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I NEED A DOCTOR TO BRING ME BACK TO LIFE ~ JOADY

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W/ JOAN.
C’était presque un miracle que Cody soit encore en vie en arrivant à l’hôpital. Chacun de ses membres tremblaient depuis l’innommable coup de fil, depuis qu’il avait appris que sa mère venait d’être acceptée aux urgences. Il ne comprenait pas ce qui se passait, le médecin lui avait signifié qu’il était mieux qu’ils se voient pour en parler. Alors Cody gara n’importe comment sa voiture le long d’un trottoir. On appelle ça un rangement en bataille créatif, mais bon j’ai déjà essayé de l’expliquer à mon moniteur d’auto-école mais j’avoue que ça n’a pas marchéééé. Puis il se mit à courir, courir, courir, dans toutes les allées de l’hôpital avant de trouver les urgences. Il arriva essoufflé jusqu’au comptoir – si vous voulez que Bleeker fasse du sport, dites-lui que sa mère va crever, apparemment c’est assez efficace – où la secrétaire dut faire preuve d’une extrême patience pour calmer Cody qui criait sur elle chaque fois qu’il imaginait sa mère au fond de son lit, affaiblie et souffrante. « Mais c’est pas possibleeeee ! Vous êtes la Federer des secrétaires ou quoi ? C’est des balles de tennis que vous avez au bout des doigts pour faire autant de fautes de frappes dans un même mot ? B-L-E … E … J’AI DIT E ! Y a quoi après le F ? hein ? » - Elle aussi, c’était le tremblement de terre dans sa voix. Elle était sûrement habituée à ce qu’on lui crie dessus, mais elle ne s’appelait pas Anastasia Steele alors forcément, c’était pas son kiff. « Le G … » Et à Bleeker d’enchaîner ; « AHAHAHA ! NON ! Le E ! Bleeker ! Putain de merde c’est pas compliqué à écrire ! Martha, avec un H aussi inutile que vous au milieu ! » Il était au bout de sa vie le Bleeker. À vrai dire, il était surpris que Diamantika ne soit pas à ses côtés dans un moment pareil, qu'elle ne soit pas là pour le canaliser, pour lui dire que tout va bien, pour discuter avec la secrétaire et faire face à son incapacité à sa place. Surpris qu'elle ne lui ait pas pris la main, voyant ses doigts trembler sur son trousseau de clef, tout en lui murmurant qu'elle conduirait. Sauf qu'à vrai dire, ça illustrait leur relation depuis le mariage ; du vide. Alors il lui pardonnait. Il lui pardonnait parce que c'était la fin. Dans l'état actuel des choses, ses vains efforts repoussaient seulement l'échéance de leur histoire. Mais Coka, c'était bel et bien fini. Cody le savait au fond de ses tripes. Et à vrai dire, il s'en foutait, fatigué d'être traité comme un moins que rien et d'être abandonné chaque fois qu'il avait le plus besoin d'elle. À bout, il croisa les bras sur le comptoir, la tête coincée entre ses épaules. « Mais puisque je vous dis qu’on vient de m’appeler pour me dire de venir la voir … Docteur Keller … S’il vous plaît … » soupira-t-il, se demandant s’il ne parlait pas Chinois parfois.


@Joan-Frances Lindley Bleeker
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W/ JOAN.
Douze jours qu'elle était à Boston c'est ça ? Ouais à quelque chose près. Et elle passait son douzième jour de vie à l'américaine dans un hôpital, great belle amélioration de la part de Lindley on applaudit. Non mais, ça se la joue Phinéas Fogg – le Tour du monde en 80 jours, le mec dedans c'est lui pour les incultes – et elle revient à la maison elle finit à l'hosto. Enfin pas elle, son presque-gosse, c'est clair qu'à ce rythme-là il n'y avait pas grand risque qu'elle en obtienne la garde complète, non vraiment quelle mère exemplaire elle allait faire. Le pauvre enfant avec les trois mots d'anglais qu'elle avait eu le temps de lui apprendre depuis qu'elle avait mis les pieds pour la première fois dans l'orphelinat péruvien ne comprenait rien à ce que lui raconter le vieux con à lunettes qui voulait pas lui donner de paracétamol. Et Joan qui répétait des petits bueno bueno au bord de la crise de nerfs au petit hispanique qui la regardait avec des yeux gros comme les soucoupes volantes que môman étudiait. « Il est péruvien il pas débile ! Puis j'vous dis qu'il l'a fait son test d'allergie ! Vous êtes en train de remettre en cause de système d'adoption péruvien ? » dit-elle en repoussant les mains d'une infirmière qui s'évertuait à expliquer au pauvre petit garçon ce qu'il lui arrivait à coup de langage des signes. Elle jeta un ultime regard haineux au pédiatre, on donne vraiment les diplômes à n'importe qui. Elle en connaissait des médecins qui sortaient de Harvard, elle se souvenait pas qu'ils étaient aussi débiles profonds. En même temps, elle ne pouvait pas faire comme tout le monde ? Attendre 32 ans pour faire un gosse avec le mari qu'elle aurait fini par acheter – ouais parce qu'on va pas se mentir, personne ne restait trop longtemps avec elle, trop d'exigences elle avait. Elle leva les bras au ciel comme ultime prière lorsque le pédiatre lui expliqua devoir emmener le petit garçon faire un test et qu'elle devait attendre quelques minutes dans le hall d'attente. Elle s'assit donc à contrecœur sur un des fauteuils lorsque son ouïe fut attisée par un grand mec un peu bedonnant – c'est cadeau – qui n'était pas mieux servi par le service médical. Ni une ni deux, Joan sauta sur ses sabots de poney pour rejoindre Cody lui donnant un bonne tape de mec dans le dos. « Docteur, mon époux a toujours eu des soucis de cœur, vous savez il est sensible, vous semblez déjà avoir du mal à gérer le peu de patients que vous avez, vous pourriez faire un effort non ? » La pauvre fille tapait nerveusement sur son clavier. « Il était où le comité d'accueil à l'aéroport Bleeker ? Tu sais j'ai accepté de divorcer mais je réclame un minimum d'attention. J't'ai rendu service il me semble, même pas un ballon en forme de poney rose avec écrit « Welcome home Joan ! », rien ! »

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W/ JOAN.
Parce qu’en plus de donner aux patients la désagréable impression de parler une langue totalement inconnue au bataillon, sûrement à base d’Omaticaya et de Dothraki, on se faisait agresser aux urgences. Genre violenté violemment quoi. Cody, alors qu’il était à deux doigts d’exploser, sentit une douleur dans le dos, douleur qui l’électrisa. Et maintenant, il était proie aux hallucinations quoi. Genre il voyait son ex. Il entendait son ex. Il sentait son ex. Non mais c’est pas possible, ils diffusaient des gaz dans cet hosto, un type de gaz du bonheur qui, dès que tu l’inhales, te fait voir que des choses positives. Enfin, si on considère que voir son ex femme, se faire frapper et se faire engueuler est une chose positive. Il se redressa et se tourna vers la-dite hallucination ; « Attends. » fit-il par dire avant de guider sa main jusqu’à sa joue et se pincer la joue pour se réveiller. « Aïe. » Il se fit mal, le con. Et Joan était encore face à lui, comme si elle était bien réelle. Mais non. Ce n’était pas possible, elle était au fin fond du Pérou, elle élevait le lama ou l’alpaga. « Attends. » répéta-t-il avant de s’approcher de la-dite hallucination. A ce moment-là, il avança son visage vers le sien, avant de tourner la tête vers la secrétaire et de glousser nerveusement ; « C’est drôlement bien fait. » Alors, il posa ses mains sur ses épaules, avant de les retirer aussitôt comme s’il venait de recevoir une décharge électrique. « Wow ! » Non mais il était à bout, et maintenant il devait passer pour un con quoi, à loucher sur son ex, ne croyant pas une seconde à sa présence ici. « Joan-Frances Lindley ex Bleeker, c’est bien toi ? » Elle n’était pas mal elle aussi, niveau patronyme à rallonge. Il faut croire que le Canadien avait un type de fille attitrée. Mais même dans ses rêves les plus fous, il n’avait jamais imaginé revoir Joan. J’vous jure. Pourtant, au commun des mortels la connaissant, ça paraissait sûrement très logique qu’elle revienne un jour. Mais Bleeker vivait sans lendemain, sans planning, sans rien. Elle était partie un jour. Sans retour. Effacé, leur amour. Sans se retourner. Ne pas regretter. Garder les instants qu’ils ont volés. Partir un jour, sans bagages. Enfin si, elle était sûrement super chargée en partant. On ne va pas se mentir. Bref.
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W/ JOAN.
Ah Cody Bleeker tout en délicatesse, un savant mélange de poésie et de grâce. Cependant, la jeune femme le regardait avec un regard presque attendrie – si si – parce qu'il lui avait peut-être un peu manqué au sommet de la Cordillère des Andes. N'en déplaise aux plus chevronnés des alpinistes, l'ascension du Machu Pichu ne valait en rien une petite dose de lourdeur Bleekérienne. Elle voyait du coin de l’œil la pauvre bonne femme du service hospitalier incrédule devant la scène, Lindley lui aurait bien proposé de profiter de leurs retrouvailles pour aller se détendre un moment. Elle laissa le Canadien se remettre de ses émotions, encore que ce n'était pas tout à fait gagner avant de hocher la tête. « En chair, en os et en frange. Je te pardonne la banderole, t'as l'air content de me voir, ça vaut mieux que tous les comités d'accueil. » dit-elle fort sagement avec un sourire. Eh oui, là-haut sur la montagne, Joan s'était parée d'une sagesse toute nouvelle … enfin vaut mieux se dire ça que de conclure qu'elle n'avait même pas ramener un bonnet en poil de lama à chacun de ses amis, trop préoccupée par la plantation des pommes de terre sur les cultures en plateau – et on remercie Frédéric Lopez et toute l'équipe de Rendez-vous en terre inconnue de m'avoir fait découvrir la culture des patates au Pérou. Mais autant vous dire que Lindley avait approfondi son apprentissage jusqu'aux derniers jours car si un secteur ne connaît pas la crise, c'est bien l'alimentaire. « Alors mon grand, ce mariage ? » demanda-t-elle avec un grand sourire, convaincue de la réussite de l'entreprise de son ex-époux dont elle avait reçu les papiers du divorce quelques mois plus tôt. Néanmoins après s'être réjouie, un petit truc lui turlupina l'esprit. « Attends, ta mère a été admise ici ? » Petit froncement de sourcils de sa part, car c'était bien un Cody en panique qu'elle avait vu en arrivant, elle se doutait donc qu'il ne s'était pas évertué à agresser la secrétaire sans raison valable. Cela n'avait rien à voir avec le mec que Joan craignait de recroiser son ex belle-maman dans les couloirs après plusieurs années de silence.

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W/ JOAN.
Oui, il était heureux de la voir. Cloîtrés entre ces quatre murs blancs, supportant les bousculades à gauche et à droite des chariots des ambulanciers, des pleurs des femmes et des cris des enfants, Cody se sentait comme prisonnier d’une cage qui l’étouffait. Joan, c’était une bouffée d’air frais, elle aspergeait Cody de sa bonne humeur et de sa sérénité. Du moins, par rapport à lui, elle semblait de bonne humeur. Après, il ne lui avait pas tendu une feuille de papier, un QCM d’une question avec écrit ’es-tu de bonne humeur ? Oui je suis de très bonne humeur Non et je t’emmerde profondément’ pour vérifier, vous pensez bien. « Tu … m’as pas dit que tu revenais. Enfin peut-être que si, mais mon portable est en train de décéder, regarde-le. » Il sortit l’espèce de tas de ferraille maintenus par un bout de scotch marron et qui, parfois, sonnait. « Mais ici il capte plus rien, je veux dire, il suffit qu’il soit en contact avec de l’eau pour qu’il ne capte plus rien. Et il pleut beaucoup en ce moment à Boston alors je n’ai rien reçu de toi, sinon je t’aurais préparé un comité d’accueil à l’aéroport. Un comité d’accueil composé de moi, mais c’est juste parce que je ne connais pas tes amis. » fit-il en bégayant, tentant de s’excuser du mieux qu’il pouvait de son absence. Il faisait que ça en ce moment, s’excuser. S’excuser d’être là, s’excuser de ne pas être là, s’excuser d’être lui-même. D’ailleurs, elle lui balança quelque chose sur son mariage et Cody ignorait même qu’elle était au courant. OK, elle savait être divorcée, mais ça ne voulait pas nécessairement dire qu’il allait se re marier … Quoique, Joan connaissait Bleeker comme personne d’autre. « C’est … Oui il faudra qu’on en parle tant que le sujet est d’actualité. » fit-il en soupirant, sans vraiment réaliser ce qu’il racontait, sans vraiment le penser. Il était perturbé par la question qui suivit. « Elle a été admise … » Puis, comme atteint de bipolarité, il tourna la tête et haussa la voix, fou de rage contre la secrétaire ; « Mais y a PERSONNE ici qui veut me dire ni où elle est, ni ce qu’elle a, N’EST-CE PAS ?! » Oh non mademoiselle Trucmachinchowski, tu n’as pas à te sentir visée, non nooonnnn. Puis, le bipolaire en lui retrouva le calme dès lors qu’il posa les yeux sur Lindley ; « Tu fous quoi là ? T’as décidé d’étudier un autre type de lune ? » Vus tous les trous du cul sur cette terre, la proctologie a de l’avenir.
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W/ CODY.
À vrai dire, elle n'avait prévenu personne de son retour à Harvard si ce n'est l'administration de l'université et tout ce qui impliquait de remplir des papiers et se rendre à l'ambassade toutes les semaines. Joan avait voulu travailler son effet de surprise et visiblement c'était réussi. La jeune femme fronça les sourcils, observant l'objet que Cody désignait comme téléphone comme si ça allait leur exploser à la figure. « Bah c'est vrai que ça a jamais été trop le projet des fabricants de mobiles qu'on puisse téléphoner sous l'eau, déjà qu'ils arrivent pas à créer des batteries convenables enfin de toute manière tu n'aurais rien reçu je voulais faire la surprise. » Puis autant dire que vu à la vitesse à laquelle les choses s'étaient organisées, c'est à peine si Lindley se souvenait avoir commandé ses billets d'avion qu'elle était déjà en train de prendre ses valises à Boston. C'était peut-être la faute à un de ces trucs qu'un vieux sage péruvien lui avait fait fumé au cours de l'année pour célébré je-ne-sais quelle divinité inca. La jeune femme avait compris toute seule pour l'histoire du divorce, bon elle n'en avait aucune certitude mais elle connaissait assez Bleeker pour savoir qu'il était bien trop feignasse pour se donner la peine de lui envoyer ses papiers de divorce sans aucune raison. Elle était même convaincue qu'ils auraient pu longtemps rester mariés tous les deux, ça n'avait rien de très contraignant de toute façon, elle avait même l'avantage d'avoir un époux qui n'exigeait pas qu'elle réalise ses devoirs conjugaux. « Diamantika ou tu t'es trouvé une autre fille entre temps ? » Ce qui l'étonnerait … plus ou moins. Cody avait toujours impressionné Joan par sa capacité à avoir toujours une meuf dans sa vie sans faire grand chose. Le charme de la bière et du bidou, la barbe de bucheron, non vraiment il avait son charme à lui. Sans ironie évidemment, elle en avait été la première victime. Être victime de la virilité toute particulière de Cody Bleeker impliquait aussi pour les plus chanceuses de rencontrer maman Bleeker qui visiblement était dans ces murs. « Laisse-tomber j'avais plus de facilité à communiquer avec des infirmières péruviennes qu'avec cette adorable personne qui pourrait simplement taper 7 lettres sur son clavier et on en parle plus. » Elle lança un regard appuyé à la secrétaire qui semblait finalement disposée à chercher dans ses dossiers. « Non, j'ai adopté un enfant, genre je suis devenue maman, un peu comme Meredith et Derek, mais sans Meredith et sans Derek. Il avait jamais eu de rhume du au froid t'imagines bien. »

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W/ JOAN.
« Ben alors pourquoi tu me reproches de ne pas t’avoir accueilli à l’aéroport ? » Genre la meuf ’ils étaient où mes ballons ?’ et après ’fuck les ballons je travaille l’effet de surprise’. Ah oui, conclusion, Cody aurait dû être à l’aéroport pour un évènement totalement indépendant de l’arrivée de Joan avec des ballons, puis il l’aurait vu débarquer sur ses gros sabots, ce qui l’aurait surpris. Comme ça, Lindley aurait eu à la fois ses ballons et son effet de surprise. C’était tellement évident. Pourquoi Cody n’y avait-il pas songé tout de suite ? « Euh Dia pour le moment. » Et pour toujouuuuuurs voyons, enfin jusqu’au divorce ahahaha mais on est tombé dans une faille spatio-temporelle alors je suis encore au moment où Cody est fou d’amour pour Diamantika même s’il lui en veut profondément de ne pas être là pour le soutenir. Bref, apparemment, Joan rencontrait elle aussi des petits parasites sur la ligne qui reliait la planète Terre à ces maudites infirmières incapables de dire où se trouvait la mère hospitalisée de Bleeker. « Je pensais que tu fréquentais plutôt des véto là-bas … » Ben ouais, les lamas, tout ça. J’vous rappelle qu’elle avait envoyé les papiers du divorce avec juste un post-it collé dessus ’je vais élever des lamas au Pérou, bon divorce. PS ; n’oublie pas de mettre un pantalon cette fois en sortant chercher le courrier, tu files des complexes au voisinage’ parce que Cody a un gros zizi. « À moins qu’ils ne séparent pas les hôpitaux des cliniques vétérinaires ? du coup c’est le même personnel agréé pour les deux ? Wow, c’est chaud quand même. » Bref, c’est Cody. Et là, Joan lui balança qu’elle avait un gosse comme si elle annonçait avoir mangé un bol de riz ce midi quoi. Le Canadien déglutit, crachant un filet d’eau invisible. INVISIBLE. Rien ne s’échappa de sa bouche, je précise. Il fixait Joan, ne comprenait pas trop si elle se payait sa tête ou pas, parce qu’elle parlait de Grey’s Anatomy. Or, Joan se laisse vite entraînée dans ses délires quand elle parle de Grey’s Anatomy. Alors, Cody se mit à rire bruyamment, attendant que le poney lui répondre ’ahahah kiddiiiing, it’s a joke, a prank, a joooke’. « Ah-ah-ah-ah. Tu as ramené un bébé lama c’est ça ? Comment on appelle un bébé lama d’ailleurs ? Un lam…iot ? un lamaton ? un lamantin ! Ah oui c’est ça, un lamantin. Comment il s’appelle ? »
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W/ CODY.
« Tu veux vraiment me contrarier de suite ou bien on s'accorde une petite heure de retrouvailles pleines d'allégresse et d'accolades amicales ? » C'est pas parce qu'elle avait passé douze mois au grand air qu'elle en avait oublier de toujours dire quelque chose et son contraire. Elle se sentait même d'attaque pour se lancer dans un petit discours sur comment et pourquoi il aurait du savoir ce qu'elle attendait de lui. Une petite moue de déception prit donc place sur ses lèvres. Dire qu'elle avait bon espoir qu'il soit le seul à peu près capable de comprendre son fonctionnement, que dalle, des années de travail à la poubelle. Faut dire que Bleeker avait un talent particulier avec la gente féminine, le mec avait accumuler deux mariages en un an, c'est une sorte de record. Pourtant le garçon quand on le voit on songe plus à une place dans le Guinness World Records en tant que plus gros mangeur de pizza. Encore une fois, un peu de mauvaise foi de la part de Lindley qui devait reconnaître qu'il s'était pas trop mal démerdée, il ne s'était jamais affichée avec une Susan Boyle aux dernières nouvelles. « Comment ça pour l'instant ? » Allez savoir, peut-être que Diamantika s'était ressentie soudainement princesse et était en train de larguer peu à peu son époux pour un magnat du pétrole. Sans paraître mauvaise langue, Joan n'avait jamais eu trop confiance en ce genre de filles, l'appel de la forêt l'argent n'est jamais bien loin. Elle leva les yeux au ciel, c'est à cause de gens comme Cody qu'un vieux mythe raconte que la population de lamas au Pérou dépasse de loin la population humaine. Et on dérive de suite sur des histoires d'empereur qui se transforme en lama, c'est le chaos et on s'en sort plus. « Ouais c'est ça, pour tout te dire, on fait souvent des greffes d'organes de lamas sur les hommes aussi quand on manque de donneur. J'ai déjà entendu parlé d'une femme qui s'était faite greffée une jambe de lama, on dit qu'elle serait toujours vivante, elle vivrait dans une grotte au milieu des montagnes entourées de ses petits enfants lamas. » Comment ça foutage de gueule ? Non à aucun moment, ja-mais elle se permettrait de se moquer de Bleeker enfin ! Puis il comprenait pas grand chose, il devait faire exprès. « Non un enfant, un bébé, le même genre que tu as, plus ergonomique pour l'instant, et plus garçon aussi, toujours se méfier quand on lui change sa couche ça peut se révéler dangereux mais globalement ça se passe bien. »

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W/ JOAN.
Toujours aussi contradictoire cette Joan. Un jour, Cody lui a juste demandé si elle voulait du sel, ce à quoi elle avait répondu ’non’. Pas de souci. Avant de dire ’tu sais, quand je dis non, j’émets une réserve, il est fort possible que je veuille du sel finalement’. D’accord Joan, ce choix ne t’engageait en rien, tu sais. Et puis, le final ’j’aimerais beaucoup que tu me passes le sel, Cody’. Et c’est encore ce qui se passait aujourd’hui. Joan était sûrement une des meufs la plus indécise au monde, mais faut dire que ça lui faisait un certain charme. « Pour l’instant parce que … On sait pas, la vie, les gens, ça change. » Il n’allait quand même pas parler de ses problèmes de couple avec Joan quoi, c’est bon, c’est déjà assez weird comme ça entre eux. Il valait mieux parler des conditions hospitalières dans les cliniques du Chili. Très beau sujet. « La pauvre … ‘fin je veux dire, je suis même pas sûr que l’épilation laser fonctionne sur elle. C’est chaud. » Un lama, c’est assez poilu. Cody y croyait vraiment quoi, il aurait même pu poser dix mille questions à ce sujet, mais Joan attisa un peu trop sa curiosité quand elle parla de son gosse. Il avait du mal à imaginer Joan maman. Attention, elle s’était très bien débrouillée avec Jess, toujours. Mais Cody avait du mal à imaginer Joan maman d’un autre gosse que le sien. Ouais, c’est un peu égoïste de sa part mais que voulez-vous. « Un vivant ? » demanda-t-il avant de se foutre une baffe au cerveau. « Il s’appelle comment ? Qui est le père ? Tu as eu un gosse hors mariage ? Comment t’as fait pour perdre tes kilos ? Attends, tu étais enceinte avant de partir ? Il est où ? » Il enchaînait les questions comme une machine à compter les billets. Cette conversation aurait pu être passionnante, jusqu’à ce que la secrétaire interpelle Cody. « Monsieur Bleeker ? Votre mère se trouve en soins intensi……… » Et bim, la fusée Cody s’envola, courant à contre-sens dans les couloirs bondés des urgences. Bim. Je suppose qu’une fusée fait plutôt un fiouuuu quand elle décolle, ou encore un brrrrrrrrr, ou peut-être un paaaaaffff comme claque dans la figure. Mais la réalité, c’est que si je discute autant du bruit d’une fusée qui décolle, c’est pour cacher toute la détresse dans les yeux de Cody qui plaqua son nez contre la vitre de la chambre dans laquelle se trouvait sa mère. Sa mère ? Trois personnes en blouses blanches étaient autour du lit, plantant des aiguilles dans ses bras. Ils faisaient tous de grands gestes, discutaient, même une des femmes riait. On peut expliquer ce qu’il y a de drôle là-dedans ? Non parce que Bleeker ne saisissait pas la blague, là. Il plaqua ses mains contre la vitre embuée par sa respiration saccadée, implorant les personnes de dégager la vue, il voulait voir, il voulait voir … « Ce n’est pas maman … » murmura-t-il en sentant Joan près de lui. « Ce n’est pas maman. » répéta-t-il, avant d’expliquer. « Regarde, elle n’a pas de cheveux, elle est chauve. Tu … Tu sais comment Maman aime ses cheveux. Elle a fait monter une armoire IKEA entière pour ranger ses produits pour cheveux. Shampoing, après-shampoing, avant-shampoing, masque réparateur, masque nourrissant, masque abreuvant, masque pour cheveux frisés, masque pour cheveux lisses, crème de soin, démêlant, re-mêlant. Garnier, Schwarzkopf, Head and Shoulders, L’Oréal … C’est elle la Cristina Cordula du cheveu. Tu peux retourner et leur dire qu’il y a une erreur ? C’est pas maman. » Déni total. Il restait les yeux rivés sur le corps fatigué dans la chambre, incapable de bouger, incapable de s’approcher.
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W/ CODY.
La jeune femme affichait un petit sourire contrit, un léger hochement de tête accompagné l'air désolé et un peu conventionnel qu'elle avait au visage. L'expérience avait fait qu'elle évitait soigneusement de trop s'intéresser à la vie amoureuse de Cody. C'était juste de la prévoyance, ils savaient tous les deux très bien que ce n'était pas une idée de génie de mêler leur relation à celles qu'ils avaient avec les autres. Bleeker et Lindley avaient déjà trop joué aux exs envahissants pour que la brune se permette d'intervenir ou d'émettre un quelconque opinion sur le mariage de Cody. « C'est la crise de la première année faut pas lâcher l'affaire. » dit-elle le plus impersonnellement du monde. Elle l'observait ensuite, sans savoir si c'était du lard ou du cochon. Comment ça vivant ? Comment voulait-il que cet enfant soit ? Joan finit par rire avant de sa raviser. Non bien sur qu'il posait la question sérieusement. Il s'agit de Bleeker. « Oui vivant, j'ai jamais trop aimé les animaux dans le formol, les enfants non plus du coup. » Elle secoua la tête, elle avait toujours eu du mal à s'imaginer abriter un fœtus dans son utérus, c'était pas le genre de chose qui la faisait rêver et elle avait toujours considérer l'adoption comme une très bonne alternative. « Non je suis en pleine procédure d'adoption, pas de perte de poids miracle. » Mais fini les banalités sur la vie familiale bancale que Joan tentait de construire ou sur le mariage apparemment tout aussi voué à l'échec de Cody avec son Eliot. Enfin, quelqu'un se décidait à donner des informations sur la mère de Bleeker et celui-ci volait littéralement dans les couloirs pour rejoindre les soins intensifs comme indiqué par la secrétaire. La jeune femme se lança à sa suite et arriva finalement près de lui, jetant un regard à la femme étendue dans le lit d'hôpital. Il parlait beaucoup, une histoire de cheveux, alors que Lindley regardait le ballet des médecins devant eux. Il refusait de voir la vérité en face, elle posa une main sur son épaule avant de soupirer. « Cody, je crois que c'est bien ta mère … » Un médecin s'approchait d'eux et Joan le questionna directement. « Il s'est passé quoi ? »

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