Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityHélios E. Errington ► Sean O'Pry
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Hélios E. Errington ► Sean O'Pry

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Hélios Ethan Errington

Sean
O'Pry
Fiche d'identité
Nom ErringtonPrénom(s) Hélios EthanÂge 26 ansDate de naissance 22 août 1989Lieu de naissance AthènesStatut amoureux en coupleOrientation sexuelle hétérosexuelleClasse sociale AiséeÉtudes majeures Relations internationales Études mineures langues étrangèresJob PDG de l'hôtel Errington Cambridge Choix de groupe #1 Eliot HouseChoix de groupe #2Winthrop House


Eliot House
Ce groupe est évidement celui qui lui correspond le plus. Hélios est issu d’une famille riche et son grand-père est même le président de la Grèce. Il est le PDG et surtout le futur héritier des hôtels Errington Cambridge extrêmement connu aux USA mais également dans le monde entier. Etant petits et même aujourd’hui il n’a jamais manqué de rien, il a toujours pu avoir ce qu’il voulait sans être pour autant pourri gâté.

Winthrop House
Séducteur et charmeur. Voilà deux mots qui définiraient parfaitement bien Hélios. Il aime que les regards des femmes soient porter sur lui ce qui d’ailleurs pourrait expliquer le fait qu’il est un dressing beaucoup plus remplis que celui d’une fille et de nombreuse voiture de luxe. Il sera toujours bien apprêter même si au final il n’y a pas que le physique qui compte. Mais Hélios est également un gentleman. Il sait s’y faire avec les femmes. Mais derrière ce beau physique ce cache un homme au grand cœur prêt à tout pour rendre certaines personne heureuses allant parfois jusqu’à faire passer le bonheur des autres avant le sien.
APRÈS LA BOMBE.
Ces choses-là on les voit souvent dans les films, parfois aux informations mais on imagine jamais que ça pourrais nous arriver à nous et c’est seulement quand on le vit qu’on se rend réellement compte de ce que ça fait. Cette journée est une journée horrible peut-être même la pire de toute ma vie et vu ce que j’ai vécu ça ne veut pas rien dire. J’aurais préféré ne jamais me souvenir de ce qu’il c’était passé mais mon cerveau en avait décidé autrement. Ce jour-là, j’’avais décidé de sécher mes deux seuls cours de la journée pour pouvoir un pote. On s’était donné rendez-vous au parking mais alors qu’on s’apprêtait à s’en aller la bombe à exploser nous projetant lui et moi dans les airs. Je voyais des gens qui s’agitaient, d’autres à terre qui ne bougeaient plus, j’entendais les hurlements. Je voulais partir en courant mais je n’y arrivais pas, je ne pouvais pas bouger, je ne sentais plus mes jambes. Tout ce qui était en dessous de mon bassin je ne le sentais plus. Mon ami était à côté de moi. Je le suppliais d’ouvrir les yeux, de se réveiller, de bouger mais contrairement à moi, il n’avait pas eu la chance de s’en sortir : il était morte. J’ignore ce qui s’est passé ensuite parce que j’ai perdu connaissance. Lorsque je me suis réveillée j’avais une amnésie : j’étais incapable de me rappeler ce qu’il c’était passé ce jour-là et c’était à peine si je me souvenais de mon identité. De plus, on m’apprit que j’avais reçu un éclat de la bombe dans la colonne vertébrale et que j’étais paralysée des jambes. Après des mois et des mois de rééducation, de séances chez le kiné et chez le psy j’ai finit pas réussir à remarcher mais également à retrouver la mémoire.
PS : t'as plus d'infos à cet endroit !
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
Après ce fameux jour de janvier, je n’avais plus du tout envie de venir à la fac. J’avais même songé durant quelques jours à me consacrer totalement à mon hôtel. Contrairement à d’habitude, ce jour-là, j’avais décidé de passer l’heure où je n’avais pas cours à la librairie. Etant donné que j’avais un trou de deux heures dans mon emploi du temps, j’aurais pu choisir de rentrée chez moi comme j’avais si souvent l’habitude de le faire mais je savais que je ne travaillerais pas et j’avais besoin que ma moyenne augmente. Ça faisait plus d’une heure que je révisais. J’étais tellement concentrée que je ne remarquais pas les personnes autour de moi, ni ce qu’il se passait d’ailleurs. C’était le premier coup de feu qui m’avait ramené brutalement à la vie. Sur le coup, j’avais réellement cru que ce jour allait être le dernier de ma vie, je pensais vraiment que j’allais mourir. Je me retrouvais enfermer dans une bibliothèque avec un tireur fou et je ne pouvais rien faire d’autre que me cacher entre les rangées de livres. Si je disais que j’étais terrorisé, ça serait un euphémisme. Il n’y a pas de mot pour décrire ce que je pouvais ressentir à ce moment-là.
PS : t'as plus d'infos à cet endroit !
ITEM LIBRE (FACULTATIF).
Parce que peut-être que t'as envie de nous faire partager des points essentiels à savoir à propos de toi ? Ouais, on pense à tout ici :p Du coup, cet endroit, c'est le tien. Sous forme de liste ou d'anecdote, tu peux laisser libre court à ton imagination ! Si t'en as pas envie, tu peux supprimer (la div et l'onglet), tout simplement, on t'en voudra pas :D


Everblue
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Everblue et j'ai 21 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à partenariat je crois.  Je trouvais le forum très beau visuellement et plutôt intéressant alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Sean O'Pry (J'ai vu avec Nork-Hrolf Errington pour l'avatar et on est parti sur des vrais jumeaux. )  comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Shiya. Je fais environ 500-1000 mots par RP et mon personnage est un personnage scénario crée par Mary E. Windsor.

Mot de la fin ? ▲ Ajout libre.

Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainer si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)

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Once upon a time


« Un secret consiste à ne le répéter qu’à une seule personne à la fois »

Je me souviens de ce jour où ma mère m’avait donné ce journal intime. J’avais un peu plus de huit ans et je courrais partout dans la maison comme à ma grande habitude d’ailleurs. L’hiver arrivait et je ne supportais pas d’être enfermé dans la maison. J’aimais pouvoir courir dehors, me défouler comme bon me semblait. Mais ce jour-là, il pleuvait alors je n’avais pas le droit de sortir. Mon frère regardait la télé mais moi ça m’ennuyait alors je faisais mon sport à l’intérieur de la maison. Ma mère m’avait arrêté et tendu ce petit journal sur lequel j’écrivais aujourd’hui. Elle m’avait dit que ça m’aiderait à canaliser mes pensées et surtout que ça m’aiderait à me poser pendant un bon bout de temps. Seulement moi je n’en avais rien à faire de ce journal intime malgré tout, je l’avais remerciée avant d’aller déposer mon journal dans ma chambre. Ce n’était que lorsque j’avais eu dix ans que j’avais retrouvé ce journal enfui dans le fin fond de mon tiroir de bureau. Même si au départ je n’étais pas vraiment chaud pour l’utiliser j’ai décidé d’essayer après tout, je n’avais rien à perdre.

Je suis née le 22 août 1989 à Athènes en Grèce et contrairement à la plupart des gens je ne suis pas arrivé tout seul. Pour la plus grande joie de mes parents nous étions deux bébés identiques physiquement et physiquement seulement parce qu’au avait beau être deux copies conformes avec le même matériel génétique au niveau du caractère il y avait d’énorme différence entre nous mais malgré tout ça nous avait pas empêché de bien voire même très bien nous entendre. Il était mon tout, ma moitié, ma bouée de sauvetage et sans lui, je n’étais absolument rien. Il y avait des jumeaux qui ne s’entendent pas bien mais nous, nous étions totalement inséparables et quand Leanne notre sœur adoptive est arrivée nous avons très rapidement formé un magnifique trio. J’étais né dans une famille aimante et riche. Alors j’avais tout pour être heureux et sincèrement je l’étais. Quand je suis rentré à l’école je me suis tout de me suis révélé comme un petit cancre qui aimait faire rire la classe. Je n’arrivais pas à rester attentionné très longtemps mais malgré tout, j’avais des notes correctes qui me permettaient chaque année de passer dans le niveau supérieur. J’en faisais voir de toutes les couleurs aux professeurs et par la même occasion à mes parents qui bien souvent avaient rendez-vous avec mes professeurs. On me dérivait comme : arrogant, provocateur et parfois même insolent. Mais j’étais ainsi et malgré tout l’or du monde, personne ne pouvait rien y faire au fait que j’étais un gamin hyperactif qui était incapable de rester en place.

« L’adolescence est une étape de la vie qu’il ne faut pas ignorer mais vivre pleinement. »

« Hey hélios ! Tu fais quoi ce soir après les cours ? » J’étais tranquillement assise sur un banc à côté de ma copine de l’époque Enfin si on peut appeler ça une copine parce qu'en réalité, je ne savais même pas si on était réellement en couple. « Hm, je ne sais pas, je crois que je dois assister à un rendez-vous avec mon père. Pourquoi ? » Mon père m’avait annoncé il y avait quelques semaine que c’était sur moi qu’il comptait pour reprendre l’entreprise quand il ne pourrait plus assurer. Selon moi, il avait uniquement fait ça pour me canaliser. Parce que j’étais devenu totalement ingérable avec mon entrer dans l’adolescence. «  Tu veux pas plutôt faire une virée avec les mecs et on pourrait aussi aller s’acheter un costume pour la soirée de ce soir ? » Je n’avais pas changé, dès que j’avais l’occasion d’échapper à mes obligations, je ne me gênais pour le faire et je ne demandais la permission à personne. Je me débrouillais toujours pour passer un maximum de temps avec mes amis c’est-à-dire que j’étais plus souvent dehors que dedans. Je ne trouvais toujours pas ça normale de devoir toujours me retrouver autour de personne influente.  « On se rejoint à dix-huit heures devant les barrières du lycée. » Malgré tout, je pris la peine d’envoyer un message à mon père afin qu’il n’alarme pas la gendarmerie en ne me voyant pas rentrer. Il était ainsi mon père, toujours à surveiller tous mes faits et gestes et même si au final il avait tout à fait ses raisons puisque depuis quelques années je finissais assez souvent au poste de police pour des choses assez minimes du genre tapage nocturne, état ivresse sur la voie publique et des choses un peu plus grave comme vol à l’étalage. J’avais donc dû inventer tout un tas de subtilité pour pouvoir faire le mur et pouvoir vivre ma vie d’adolescente comme je le souhaitais. Les centres commerciaux c’’était de loin l’endroit que je préférais le plus au monde. La plupart du temps, l’argent qu’on me donnait partait en vêtements – surtout des chemises – et également des bijoux enfin essentiellement des chaines. « Alors, tu le trouves comment ce costume ? » Je ne cessais de me regarder dans la classe. J’en avais déjà une énorme quantité de costume dans mon armoire mais ça ne me suffisait pas. Depuis que j’étais rentré au lycée et que j’avais commencé à sortir en permanence pour faire la fête, je m’étais découvert une passion pour la mode. J’aimais l’idée d’avoir une tenue pour chaque occasion, une tenue pour chaque jour du mois et si je pouvais en avoir une pour chaque jour de l’année je ne ferais.  « Dis-moi, tu as déjà volé ? » Il est vrai que j’avais de l’argent et que si vraiment je le voulais, je pourrais trouver un autre moyen pour cacher ce nouvel achat dont je n’avais au final pas besoin mais ça ne m’amuserait pas autant et ça ne me ferait pas le même effet. « Tu comptes vraiment le faire ? Mais si on te prend tu es dans la merde ! » L’adrénaline, c’était la seule chose qui me donnait envie de le faire et également le fait que ça ne se faisait pas et par conséquent que je risquais gros. C’était vrai que si je me faisais prendre j’étais foutu mais je savais que j’en étais capable et je le fis, j’ai pris ce costume puis l’ai fourré dans mon sac de cours avant de partir du magasin comme si de rien était.

« N’ai pas peur du changement tu gagneras sans doute quelque chose de mieux. »

10 Août 2007 c’était le jour de mon départ pour Harvard. Après avoir passé mon adolescence à faire n’importe quoi, je m’étais mis à travailler d’arrachepied à la fin de la troisième année du lycée – même si je continuais à faire des conneries – pour pouvoir intégrer Harvard. Je ne savais pas réellement ce qui m’attirait dans cette université mais au final, je n’avais pas vraiment eu le choix.. je devais commencer à reprendre l’entreprise de mon père et je n’avais pas envie de faire des kilomètre et kilomètres pour me rendre à l’université chaque jour. C’était l’occasion pour moi de prendre mon indépendance et d’assumer mes responsabilités. Je ne partais pas tout seul puisque mon frère venait avec moi. Mais au final mon indépendance n’était qu’une simple illusion puisqu’une fois arriver à Cambridge un homme du nom d’Arthuro m’avait pris sous son aile pour continuer mon éducation et m’aider pour apprendre à diriger l’hôtel Errigton puisque c’était moi le futur héritier. Mais si on faisait abstraction de ce détail qui parfois pouvait me peser parce que c’était quelque chose de vraiment lourd à gérer, j’aimais ma vie à Harvard. J’étais très attaché à la Grèce, à ma ville natale et à tout ce que j’avais pu vivre là-bas mais Cambridge c’était tout ce dont j’avais rêvé durant mon adolescence. J’avais décidé de faire des études de relation internationales. Lorsque j’étais arrivée au lycée plus tard je me voyais plutôt travailler dans la mode comme en étant par exemple styliste ou directeur de défilé de mode, j’en sais trop rien mais je ne me destinais pas à suivre les trace de mon père c'est à dire travailler dans les affaires. A présent, j’habitais dans une chambre de luxe à l’hôtel Errington Cambridge où je travailler quand je n’avais pas cours. Enfin jusqu’à ma troisième année, je n’y travaillais pas réellement, j’étais plutôt un observateur qui emmagasinais des connaissances auprès de mon mentor afin de pouvoir gérer cette entreprise dans les années à venir.

« L’avantage du coup de foudre c’est qu’il fait gagner du temps. »

Elle était là devant moi tel un rayon de soleil. J’ignorais totalement comment elle s’appelait et qui elle était. Ça faisait cinq ans que j’étais à Harvard et c’était la première fois que je la voyais. Je ne savais pas son âge, je ne  savais pas ce qu’elle faisait à Harvard ni d’où elle venait. Je ne connaissais rien d’elle et pourtant elle m’avait tout de suite plu, un peu comme lors d’un coup de foudre. Je ne pourrais pas expliquer ce que j'ai ressenti ce jour-là mais la seule chose que je pourrais dire, c’est qu’il avait suffi d’un regard, un seul pour que mon cœur batte à plein régime dans ma poitrine et pour que son visage soit gravé dans ma tête. Ce jour-là, je me suis découvert un autre trait de caractère qui ne me ressemblait pas du tout et  qui au final n’allait pas réellement avec ma personnalité : la timidité. Je n’osais pas lui dire ce que je ressentais pour elle alors dans un premier temps on est devenu amis. Même si j’aimais bien la relation amical que j’avais avec elle, ça ne me suffisait pas pour la simple et bonne raison que je souhaitais être plus proche d’elle, plus intime mais ma timidité m’empêchait de dire que j’étais amoureux d’elle. J’avais peur de briser la relation qu’il y avait entre nous. Je ne savais pas si elle ressentait la même chose que moi. C’était beaucoup plus facile d’aller voir une inconnue dans un bar ou à une soirée et de la draguer que dire à Mary que je l’aimais beaucoup plus qu’on aime une simple amie. Alors j’ai continué à me taire pendant encore quelque temps avant de finalement me décider à me lancer et pour mon plus grand bonheur elle ressentait la même chose pour moi. Je n’étais pas un grand sentimentaliste, je n’étais pas fleur bleu et je ne croyais pas non plus à tous ces truc de prince charmant mais je croyais en notre amour et au couple qu’on formait. Mais un soir et plus précisément le 14 février j’ai décidé de tout gâcher. Ce n’était certes pas mon intention ni préméditer mais voilà, le soir de la Saint Valentin après de nombreux verre d’alcool j’ai couché avec une autre femme et j’ai pris la décision de dire la vérité à Mary. Et comme je m’y attendais, on a rompu.

« Un frère est un ami qui nous a été donné par la nature. »

C’était le 27 octobre 2014. C’était même un lundi. Ce jour-là, je ne suis pas prêt de l’oublier. Dehors il pouvait faire beau, chaud, y avoir du soleil pour moi ça n’était qu’un jour triste, un jour de pluie, un jour où le ciel était gris et rempli de nuage. C’était surement le pire jour de toute ma vie pour la simple et bonne raison que c'était ce jour-là que mon frère jumeau, ma moitié, mon complémentaire est mort. Ça aurait normalement dû être une bonne journée. Le dimanche qui avait suivi le chiffre d’affaire de l’hôtel avait considérablement augmenté et suite à cela mon père m’avait officiellement nommé PDG. Même si au départ je n’étais pas réellement emballé par cette succession j’avais changé d’avis et j’aimais être PDG. Ce lundi-là on avait un groupe australien qui arrivait pour passer une semaine dans l’hôtel. J’étais tellement préoccupé par l’hôtel et par le retard que je n’avais pas fait attention à tous les appels manqués et tous les sms auxquels je n’avais pas répondu. Quand j’ai enfin allumé mon portable, j’avais plusieurs appels manqué provenant de ma mère et un nombre incalculable de sms de mes frères et sœurs mais le seul qui manquait dans la liste était Nork et j’ai compris directement qu’il lui était arrivé quelque chose. On se disait tout, je n’avais aucun secret pour lui et forcément ça aurait été lui qui m’aurait contacté en premier s’il c’était passer quelque chose d’important et le fait que ce ne soit pas le cas voulait donc dire que c’était à lui qui était arrivé quelque chose. D’une main tremblante j’avais composé le numéro de ma mère. Je tremblais tellement que j’avais dû le composer plusieurs fois. La seule chose dont je me souviens de la conversation que j’avais eu avec mes parents était « je suis désolée ton frère, Nork est mort. » Je ne pourrais pas dire ce qu’il c’était passé ensuite pour la simple et bonne raison que l’état de choc a fait que j’ai oublié la moitié de cette journée. Ce jour-là, c’était comme si j’avais perdu une partie de moi-même et désormais je ne serais plus que la moitié de ce que j’étais. Ce jour-là j’ai compris ce que certaines personnes voulaient dire quand elle disait qu’elle n’arrivait pas à faire leur deuil.

« Avant de briser un cœur regarde si tu n’es pas à l’intérieur. »

Je ne pourrais pas expliquer ce qu’il se passe avec Mary quand je la voyais mais ce que je pourrais dire c’est qu’elle m’attirait irrésistiblement. On est plus ensemble c’est vrai mais je ne pouvais m’empêcher de penser à elle dès que j’en ai l’occasion. Je ne savais pas quoi faire pour la récupérer. Je savais que ce que j’avais fait lui avais brisé le cœur mais j’aimerais qu’elle me pardonne et pouvoir la prendre dans ses bras pour pouvoir lui dire je t’aime. Je n’étais pas un grand romantique, je n’étais pas doué pour les discours et normalement on me décrivait plutôt comme un coureur de jupon mais Mary m’avait fait changer. Certes je n’étais toujours pas devenu un grand poème qui écrivait de longue phrase qui rime ou de long texte pour exprimer ses sentiments mais grâce à elle j’avais réussi à me poser. J’avais plus envie de jouer les dragueurs de service Mary était la seule et unique que je voulais alors j’avais tout fait pour la récupérer. Oui j’avais couché avec une autre fille mais non je n’étais pas amoureuse de cette autre fille et oui j’étais toujours aussi amoureux de Mary mais le lui faire comprendre avait été beaucoup plus dur que ce que j’aurais pensé. J’avais essayé l’option de la laisser tranquille pendant quelque temps mais je n’avais pas tenu très longtemps et très vite l’envie de lui reparler était apparue. Je m’y étais certes pris comme un pied puisque je n’avais pas attendue plus longtemps que le summer camp pour l’embrasser à nouveau sans lui demander son avis et en sachant très bien qu’elle m’en voulait encore énormément. Et tout ce que ça m’avait valu c’était une gifle et pourtant peu de temps après j’ai décidé de retenter le coup dans des conditions beaucoup plus romantique. J’avais tout préparé, j’avais sorti le grand jeu même si habituellement ce n’était pas mon truc mais quand on aime on ne fait pas attention et au final j’ai eu raison puisqu’on s’est remi ensemble. Mais les affaires nous ont a nouveau séparé enfin uniquement en distance. Ces derniers temps, je n’ai pas vraiment pris de le temps de prendre de ces nouvelles ni même de répondre à ses appels ou ses sms et j’en suis sincèrement désolé.
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Bienvenue parmi nous Hélios E. Errington ► Sean O'Pry 2511619667
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Bienvenuuue. Hélios E. Errington ► Sean O'Pry 2511619667
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Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche Hélios E. Errington ► Sean O'Pry 3850463188
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Merci Hélios E. Errington ► Sean O'Pry 1001568715
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Bienvenue mon frère. Hâte de rp avec toi. :loukas: Bonne chance pour ta fiche si tu as besoin d'aide, je suis là. :zytha:
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Bienvenue parmi nous Hélios E. Errington ► Sean O'Pry 4046487928
Good luck pour ta fiche and have fun Hélios E. Errington ► Sean O'Pry 748718657
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Bienvenue parmi nous Hélios E. Errington ► Sean O'Pry 2511619667
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