette situation. C’était glauque. Froid. Désagréable. Pour la première fois depuis mon entrée à Harvard, je me suis lié avec d’autres personnes, avec des groupes, des gens. On a beaucoup discuté de ce qu’il se passait d’étrange et de malsain ici. De quoi essayer d’apaiser les tensions naissant en chacun de nous. Ce fut sans doute bien pire après la prise d’otage. Encore une fois, j’ai eu beaucoup de chance ce jour-là. Absent. Une foutue gastro’ qui me faisait vomir mes tripes. Ça ne m’a pas empêché de regarder la télévision d’un oeil hagard, blessé et concerné par ce qu’il se passait.
Ces personnes me dégoûtent. J’ai toujours été un peu trop emphatique, et lorsque des jeunes filles se font agresser gratuitement par une bande de cons, je ne peux pas me sentir détacher face à cette situation. C’était glauque. Froid. Désagréable. Pour la première fois depuis mon entrée à Harvard, je me suis lié avec d’autres personnes, avec des groupes, des gens. On a beaucoup discuté de ce qu’il se passait d’étrange et de malsain ici. De quoi essayer d’apaiser les tensions naissant en chacun de nous. Ce fut sans doute bien pire après la prise d’otage. Encore une fois, j’ai eu beaucoup de chance ce jour-là. Absent. Une foutue gastro’ qui me faisait vomir mes tripes. Ça ne m’a pas empêché de regarder la télévision d’un oeil hagard, blessé et concerné par ce qu’il se passait.
PERSONNALITÉ (DÉBORDANTE)
Ismaël tient énormément de sa mère au niveau du caractère. S'il peut se montrer très doux et à l'écoute des autres, il a aussi beaucoup de répartie et n'hésite pas à s'affirmer au besoin. • C'est également un sacré trou-du-cul. Le genre de gars à faire une vanne gratuite qui vous donnera l'envie de le pousser du haut d'une falaise, tellement elle était naze et pitoyable. • Grand fan de comics et de jeux vidéo, il peut passer un temps considérable dessus. • Bavard comme une oie, c'est un sacré phénomène qui vous fera face. Entre ses pitreries et sa volonté d'être le centre de votre attention, il y a de quoi être rapidement épuisé par son comportement enfantin. • Son dicton ? Le ridicule ne tue pas et tout ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort. Donc, le ridicule nous rend plus fort. CQFD. Ce qu'il fallait défoncer. Votre argumentaire, en l’occurrence. Alors faite comme lui, devenez un peu des immortels. • Il passe son temps à se perdre sur Youtube, plus particulièrement sur des vidéos de chats qui tombent. • Il n'est pas spécialement efféminé et n'a même aucun goût pour la mode. Mais ça, c'est assez simple à remarquer, il suffit de jeter un coup d'oeil à son allure dégingandée et ses t-shirts à l’effigie de super-héros. • Autodidacte, il aime apprendre par lui-même, sur fond d'humour et d'oisiveté. • Mais au fond, ça reste un ange, hein. Un ange cornu, mais un ange quand même.
Ismaël tient énormément de sa mère au niveau du caractère. S'il peut se montrer très doux et à l'écoute des autres, il a aussi beaucoup de répartie et n'hésite pas à s'affirmer au besoin. • C'est également un sacré trou-du-cul. Le genre de gars à faire une vanne gratuite qui vous donnera l'envie de le pousser du haut d'une falaise, tellement elle était naze et pitoyable. • Grand fan de comics et de jeux vidéo, il peut passer un temps considérable dessus. • Bavard comme une oie, c'est un sacré phénomène qui vous fera face. Entre ses pitreries et sa volonté d'être le centre de votre attention, il y a de quoi être rapidement épuisé par son comportement enfantin. • Son dicton ? Le ridicule ne tue pas et tout ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort. Donc, le ridicule nous rend plus fort. CQFD. Ce qu'il fallait défoncer. Votre argumentaire, en l’occurrence. Alors faite comme lui, devenez un peu des immortels. • Il passe son temps à se perdre sur Youtube, plus particulièrement sur des vidéos de chats qui tombent. • Il n'est pas spécialement efféminé et n'a même aucun goût pour la mode. Mais ça, c'est assez simple à remarquer, il suffit de jeter un coup d'oeil à son allure dégingandée et ses t-shirts à l’effigie de super-héros. • Autodidacte, il aime apprendre par lui-même, sur fond d'humour et d'oisiveté. • Mais au fond, ça reste un ange, hein. Un ange cornu, mais un ange quand même.
Kumiko
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Kumiko et j'ai le même âge que m’sieur Ismi’. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à PRD/Bazzart ? Je sais plus. Il m’a l’air bien sympathique, même s’il y a beaucoup de monde et que ça me fait un peu peur, quand même .__.” M’enfin j’me connais, ça ira, grosse floodeuse que je suis... Alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Luke Pasqualino comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Shiya (bazzart). Je varie énormément sur la longueur de mes rps, tout dépend de mes partenaires et mon personnage est un personnage inventé.
Mot de la fin ? ▲ Pantoufle.
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
x adhérer un flood d'intégration (?)
x je veux être parrainer si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)
Mot de la fin ? ▲ Pantoufle.
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(Invité)