Orlakho ▲ La coure des grands

Cela fait déjà depuis 5 ans que je suis sur Harvard, j'apprécie Boston comme Cambridge, cela change de Paris et de New York. Même si ma ville de naissance me manque énormément, La tour effeil, les champs Élysées et tout le reste, quoi. Bon la circulation n'était pas terrible il valait mieux se promener à pieds. En faites bien des moments j'aimerais retourner en arrière. Bien sûr qu'on ne peux pas, ça serait bien trop facile. Si je pouvais avoir une machine de retour en arrière, mais bon. Désormais j'avais ma vie ici et je m'y plait bien, je suis dans une bonne confrérie : La Cabot House. Je vis en colocation avec ma vice présidente Mecky et Mila-Rose et ça se passe très bien, si j'ai choisis cette confrérie c'est pour la loyauté entre les filles, je suis très protectrice donc ça me correspond bien et très loyale. Nous les filles de la Cabot somme très unies à jamais. Quoiqu'il en soit je le vis bien d'être ici et j'ai décider de faire quelque chose qui ne m'aurais pas passer par la tête auparavant. Effectivement, j'ai décider d'être marraine d'un nouveau. En réalité je ne le connais pas, alors nous allons apprendre à se connaître en même temps et puis je suis sociable. Aider à s'intégrer un nouveau était vraiment une idée originale et étant une femme généreuse et avec la main sur le coeur, j'ai décider d'être marraine d'un certain Nekho Heruben. Arrivant sur les lieux du rendez-vous c'est-à-dire le grand hall de l'université, je voyais juste un jeune homme assis avec en main son téléphone, je demandais. "  Bonjour. Je suis Ornella Montgomery, je suppose que tu es Nekho Heruben? " Affichant un sourire aux lèvres, j'espérais ne pas me gourrer pour le coup. En tout cas, très original comme prénom, j'aime beaucoup. Quoiqu'il en soit, je tombais des nues quand j'aperçois ce beau regard bleuté océanique, avec cette belle chevelure brune, il avait l'air d'un mannequin. Je me ressaisissais. " Ravie d'être ta marraine et bienvenue à Harvard. Tu va voir, tu va vite t'y habituer et tu va t'y plaire. "  

Bon sang j'ai cru arriver en retard, heureusement ce ne fut pas le cas. J'ai horreur de trop faire attendre, ce n'est pas vraiment dans mes habitudes, je n'aimerais pas trop attendre alors je ne veux pas, ce que je ne veux pas qu'on me fasse. Déjà que le jeune homme que je veux aider à s'intégrer ne connait pas du tout les lieux alors si je le fait attendre, il m'en voudra. Ceci dit, je réussis à le retrouver et je me plonge dans ses magnifiques yeux bleux océan, quel regard, c'en est troublant. Je souris doucement, tandis qu'on se présente l'un à l'autre. « Enchantée aussi. J'espère ne pas avoir était trop longue. » Apparemment il n'était pas en colère contre moi ou il était véritablement patient. Quoiqu'il en soit, il se lève rapidement pour me dire qu'il vient d'Egypte, wahou je suis impressionner. Je ne connais pas l'Egypte, je n'ai jamais vraiment eu l'occasion d'y aller, mais ça m'aurais fait plaisir d'en savoir plus. « En effet, ça dois te changer de là bas. Comment sont les universités là bas? » Je lui poserais bien également la question de savoir pour quel raison a t-il déménager, mais ça sera pour plus tard, j'aurais l'impression de lui faire un interrogatoire, le pauvre. C'est déjà pas facile d'intégrer une université tel qu'Harvard et je sais ce que c'est. Venant de Paris et de New York, ça n'a rien à voir. J'étais tout autant perdue que lui en débarquant ici autrefois, il y a huit ans. C'est pourquoi je sais ce que c'est d'être nouveau et d'être totalement perdue, voilà la raison pour laquelle m'est venue à l'idée de vouloir être marraine.  

Sa réponse est logique, finalement ça me rassure de ne pas avoir était en retard. Je vais en tout cas, tout faire pour être la meilleure marraine qu'il soit. En réalité c'est la première fois que je le fais, je suis marraine depuis longtemps mais je n'ai pas encore eu cette occasion de le devenir vraiment. Puis pour une première fois, la patience en valait le coup, parce que je dois reconnaître que faire visiter et intégrer un aussi beau jeune homme aux yeux bleu magnifique, un Egyptien qui plus est, c'est quelque chose. Je lui demande alors par curiosité comment sont les universités là bas alors il m'explique et je trouve ça impressionnant quand même le nombre d'étudiants, je n'y croyais pas et pourtant je sais que c'est vrai, je l'imaginais bien et j'aurais bien aimer voir comment c'était vraiment. « Wahou ! C'est immense en effet, comparé à cette université là, Harvard contient 23 000 étudiants. Je dois reconnaître qu'à côté de ton université, ce n'est pas grand chose. Mais les étudiants viennent de loin. » Lorsqu'il vins me parler de l'architecture, je l'imaginais dans ma tête et ça devait être magnifique, il me donnait l'envie de visiter son université, je me mis à sourire doucement.  « Ça doit être magnifique. Pourquoi venir ici? Si ce n'est pas trop indiscret, bien sûr. » Je ne voudrais pas passer pour une commère non plus. En marchant, je lui expliquais où se trouvais tel ou tel endroit.

Harvard était grand mais on y retrouvait certaines personnes parfois. La preuve, j'avais revu ma meilleure amie d'enfance que j'ai connu à Paris, Valentine et ça me faisait plaisir de la retrouver ici. Il est vrai que tout le monde voulait venir dans cette université. J'avais était à celle de New York et bien que celle-ci soit autant immense, ça n'a rien à voir avec Harvard. Donc j'étais bel et bien d'accord sur ce que disais Nekho pour le coup. « C'est bien vrai. Tout le monde veut passer par ici, c'est une université si prestigieuse que chacun se bat pour y accéder. Je dois admettre que je n'ai pas forcément voulu intégrer cette université au départ. En faites, je vivais à New York et j'ai dû déménager. » Pour des événements très particuliers. En effet, mon père ayant était assassiner dans son bureau dans notre maison à New York, que ce n'était plus possible d'y vivre avec tous ses souvenirs. Enfin, tout ça pour dire que je n'avais jamais penser à venir dans cette prestigieuse université un jour, mais je fais partie des chanceuses. J'étais d'ailleurs ravie d'être là, il ne faut pas croire. Bien que j'aurais aimer que les circonstances soient différentes. Bref, je lui faisais visiter l'université en lui expliquant correctement où se trouvait tel endroit, espérant qu'il ne s'y perde plus et je lui demandais pour quel raison il se trouvait ici maintenant, il n'était pas obliger de me répondre mais il le fit et je l'écoutais. Je trouvais ça curieux et étrange que quelqu'un d'important veuille à tout prix fiancer son fils avec une inconnue, un mariage arrangé, bizarre. « Oh, je vois. Ça doit te faire bizarre... Je veux dire, de te marier à une inconnue. » Tout s'explique, il veux désormais connaître sa fiancée. C'est tellement étrange, mais bon. « C'est compréhensible. N'empêche que je trouve cette situation bien étrange. » Et s'ils venaient à ne pas s'entendre et s’entre tuer? Ou alors au contraire, si ça se trouve elle lui plaira et ça serait réciproque et ils se découvriraient de vrais sentiments.