You can be mean-June

You can be mean
June A.-M. Moires + Nork-Hrolf Errington

Maintenant que je suis de retour en ville et que j'ai vue les personnes de ma famille plus Sally, je me dois aussi d'aller rendre visite à June. Notre histoire était courte et de plus j'ai joué le gros con avant de simuler ma mort. Je me suis renseigné sur elle avant de venir la voir et j'ai appris qu'elle était enceinte elle aussi. Ça me fais bizarre je dois l'avoué parce que les deux femmes que j'ai fréquenté sérieusement sont toutes les deux enceintes, mais j'ai pas le choix de m'y faire et je suis même content pour June. J'espère juste qu'elle va pas elle aussi me foutre sa main dans la figure bien que j'en doute. J'arrive sur le campus et prend la direction de la Lowell house ou je demande à l'une des Lowell ou se trouve la chambre de June. Pour être franc j'espère que la brune n'y sera pas et que je pourrais reculer encore ce moment de confrontation. J'arrive devant la porte de sa chambre et souffle un coup avant de toqué.  

© LOYALS.

N'habite plus à l'adresse indiqué !
June A.-M. Moires + Nork-Hrolf Errington

 J’ai déménagé de la lowell house, j’aimais beaucoup cette maison, j’y avais passé beaucoup de temps mais il fallait se rendre à la raison. On ne pouvait pas être en couple et avec des enfants chez les lowells, j’allais juste faire chier tout le monde avec les enfants qui pleurent. Bon, ce n’était pas la joie avec mon chéri, on c’était encore disputé parce que je lui avais proposé de me marier et il avait refusé, c’était un peu galère et assez froid entre nous. Mais je me disais que l’arrivée des enfants changerait tout. J’espérais en tout cas, alors que j’étais depuis plusieurs semaines en arrêt car je ne pouvais plus venir en cours, je devais cependant passer à la lowell house car j’avais perdu un tableau. Je pense que je l’avais laissé accroché, j’aurais pu demander à mon chéri d’aller le chercher mais ça me ferait du bien de revoir mon ancienne chambre et son nouvel occupant. Je vis alors un jeune homme de dos et je pensais qu’il s’agissait d’un nouveau lowell : « Bonjour désolé mais tu n’aurais pas trouvé un tableau dans ta chambre, j’ai oublié le mien, je suis l’ancienne locataire de la chambre… ». Il ne c’était pas encore retourné…

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You can be mean
June A.-M. Moires + Nork-Hrolf Errington

Je ne souhaite à personne de vivre ça, c'est tellement compliqué de faire son retour et d'aller dire aux personnes qui tienne ou tenaient à vous que vous êtes en réalité pas mort. J'ai peur de la réaction de June même si je m'attend à ce qu'elle me tape une crise et qu'elle m'en mette une pleine tête, j'espère sincèrement qu'elle finira un jour par me pardonner. Je suis devant la porte de sa chambre et voyant que sa ne répond pas, je décide de reprendre ma route, mais une voix que je connais assez bien, s'adresse à moi ou du moins à mon dos. Je me racle la gorge "June...Je sais pas comment te dire ça mais surtout ne prend pas peur." Je ne prend pas le temps d'attendre sa réponse et me retourne pour lui faire face, je suppose que son histoire de tableau est déjà bien loin. Je ne sais pas par quoi commencer n'y quoi lui dire, pour le coup je suis vraiment con et je me contente de lui sourire comme un débile.

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N'habite plus à l'adresse indiqué !
June A.-M. Moires + Nork-Hrolf Errington

 Je ne comprenais pas de qui il s’agissait, cette voix me disait quelque chose pourtant et ses cheveux aussi, lorsqu’il se retournait je reconnaissais Nork mais Nork était mort c’était étrange alors ma première réaction fut de rire : « Oh, tu ressembles vraiment à quelqu’un que je connaissais… ». Oui, je ne savais pas pourquoi j’avais rit, c’était sans doute nerveux. Mais pourtant il m’appelait par mon prénom alors c’est qu’il me connaissait, je le regardais de près mais c’était bien Nork apparemment, je ne comprenais plus rien, ce n’était pas vraiment clair. « Ne pas prendre peur ? ». Oui, j’avais été triste après avoir appris qu’il m’avait trompé puis qu’il était mort mais c’était plutôt toute la colère que j’avais contre lui et contre Sally. J’avais l’impression que ce n’était pas possible qu’il soit là, en face moi, je lui en voulais beaucoup : « C’est quoi tes excuses, c’est quoi ton explication ? ». J’étais très curieuse en effet.

© LOYALS.