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Strange feeling • Hercule

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Ça ne vous est jamais arrivé cette sensation d'incompréhension totale à la suite d'un évènement pour le moins ordinaire ? Comme si vous étiez dans un univers parallèle où seule une seule personne importe, ainsi que vous bien entendu. Ben moi si. Juste maintenant là. Hercule, mon ami d'enfance, m'avait demandé de passer chez lui aujourd'hui pour récupérer je n'sais plus trop quoi que j'avais oublié la dernière fois. Mais, lorsqu'il m'a ouvert la porte, son expression faciale m'a confirmé le fait qu'il ne m'attendait pas -en plus des quelques minutes à poireauter devant son appartement. Torse nu, une serviette accrochée autour du bassin et la peau ruisselante, mes yeux restaient fixés là où je ne voulais pas. C'est à ce moment précis où j'ai commencer à me rendre compte que quelque chose clochait. Quoi ? Je ne sais pas. Mais ce n'était certainement pas la réaction à avoir vis à vis de lui. Je le connaissais depuis qu'on avait quoi ? Six ans ? Sept ans ? J'avais même perdu la notion du temps depuis la journée de notre rencontre à Chicago. Quoi qu'il en soit, j'aurais eu encore plus de mal à faire plus bizarre que ma pose précédente -à savoir yeux ronds, bouche grande ouverte et regard plutôt .. indécent. Pourtant je l'ai fait. Yo ! Salut le Dieu grec ! On attendait pas Bibi ? dis-je avec un grand sourire en lui tapant l'épaule. Il est évident que je n'aurais jamais, ô grand jamais fait ça d'habitude, mais bon, il faut croire que j'étais un peu perdue à ce moment-là.

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L'eau chaude coulait doucement sur ma peau, mes mains passant sur mon corps, voulant profiter de cette douche bien méritée. Ma vie était un tel désordre en ce moment que me poser, ne serait-ce que cinq minutes, ne me faisait aucun mal. Je n'avais pas arrêté de courir partout, me mettre mal tous les soirs tout en essayant de suivre ces cours ennuyeux à la fac, l'idée de quitter celle-ci me traversait d'ailleurs parfois l'esprit. A quoi bon rester là bas si je me faisais chier ? Pour honorer ma confrérie ? Au fond personne n'en avait rien à faire, excepté Talya, cette femme qui avait toujours veillé sur moi. Celle qui m'avait aidé à réaliser mes sentiments pour Kara et celle que j'avais sûrement déçu en mettant fin à notre relation. Malgré mon envie irrépressible de l'embrasser, de la rassurer, lui dire que tout irait bien, j'avais foiré, partageant les lèvres d'autres femmes. Me pardonnerait-elle un jour ? Peut-être pas. Au fond c'était sûrement mieux, cela éviterait bien des souffrances au fond, même si mon cœur meurtri me disait le contraire. « PUTAIN » criais-je, frappant ma main contre le mur de la salle de bain comme pour me punir de mes erreurs, comme si toutes les merdes qui étaient arrivées dans ma vie étaient de ma faute. Soupirant, je sortais de la douche, enfilant une serviette toute simple autour de mes hanches, ne cachant ainsi que l'essentiel. Cette soirée allait être tranquille, je pourrais enfin réfléchir, me concentrer sur ce qui importait vraiment. Du moins c'était ce que je pensais avant qu'on vienne frapper à la porte. Posant le déodorant sur le bord du lavabo, j'allais ouvrir à cette personne dont le timing était vraiment mauvais. La colère qui montait en moi me hurlait de laisser l'invité dehors, de faire comme si il n'y avait personne. Et pourtant, quelque chose me poussa à voir qui c'était, la curiosité peut-être. Puis je la vis et mon cœur rata un battement. Que faisait-elle ici ? On était supposés se voir ? Fronçant les sourcils, je ne comprenais pas, ce qu'elle semblait avoir remarqué. « Bibi ? Vraiment ? » Mon air choqué laissa place à un sourire amusé tandis que mes lèvres vinrent se poser sur sa joue pour la saluer. « Allez viens entre, même si tu me parles comme si j'étais un gosse de cinq ans... » lançais-je, élargissant mon sourire, me décalant par la même occasion pour la laisser entrer. Les battements de mon cœur s'accéléraient tandis qu'elle passait à côté de moi tandis que ma main serrait la poignée de la porte comme pour me contenir, pour cacher ce sentiment qui grandissait en moi. « T'es au courant qu'il faut une invitation pour entrer dans la demeure d'un Dieu ? » Ouais, là je me foutais clairement d'elle et de son « Dieu grec ». Certes je m'appelais Hercule mais, malheureusement, je n'étais pas aussi honorable que ce héros. Peut-être que je ne le serais jamais.
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Nous étions toujours là, sur le seuil de la porte de son appartement : lui, détendu bien qu'à moitié à poil. Moi ? Emmitouflée dans mon manteau, mon écharpe, mon chapeau et mes gants, toujours aussi gênée et serrant comme une malade la lance de mon sac. « Bibi ? Vraiment ? » Lorsque, enfin, un petit sourire en coin se dessina sur son visage, je me mis à sourire à mon tour. « Allez viens entre, même si tu me parles comme si j'étais un gosse de cinq ans... » La panique que voulez-vous ? J'avais eu une sensation de déjà vécu, déjà vu, en le voyant comme ça. Comme si ce moment était un passage important de ma vie ou je ne sais trop quoi. J'entrais donc et commençais à me déshabiller histoire de ne pas mourir de chaud, avant de repérer mon fameux objet pris en otage sur une chaise. « T'es au courant qu'il faut une invitation pour entrer dans la demeure d'un Dieu ? » Tout en souriant, je marchais vers mon pull pour le ranger dans mon sac avant de me retourner. « Pas forcément, surtout si le Dieu, c'est toi ! » Je m'installait ensuite sur le canapé, consciente d'être un peu envahissante, surtout du fait qu'il semblait sortir de sa douche. « Sinon, non pas que l'envie de te voir à poil me dégoute, tu pourrais aller t'habiller et puis me servir un petit café si t'en as ? J'ai rien à faire ce soir et je viens de décider de te tenir compagnie ! » Ça pouvait sembler vache, mais Hercule avait l'habitude avec moi. Depuis toute petite, je fuguait de l'internat pour aller chez lui où je faisais comme chez moi, quelques pâtés de maison plus loin. Il avait toujours été là pour moi et je serais toujours là pour lui, ça ne changerait pas de sitôt. Nous n'étions pas qu'amis d'enfance : nous étions réellement complices, comme frère et sœur, mais sans lien de sang. « Mais dis-moi, t'es tout seul ? Echo n'est pas là ? » criais-je depuis le canapé, le beau gosse étant parti se changer. Je ne l'avais vu qu'une ou deux fois depuis qu'Hercule avait emménagé avec, donc je ne m'étais toujours pas faite à l'idée qu'il n'était plus seul chez lui. Réarrangeant mon leggings dans mes chaussures, j'attendais qu'il revienne.
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Aelita s'installa sur le canapé, faisant comme si de rien n'était, elle avait peut-être oublié qu'ici n'était pas son appartement. Étrangement, cela ne me surprit même pas, bien au contraire, je la regardais faire un sourire aux lèvres, le regard amusé par ce petit bout de femme qui n'avait peur de rien. En tout cas c'était ce que je pensais, Aelita semblait toujours forte, m'impressionnant par sa capacité à se relever lorsqu'elle était mise à terre par quelqu'un. « Ouais je me change deux secondes, t'en fais pas je vais juste mettre un bas, histoire que tu puisses admirer mes abdos, tu sais ceux qui me font passer pour un Dieu ? » plaisantais-je, haussant la voix tandis que je m'éloignais d'elle pour aller dans ma chambre chercher un caleçon et un jean à enfiler. Cette pièce était la plus désordonnée de l'appart après celle d'Echo bien sûr, nul ne pouvait imaginer le bordel dans lequel elle vivait. Soupirant, je soulevais quelques vêtements afin de me vêtir d'un bas blanc tout simple, je ne mettais rien d'autre préférant rester torse nu. Pourquoi ? Pour rigoler un peu, revoir son ait béat lorsque j'avais ouvert la porte. Au fond ça ne m'avait pas laissé indifférent, savoir que peut-être je lui faisais de l'effet... Non, impossible, nous n'étions qu'amis et ce depuis longtemps, peu importe ce que mon cœur me hurlait, rien n'arriverait. « Non Echo, Gwen et Neela sont parties... je ne sais où » . Ouais il n'y avait pas grand chose dont j'étais au courant dans cette baraque, juste que Neela était hors de portée. Mais je m'en foutais, du moment que mon lit était toujours là, intact et qu'il y avait à manger j'étais heureux. « Ce qui veut dire qu'on est tous seuls » susurrais-je à l'oreille d'Aelita en passant derrière elle, posant mes mains sur ses épaules avant de les laisser glisser sur ses avants bras. « Bon allez viens, je vais t'apprendre à te servir de la machine à café comme ça tu pourras t'en faire toute seule la prochaine fois ». Changement de sujet. Il fallait calmer mon cœur qui s'emballait un peu trop, il avait déjà assez souffert comme ça.
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Installée sur le canapé, j'inspectais la pièce. Je venais rarement dans son appartement puisque nous nous retrouvions la plupart du temps à l’extérieur : dans le campus ou autre. Parti dans sa chambre, j'entendais Hercule me parler de loin pendant que je tournais un peu en rond dans le salon. « Non Echo, Gwen et Neela sont parties... je ne sais où ». L'endroit était assez peu décoré mais quelques photos apparaissaient par-ci par-là. Je n'avais encore vu que deux fois Echo mais jamais ses deux autres colocataires. Je repoussais loin de moi l'idée du simple fait d'être jalouse de ces filles. Je n'allais vraiment pas bien en ce moment moi ! Hercule revenait donc de sa chambre, uniquement vêtu d'un short comme il me l'avait dit. Il le faisait certainement exprès pour se foutre de moi, comme à son habitude, bien que son ton léger était l'une des choses qui me plaisait chez lui et qui faisait que nous étions amis depuis si longtemps. Il ne se prenait pas la tête pour un rien comme d'autres, malgré les erreurs que j'avais pu faire par le passé. Il passait alors derrière moi et, posant ses mains sur mes épaules avant de les faire glisser sur mes avant-bras. « Ce qui veut dire qu'on est tous seuls ». Je ne réussis pas à réprimer le violent frisson qui me secoue de toute part. Oh wow. Qu'est ce qu'il se passe là ? Puisque j'étais de dos à lui, il ne pouvait pas voir mon visage, je décidais donc de faire comme si de rien n'était et avançait vers la cuisine. Après quelques secondes, il me rejoignait. « Bon allez viens, je vais t'apprendre à te servir de la machine à café comme ça tu pourras t'en faire toute seule la prochaine fois ». Je le suivais, ayant retrouver mon sourire habituel plutôt que l'expression choquée de tout à l'heure. « Oui ça serait pas mal. D'ailleurs tu ne m'invites pas assez souvent : je ne connais même pas tes colocs ! » dis-je en lui donnant un petit coup d'épaule en me positionnant à côté de lui. Nouveau frisson. J'attrapais le bord du plan de travail et le serrait histoire de me calmer. Quelque chose clochait ici, vraiment. « Et dooonc, comment ça va en ce moment avec euux, huum jesaisplusqui ? » Bon, je n'avais pas la mémoire des prénoms, ce n'était pas nouveau : je ne le faisais pas exprès ! Il me semblait qu'il sortait avec quelqu'un il y a quelques temps et qu'il y avait eu des histoires entre eux : je me devais de prendre des nouvelles de la vie de mon d'enfance. Pour lui. Pas pour moi.
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