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- IL Y A UN DÉCOMPTE AU-DESSUS DE LA TÊTE DE CHACUN DE NOUS -
W/ CODY.
Il y a un décompte au-dessus de la tête de chacun de vous. Il y a un décompte qui se déplace à chaque pas, chaque seconde, il diminue ou augmente selon vos actions. Il y a un foutu décompte qui condamne ou qui emporte plus vite ou moins vite vos âmes. Et en ce jour, un décompte choisissait sa victime. Maman Bleeker. Tes pas résonnaient comme des milliers de gouttes de pluies sur le pare brise d’une voiture dans les couloirs de l’hôpital après avoir demandé à l’accueil, la chambre de Madame Bleeker. Ces derniers t'avaient répondu qu'elle était en service oncologie et vous savez très bien ce que cela pouvait signifier n'est-ce pas ?. Tu ne savais pas si ton mari cherchait à te mettre à l'écart de tout ça, mais tu ne l'avais pas écouté lorsqu'il t'avait demandé de ne pas venir. C'est évident que tu ne pouvais pas le laisser affronter ça tout seul sachant quand même qu'il n'était pas du genre à quémander de l'aide. Mais bon, t'étais sa femme à présent, donc t'avais le droit de savoir ce qui l'atteignait de près comme de loin. Quatre jours sont passés depuis le malaise de sa mère si t'as bien compris ?. Arrivée en trombe et en courant vers le service oncologie, tu t'arrêtais d'un coup devant la porte où était debout Cody. Te penchant légèrement en posant une main contre ton bide, tu tentais de reprendre petit à petit ton souffle. A vrai dire, tu ne comprenais pas vraiment ce qui avait pu arriver d'un coup étant donné que sa mère avait l'habitude de tout le temps rayonner, fin, elle ne donnait jamais l'impression d'être fatigué ou bien malade. Mais une fois ton souffle reprit, tu regardais à travers le petit vitrage de la porte, sa mère. « Je suis vraiment désolé... » Dis-tu en plongeant ton regard dans le sien. Honnêtement, qu'est-ce qu'il y avait à dire d'autre face à ce genre de situation ?. Tu ne pouvais même pas lui promettre que sa mère allait guérir, car à présent, ses jours étaient comptés. Et ça ne servirait à rien de parler de miracle parce que Bleeker n'y croyait plus. Alors le mieux, c'est de lui dire combien tu étais désolé qu'elle soit dans un état pareil aujourd'hui. Même que tu glissais hésitante, tes doigts pour agripper son auriculaire gauche ayant peur qu'il te repousse parce qu'il est clair que t'aurais voulu le prendre dans tes bras. « Comment c'est arrivé ? Depuis quand ? Tu le savais toi ?. » Tu doutais un peu, car s'il le savait, il n'aurait jamais voulu quitter le cocon familial rien que pour pouvoir garder un œil sur sa mère et s'occuper d'elle. Fin, maintenant, il allait devoir stationner un peu plus à l’hôpital, ça ne suffisait pas sa fille fut un temps et maintenant sa mère.



@Cody Bleeker COKA ✮ I'M HERE OKEY !. 166564858
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W/ DIAMANTIKA.
« T'as pensé à me ramener le numéro de l'infirmier ? Dis-moi que t'as pensé à demander son numéro à l'infirmier ? » agressa madame Bleeker, sitôt son fils de retour dans la chambre. Pour la première fois depuis quatre jours, il avait retrouvé la lumière du jour, histoire de prendre un peu l’air et d’envoyer un message aux personnes qui s’inquiétaient de son absence aux cours ou au travail. A sa grande surprise – ou peut-être pas en fait – sa femme ne fit même pas partie des inquiets. Toutefois, il lui avait envoyé un message pour la rassurer artificiellement, pour pas qu'on lui reproche de ne pas faire d'effort. Mais cette dernière avait décidé de ramener sa face à l’hôpital. « Maman … » soupira-t-il en reprenant place près du fauteuil au chevet de sa mère, fauteuil qui prenait curieusement la forme de ses fesses au fil des heures qui passaient. « Ben quoi, un dernier coup avant crever, c'est une envie normale non ? On m'a toujours dit de nettoyer tout de fond en comble avant de partir. » Il déglutit. Elle était ignoble. La mort ne lui donnait pas plus de filtre en fait. Au contraire, elle levait encore plus toutes les frontières, sachant que c’était déjà l’espèce Schengen dans sa voix. « Dia arrive. » Là, elle arrêta de sourire, feignant même la crise cardiaque. Blague de mauvais goût sachant que deux jours auparavant, il avait vu le corps de sa mère convulser sous ses yeux, alarmant tout le corps médical qui s’attroupait autour d’elle pour lui sauver la vie. « Mon coeur, il ralentit, je vois la lumière blaaaancheeee ... Non sérieusement, si tu veux que je meurs maintenant, y a des solutions moins douloureuses hein. L'euthanasie, la faim, la soif, la torture sous acide ... Mais pas ta femme. » Sans surprise, elle ne l’avait jamais porté dans son cœur. Mais elle avait fait en effort en voyant qu’elle rendait son fils heureux. Sauf qu’elle n’était pas aveugle. Elle voyait bien que ce n’était pas le cas. Que son absence ces quatre derniers jours n’était que le reflet de leur relation. « Je voulais pas qu'elle vienne, je t’ass… » - « Ecoute, Cody. T’as entendu le médecin et l’infirmier sexy dont je t’ordonne de récupérer le numéro. Dans un mois, t’es orphelin. Tu ne crois pas que le plus beau cadeau que tu pourrais faire à une mère, c’est d’être heureux une dernière fois ? Après je m’en fous, j’existerais plus pour te voir te rendre malade pour ta diva de copine. Mais maintenant, je veux ton bonheur. » le coupa-t-elle, avant de se rallonger dans le lit, la couverture jusqu’aux épaules. « Retourne avec ta Joan là, vous étiez bien ensemble. » Cody s’esclaffa ; « T’as jamais pu la blairer. T’as jamais pu en supporter une seule. A part Danae. Mais parce que tu croyais dur comme fer que ses seins étaient refaits et tu voulais le numéro du chirurgien. » Elle ferma les yeux et soupira ; « Avec elles, tu étais heureux. Maintenant dégage. Je ne veux pas que ta femme entre dans ma chambre alors je vais faire semblant d’être morte. Ça va peut-être la faire sourire et peut-être que par contagion, ça te fera sourire. » fit-elle en ordonnant à son fils de foutre le camp.

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Patient, muet, il attendait devant la porte de la chambre de sa mère que Diamantika arrive. Il ne lui avait pas communiqué le numéro de sa chambre, ni même où elle se trouvait, mais Kovache obtiendrait facilement l’information. C’est après quelques minutes à contempler le plexiglas de la porte qu’il sentit une présence à ses côtés. Sa femme. Elle sortit le classique ’je suis désolée’ auquel Cody ne prêtait plus aucune attention, tant c’en était une logorrhée vues toutes les visites qui s’étaient enchaînées ces derniers jours pour profiter de Martha tant qu’elle avait encore un souffle de vie et un sarcasme à envoyer dans la figure des gens.  Sentant la main de Dia chercher la sienne, Cody s’empressa de croiser les bras contre sa poitrine, le plus naturellement du monde, feignant un frisson à cause du froid ambiant. Ça faisait des semaines qu’il ne voyait plus d’amour dans les yeux de Dia, des semaines qu’il ne sentait plus aucun désir à l’égard du jeune homme. Il refusait qu’elle se force, il refusait de matérialiser la mort de sa mère comme une bonne raison pour se rapprocher. Genre on n'a baisé que trois fois depuis qu'on est marié et l’autre jour j’ai même pas voulu t’embrasser. Mais aujourd’hui, ta mère va crever, alors j’suis gentille et j’accepte de te prendre la main. Non. « Elle a fait une attaque quand j’étais avec toi. » fit-il sans décrocher de la vitre et de la silhouette de sa mère dans son lit. « J’ai appris qu’elle avait un cancer. Qu’elle suivait un traitement depuis un an et demi. Que ça faisait un an et demi qu’elle me disait qu’elle partait en weekend Thalasso avec un de ses mecs. Un an et demi qu’elle suivait des chimio durant ces fameux weekend. Un an et demi qu’elle me mentait. » Et il lui en voulait atrocement pour ça. Douloureusement. Il était fatigué qu’on lui mente, qu’on prenne des gants avec lui. Il pouvait tout affronter à présent, il avait 26 ans. Il tourna la tête vers Dia et demanda ; « Tu vas bien ? » ça lui ferait plaisir qu’au moins, l’un des deux aille bien.

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W/ CODY.
Pa pa pa ! Bien fait pour toi ma petite !. Mal t'en avait prise et ton cou est passé de la chaleur de ton écharpe aux moins 50° de l’antarctique. Évidemment, tu aurais dû t'en douter. Évidemment, tu aurais dû savoir que Bleeker allait te mettre un vent tout droit venu du nord. Un vent ultra glacial en croisant ses bras contre poitrine pour échapper à ton contact. Bien fait pour toi ma petite encore une fois. Question bipolarité et saute d'humeur, etc. Cody restait imbattable. Non parce que tu te demandais là toute suite, si c'était le même mec qui t'avait tenu la main la dernière fois et qui t'avais dit vouloir te plaire, ce qui sonnait comme vouloir te reconquérir en gros. Enfin bref, après t'être prise ce vent, tu te sentais quelque peu mal à l'aise comme si là toute suite t'avait envie de rembobiner le fil et revenir au moment où tu venais d'arriver juste pour échapper à ce vent du nord. Croisant finalement tes bras dans ton dos, tu soupirais discrètement en reposant ton regard sur Madame Bleeker qui semblait endormit. T'estimais que dans un moment comme ça, vous n'aviez pas le droit de parler ou même de penser à vos soucis, mais juste d'être là pour la personne dans le besoin, alors ton envie de le prendre dans tes bras n'était en rien une manière de profiter pour te rapprocher de lui. Non, c'était une manière de l'épauler, car tu comprenais ce qu'il traversait. Écoutant les explications de ton homme, sa mère ouvra les yeux et vos regards se croisèrent immédiatement. Pour toi, c'était le bon moment pour entrer, même que tu attrapais le poignet t'apprêtant à l'ouvrir lorsqu'elle te fusilla du regard et te tourna le dos. Freinant ton pas, tu lâchais le poignet de la porte comprenant que tu n'étais pas la bienvenue. Après tout, à quoi t'attendais-tu ?, T'étais de toute façon pas la bienvenue et de la mère et du fils aussi apparemment. Fermant les yeux, tu soupirais en allant t’asseoir sur un banc près de la porte. « Pourquoi tu me l'as pas dit ?. » Demandais-tu d'une petite voix. C'est vrai quoi, t'étais pas devin, tu ne pouvais pas savoir que ce n'était pas une crise d'ado qu'il faisait, mais une crise d'angoisse et pire encore. Savoir que les jours de sa mère étaient à présent comptés, c'était la pire chose. Tu ne supporterais pas toi, t'aurais même plus le courage de tenir sur tes jambes. Mais aussi, tu comprenais le mensonge de Madame Bleeker.« Mets toi un peu à sa place, tu sais combien c'est difficile de dire à son enfant qu'on va bientôt le laisser tout seul, qu'il va bientôt manquer d'une mère ?. Toi, tu aurais le courage de le dire à ta fille ?. » Si toi t'étais à la place de sa mère, alors tu aurais fait pareil, tu aurais fait semblant d'aller super bien, tu aurais tout camouflé par des rires, par des sourires, t'aurais fait en sorte que ton enfant garde une dernière bonne image, souvenirs de toi. « Ça ne m'étonne même pas d'elle en fait. Elle a toujours fait en sorte de propager sa bonne humeur. Et même si elle ne m'a jamais porté dans son cœur, aujourd'hui je peux dire que c'est une battante, une femme forte. » Après tout, toi tu ne l'as jamais détesté malgré tout, t'as toujours fait en sorte de lui plaire, même si ça ne marchait jamais malheureusement. Comme quoi, il n'y a pas que ton entourage qui n'aimait pas Cody, son entourage également ne te portaient pas plus que ça dans leurs cœurs. Mais bon, c'est votre vie, votre histoire pas la leur. Lorsqu'il te demandait si t'allais bien, tu hochais positivement de la tête. « Ça va, ça va. » Outre vos problèmes qui t'empêchaient d'aller au meilleur de ta forme, tu n'étais pas sur le point de mourir et heureusement, t'avais pas envie de faire tes adieux toute suite.
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W/ DIAMANTIKA.
Cody ne savait plus où il en était avec Diamantika, c’était un fait. Enfin, pour être exact, il ne savait plus où Diamantika en était avec lui. Il y avait un tel gap entre ses paroles et ses actes que la machine censée traduire sa femme s’était mise en congé sabbatique depuis quelques semaines déjà. Mais Cody ne voulait pas se disputer aujourd’hui, il ne voulait plus se disputer. Et si la seule solution pour arriver à ce niveau de sérénité était la rupture, alors il en payerait le prix. Mais voyons, ils n’en étaient pas encore à ce stade … Si ? Elle s’étonnait que Cody ne lui ait rien dit. La blague. Il n’y avait tellement plus aucune complicité entre eux qu’elle n’a même pas su lire au travers de la voix tremblante de Cody, de ses doigts qui tressaillent, de ses gestes titubants, que son mari allait mal. Alors à quoi bon ? Haussant les épaules, il lâcha ; « Sans doute la même raison pour laquelle tu ne m’as pas envoyé de messages. » Ceci dit, il ne les aurait pas reçus avant d’avoir quitté l’hôpital, certes. Mais même son ex-femme s’était inquiétée de ne pas avoir reçu de snapchat de fesses de gens dans la rue ces derniers jours et l’avait appelé quatre fois. Quatre de plus que Dia. Cody s’avança et se posa sur le banc, à côté de sa femme. Il posa ses coudes sur ses genoux et engouffra sa tête entre ses mains, massant douloureusement sa nuque. Il était tout courbaturé à force de dormir sur ce fauteuil depuis quatre nuits, si on peut appeler ça dormir. Il craignait que chaque seconde de sommeil soit la dernière de vie de Martha Bleeker. « Je … suis fatigué qu’on me mente. Fatigué qu’on me cache des choses, fatigué qu’on se voile la face. Elle allait mal, elle n’a pas voulu me dire. Et je n’ai rien vu parce qu’elle masquait ça sous des perruques bien arrangées, tout ce qu’il fallait de maquillage pour qu’elle garde le teint lumineux, un sourire à toute épreuve et de belles paroles qui ne m’ont jamais fait douté. Des paroles, des paroles, des paroooles qu’elle chantait la grande duduche, et elle avait raison. Les paroles, c’est fatiguant. Parce que ça enjolive artificiellement les choses et tu te rends compte quand tu arrives au point de rupture que tout est pourri en réalité, moisi, que les cellules partent en miettes parce qu’il y a un cancer indéfectible qui te bouffe. On me reproche souvent de me plaindre, mais heureusement que je le fais. Les problèmes faut les régler à la source. Si elle avait parlé, peut-être que … » Qu’ils auraient trouvé une solution, un médecin à l’autre bout du monde. Elle s’était cachée de lui, et donc des dizaines d’autres opportunités de traitements qui existent partout dans le monde. Le problème, tu le règles à la source, pas quand il s’apprête à s’écouler à tout jamais dans le plus grand océan du monde. Soupira, il se redressa et s’adossa au banc, étirant ses jambes droites devant lui pour les poser sur la petite table basse. « Bref, on peut faire des tas de choses en un mois. » conclut-il avant de dire ; « Y a au moins la moitié d’entre nous qui va bien. » Stay positive, stay positive … Ouais non, ça ne leur réussissait pas des masses de voir la vie côté Coka Cola.
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W/ CODY.
« Parce que je croyais que tu me faisais la tête vue comment tu avais écourté notre dernière discussion en partant sans me dire ce qui se passait. » T'étais là, sur place à même pas quelques centimètre de lui et il n'avait pas jugé bon de te dire quoi que ce soit en pensant que t'étais devin et que t'allais penser qu'il y avait quelque chose de grave parce qu'il venait de parler de cheveux coincés dans un batteur électrique. Même que tu avais pensé qu'il voulait à tout prix se casser pour ne plus avoir à supporter ta présence. C'est pour cela que tu n'avais pas envoyé de message attendant des nouvelles. Le problème avec monsieur, c'est qu'il fallait tout deviner, tout lire entre les lignes, tout voir et ben non, c'était impossible et ça ne marchait pas toujours, la preuve, il n'avait rien vu venir pour sa mère. Et toi honnêtement, tu ne t'attendais pas du tout à ce que ça soit si grave après son coup de téléphone. T'avais même cru que sa fille avait joué avec un batteur électrique et c'était un peu coincé les cheveux avec. Anyway, vous n'alliez pas vous attarder là-dessus de toute façon ce n'était ni l'endroit, ni le moment. Monsieur prenait place à tes côtés alors que tu le regardais masser sa nuque et sans vraiment lui demander son avis, tu retirais ses doigts pour masser toi-même et peu importe s'il refusait ton contact une seconde fois. Mais il peut en être certain que t'allais pas t'arrêter là. T'en avais un peu marre de ce froid glacial entre vous, t'étais fatigué de cette tournure de chose et si l'un de vous ne prenait pas la situation en main, vous allez faire du surplace et comme tu savais que Bleeker ne sera pas celui qui le fera, tu préférais une nouvelle fois endosser la responsabilité, le rôle quoi. « Si elle avait parlé, tu aurais pu quoi ? Trouver une solution, de meilleurs médecins, un traitement ?. Mais ça serait te voiler la face justement Cody, tu sais qu'il n'existe pas de traitement pour cette maladie mortelle, tu sais que quoi que tu fasses, elle prolongera sa vie de quelques semaines ou mois, mais tu sais qu'au final, elle est condamnée. Tu peux seulement t'accrocher à un espoir qu'un miracle se produise. » Franchement s'il existait un traitement contre le cancer, tu ne pensais pas que des tas de gens mourraient, des enfants même. « Si elle ne te l'a pas dit, c'est justement pour ne pas te voir en train de déprimer comme ça, car ça n'aurait fait que l'affaiblir plus rapidement. Elle n'aurait pas supporté de voir la tristesse dans tes yeux chaque jour, surtout à cause d'elle. Elle t'a menti pour ton bien, mais aussi pour son bien, pour avoir le courage de surmonter ça. » Ce n'était pas facile pour elle de se dire qu'elle allait bientôt quitter son fils, qu'elle n'allait plus pouvoir le tenir dans ses bras ou même l'épauler et le conseiller lorsqu'il sera au plus bas. Rien qu'à penser ça toi-même, t'avais le cœur qui te serrait en ne voulant surtout pas être à la place de Cody, ni celle de sa mère, car dans les deux cas, c'était la même douleur. « Tu sais ce que tu peux faire en un mois ? Faire en sorte qu'elle parte avec le sourire, lui montrer que tu lui en veux pas malgré tout, enfouir ta peine et ne lui donner que tes sourires, que de la joie. C'est tout ce dont elle a besoin Cody. » Autant t'avais envie d'être auprès d'eux ensemble pour traverser ça, autant tu craignais que cela soit impossible parce que sa mère te détestait et tu ne voulais pas lui causer d'ennuis, surtout pas en ce moment. « Je vais rester avec toi ce soir, t'inquiète, j'me montrerais pas à ta mère et je me débrouillerais pour convaincre une infirmière de me laisser m'allonger dans l'une des salles d'attente. » Et de toute façon, ce n'était même pas une proposition, car même s'il refusait que tu restes, t'allais quand même rester. Et puis, t'allais pas réussir à fermer l’œil de la nuit après l'avoir vu dans cet état.
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W/ DIAMANTIKA.
Maintenant, c’est Cody qui faisait la tête. C’est lui qui passait pour un con l’autre matin, en train de réciter tous les trucs qu’il avait appris sur des sites de gonzesses pour reconquérir sa femme, qui ne demandait qu’à retrouver ce qu’ils avaient perdu, mais c’est lui qui faisait la tête. Bien sûr. Il n’était même pas énervé, juste blasé de cette situation. Il soupira, haussant les épaules, les bras ballants contre son corps. « Désolé, c'est ma faute. J'oublie tout le temps qu'il n'y a plus cette connexion entre toi et moi qui fait qu'on se comprend par un seul geste. Excuse-moi. » C'était dur de s'habituer à la mort de leur relation, à la passion qui n'existait plus, à ce manque qui s'atténuait petit à petit. Cody avait encore du mal, il avait tant aimé leur relation qu'il ne se faisait pas encore tout à fait à la fin de leur histoire. Pourtant, la voilà. Oui, il parlait déjà de fin. Il ne voyait plus comment la sauver, à ce stade aussi critique. Dans les mots de Diamantika, tu remplaçais 'maladie' par 'Coka' et le sens serait le même. Il n’y avait pas de traitement, sinon, il n’y aurait pas tant de cœurs brisés sur cette terre. Il retira ses mains de sa nuque, laissant les doigts de Kovache prendre place. Il était tellement noué, ça faisait du bien qu’on prenne un peu soin de lui. Et puis ça faisait des semaines qu’ils ne se touchaient plus, alors oui, ça apaisait. « J’en sais rien, elle aurait pu participer à un essai clinique étalé sur plusieurs mois au Japon, un truc de la dernière chance. Ou passer quelques semaines dans une tribu Papou à tenter d’extirper le mal de son corps à base de cérémonie vaudou ou d’herbes médicinales. Y a des tas de types de médecine, p’tete pas que ça l’aurait soigné, mais au moins on se sera dit ’on a fait ce qu’on a pu’. Et il n’y aurait pas de regret à la voir partir. » Et là, oui, regret sur regret, remord sur remord. Maintenant que Dia parlait du dernier mois de sur Terre de sa mère, Cody tourna la tête vers elle, la joue à moitié écrasée par son poing sur lequel il s’appuyait. « En fait, étrangement, elle n'a qu'une seule dernière volonté. Et ça ne la concerne même pas. Elle veut me voir heureux une dernière fois. » Mais il n’était pas con, il savait qu’il avouait là qu’il n’était pas heureux, que sa mère le voyait, il se doutait de toutes les conclusions que pouvait tirer Dia en sachant pertinemment que la mère Bleeker ne la portait pas dans son coeur.  Alors Cody, histoire d’alléger l’atmosphère, pointa discrètement du doigt un mec en blouse blanche ; « Elle veut aussi le numéro de son infirmier mais je règlerais ça en temps et en heure. » pouffa-t-il de rire avant d’enfouir de nouveau son visage entre ses mains et se frotter les yeux. « OK, comme tu veux. Evite juste de dormir sur les bancs, ça te fout un mal de crâne pas possible. » la conseilla-t-il, assez content tout de même qu’elle prenne par elle-même la décision de rester.
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W/ CODY.
« Ce n'est pas ta faute, c'est la nôtre. Cette connexion disparaît de plus en plus à chaque disputes. » Alors ouai c'était de votre faute à tous les deux. Parce que tu n'étais pas la seule à ne plus savoir lire dans ses yeux ou dans ses gestes, mais lui également. Depuis tout à l'heure, l'humeur de ton mari se balançait pratiquement d'un extrême à l'autre, entre incertitude, tristesse et mécontentement et tu étais un peu perdue. L'incertitude t'angoissait. Cela t’angoissait de savoir s'il te détestait à tel point qu'il ne voulait pas de ta présence ici, parce que jusque-là tu t'imposais et il savait que tu étais assez têtue. Ses paroles te rendaient triste au fond, tu avais mal pour lui parce qu'il refusait de baisser les armes et t'aimerais pouvoir lui dire qu'il y avait des chances qu'il trouve un remède, mais tu savais que ce serait lui mentir. Alors ouai, il en avait marre qu'on lui mente et donc tu ne pouvais pas le rassurer comme il le voulait. Tout ce que tu pouvais faire, c'était d'être là pour lui. « Peut-être qu'elle a cherché aussi, peut-être qu'avant de faire la chimio elle a essayé de trouver des solutions comme tu dis, peut-être qu'elle a consulté plusieurs médecins qui l'ont conseillés parce que sérieusement, j'vois pas ta mère abandonner si vite sans faire quelque chose. Peut-être qu'au final, elle s'est rendue compte que tout ce qu'elle avait à faire, c'était de vivre sa vie à fond plutôt que compter ses jours. » Et là, tu stoppais son massage lorsqu'il t'avoua que tout ce qu'elle voulait, c'était qu'il soit heureux. Chose qu'il n'était pas en ce moment et depuis quelques mois, tout comme toi. Tous les parents désiraient voir leurs enfants heureux et quand ça n'allait pas, ils sentaient rapidement. Gardant ta main contre sa nuque, tu plaquais ton front contre son épaule en fermant les yeux. « Alors donne lui ce qu'elle désire. » Retourne avec Joan, soit heureux de nouveau et oublie ta source à emmerdes. Tu aurais pu lui proposer de te quitter, mais tu ne te résoudrais pas à vivre sans lui, t'y arriverai pas, car tu savais que t'en serais autant malheureuse loin de lui, si ce n'est plus. « Arrêtons de nous disputer pour un oui ou pour un non, je veux dire, tu n'as pas l'impression que nos disputes c'est vraiment rien comparé à ce que d'autres couples vivent ? On se chamaille pour des bêtises parce que t'as un égo de fou et parce que je suis têtue comme pas possible. Il faut qu'on arrête tout ça, qu'on prenne les choses plus simplement, c'est vrai, la vie est vraiment trop courte et t'en as la preuve-là, tu seras bientôt séparé de ta mère alors tu crois que ça vaut la peine qu'on passe notre temps à se disputer plutôt que de vivre, faire des projets ou être heureux ?. T'sais, voyageons, sortons, allons nous créer de beaux souvenirs parce que quoi qu'il arrive, je peux plus me résoudre à vivre sans toi. Si c'était toi qui était à la place de ta mère, je te jure que je ne serais plus vivante. Mon corps le sera, mais plus mon âme. Tu vois là, j'en tremble rien qu'à imaginer. Alors faisons une nouvelle résolution ensemble, plus disputes, juste de la joie et de l'amour !. » Demandais-tu en tendant ton auriculaire vers le sien comme une promesse pour cette année. Un nouveau départ, une nouvelle chance de se retrouver comme avant. Mais non Dia, Bleeker allait bien, c'était pas héréditaire le cancer ein, rassure-toi, il n'allait pas suivre sa maman. Redressant ta tête, tu souris en regardant l'édite infirmier que sa mère voulait se faire avant de mourir. « Je pourrais avoir plus de chance que toi d'avoir son numéro, il croira que t'es gay et surement qu'il te donnera un faux numéro. Alors qu'il suffirait que je lui sorte le grand jeu et hop, ce numéro sera rapidement dans les mains de ta mère. » Bon c'est sûre que lorsque l'infirmier arrivera à son rendez-vous, il croira que t'avais pris de l'âge en même pas quelques jours, mais Martha restait une belle femme encore et vu son talent pour la drague, elle l'aurait rapidement son coup. « T'as mangé quelque chose durant ces quatre jours ? Tu veux qu'on aille manger quelque part ? Là elle va surement faire sa sieste donc ça nous laisse un peu de temps. Puis t'as des rechanges ?. » Si Bleeker n'aurait pas eu le temps de penser à tout ça, toi c'était ton devoir de le faire.
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W/ DIAMANTIKA.
« Mouais. » répondit-il sèchement, quand elle affirma que c’était leurs disputes qui dégradaient les connexions. Cody ne pensait pas du tout la même chose, il jugeait même que les disputes étaient encore la seule chose réelle dans leur relation, le dernier symptôme de leur passion. Sans les disputes, ils n’auraient absolument plus rien. Parce que oui, leur mariage n’était plus que superficiel. Ils ne se parlaient plus, ils ne couchaient pas ensemble depuis qu’ils avaient prononcé leurs vœux, ils ne jugeaient même plus utiles de s’embrasser, à peine s’ils se touchaient. Elle avait gagné, Dia. Elle avait son mari, l’espèce de truc informe qu’elle peut présenter à ses copines. Mais Cody, il avait quoi ? Un fantôme. Et j’peux vous assurer que s’il avait le numéro de Sam et Dean Winchester sous la main, il leur téléphonerait pour s’en débarrasser. « Elle a été égoïste. » conclut-il, et ce n’était pas les paroles de Diamantika qui changerait quoique ce soit. En tout cas, la voilà d’accord sur une chose ; il devait donner à sa mère ce qu’elle désirait. Malheureusement, dans l’état actuel des choses, ça signifiait se séparer de Dia, trouver le bonheur ailleurs puisqu’elle était incapable de lui offrir plus que des crises de nerf et de la frustration. Mais elle partait dans ses longs discours, plein d’espoir. Et Cody, amoureux d’elle et l’histoire qu’ils avaient à une époque, accepta de leur donner une chance. L’ultime chance. Sans ajouter un mot de plus, il croisa son petit doigt avec le sien avant de baisser lourdement la main. Ils méritaient bien un dernier essai, the last chance before the break up. « Non, il est hors de question que tu ailles le draguer, j’en fais mon affaire. » fit-il en fixant le mec, l’espèce de docteur Mamour de 25 ans qui remplissait ses feuilles de soin avec tellement d’élégance qu’il en tomberait presque gaga le Bleeker, le Bleeker 100 % hétéro je confirme, au cas où certaines personnes douteraient de son orientation sexuelle. « Ouaip, j’ai des rechanges. » Il ne s’étala pas sur le sujet, mais c’est une certaine Joan Lindley qui s’était chargée d’aller récupérer ses affaires dans son appartement. Mais Kovache n’avait pas besoin de le savoir. « On peut aller manger un bout ouais, j’ai dévalisé le distributeur il restait plus que les bonbons crocodiles et la digestion de la gélatine se passe pas super bien. » Il épargnait évidemment le thème glamour de ses problèmes de constipation à Diamantika. Elle n’avait pas besoin de savoir tout ça. Sur ce, il se leva du banc, invitant Dia à faire de même. Ça l’ennuyait quand même de s’éloigner de la chambre de sa mère, lui qui ne l’avait pas quitté depuis quatre longs jours. Mais ça se passerait bien, il avait menacé les infirmières de l’appeler au moindre problème.
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W/ CODY.
Honnêtement, une dispute qui engendre une autre jusqu'à ce que ça devienne habituel n'a jamais été bon signe, cela a toujours été vu comme le début d'une fin probable et dans votre cas, tu refusais qu'elles gâchent ta vie sentimentale, tu refusais qu'elles te séparent de ton homme parce que soyons réalistes cinq secondes, là où il y avait autant de disputes, il n'y avait plus de place pour l'amour. Amour et disputes ne font jamais bons ménages c'est connu. Donc voilà pourquoi tu voulais retrouver votre vous d'avant, retrouver cette connexion, cette complicité surtout. Et ton mari semblait vouloir lui aussi vous donner une dernière chance de vous rattraper, car il venait de te serrer le petit doigt. Promesse faite, tu feras en sorte que tout aille pour le mieux. Vous n'aviez pas le droit de foutre un mariage en l'air alors qu'au fond, vous savez pertinemment que vous ne pouvez plus vivre l'un sans l'autre. Anyway, pour en revenir à sa mère, il la trouvait égoïste et tu n'étais pas vraiment de cet avis, car t'aurais fait la même chose. Lui dire au contraire aurait été égoïste, parce que ça serait comme lui ôter son sourire et sa joie de vivre, lui priver d'être heureux jusqu'à ce que la mort frappe enfin à sa porte. Si tu avais été à la place de sa mère, tu n'aurais certainement rien dit à Cody, t'aurais exactement fait comme elle. T'aurais continué à sourire parce que ce serait la dernière image que tu voudrais qu'il garde de toi. Tu ne répondis rien, parce que de toute façon, il était blessé, il allait perdre sa mère alors c'était normal qu'il pense tout ça et c'était aussi son droit. « Ça ne changera rien au fait qu'elle t'aime et qu'en ce moment, elle a juste besoin de toi. » Et qu'il devait rien lui montrer de sa tristesse, qu'il devait jouer la comédie devant elle afin qu'elle ne parte pas en étant malheureuse d'avoir blessé son fils. C'était déjà assez difficile pour elle, car au final, c'est elle qui allait quitter ce monde. Cependant, il refusa catégoriquement que t'ailles sortir le grand jeu à cet infirmier, haussant les épaules, tu finis par dire dans un sourire. « Ne le menace surtout pas, là, il te prendra pour un obsédé. » Ou un psychopathe aussi. Dans les deux cas, ça ne reflétait pas du tout l'image de ton homme, il était beaucoup trop maladroit pour ça. Tu fusses néanmoins surprise qu'il pense à des rechanges, quoi que, sa mère était là et donc elle a surement dû le lui rappeler, loin de toi l'idée de penser que la bonne vieille Joan caca Lindley était de retour. Puis, lorsqu'il accepta ton offre d'aller manger un bout, il ne put s'empêcher de faire un petit sous-entendu à propos de sa digestion à la gélatine, ce qui t'arracha une petite grimace en pensant à ce que son bide pourrait faire sortir par en bas vous savez. Chassant rapidement ces images de ta tête, tu te levais en glissant une main dans la sienne, entremêlant tendrement tes doigts aux siens. Maintenant que votre histoire n'était plus cachée, tu pouvais te permettre ces petits gestes en public et ça faisait du bien de pouvoir à nouveau sentir sa peau contre la tienne. Même que ton autre main libre agrippa son bras. Bon, ça va ein, il n'allait pas fuir le Bleeker, ça faisait surtout femme qui protège son territoire ouaich, mais osef Joan caca Lindley n'était plus loin maintenant et donc fallait s'armer. Quittant l’hôpital, vous marchiez jusqu'au restaurant le plus proche, question gps, tu savais qu'il y en avait un pas loin d'ici et c'est donc toi qui le guidait jusqu'à destination. Une fois arrivé et bien installé à une table, tu lâchais une toute petite bombe. « Ça t’intéresserait qu'on se prenne un appartement tous les deux ?. Qu'on est un petit chez nous ?.... Fin ce n'est qu'une petite proposition ein. » Demandais-tu en attrapant le menu. Tu ne voulais pas le brusquer, mais ça serait bien maintenant que vous n'êtes plus obligés de vous cacher. Ça serait votre lit, vos draps, vos brosses à dents tous les matins à se brosser ensemble devant le miroir et toi à lui mettre plein de pâtes à dentifrice sur le visage parce que t'adorais le provoquer. Vos deux mugs de boissons chaudes où tu feras spécialement écrire Codybabouin sur l'un et l'autre Kovache. Fin t'avais longtemps rêvé de ce plan à deux, de pouvoir partager un toit avec lui parce que la distance, c'est jamais bien et ça finit par éloigner.
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W/ DIAMANTIKA.
Pas étonnant que Diamantika défende la mère Bleeker, même si cette dernière la détestait. Elles étaient de la même espèce. Oui, vous avez bien compris, on parle bien d’espèce. Celle des femmes quoi, la plus hostile de toutes les espèces animales sur cette terre. Alors elles se protégeaient entre elles, même si la mère de Cody était clairement en tort. Il lui en voulait atrocement de lui avoir caché ça, comme si elle cherchait à le surprotéger, comme si elle l’estimait incapable de gérer une nouvelle pareille. Sa mère, c’était son tout. Et maintenant, il culpabilisait d’avoir quitté la maison familiale et manger les petites briochettes bien rondes de Devyn plutôt que les miches de sa mère … EUHHHH je préviens il n’y a rien ambigu dans ce que je viens de dire alors ne cherchez pas midi à quatorze heure 50. « Bref. » fit-il donc pour conclure, puisque débattre avec Dia à ce sujet ne servirait à rien. Ouais, Cody zappait vite les sujets à coups de bref, c’en était même sa spécialité. « Je ne comptais pas le menacer, mais jouer la carte du futur orphelin. Ça marche toujours. Je vais la sortir à tous les coups maintenant, même au McDo pour avoir un deuxième burger gratuit. » Il pouvait aussi se contenter de montrer sa carte étudiante s’il le souhaitait puisqu’il y avait une réduc’ immédiate, mais avouez que ça ne serait pas aussi fun. Anyway, ils finirent par se lever et quitter l’hôpital, marchant dans la rue jusqu’au resto le plus proche. Diamantika s’agrippait à son bras comme une gamine de quatre ans, comme si elle voulait démembrer le Canadien. Mais apparemment, c’est comme ça qu’ils se promenaient les gens en couple. Une fois dans le resto, Cody eut à peine le temps de s’installer et de s’habituer à la chaleur ambiante que Dia largua une bombe. Elle voulait qu’ils vivent ensemble. « Ouais. » fit-il simplement. Non parce qu’ils allaient rompre, et maintenant ils prenaient un appartement ensemble. ‘fin vous voyez, c’était une question piège. J’veux dire, s’il dit non, Diamantika lui renverra dans la gueule ’cette histoire ne compte pas pour toi, moi je fais des projets et toi tu dis non à tout’ et s’il dit oui, il s’expose à dire adieu à son jardin secret. Jusqu’à lors, chaque fois qu’ils s’engueulaient, Cody était content de se dire qu’au moins, ils ne vivaient pas ensemble, qu’il pouvait retourner dans sa chambre et rester tranquille. Chose qu’il ne pourra plus s’il vit avec Dia et que sa mère crève. Parce qu’il n’aurait pas les moyens de garder la maison à Cambridge et le chalet au Canada. Il devrait automatiquement faire un choix, et même si ce ne serait pas super pratique d’aller au Canada chaque fois qu’il s’engueule avec sa femme, le choix sera vite fait entre les deux. « Ici, ils font de très bons beignets au crabe parfois. Pardoooon, excusez-moi ? Vous les faites toujours vos beignets au crabe ? » demanda-t-il en interpellant un des serveurs. Ce dernier répondit ; « Nous faisons des beignets au poisson maintenant. Ils sont très bons, avec une petite sauce au citron … » Ouais OK, il va vivre avec Dia, sa mère va crever et il n’y a plus de beignets au crabe. Vie de merde, Cody Bleeker.



J'ai lu ton rp avec Ade. PAS DE CHATON COKA ✮ I'M HERE OKEY !. 3861440630

Mais je veux bien un chien comme ça http://www.racedechien.fr/wp-content/uploads/2014/08/spitz-nain-1.jpg Cody serait tellement pas viril en se promenant avec que je kiff trop
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