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FEE & DREW ✗ Baby, it's cold outside (8)

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Baby it's cold outside
Si je me sentais toujours assez forte pour affronter la vie, je me sentais affaiblie par le mal qui touchait mes proches. Andrew se trouvait à l’hôpital après une agression folle que je ne comprenais toujours pas, ne sachant l'élucider. J'étais tellement énervée, excédée de cette folie passagère qui coutait des mois de la vie de mon ami, de mon amant, de mon... tout ? surement, je ne sais pas, je ne veux pas. Soucieuse de son bonheur, je refusais de ne pas passer au moins deux à trois par semaine le voir, j'avais besoin de l'aider et de me rassurer. Je l'aimais trop depuis bien longtemps ... ce tendre ami, toute mon enfance. Claquant doucement le clapet de mon mac, j'abandonnais l'écriture de mes nouvelles et écrits divers. J'enfilais une veste élégante prenant mon smartphone et mon sac à main avant de grimper en voiture rapidement. Je me dirigeais vers Boston pour aller le voir, un soulagement, le moment qui serait soulagement comme a chaque fois où de mes propres yeux, je saurais que ; Tout va bien ! Je me garais au parking avec difficulté entre ambulances, visiteurs et personnels médicales. Là, je descendais et me dirigeais vers la secrétaire pour m'annoncer avant de me diriger dans les méandres du grand hôpital pour le rejoindre. Là, j'arrivais dans une espèce de chambre super protégée, que je qualifierai de sur-protégé... mais heureusement, rien n'est trop beau pour un ami si précieux mais tout de même, très aseptisée. Je fus ravie alors ... de le voir là, tranquille. Un sourire, je me posais silencieusement dans le fauteuil près de lit posant ma main sur la sienne, agréable.
   
CODE BY RESSAPANDA.
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Survivre c’était le maître mot surtout après ce genre d’attaque. Et le Prince l’avait très bien compris puisqu’il s’était réellement accroché à la vie, alors que les médecins avaient prédit qu’il ne tiendrait pas plus de deux jours. Mais il semblerait bien que la mort n’était pas encore prête à l’accueillir à ses côtés, or plus d’une fois il avait failli y laisser la peau. Cette fois encore, il avait été sauvé de justesse… Il était content que son « presque » assassin ait hésité avant de tenter de l’abattre parce que ces quelques secondes d’inattention avaient suffi pour que la balle ne se loge pas dans son cœur parce qu’il allait s’en dire qu’Andrew ne serait vraiment plus de ce monde s’il avait été touché au cœur. Il y avait des cas de survie malgré une blessure par balle au niveau du cœur mais c’était extrêmement rare. C’était généralement un aller simple pour l’autre monde. Qu’importe le jeune homme était réveillé et il eut un faible sourire en reconnaissant Ofélia… L’une de ses plus vieilles amies d’enfance ! Il laissa la jeune femme recouvrir sa main avec la sienne, il tenta de se redresser mais impossible, il avait bien trop mal alors il inspira profondément avant de murmurer : « Bonjour mon chaton. Tu vas me lire quoi aujourd’hui ? ». Sa voix était encore faible mais elle était légèrement amusée, d’ailleurs il faisait référence à ce que la jeune femme lui lisait pendant ses jours de sommeil. Cela prouvait qu’il était encore conscient puisqu’il parvenait à se souvenir de ce qu’elle faisait tous les jours en venant le voir.
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Je n'aimais pas le voir ainsi, diminué à cause d'une merde d'accident. je reste choquée tout simplement. Pourtant, je le vois chaque jour, ou tout les deux jours. Je ne m'y fais pas. Je pose ma main sur le lit, et il l'entoure avec peu de vigueur, trop fatigué, j'imagine et je comprend tellement. Il me demande quelle histoire je vais lui raconter et je souris tout simplement car je sens que ça le rassure de me voir là. C'est étrange qu'il se souvienne mais c'est touchant et je me sens utile alors je répond : Tu ... tu m'entendais tout le temps ? J'étais émue et aussi, je tentais de pas devenir trop folle de peur que je sais pas son cœur s'emballe. Pourtant, j'osais venir déposer un baiser à la commissure de ses lèvres et susurrais ; je suis si heureuse que tu sois éveillé ! Je souriais d'une façon presque débile, trop heureuse, trop ravie.
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Lorsqu’il avait senti la main d’Ofélia se poser sur la sienne, le jeune Prince s’était presque immédiatement jeté sur l’occasion pour la serrer avec force, comme s’il cherchait à montrer qu’il était vraiment en vie, puis il s’était mis à parler en demandant ce qu’elle comptait lui lire cette fois. En effet depuis qu’il avait été admis dans cet établissement et durant toute la durée de son coma, elle était venue le voir tous les jours et elle lui lisait des histoires, parler de ses problèmes etc… « Oui… C’était sûrement l’un des trucs qui me donnaient envie de m’accrocher. » répondit-il d’une voix fatiguée avant d’ouvrir grand les yeux lorsqu’elle vint déposer un baiser sur ses lèvres mais cela lui fit plaisir quand même voire même très plaisir. « Merci d’avoir été là pour moi, p’tit chat ». Il lui prit la main avant de déposer un bisou dessus puis il tenta de se redresser mais cela le fit très mal alors il se reposa sur le dos.
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Indécise, je me lève et me rassoit à ses cotés sans jamais lâcher sa main. Je suis heureuse de le voir réveiller mais je ne veux pas lui faire mal, il est encore bien épuisé. Il me flatte disant alors qu'il a été bien aidé, par mes visites, surtout pour s'accrocher, ne pas abandonner et je souris à ces phrases. Je dépose un baiser à la commissure de ses lèvres et je le sens réceptif, petit sourire à ses lèvres. Il tient toujours ma main avant de me remercier en agrémentant sa phrase d'un petit surnom mignon, je rougis. On a beau se connaitre à fond ça fait toujours cet effet. Je sens ses lèvres embrasser ma peau, ma main qu'il ne cesse de tenir et envelopper de la chaleur de la sienne. Je resserre la mienne pour montrer ma présence. Je me montre néanmoins inquiète quand je le vois ressentir la douleur, je lui indique de mes yeux, maternels, de se remettre en position allongé. Tu ne bouges pas... comment te sens tu ? tu veux que j’appelle quelqu'un ? Dis-je inquiète mais néanmoins, calme. Je passe mon autre main dans ma chevelure rousse comme un tique qui me détend.
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Le jeune Prince ne pouvait pas mentir sur le fait que la présence de Fé l’avait beaucoup aidé pendant ses jours dans le coma. Il était dans une demi-conscience donc il pouvait ressentir ou encore entendre ce qu’on lui disait sauf qu’il ne pouvait pas répondre… Maintenant il le pouvait et il le faisait savoir à son amie d’enfance. D’ailleurs elle venait l’embrasser à la commissure des lèvres, ce qui le fit frissonner. Il serra fort sa main avant de lui faire un bisou aussi avant que cette vilaine douleur ne se réveille de nouveau, ce qui rendit la jeune femme inquiète. « Non pas besoin que tu appelles quelqu’un » dit-il en hochant la tête en signe de dénégation avant de se remettre dans une position plus confortable, puis il se tourna de nouveau vers elle. « Tu es vraiment revenue ma Fée ? »
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Et je me ravie de le voir ainsi, heureux de me voir et de me sentir près de lui. il ne me repousse pas malgré les chocs qu'il a subit ; il aurait pu me haïr à présent avec ma poisse légendaire. je baissais ensuite les yeux quand il eut quelques soucis mais il ne voulait pas que j'appelle des secours alors je n'en fis rien ne pouvant laisser la panique s'enfuir de moi pourtant. Là, il se remit en place et commençait à venir me demander pourquoi j'étais revenue. Je me mordais la lèvre. Je n'étais pas partie. Je ne comprend pas son bafouillage mais je veux pas qu'il aille plus mal. Je ne veux pas qu'il se sente mal à l'aise. Je ... je n'étais pas loin de toi, je te surveillais pas loin... tu sais ! Je bougeais un peu sur ma chaise tenant toujours sa main puis, je passais une main dans mes cheveux avant de dire : Oui, je suis là et je resterais près de toi, Drew... Je lui souriais timidement. Que t'ont dit les médecins ?
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