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(flashback) Cameron et Ayanna ✗ Discussion entre "amis"

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A. Pleasance Wilder-Smith



    Ce matin estival j'étais bien décidé à m'amuser. Enfin un peu comme d'habitude, mais il y avait une personne que je voulais voir en particulier depuis un moment. Je brûlais d'envie de la revoir, par "la" je voulais dire. Ayanna Wilder-Smith. C'était tout vu, aujourd'hui je devais la voir.
    Après m'être douché et avoir pris tout mon temps pour m'habiller et prendre mon petit-déjeuner. Je pris mon téléphone portable et ainsi j'envoyais un message à Ayanna. Je lui donnais rendez-vous au Lord Hobo sur Inman Square. Un bar populaire où tout le monde aimait se rendre. Les atmosphères plutôt intimes ce n'était pas mon truc...enfin si ça l'était, mais avec Ayanna c'était totalement différent. Je ne savais pas pourquoi. Je fis signe à ma sœur au loin, qui avait l'air comme à son habitude totalement absorbée parce qu'elle faisait.
    Je pris la direction du bar. La chaleur qui gagnait la Nouvelle-Angleterre était exceptionnel. J'avais opté pour un bermuda en jean et un T-shirt blanc immaculé, qui contrastait bien avec ma peau. Je ne faisais pas réellement attention à ce que je m'étais, en vérité, je pense que même en haillon j'aurais été capable de jouer de mes charmes. Très bien j'étais assez narcissique, mais ça me permettait d'avoir une réelle confiance en moi. Et puis tout le monde m'aimait, me prenant pour le sympathique mec qu'on aimerait tous avoir pour meilleur pote ou alors comme petit-ami.
    La majorité des gens de Cambridge avaient décidé de se donner rendez-vous dans les rues de la ville. C'était dingue comment un rayon de soleil pouvait changer une ville. En plus des jeunes et des étudiants d'Harbard, il y avait aussi des personnes âgées, des enfants courants et une tonne de circulation. Je me demandais, si j'allais arriver à l'heure, dans ma berline flambant neuve. J'avais une totale passion pour les voitures, après ma passion pour les femmes et pour le sport. C'est vrai j'adorai dépenser l'argent gagner par mes parents.

    Trouvant péniblement une place pour me garer, je me dirigeais d'un pas fier et cadencé vers le bar. J'ouvris la porte en bon habitué des lieux. La plupart des gens étaient restés sur la terrasse, au point qu'on ne pouvait même plus trouver aucune place. Il ne restait plus que l'intérieur, vide en plus.
    Je cherchais des yeux Ayanna. Elle n'était pas encore arrivée. J'étais à l'avance, je préférais ça, en bon gentleman ce n'était pas beau de faire attendre une demoiselle.A peine le temps de choisir une table au fond à droite, j'entendis des bruits de pas derrière moi. Je lui fis un sourire, je ne pouvais que faire ça.
    Me levant pour lui faire la bise, peut-être plus fort que je n'aurais dû, enfin pour de simples amis.

    Elle était magnifique comme à son habitude ses beaux cheveux blonds, son corps de rêve, je scrutais chacun de ces gestes, comme-ci elle était une véritable oeuvre d'art. J'adorais l'embêter, la taquiner, la voir sourire et regarder ses lèvres généreuses bouger pour s'adresser à moi.

    - Ça me fait très plaisir de te voir. On n'a pas vraiment eu le temps ces dernières semaines, surtout à cause des examens du dernier semestre. Alors quoi de neuf ?

    Puis toujours en lui souriant de mes dents blanches, j'attendais la serveuse toujours aussi débordé, à ce que je pouvais constater. Mais je me rendais compte qu'il y avait quelque chose en plus pour Ayanna, le fait de ne pas l'avoir vu depuis un moment, m'avait-elle manqué ? Non ... ce n'était pas possible.

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Discussion entre "amis"

« Offrir l'amitié à qui veut l'amour, c'est donner du pain à qui meurt de soif. » ► PROVERBE ESPAGNOLE
Il y avait des matins comme ça où l’on ressentait un manque. Un énorme vide en soit. Et, lorsque cette sensation se produisait chez la jeune, elle s’efforçait de le combler tant bien que mal. Chaque personne est unique, donc à chacun sa technique pour oublier afin de se requinquer. Et, Pleasance, elle, s’abandonnait à corps perdu dans le sport. Ceux qui connaissent un temps soient peu la blondinette, savent pertinemment que pour elle, son seul remède, est sans aucun doute le football. Oui, il était rare pour une femme de pratiquer cette activité, mais Ayanna n’était guère comme les autres. Loin du stéréotype de la midinette, Pleasance était en somme à l’antipode.
Donc, après une nuit agitée où la jeune femme à veiller jusqu’à très tard dans la nuit, ou dans la matinée, tout dépend comme vous le percevez, Pleasance se leva difficilement. Il faut avouer que la soirée fut rude avec le Summer Camp qui commençait sur les chapeaux de roues. La jeune femme n’était pas spécialement une fêtarde, mais lorsqu’elle mettait un pied dans une soirée, une autre facette d’elle-même émergeait. On va se taire sur sa précédente « chouille » afin de préserver son image. Bon, elle avait juste la tronche sous un fût de cinq litres de bières. Vous n’en saurez pas plus. Bref, malgré un mal de crâne éminent son moral n’était point au beau fixe. Pleasance n’allait pas se laisser abattre pour si peu. En effet, ce matin, il y avait un entraînement relativement important. Un match de préparation pour la finale du tournoi féminin. La jeune femme ne tarda pas dans sa douche, il faut avouer qu’elle n’était pas très en avance, comme à son habitude. Ensuite, elle prit son petit-déjeuner sur le pouce, un simple petit pain au chocolat avec une tasse de café dans un récipient isotherme afin de ne pas perdre une minute. Le temps c’est de l’argent.
Une fois arrivée au stade, la blondinette se fit charrier par son équipe. Non pas parce qu’elle avait cinq minutes de retard, mais pour sa tenue vestimentaire. Malgré la défaite de l’Italie, la jeune femme avait optée pour la tenue complète italienne, en somme le polo bleu et le short blanc immaculé à l’effigie des ritals. Elle n’avait guère honte de cette défaite. Cependant, à trop vouloir la taquiner, la blondinette ne tarda pas à monter sur ses grands chevaux. Bref, pendant l’entrainement, Ayanna faisait preuve de professionnalisme. Etant capitaine de l’équipe, elle se devait de montrer l’exemple. Quand la séance arriva à son terme, les filles ainsi que Pleasance regagnaient les vestiaires. A sa grande surprise, elle avait reçu un SMS de Cameron qui l’avait convié au « Lord Hobo » sur Inman Square. Un bar qu’elle affectionnait beaucoup, de part pour son atmosphère convivial, mais d’autre part pour son côté moderne, jeune en somme. La jeune femme réalisa qu’elle avait finalement très peu de temps devant elle pour retrouver son ami. Une poignée de minutes. Dare-dare, elle prit la douche collective et se vêtit pour tailler au lieu de rencontre.
La chaleur estivale eut raison de la Nouvelle-Angleterre. En effet, on atteignait des températures or normes, intenable. C’est pourquoi, la blondinette portait une robe blanche immaculée qui mettait en valeur son teint halé. Pleasance n’était pas du genre à passer ¾ d’heures devant son dressing, ni à passer plus d’une heure dans une salle de bain ; elle prenait ce qu’il lui tombait sous la main. Pas de chichi. D’ailleurs, c’est ce qui faisait son charme. Le naturel surpasse le superficiel. Enfin bref, étant donné que le temps était au beau fixe, les routes étaient noires d’automobilistes. De plus, les trottoirs étaient bordés de monde, entre les étudiants d’Harvard avec leur quatre grammes sous chaque bras, les enfants qui couraient dans tous les sens et les personnes âgées tardant à traverser sur les passages piétons, ça ralentissait considérablement la circulation. Heureusement que sa New Beetle pouvait s’infiltrer dans les moindres recoins.

Ceci dit, après s’être garée, Pleasance pénétra dans le bar d’une allure sensuelle, voire martiale. Elle scruta la pièce de part en part. Quand, soudain, son regarde se posa sur le charmant jeune homme. Comme à son habitude, il était séduisant. Son corps la faisait rêver, voire fantasmer. Lorsqu’elle l’admirait, Ayanna ne pouvait pas s’empêcher de le scruter avec un air ébahie. Et lorsque ses lèvres se posaient sur ses joues, la jeune femme en frémissait d’avance.

- « Ca me fais énormément plaisir de te voir, aussi. Me parle pas d’examens, moi j’ai jamais eu la chance d’en passer. Rectification, j’ai de la chance de gagner ma vie sans études. Bah écoute, mise à part que ta bouille ma manquée, rien de spéciale et toi alors, dis moi tout ? » Rétorqua-elle en usant de ses charmes. D’un regard perçant et à la fois candide, la blondinette le toisait de la tête au pied en attendant que la serveuse vienne prendre leur commande. Pleasance était connue pour être une personne franche et directe, ce qui avait le don de déstabiliser ses interlocuteurs.


CAMERON M. CARMEN & A. PLEASANCE WILDER-SMITH

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A. Pleasance Wilder-Smith


    Rien que la voir en face de moi, c'était juste quelque chose de phénoménal. On aurait dit que le bar s'était noué dans un silence et qu'on devenait les acteurs principaux de la pièce. Je sentais de nombreux regards, sur nous, pour ne pas dire plusieurs. Il fallait dire que j'étais en très bonne compagnie, que son sourire, sa démarche son visage tout était parfait chez elle. Même son regard était d'une telle intensité qu'on ne pouvait qu'être subjugué par une telle beauté. Sans m'en rendre compte, ma main s'était posé juste à côté de la sienne. Avec un sourire j'écoutais ce qu'elle me disait.

    -Ca me fais énormément plaisir de te voir, aussi. Me parle pas d’examens, moi j’ai jamais eu la chance d’en passer. Rectification, j’ai de la chance de gagner ma vie sans études. Bah écoute, mise à part que ta bouille ma manquée, rien de spéciale et toi alors, dis moi tout ?

    C'est vrai qu'elle avait de la chance de ne pas passer d'examen. Mais je devais dire que même si elle avait dû en passer, elle les aurait réussi. Car Pleasance était très intelligente, en plus d'être gentille, douce et attentionnée. Ce n'était pas le genre à être une bombe sexuelle et totalement superficielle. Non, loin de là, c'est ce qui faisait un peu sa singularité. Elle était totalement différente du genre de filles que je connaissais, elle savait parfaitement à quel point elle était magnifique, mais elle ne se prenait pas la tête à se montrer comme la plus belle sur Terre, mais personnellement je contemplais avec envie tout son corps, j'étais perdu en suivant toutes ses lignes magnifiques. Le fait que je lui ai manqué m'avait fait très plaisir, un sourire se dessinait sur mes lèvres.

    - Je dois dire que tu m'as manqué aussi... et puis avant qu'il y ait tout ce bazar du summer camp, je me suis dit qu'on devrait se voir. Après tout on n'a pas vraiment eu de moment ensemble.

    C'était bizarre de dire ça, on aurait pu penser que j'étais amoureux... l'amour d'habitude ce n'était pas du tout pour moi. Et pourtant il y avait déjà eu une fille qui m'avait donné un avant goût, c'était Cherry, mais Pleasance était là elle aussi, tout aussi sûre d'elle. Et je ne pouvais pas dire que c'était uniquement le physique c'était bien plus. Mais je n'étais pas à l'aise, je détestais les sentiments. Jamais, je n'aimais pas m'attacher. Jamais je n'arrivais à avouer au final que j'aimais la personne avec qui j'étais. J'avais beaucoup trop de mal avec ça. Et pourtant Pleasance laissait en moi quelque chose. Je détournais mon attention histoire, de ne pas lui montrer que j'étais un peu confus. Je vis enfin la serveuse arriver. Je lui fis un sourire et comme à son habitude celle-ci semblait rougir et presque tomber à la renverse. Très bien, contrairement à Pleasance, j'aimais bien utiliser mes avantages physiques pour obtenir tout ce que je voulais, les bonnes faveurs de tout le monde. Mais je n'avais rien fait d'extraordinaire sur cette serveuse, qu'elle allait presque s'évanouir.

    Elle me dit d'une petite voix :
    - Qu'est-ce que je peux faire pour vous deux ?

    Je pris un instant de réflexion avant de dire:

    - Je voudrais la spécialité de la maison, tu sais le cocktail high-pleasure !

    Elle nota ma commande sur son calepin.
    En regardant un peu plus autour de moi, je vis que nous étions encore plus le centre de l'attention. C'était dingue, même lorsque j'avais participé à mon premier défilé, je ne m'étais pas senti aussi regardé, d'habitude j'adorais être le centre du monde. Mais là, c'était un peu trop pour moi. Même si j'avais préférais ne pas être isolé. Je n'avais même pas remarqué que l'intérieur du bar, c'était rempli très peu de temps après l'arrivée de Pleasance. En parlant d'elle, je me retournais pour entendre ce qu'elle allait dire. A chaque fois que je la regardais, je sentais comme une décharge électrique parcourir mon centre nerveux. Comme-ci elle faisait réagir tous mes capteurs. J'étais totalement sous le charme. En tant normal j'aurais tout fait pour pouvoir coucher avec. Mais cette fois-ci, j'avais un respect beaucoup plus grand pour elle.

    - Tu sais, j'ai vraiment de la chance de passer cet après-midi avec toi, je suis sûr que des millions d'hommes tueraient pour être à ma place. je dis cela à Pleasance sur un ton très suave et naturel.

    Je lui fis un clin d’œil, la serveuse sembla à cet instant encore plus gêné. J'attendis que ma charmante amie prenne sa commande, avec sa voix aussi douce que sucrée.

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« Offrir l'amitié à qui veut l'amour, c'est donner du pain à qui meurt de soif. » ► PROVERBE ESPAGNOLE
Sa main c’était posée tout naturellement à côté de celle de Pleasance, et devant cette spontanéité, la jeune femme esquissa un sourire « Duchenne ». Autrement dit, tous ses muscles zygomatiques pris véritablement de l’ampleur. Une amorce de sourire d’un réel bonheur, sain et vrai. La blondinette était une personne que l’on pouvait qualifier de vraie, donc aucune porte de derrière ne figurait dans son caractère. Ses émotions se reflétaient dans ses moindres faits et gestes. Il lui était tout particulièrement ardu de les dissimuler derrière une carapace qu’elle tentait en vain de forger. D’autant plus, que l’homme, qui, se tenait en face d’elle, ne la laissait guère indifférente. Il détenait un charme à en faire pâlir plus d’une, notamment Ayanna qui n’avait yeux que pour cet étalon à cet instant même. Pleasance absorbait ses moindres dires, scrutait ses moindres postures, en somme elle était médusée face à cette singularité. - « Je dois dire que tu m'as manqué aussi... et puis avant qu'il y ait tout ce bazar du Summer Camp, je me suis dit qu'on devrait se voir. Après tout on n'a pas vraiment eu de moment ensemble. ». Autant dire qu’après cet épisode, Ayanna était stupéfaite. Je dirais même agréablement surprise par cet aveu qui sortait de nulle part. Elle ne s’y attendait vraiment pas. En effet, Pleasance le percevait comme un séducteur pour qui l’amour est signe de faiblesse, voire de souffrance. Puisqu’elle-même est apeurée par cette émotion, et, la fuis constamment, au péril de laisser derrière elle, des hommes admirables. Mais cette fois-ci, c’était différent, elle était en quelque sorte un poisson prit dans les filets du pêcheur. Le pêcheur en question était bel et bien Cameron et le poisson ne pouvait être que Pleasance. Oh que non la blondinette ne pouvait pas lui avouer cela. En effet, pour elle, l’amour c’était une preuve de faiblesse. Baisser les armes, vendre son âme pour un homme elle l’avait fait, mais au final, la vie lui avait retirée une partie d’elle-même. Pourquoi prendre le risque de s’attacher une nouvelle fois pour qu’au final, elle se retrouve bredouille. La peur fait partit de son quotidien. – « Que tu es mignon, pour la peine j’te fais un gros bisous ! ». S’exclama-t-elle d’une voix enfantine. Donc, Pleasance se leva d’un bond, d’une allure sûre d’elle, elle s’approcha de Cameron avec un sourire enfantin avant de poser l’une de ses mains sur sa joue, et de lui adresser par la suite un baiser langoureux sur sa joue. Ensuite, elle regagnait sa chaise pour finalement s’asseoir. – « Tu as bien fais de m’envoyer un SMS, il était grand temps de se voir, d’autant plus que c’est les vacances, donc tu as devant toi du temps libre … Tu n’as pas le choix, tu dois m’en consacrer un peu. » Enchaîna-t-elle sur un ton taquin. Elle comptait bien le voir plus souvent.

Pleasance n’était guère du genre à attirer l’attention d’autrui, elle voulait simplement que l’attention de Cameron se porte sur elle. Non, elle n’ira pas jusqu’à user de ses charmes, parce que son but n’était pas de coucher avec lui, mais au contraire, te tisser un lien sincère. Bien qu’il y ait une réelle attraction entre ses deux énergumènes, Ayanna n’entreprendra rien qui pourra le blesser. – « Qu'est-ce que je peux faire pour vous deux ? » rétorqua la serveuse. Cette femme tombait à pic. Plus le temps passait, plus les émotions de la jeune femme devenaient apparent, visible. Elle avait en quelque sorte, interrompu la discussion au bon moment. – « Je voudrais la spécialité de la maison, tu sais le cocktail High-Pleasure ! » répondit-il. Là, faut avouer que Pleasance était quelque peu sur le cul. Connaissait-il la serveuse pour se permettre de la tutoyer ? Visiblement non, la serveuse était tout comme fébrile à la vu de Cameron. Comme une adolescente, elle le scrutait de la tête aux pieds ; ce qui avait le don d’agacé Ayanna. Jalouse ? Non, pas vraiment. En somme, ça se passe de commentaire. – « Pour moi ça sera un Monaco, à vrai dire ça m’étonnerais que vous connaissez, donc une 1664 Gold de préférence s’il vous plait. » Dit-elle sur un ton condescendant. Après tout le « Monaco » est typiquement française, à quoi bon leur expliquer les ingrédients. Autant s’abreuver d’une simple bière. La blondinette lança un vif regard dans toute la salle, qui, c’était visiblement remplie en très peu de temps. Elle n’avait guère peur du regard des autres, son métier est de s’exposer, donc elle était rodée en somme. – « Comment ce sont passés tes examens ? Les sujets étaient simples ? Dis-moi que tu penses avoir réussis. ». Elle aimait l’écouter, ses paroles la subjuguaient.

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A. Pleasance Wilder-Smith


    Ayanna prit la parole, je la trouvais un peu sèche par rapport à d'habitude avec la serveuse. Je souris un peu plus, c'était sûr qu'ici il n'était pas prêt de te servir un Monaco, elle se décida pour une bonne bière. Puis elle se concentra de nouveau sur moi, pour me dire :

    -Comment ce sont passés tes examens ? Les sujets étaient simples ? Dis-moi que tu penses avoir réussis.

    J'avais surement réussi tous mes examens sans aucun problème, je pensais être de nouveau le majeur de ma promotion. Après tout, je n'avais aucune difficulté dans tout ce que j'entreprenais. Les examens étaient pour moi une simple formalité avec laquelle il fallait se concilier, sans que cela ne semble trop facile aux yeux des autres. Bien que maintenant la majorité de mes professeurs savaient très bien, que je réussissais tout leur test sans vraiment me donner à fond, ils étaient trop petit joueur pour moi. Non, je n'étais pas un génie, j'avais un seulement un cerveau, qui était casé sur la touche réussite, et je peux vous avouer que c'est très agaçant d'être toujours parfait, on ne peut pas se tromper et même lorsque l'on tente de casser son image, il y a toujours quelque chose qui vous retient et qui vous transforme en l'homme parfait.

    - Tu sais, les examens pour moi ce n'est pas si compliqués, je pense avoir réussi, on aura qu'à utiliser ça comme excuse pour se revoir, pour pouvoir fêter ça ! ajoutais-je avec un clin d'oeil.

    Décidément je la trouvais magnifique, la serveuse fit demi-tour, au bout d'un moment j'allais croire qu'elle nous ferait une syncope à force de nous regarder. Si on n'était pas capable de se concentrer, on ne devait pas faire ce genre de métier. J'avais toujours le don de parler très ouvertement avec les autres, je m'imposais sans difficultés, je les tutoyais, c'est très naturel chez moi. Alors, que la majorité des gens avait en quelque sorte la réaction inverse avec moi. Je ne pensais pas être si imposant. Mais le charisme pouvait tout faire parfois.
    J'avais une envie folle et démesurée de la prendre dans mes bras et de l'embrasser, ce corps si parfait, si attirant était à un micromillimétre de moi et je n'arrivais même pas à faire ce que je voulais, je me sentais frustrer. D'habitude je redoutais devant rien, d'habitude des gens comme elle et moi, on finissait dans un lit, en prenant le petit-déjeuner ensemble le lendemain et discutant comme-ci de rien n'était. Je me demandais si elle avait quelqu'un dans sa vie, normalement elle aurait dû m'en parler.

    - Alors dis-moi, toujours pas trouver de chaussure à ton pied ? dis-je sur un ton condescendant.

    Je me demandais si elle allait me répondre franchement, en attendant la seule idée qui germait dans ma tête était celle de la coller à moi et de l'embrasser langoureusement et ensuite de lui proposer d'aller dans un quoi beaucoup plus tranquille. Puis même si elle avait quelqu'un en vu, ou même si elle était tombée amoureuse, j'étais sûr d'une chose, c'est que rien n'allait m'arrêter à l'avoir uniquement pour moi. Je la voulais et j'aurais même été prêt à l'enlever et lui proposer un séjour fou au Bahamas uniquement elle et moi... Mais notre relation était beaucoup plus complexe, nous adorions nous tourner autour, aucun de nous oser franchir la limite, mais ...les limites c'étaient trop peu pour moi, alors il fallait mieux régler cette situation, je désirais savoir ce qu'elle ressentait pour moi, si elle aussi, à chaque fois que je parlais, elle était subjuguée, tout comme moi j'étais hypnotisé par chaque mouvement qu'elle faisait. C'était certain, elle m'avait envoûté, comme personne ne l'avait jamais fait auparavant.

    C'est vrai que j'avais été franc-parler sur ce coup, mais c'était dans mes habitudes, il suffisait seulement de creuser un peu profond pour voir la fin du tunnel, juste donner une piste que nous pourrions exploiter ensemble et nous aurions pu voir réellement ce que nous valions elle et moi. Et juste une fois j'aurai voulu goûter à ses lèvres.
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- « Tu sais, j'ai vraiment de la chance de passer cet après-midi avec toi, je suis sûr que des
Millions d'hommes tueraient pour être à ma place.
». Précédemment, Cameron, lui avait fait part d’une certaine confession, si je puis dire, ce qui au fond, avait sensiblement touchée Pleasance, mais celle-ci a préférée rester muette suite aux dires du jeune homme. Oui, il lui arrivait de temps à autre de s’abstenir. Il y avait des sujets délicats à ne pas aborder avec la jeune femme. Bon, celui-ci n’était pas très grave, en somme. Cependant, dire que des Millions d’hommes tueraient pour être à sa place, c’était quelque peu exagéré pour la blondinette. Tout comme la serveuse, à ce moment précis, Ayanna était quelque peu embarrassée. Certes, des tonnes et des tonnes d’hommes lui courraient après, mais ce n’était pas pour partager une partie de jeux de cartes autour d’une table ! Oh non, eux, ils voulaient son corps. Et, pour tout vous dire, la jeune femme préférait être en compagnie du séduisant Cameron qu’en compagnie d’un lourdaud. Bref, pour en revenir à la conversation actuelle, la blondinette lui avait complaisamment demandée des nouvelles de ses précédents examens, qui venaient de s’achever récemment. Loin d’être indiscrète, elle prenait fréquemment de ses nouvelles. Ayanna appréciait être bien renseignée sur sa vie, du moins sur une partie de son existence. Une amorce de sourire candide, voire ingénue prenait place sur ses lèvres pulpeuses. Le jeune homme lui donnait constamment le sourire, avec lui, elle pouvait être naturelle. D’autant plus, que Cameron était le seul homme, avec qui, elle partageait de longue conversation. En somme, elle pouvait lui parler longuement. – « Tu sais, les examens pour moi ce n'est pas si compliqués, je pense avoir réussi, on aura qu'à utiliser ça comme excuse pour se revoir, pour pouvoir fêter ça ! ». S’exclama-t-il en lui adressant son plus beau clin d’œil. Elle était en admiration face à ce bout d’homme qui avait une aisance sans faille dans tout ce qu’il entreprenait. Il était rare à l’heure actuelle, de voir des jeunes réussir dans leurs études avec tant de facilités. Il passe ses examens comme s’il postait une lettre à Laposte. Cela dit, elle n’avait jamais connue son côté fêtard, probablement qu’il favorisait ses devoirs aux moments de plaisirs nocturnes. Peut-être qu’elle se trompait. Les gens ne sont pas tous comme elle, mamie pantouflarde, vautrée dans son canapé devant un film. Bon, vous ne méprenez pas ! Ayanna savait faire la « Chouille », mais faut avouer que c’était rare. - « Non, mais dis donc ! Il te faut des excuses pour me voir ? Je blague mon Cameron, ne tant fait pas. Mais, en effet tu payeras ta bouteille ! ». Rétorqua-t-elle avec un large sourire arlequin.

Pleasance était consternée face à l’incompétence de la jeune serveuse, qui ne faisait que de zyeuter Cameron avec convoitise. La jeune femme ayant fréquentée le domaine de la restauration, connaissait parfaitement les attitudes à adopter vis-à-vis des clients. Entre un serveur et un consommateur, il se devait d’y avoir une certaine barrière. Attention, cela n’empêchait pas le contact verbal. Néanmoins, les serveuses se devaient de s’exprimer avec distinction. En somme, un vouvoiement. Cependant, il fallait avouer qu’elle était hilarante dans son genre. Digne d’une groupie au bord de l’évanouissement. Bref, sa plus éminente distraction n’était guère cette femme, mais le jeune homme qui se tenait face à elle. Son ouverture au monde extérieur et son naturel, faisait littéralement vaciller le cœur de Pleasance. L’envie déroutante de lui dérober ses lèvres avec un baiser passionné, était belle et bien là. Généralement, lorsqu’un homme si attrayant se trouvait face à elle, tête baissée elle fonçait l’abordée pour ensuite terminer dans son lit. Aucune attache, aucun sentiment. Seulement, là c’était différent, elle ne voulait pas qu’une partie de jambe en l’air, mais bien plus. Si elle lui tournait autour, ce n’était pas pour rien. – « Alors dis-moi, toujours pas trouvé de chaussure à ton pied ? ». La question qui fâche. Lui parler des hommes, revient à tirer sur une corde raide. Non, elle n’avait pas de petit ami officiel, mais seulement des relations sans lendemains. Des relations sans attaches auxquelles, elle pouvait rapidement mettre un terme, s’il lui demandait. – « Oui, enfin, je sais pas. C’est compliqué enfaite. Tu vois avec jeune homme, c’est le jeu du chat et la souris. Ce n’était qu’un ami à la base, mais plus le temps c’est écoulé, plus mes sentiments ont évolués. Mais comment lui avouer, sans se prendre un râteau, une veste … Enfin, je ne maîtrise pas le langage des jeun’s comme tu peux le constater. » S’exclama-t-elle calmement. En effet, est-ce que le jeune homme la considère encore comme une simple amie avec qui il n’y aura rien d’autre, ou tout comme la jeune femme, ses sentiments ont pris de l’ampleurs ? Il était grand temps d’avoir des réponses à ses questions. Le silence devait de plus en plus pesant. Son rôle de bonne amie lui devait insoutenable. Elle voulait essayer une histoire avec Cameron, voir ce que l’avenir leur réserve. Il était grand temps de faire cesser cette mascarade. Oui, elle voulait le couvrir de baiser, mais aussi se blottir dans ses bras. Mais est-ce qu’il est de son avis ? – « Et, toi alors, les amours ? » dit-elle avec un sourire jaune.


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    Je me mis à écouter la réponse à ma question, une partie de moi-même appréhendait totalement la réponse, je me demandais ce qu'elle pouvait me dire, avait-elle trouvé chaussure à son pied, je regardais ses lèvres bougeaient et j'enregistrais chaque mot qu'elle disait :

    Oui, enfin, je sais pas. C’est compliqué enfaite. Tu vois avec jeune homme, c’est le jeu du chat et la souris. Ce n’était qu’un ami à la base, mais plus le temps c’est écoulé, plus mes sentiments ont évolués. Mais comment lui avouer, sans se prendre un râteau, une veste … Enfin, je ne maîtrise pas le langage des jeun’s comme tu peux le constater.

    Je la regardais calmement, je ne voulais rien dire pour l'instant, notre relation... c'était bien ça, nous étions comme un chat et une souris, se cherchant, mais chacun n'osant pas faire le pas en dehors de peur de se faire mordre à son propre piège. Parlait-elle de moi. Je souris à la fin de sa phrase. Je la regardais encore plus intensément qu'auparavant. Je regardais un peu les alentours. Puis je lui dis :

    - Je pense que cet ami... doit avoir de la chance qu'une fille comme toi et peut-être des sentiments pour lui, à sa place, je pense que je n'attendrais que l'instant que tu me fasses signes pour te dire la vérité.

    Je ne savais pas quoi, j'attendais qu'elle aille plus bien, je voulais à cet instant l'embrasser avec autant de passion et de désir que je ressentais, je voulais la faire vibrer comme moi, je vibrais, rien que de sentir sa présence, de sentir ses beaux yeux sur moi, dans contempler son sourire se dessinait pour moi. Je me sentais pousser des ailes, je voulais renverser notre table, la plaquer contre le mur l'embrasser. Je la désirais, ce n'était pas que physique, savoir que " cet ami " c'était peut-être moi, m'avait grandement fait plaisir. Pour ne pas dire m'avait rendu fou de joie. Puis Ayanna me retourna ma question :

    -Et, toi alors, les amours ?

    C'était peut-être un signe, je lui fis un sourire, avant de répondre :

    - Les amours ? Tu veux dire l'amour plutôt, il y a une jeune femme très belle, que j'adore, que je trouve adorable et à qui je ne peux rien refuser, quand elle parle je peux que me laisser bercer par ses paroles...

    Je finis ma phrase interrompu par notre charmante serveuse, qui bégaya un " voilà", je regardais mon cocktail, je pris vite une goutte, je réfléchis, je me demandais comment l'aborder, autant y aller franco, autant y aller directement, je pouvais y arriver, ce n'était pas insurmontable. Je ne pouvais que passer du temps avec... j'avais quand même peur, l'amour ce n'était pas pour moi, je m'étais déjà trop ouvert à elle. Le doute s'emparait de moi, mais je devais y aller. C'était tout ou rien, je pouvais perdre pour la première fois de ma vie. Je devais respirer et lui dire ce que je voulais.
    La serveuse sentit l'atmosphère tendue, elle posa le papier d'addition et disparut.

    - Je ne suis pas doué pour les déclarations. Mais je veux dire, qu'on ... qu'on devrait arrêter ce jeu, je ... je te désire, je tiens beaucoup trop à toi pour l'ignorer, à chaque fois que tu es là proche de moi, je te veux rien que pour moi...

    A cet instant sans réellement savoir ce que je faisais, je lui pris la main, sentant le poids de l'atmosphère encore tendu, je la regardai, bien déterminé dans ce que j'allais faire, puis d'un geste, je rapprochais mon visage du siens, pour l'embrasser langoureusement, sentant son souffle se mélangeait au miens, mes mains sur son visage, je voulais l'attirer vers moi, loin, loin, nous isoler.
    Je la regardais, je n'étais pas prêt de m'excuser pour ce relâchement dans mon comportement, j'étais plutôt fier de moi. Mais est-ce que ça voulait dire, que finalement j'avais accepté l'amour, j'étais sur un nouveau chemin, que je ne connaissais pas du tout. J'allais devoir être prudent et ne pas me laisser emporter par cette vague de désir.

    - Je suis fou, je le sais... mais je suis aussi fou de toi

    Un sourire se dessina sur mon visage à cet instant. J'avais complétement oublié les gens aux alentours nous dévisageant. Je m'en fichais, j'étais avec Ayanna, c'était le plus important.

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Discussion entre "amis"

« Offrir l'amitié à qui veut l'amour, c'est donner du pain à qui meurt de soif. » ► PROVERBE ESPAGNOLE
L’appréhension gagnait peu à peu Ayanna, qui craignait fortement mettre à mal leur amitié avec cette confession plus que sincère et spontanée. Du moins, s’il c’était sentit visé par cet aveu. Oui, parce qu’il aurait très bien pu croire que la personne en question était un autre homme. Ce qui n’était pas le cas. En effet, Cameron était bel et bien présent dans l’esprit, ainsi que le cœur de la jeune femme. Dans chacun de ses miroirs, il apparaissait. Elle sentait constamment le parfum du bel homme, peut importe où elle se trouvait. Et, sa présence lui semblait si proche, même à des kilomètres à la rondes. Il était probablement trop tôt pour dire cela, mais il était comme l’air de ses poumons, lorsqu’elle n’était avec le jeune homme, c’était littéralement l’oppression. A ce moment même, elle espérait. L’espoir qu’un jour ou l’autre, les deux jeunes protagonistes envisagent une tout autre relation. Que l’amitié certaine se transforme en un amour sain et sincère. L’espoir fait vivre, mais ceux qui vivent d'espoir meurent de faim, n’est-ce pas ? Il était tout de même grand temps d’éclaircir la situation, vivre dans l’ignorance n’est guère agréable. C’est ainsi qu’elle lui avoua l’ampleur de ses sentiments vis-à-vis de lui, tout en parlant à la troisième personne de cet êtres qui la faisait constamment vibrer. Et, la réponse de Cameron ne tarda pas à arriver. – « Je pense que cet ami... doit avoir de la chance qu'une fille comme toi et peut-être des sentiments pour lui, à sa place, je pense que je n'attendrais que l'instant que tu me fasses signes pour te dire la vérité. ». Du moment où il y avait un minimum de sentiments chez la jeune femme, elle était comme pétrifiée à l’idée de faire le premier pas. Elle aimerait bien lui faire un signe, lui montrer qu’elle est belle et bien là. Néanmoins, les mots lui manquaient. Il lui coupait le souffle ; son regard l’envoutait et, il lui devenait difficile d’extirper un mot de sa propre bouche. – « Oui, mais s’il attend que je lui fasse un signe, il aura le temps d’éprouver des sentiments pour une autre personne. J’peux me montrer réservée et vachement timide. C’est un immense handicap dans cette situation. ». S’exclama-t-elle d’une petite voix où raisonnait une profonde détresse. Là, oui là, elle aimerait lui déclarer sa flamme, sans gêne et sans crainte.

Là, elle voulait être fixée. La réponse tant redoutée approchait. Fréquentait-il une femme dans sa vie ? Peu importe la réponse du jeune homme, elle se fera un raison. De nature effacée, Pleasance ne se permettrait jamais de s’immiscer dans son couple, si couple il y a. Si, au cas contraire, Ayanna foncera tête baissée dans une histoire avec lui. Parmi les nombreux doutes qui la submerges et son manque de confiance aux hommes, la jeune femme tentera. Oui, elle c’était promise de ne plus avoir de lendemain avec un homme, et d’aimer un jour à la fois, mais visiblement son comportement changeait. Ou du moins, sa façon de penser évoluait. – « Les amours ? Tu veux dire l'amour plutôt, il y a une jeune femme très belle, que j'adore, que je trouve adorable et à qui je ne peux rien refuser, quand elle parle je peux que me laisser bercer par ses paroles... ». La blondinette maudissait la serveuse à cet instant, qui, venait de les interrompre. La fin de sa phrase sera un éternel questionnement. Que voulait-il ajouter de plus finalement ? Cet aveu la fit sourire. Oui, Pleasance esquissa un radieux sourire. Son visage rayonnait de joie. Sur ce, la jeune femme bu une gorgée de sa bière directement au goulot. Ce n’était guère beau pour une femme de boire de cette manière, mais elle n’en avait rien à faire des préjugés. – « Je ne suis pas doué pour les déclarations. Mais je veux dire, qu'on ... qu'on devrait arrêter ce jeu, je ... je te désire, je tiens beaucoup trop à toi pour l'ignorer, à chaque fois que tu es là proche de moi, je te veux rien que pour moi... ». Alors là, ce fût la plus belle des déclarations à ses yeux. Il la désirait comme elle le désirait, il tenait à elle comme la blondinette tenait à lui. Oh oui, elle absorbait ses moindres dires avec attention. Elle ne le quittait plus du regard. Sans crier gare, Cameron lui prit la main. Sentir sa paume contre celle d’Ayanna, la fit frissonner. Son corps tout entier palpitait. La jeune femme était comme captiver par le regard déterminé du bel homme. Doucement, le visage du jeune homme s’approchait de celui de la blondinette, son souffle s’écrasait sur son visage, son corps était près de celui de Pleasance, elle ne pouvait que le regarder. Quant le jeune homme posa ses délicates lèvres sur celle de la blondinette pour s’abandonner à un baiser langoureux. Elle le prolongea en y agitant de l’intensité. Elle en rêvait depuis des lustres de ce moment. Pincez-là, elle rêve peut-être !

- « Je suis fou, je le sais... mais je suis aussi fou de toi. ». Pleasance se remit doucement de ses émotions. Les deux jeunes gens avaient attirés l’attention sur ceux, mais peu importe, elle en avait encore le gout aux lèvres du baiser de Cameron. Elle se pinça légèrement la lèvre inférieure, avant de rétorquer. – « Dans ce monde de fou, être fou c’est être sain d’esprit. J’suis folle de toi aussi, mais j’ai tellement peur ! Peur qu’un jour, tu me tourne le dos. Peur que la vie t’enlève à moi. Peur d’être trahis. Rassure-moi.. » S’exclama-t-elle. Oui, elle avait peur de tout cela, mais son amour était plus intense que ses craintes. Probablement, que les premiers temps elle sera sur ses gardes. Probablement qu’il devra faire ses preuves. La vie réserve des surprises, d’agréable de surprise. Il suffit de vivre l’instant présent à fond.

CAMERON M. CARMEN & A. PLEASANCE WILDER-SMITH

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