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i'll be the dad if that will make you change your mind ! (alaska)

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Les sms que je venais d’échanger avec ma soeur m’inquiétait vraiment. Je ne la reconnaissais pas, et j’avais peur qu’elle se soit fait quelque chose. Je ne sais pas depuis quand elle savait qu’Alex était la père du bébé d’Az, depuis quand elle gardait cela en elle. En voyant son dernier message, je m’étais précipitée jusque chez elle. J’avais laissé les jumeaux avec le garde du corps, me disant que c’était la meilleure chose que je pouvais faire avec le peu de temps que j’avais. Appeler une babysitteuse était impossible, et les autres, j’avais pas vraiment le choix. Il était tard aussi. Enfin, ma seule solution quoi. Alaska était ma priorité à ce moment-ci. Je ne pourrais pas la laisser seule alors qu’Alex avait réussi à détruire sa vie. Je lui avais dis de ne pas le faire, que je n’allais pas ramasser les morceaux, et pourtant, il avait réussi à mettre la vie de ma soeur en miette, à lui donner encore moins confiance en elle, et je n’avais qu’une envie, l’étriper vivant. Après les quelques bloques que j’avais fais en taxi, je me trouvais enfin devant l’appartement de ma soeur. Je sonnais, espérant qu’elle m’ouvre, et pas un de ses colocs.
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J'étais toute seule dans mon appartement. Mes colocataires étaient portés disparus depuis quelques jours déjà et vous savez, être seule de cette manière, c'est le meilleur moyen pour moi de faire des bêtises. Surtout quand je suis seule avec un minibar contenant une bouteille de vodka pleine. Qu'est-ce que je pouvais faire d'autre ? J'étais totalement perdue. Je n'étais pas certaine que la personne que je devenais soit une bonne personne. Je crois que je n'aimais pas celle que je devenais. J'étais devenue trop sensible, trop naïve. C'était le meilleur moyen pour se faire avoir par la suite. J'avais allumé la musique en mettant le volume au plus fort. J'avais une ma bouteille dans la main et je tournoyais sur mon lit en chantant par-dessus Depeche Mode. C'était triste de faire semblant d'aller bien. De faire croire que tout était parfait. J'allais devenir maman et j'étais amoureuse du papa. Le truc, c'est que la surface bien rose cachait des choses bien moins jolies. Je sautais du lit quand l'entendis frapper à la porte. « Feeeeeeeeeeeeeeeldt » Heureusement qu'elle était là, elle.  Heureusement que j'avais ma sœur dans ma vie pour veiller sur moi. « Danses avec moi... » m'exclamais-je en attrapant sa main pour la faire entrer dans l'appartement et la faire tournoyer sur elle-même.
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Je ne savais pas ce qui allait m’attendre derrière cette porte, ce que j’y trouverai. Est-ce qu’un de ses colocataires allait m’ouvrir, et je trouverai ma soeur, affalée par terre dans sa chambre entrain de se morfondre de la vie minable qu’elle avait? Pour être honnête, je préférais clairement cette image-là à celle que j’avais en face de moi alors que la porte s’ouvrit. Une Alaska clairement trop heureuse pour être vrai, et surtout bourrée. Elle me faisait entrer dans l’appartement. Je ne savais même pas quoi dire. Je ne pouvais plus lui gueuler dessus, cela pourrait avoir un effet négatif sur elle. La situation était bien trop délicate à mon goût. Je me retrouvais avec le cul entre deux chaises, si pas trois, vu que je devrais prendre une décision vis à vis de mon encore meilleur ami. Je lâchais de la main, laissant échapper par la même occasion un soupir qui devait en dire long sur mon état d’esprit. « Alaska, je suis pas venue pour danser. » J’étais venue pour quoi en fait? Pour veiller sur elle, pour m’assurer qu’elle ne ferait pas de conneries -qu’elle faisait déjà-, mais je sais pas si elle se décidait de se lancer sous un bus ou un train pour se débarrasser du bébé.
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J'étais complètement bourrée alors que je ne devrais pas l'être. Mais vous savez, l'amour, la tristesse, le manque, ça vous fait faire n'importe quoi. Du coup, j'étais ivre pour oublier et pour faire passer tout ça comme si de rien était, je faisais la fille joyeuse. C'était pathétique, mais vous savez, c'est ce que font la plupart des fêtards, ils font semblant d'être heureux le temps d'une soirée. Je crois que c'était ce dont j'avais besoin, ou alors, je n'avais pas réfléchi, je voulais juste oublier la douleur que cela faisait que de se retrouver seule du jour au lendemain. D'avoir le cœur brisé et de se dire que j'allais être une mauvaise mère célibataire. Ce bébé ne méritait pas ça. J'avais beau boire, mes pensées noires étaient toujours présentes et entre deux gorgées, j'avais cette fichue envie d'en finir avec moi-même qui persistait. Qu'est-ce que je faisais encore en vie ? Je veux dire, j'aurais pu en finir depuis tellement longtemps. J'ouvrais la porte à ma sœur. J'attrapais sa main pour l'attirer à moi pour qu'elle danse elle aussi. Je faisais ça pour ne pas croiser son regard inquiet. Nos mains se séparent rapidement et son agacement se fait entendre. Elle n'est pas venue pour danser. Très bien. Je me mettais à courir en direction de ma chambre d'un rire forcé. Je sautais sur le lit pour me mettre à sauter, tournoyer dessus. Feldt m'avait suivi et elle semblait ne plus savoir quoi faire. « Pourquoi tu ne souris pas Feldt ? Je suis heureuse là, ça ne se voit pas ? Pourtant, je fonctionne de cette manière depuis des années ! » Faire semblant, c'est tout un sport où je suis professionnelle. Mais il y avait des moments où il fallait que je baisse mes gardes parce qu'elle était ma sœur et qu'elle méritait de comprendre. « À quoi ça sert de rester en vie si c'est pour souffrir ? » lui demandais-je d'un regard perdu après m'être laissé tomber sur mon lit.
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Se sentir trahit par tout le monde, je ne connaissais que trop bien cette sensation et ce sentiment, surtout quand on avait déjà les émotions qui partaient dans tous les sens. Toutes personnes vivaient une grossesse différent. Je n’avais pas eu les sentiments dans tous les sens, mais j’avais toute fois eu des hauts et des bas très forts. J’avais soit été super heureuse, soit super triste, bien que la dernière était plus courante. Je ne connaissais pas assez bien Alaska pour savoir ce qui allait en devenir de sa grossesse, comment elle allait réagir vis-à-vis de la nouvelle d’Alex. Pourquoi est-ce que le monde était si tordu? N’y avait-il pas moyen de tout simplement vivre heureux, sans toutes ses histoires qu’on dirait sorti tout droit d’un soap? J’en voulais vraiment à Alex de ce qu’il avait fait endurer à ma soeur. Est-ce que tout ce qu’il touchait, il détruisait sa confiance en autrui? Je ne pouvais plus lui faire confiance, c’était tout simplement impossible. Je suivais ma soeur dans sa chambre. Je voulais lui gueuler dessus de se reprendre en main, de ne pas se laisser abattre par ce connard, et de lui montrer qu’elle n’avait pas besoin de lui. Pourtant, rien ne sorti de ma bouche. Je restais bouche-bée à la voir se détruire encore un peu plus. Je retirais ma veste, et la balançais sur une chaise libre dans la chambre, avant de venir m’asseoir en tailleur sur le lit, regardant ma soeur dans les yeux. « Souffrir ça fait partie de la vie. Parfois, il faut souffrir pour mieux vivre, mais cela ne veut pas dire qu’on va souffrir éternellement. » Il ne fallait pas qu’elle rentre dans cette spirale noire de la dépression, cela pourrait très mal finir.
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C'était ce que l'on appelle : péter les plombs. J'étais clairement en train de devenir folle. Déjà, la vodka ça n'aidait pas à rester sérieux et bizarrement, cette fois, ça n'avait pas les effets que ça avait habituellement. Peut-être parce que je faisais une sorte de dépression d'après rupture sentimentale et que je ne pensais même plus au fait que je pouvais être enceinte. Je faisais semblant d'être heureuse, tournoyant au rythme de la musique, essayant d'oublier le reste. Mais non, rien à faire, je pensais toujours au fait que je n'étais plus en couple avec l'homme dont j'étais amoureuse, que nos projets de famille et d'appartement volaient en éclat. Il allait faire tout cela avec une autre que moi et au lieu d'en pleurer, j'en dansais, faisant croire à tout le monde que tout allait très bien. Feldt ne voulait pas danser, bien évidemment, elle ne croyait pas en mon bonheur factice. Je la laissais donc pour courir en direction de ma chambre, sautant sur le lit avant de me laisser tomber, laissant venir en moi toute ma tristesse. À quoi ça sert de vivre ? Là était la grande question de ma vie. Ma grande sœur me rejoignait finalement, s'asseyant en face de moi pour me regarder dans les yeux et me parler en toute sincérité. « Je suis désolée d'être si faible, mais cela fait vingt-trois ans que je souffre et je n'en peux plus... » lui confiais-je tandis que mes yeux se brouillaient de larmes.
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Voir quelqu’un qu’on aime souffrir, ce n’est jamais facile, encore plus quand c’est un membre de notre famille. Voir Alaska dans cet état me donnait un vrai coup. Est-ce que j’avais été comme cela aussi quand Wyatt m’avait trompé? Aussi perdue et à bout de souffle? On ne pouvait pas se regarder dans un miroir dans ces moment-là, se laissant bien trop aller par la tristesse qui nous entourait. Se sentir trahit par la personne qu’on aimait pouvait faire mal, et nous rendait encore vulnérable, mélangé avec les hormones de la grossesse, un cocktail mortel. J’espérais être là pour ma soeur, comme mes amis avaient pu être là pour moi durant ma période difficile. Chacun réagissait certes de manière différente, mais dans le fond, est-ce que nous n’étions pas tous un peu pareil? Assise face à elle, je la regarde avec toute la sincérité et la force qui se trouvaient en moi. Je finis par la prendre dans mes bras, la serrant contre moi. « Ne t’excuses pas. Je te promets que ça va aller mieux, qu’un jour, toute cette souffrance aura disparu, et que tu seras heureuse avec quelqu’un qui te mérite pour de vrai, pour qui tu es le centre du monde. » La vie n’était pas facile, et parfois elle ne souriait pas aux personnes qui le méritaient. J’étais, cependant, convaincue qu’un jour, le soleil allait briller dans nos vies de plus belle.
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Je crois que j'allais donner une médaille à ma sœur. Une médaille d'or. Celle de la meilleure sœur que l'on puisse avoir. Elle était là, en face de moi, en train de me regarder avec une patience déconcertante tandis que j'étais en train de me foutre en l'air, dans un état déplorable. Je pleurais, j'avais envie de hurler et de tout envoyer valser. Je voulais me transformer en tornade, en tempête et faire des ravages irréparables. J'avais tellement de rage en moi, une rage que je garderais certainement à vie et qui me suivait déjà depuis des années. J'avais beaucoup de mal à m'en sortir, j'avais du mal à la contrôler, cette rage. Et Feldt était face à moi, dans un calme hallucinant et finalement, quand elle se mit à bouger, c'était pour me prendre dans ses bras. C'était réconfortant, ça faisait un bien fou. Je ne savais pas quoi lui répondre. Je n'avais pas envie de la contredire parce que j'espérais que cela arriverait un jour. Alors, je ne disais rien, je restais silencieuse, à pleurer dans les bras de ma sœur. « Merci d'être là pour moi » lui soufflais-je doucement.
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Parfois la vie jouait avec nous, nous tiraillaient dans tous les sens pour voir de quoi nous étions fait. Seulement, à force de toujours s’acharner sur les même, elle ne nous donnait pas le temps de souffler, de reprendre nos forces, et nous nous épuisions à force. Comment pouvait-on complètement se relever si à chaque fois que l’on essaie, quelque chose d’autre nous tombe dessus, nous forçant à recommencer de zéro? C’était épuisant, et à partir, d’un moment l’envie aura disparu et on ne prendra même plus la peine d’essayer. Je voyais ma soeur qui peinait à trouver son chemin, de remonter la pente alors que tout lui tombait dessus d’un coup. Je devais d’être là pour elle. Certes, cela ne faisait même pas un an qu’elle était entrée dans ma vie, qu’elle était devenue ma soeur, mais il y avait ce lien, ce quelque chose qui faisait que je m’étais attachée à elle. J’en voulais à ma mère d’avoir tromper mon père, je lui en voulais de ne pas m’avoir laissé une lettre, de ne jamais en avoir parlé à quelqu’un, ou alors est-ce que mon père était au courant? Y avait-il quelque chose que je ne savais pas, et que je ne découvrirai jamais car tout d’eux s’étaient envolé en cendres. Je n’aurai jamais de réponses sur cela. La seule chose que je pouvais faire était de ne pas laisser tomber ma soeur, d’être là pour elle. Je la laissais pleurer dans mes bras, qu’elle vide toute la tension qui s’était accumulée en elle. « Y a pas de quoi! Je serais toujours là. » Jamais, je n’abandonnerai quelqu’un de ma famille, cela ne faisait pas partie de mes valeurs.
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Elle avait pris une place si importante. Difficile d'imaginer que nous nous connaissions depuis seulement quelques mois. En réalité, nous connaissions nous vraiment ? Je n'en étais pas certaine. Feldt n'avait pas idée de ce que j'avais vécu jusqu'ici. Non, elle avait pris l'histoire en cours de route. C'était ma faute, je lui parlais très peu, autant qu'elle me parlait à vrai dire. Je ne savais pas vraiment ce qu'elle avait vécu. J'étais très peu au courant de la vie qu'elle avait menée jusqu'ici. Je sais juste que quand nous nous étions connus, elle n'était plus à Boston. Désormais, je ne pourrais plus me passer de ma sœur. Je m'étais attachée à elle tellement fort que je ne voudrais surtout pas la perde. Si j'arrivais à relever la tête un peu ce soir et si je me sentais un peu mieux, c'était grâce à elle. Grâce à ses bras guérisseurs. Je restais dans ses bras à pleurer, je laissais tout échapper, comme si j'avais un poids en moins désormais. En réalité, si Feldt ne me connaissait pas vraiment, elle restait l'une des personnes qui arrivaient le mieux à me gérer.

FIN DU RP
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