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Why the fuck are you looking at me ? - Paris

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Why the fuck are you looking at me ?



✧ 17 Janvier 2016, 14h. ✧Paris & Charlie


Lourde et fastidieuse cérémonie d’inscription. Charlie était obligée de passer par le secrétariat pour remplir son dossier, récupérer sa carte étudiant ainsi que les clefs de son casier. Et comme son père n’avait pas pu l’accompagner à Boston, elle était bien forcée de s’en charger toute seule. Première fois qu’elle s’occupe de quelque chose elle-même, autant dire que les règles de bienséances et de savoir vivre en société, elle n’y connait rien. Et qu’en bien même, elle passe outre. Pour elle, les règles étaient faites pour être respectées par les gens, les autres, le peuple – tous ceux qui n’étaient pas elle. Elle, par opération divine, avait hérité d’un droit inébranlable de privilège.

La jeune fille, vêtue d’une petite robe à motif rose et d’un chemisier , s’avançait vers les portes du secrétariat. Une queue immense se dressait devant elle, elle s’arrêta un instant avant d’enlever ses lunettes de soleil. Même en hiver, elle portait des lunettes de soleil Chanel, question d’élégance. Puis elles étaient bien assorties à son sac Gérard Darel. Elle regarda d’un air impérieux les étudiants qui l’observaient, et avançait dans la pièce en faisant claquer ses talons comme si de rien n’était. Comme si elle défilait sur une estrade devant l’air hagard et abasourdie des paparazzis. Elle s’arrêta au comptoir, tourna la tête vers la droite pour dévisager le garçon qui était entrain de discuter avec la secrétaire, avant d’esquisser un sourire insolent. Elle tourna la tête vers la secrétaire avant de lui dire : « Charlie Elin Tillerson. Je viens récupérer ma carte étudiant et les clefs de mon casier ». La secrétaire la regarde un peu perplexe avant de lui répondre : « Ces étudiants étaient là en premier, il faut faire la queue ». Charlie esquisse un sourire plus grand, souligné d’un petit rire dédaigneux, avant de s’appuyer sur le comptoir et de s’approcher plus prés de la secrétaire, pleine d’arrogance. De ses doigts, elle caresse le badge de la secrétaire : « Ecoutez-moi …. Sophie », « C’est Sophia », « Peu importe », Charlie se redresse : « Je n’ai ni le temps ni la patience de vous expliquer pourquoi je ne ferais pas la queue. Le fait est que vous allez gentiment fouiller dans votre pile de dossier, et me donner ce que je vous demande ». Un peu désorientée, la secrétaire finit par s’exécuter, ne cachant pas ni son soupir d’agacement, ni son regard noir.








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Charlie & Paris

Cela faisait une heure que Paris poireautait pour pouvoir obtenir que sa nouvelle adresse soit prise en compte dans les registres de l’université. Une heure de perdue où il avait gentiment fait la queue entre un mec qui toussait et une autre qui avait passé son temps au téléphone avec une copine. Oh il connaissait presque toute la vie pathétique de la brunette, et plus d’une fois, il avait dû se faire violence pour ne pas se retourner et lui enfoncer son téléphone dans un endroit de son anatomie. Sa patience avait été donc mis à rude épreuve surtout qu’il allait finir par être en retard pour aller chercher son frère à son entrainement de hockey.

Encore vingt-minutes d’attente et ce fut enfin son tour. Paris était à la limite de s’écrier « hallelujah » tant il avait cru ce moment impossible. « Bonjour, je viens signaler un changement d’adresse. J’ai voulu le faire par internet mais votre site internet connait des soucis apparemment » expliqua-t-il posément son problème. La secrétaire lui sourit et lui répondit qu’en effet, ils connaissaient des problèmes techniques mais qu’elle allait faire le nécessaire à condition d’avoir sa carte étudiante ainsi qu’un justificatif de domicile. Paris avait tout prévu et il était en train de fouiller dans son sac quand il se fit griller la politesse. Non mais sérieusement, cette nana sortait d’où ? « Euh pardon mais j’étais déjà là ! » se signala-t-il tandis que la secrétaire semblait être mal à l’aise. Paris fronça les sourcils en voyant que cette blonde le snobait totalement comme si elle était la reine. « Hey Barbie ! Tu vas être gentille mais tu vas tourner du cul plus loin et tu fais la queue comme tout le monde. Merci bien » reprit-il cette fois-ci moins gentiment. L’américain n’était pas un grand adepte des rapports sociaux et presque une heure et demie d’attente lui avait ôté toute envie d’être sympathique avec une sans-gêne.


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✧ 17 Janvier 2016, 14h. ✧Paris & Charlie


Charlie avait cet égocentrisme des enfants pourris gâtés qui faisait d’elle une pimbêche en puissance. Le monde tout entier devait soit tourner autour d’elle, soit s’arrêter quand elle avait décidé de se montrer. Les queues, les secrétariats, les choses que les gens font habituellement, elle ne s’y pliait pas. Hors de question de se mélanger et de perdre un temps fou à obtenir ce dont elle avait besoin tout de suite. Oui, Charlie était habituée à ce que tout lui soit cédé sans problème. Après avoir dépassé tout le monde, elle offrit son sourire le plus prétentieux et charmeur au jeune homme dont s’était le tour : « C’est plaisant de voir qu’il existe encore de beaux jeunes hommes galants », dit-elle volontairement charmeuse, avant d’ignorer la remarque du jeune homme et de se tourner vers la secrétaire. Impatiente et déterminée, c’est avec un sourire insolant, presque perturbant d’arrogance, qu’elle s’adressait à la secrétaire qui non sans râler, finit par s’exécuter en bon petit soldat. Et, la voix du jeune homme se fit plus forte, plus grave, plus sérieuse. A l’ouïe de ses mots insultants que Charlie trouva tout bonnement abjecte, elle se tourna brusquement vers lui. Un pas, un deuxième, et la voilà en vis-à-vis entrain de le fixer dans les yeux de toute sa hauteur. Elle resta là quelques secondes, impassible, le défiant du regard, avant d’esquisser un sourire narquois : « Les queues, ce n’est pas mon truc », lâcha-t-elle ambiguë pleine de sarcasme avant de revenir vers le comptoir de la secrétaire qui mettait du temps à rapporter les papiers de Charlie : « Dépêchez vous Sophie, le jeune homme s’impatiente ! », dit-elle clairement provocatrice avant de se remettre à fixer le garçon, détaillant son visage comme l’aurait fait une mi-psychopathe mi-nymphomane. De quoi mettre mal à l’aise : « Tu aurais pu être très mignon si tu avais été un peu moins énervé. Et un peu plus musclé. A peine plus. ». Elle le cherchait, effectivement. Elle n’était pas du genre à se taire. Quand elle pouvait agacer quelqu’un, elle le faisait littéralement jusqu’au bout.








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Charlie & Paris

Elle se prenait pour qui cette poupée Barbie d’opérette ?! « Je suis pas galant du tout alors arrête ton cirque et va prendre ta place dans la file comme tout le monde » marmonna-t-il à sa destination mais la blonde continuait d’en faire qu’à sa tête. Paris dû se répéter mentalement plusieurs fois d’affilés qu’il ne tapait pas les femmes et que non, il n’allait pas lui fracasser le crâne contre le bureau de la secrétaire. Cela ferait vraiment mauvais genre et puis, il ne voulait pas se tâcher. A la place, il se contenta de se masser l’arête du nez pour tenter d’évacuer la tension qu’il sentait monter en lui. Le Dunster détestait ce genre de personne, c’était plus fort que lui. D’ailleurs, il ne préféra pas relever son commentaire sur les queues. Cette nana avait fait exprès de partir sur un terrain ambigu et à la place de rentrer dans son jeu, il la toisa avec mépris et impatience. « Je vais te dire blondie, j’en ai rien à foutre de ne pas être à ton goût. Toi, tu pourrais être baisable si t’étais pas aussi conne et imbue de ta personne. Faut croire que personne n’est parfait donc tu seras gentille d’aller jouer les pétasses plus loin et de laisser ceux qui ont le mérite d’avoir patienter, obtenir ce qu’ils veulent. T’es pas dans ton royaume princesse alors dégage » rétorqua-t-il avec agacement. Franchement, si elle pensait le foutre mal à l’aise, elle se foutait le doigt dans l’œil voire plus profondément. Paris était presque certain que cela ne servait à rien de lui répondre, que le mépris était certainement la meilleure des réponses vis-à-vis de son comportement ; mais voilà, il était plus qu’excédé par cette attente alors si quelqu’un devait payer sa mauvaise humeur, autant que ce soit cette nana qu’il ne pouvait pas piffrer.

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✧ 17 Janvier 2016, 14h. ✧Paris & Charlie


Le ton montait à une vitesse folle. Charlie pensait contrôler la situation et l’apaiser à quelques coups de sarcasme et de sourire volontairement charmeur. Mais ce n’était pas le cas. Le jeune homme ne semblait pas du tout sensible à ce genre de provocation, véritablement agacé par la jeune fille et la situation, et sur le point d’exploser, littéralement. Sauf que Charlie était arrogant. Arrogante et déterminée, surtout dans sa malveillance. Hors de question pour elle de se rétracter maintenant, de lui céder quoique ce soit à ce garçon maintenant qu’il la prenait de haut. Elle tenta tant bien que mal de se maîtrisé et d’arborer toujours la même dégaine lancinante et le même sourire narquois. La secrétaire continuait de fouiller ses papiers et Charlie attendait avec une impatience visible, tant la pointe de sa chaussure martelait le sol d’un claquement aigue. Et le jeune homme rendit coup pour coup à Charlie avec une violence extrême dans ses mots. La jeune fille cessa instantanément de sourire et le regarda dans les yeux avec toute la colère qui sied à ce genre d’allégations. Intérieurement, elle était blessée – comment ne pas l’être ? Personne n’aimait s’entendre dire ce genre de choses. Extérieurement, elle devenait froide et plus impassible que jamais. Comme pour montrer que ça ne lui faisait rien, comme pour ne pas donner au jeune homme la satisfaction de l’avoir véritablement touché : « C’est bon ? Tu as finis ta tirade Shakespeare ? Tu veux peut-être que je m’effondre, me mette à genoux et te supplie de retirer tout ce que tu viens de dire ? Que je me sente blessée par tes mots doux, que je veuille mourir tant il m’est insupportable de ne pas te plaire ? » Dit-elle en sur jouant la mélancolie, comme s’il s’agissait d’une pièce de théâtre grotesque. La secrétaire avait fait sa réapparition derrière le comptoir, sans mot dire, un dossier à la main. Elle avait l’air encore plus effrayée par Paris qu’elle ne l’était par Charlie. La jeune Cabot se tourna vers elle et attrapa son dossier d’un geste brusque avant de se tourner de nouveau vers Paris. Le fixant encore, droit dans les yeux, établissant ce genre de jeu de regard, à savoir qui lâchera en premier : « Tu devrais éviter de trop perdre ton temps avec moi, quelqu’un risquerait de te passer devant. Encore une fois. », Dit-elle d’un air sérieux, mesquin, en brandissant son dossier comme pour lui notifier que malgré tout ce qu’il pouvait dire, elle avait eu gain de cause.








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Charlie & Paris

Paris était un homme colérique, bagarreur mais il savait se tenir en société. Du moins, il arrivait à garder un semblant de calme devant des personnes qui en valaient peut-être un peu la peine. Or, cette femme n’était rien d’autre qu’une enfant pourrie gâtée, le genre de personne qui prenait les autres pour de la merde. En somme, rien d’intéressant. Elle était l’archétype même de la gosse de riche imbuvable. « J’en ai rien à battre que tu te sentes blessée ou je ne sais quoi. Pour cela, faudrait limite que ton quotient émotionnel ne frise pas les -100 mais quelque chose me dit que de ce côté-là, cela ne sert à rien d’attendre quelque chose » rétorqua-t-il en secouant la tête, affichant clairement une moue méprisable. Oui, cette femme était aussi sensible qu’un tronc d’arbre. Moi, moi, moi. Voilà ce qu’elle devait se répéter à longueur de journée : suis-je la plus belle ? Bien sûr majesté. Suis-je la plus intelligente ? Bien sûr majesté. Du point de vue de Paris, cette femme ne devait pas connaitre autre chose que le « oui » dans sa vie. Le pire c’est que les gens dans son genre obtenaient toujours tout. C’était injuste mais que pouvait-il y faire ?! Pas grand-chose. « Taille toi ton dossier en pointe et enfonce toi le profond là où je pense, peut-être que cela te fera jouir ! » répondit-il finalement avant de se tourner vers la secrétaire, un pauvre sourire d’excuses aux lèvres. « Excusez-moi de m’être donné en spectacle… Donc je viens pour un changement d’adresse s’il vous plait » reprit-il en se passant une main sur la nuque. Il préférait ne plus se préoccuper de cette princesse imbue de sa personne sans quoi, il allait à nouveau perdre son calme. Et puis, elle devait déjà être très loin. Décidément, ce genre de gonzesse avait le don de lui rappeler que même lui, ne pouvait pas sauter sur tout ce qui bougeait et que la plastique aussi belle soit-elle, si elle était remplie de merde, puait.
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