Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility(flashback) I can't live without you but ... ☼ Damen Claes.
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(flashback) I can't live without you but ... ☼ Damen Claes.

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But in my dreams, I'm waking up to roses, champagne, kisses and I know it's always, always, gonna be, gonna be this way. In my dreams, you're standing right beside me two hearts finally colliding.

« J’ai besoin de te parler. On peut se voir, s’il te plait ? Je suis au lac. » Voilà bien une vingtaine de minutes que Victoria était assise sur les marches qui menaient au chalet des filles. A plusieurs reprises, elle avait tapé son message pour l’effacer presque aussitôt. Après cinq fois, elle l’avait finalement envoyé à Damen. En réalité, depuis qu’ils avaient passé la nuit ensemble elle ne savait plus où elle en était. Lorsqu’on lui demandait si elle était célibataire, elle était incapable de répondre, tout simplement parce qu’elle n’en avait pas la moindre idée. Elle aimait Damen, c’était certain. Ses sentiments étaient réciproques, le jeune homme le lui avait dit. A présent, ils avaient tous les deux un comportement qui porte à croire qu’ils se sont remis ensemble pourtant Damen continue à voir d’autres filles et Victoria ne préfère même pas l’imaginer dans le lit d’une autre. Cette situation, elle n’en pouvait plus. Elle savait que parler de ça au garçon qu’elle aimait pouvait mettre un terme à leur relation. Si Damen choisissait de continuer à vivre comme il le fait depuis des mois, la jeune brésilienne était certaine de ne pas pouvoir continuer comme si de rien n’était. Elle perdrait non seulement son meilleur ami, son amour, mais aussi son âme-sœur.

Elle essaya de ne pas imaginer le pire et se leva finalement. Elle passa l’une de ses mains dans ses cheveux en posant son regard sur le soleil qui n’allait pas tarder à se coucher. Tous les étudiants étaient déjà rentrés dans leur chambre pour se pencher sur l’organisation de la soirée qui arrivait. D’autres étaient partis en vadrouille aux alentours du camp. Victoria rangea son portable dans sa poche avant de se diriger vers le lac. Elle ne mit qu’une dizaine de minutes pour y arriver. Il fallait bien admettre que le Vermont était splendide mais le lac restait son endroit préféré. C’était un endroit calme, paisible et peu fréquenté. C’est ce qui lui plaisait mais c’était encore plus sublime avec le soleil se reflétant sur l’eau.

Elle se rapprocha davantage et s’assit sur l’herbe en observant le paysage qui s’offrait à elle. Le stress commençait à monter et elle sentait les battements de son cœur accélérer. Elle tenta de se rassurer, de se convaincre que tout allait bien se passer. Elle se saisit quelque peu quand son portable sonna, lui indiquant qu’elle avait un nouveau message. Elle sourit à la vue du message, il acceptait donc de la voir, c’était déjà une bonne chose. Elle attendit encore une dizaine de minutes avant de sentir les mains du garçon se poser sur ses épaules. La jeune fille fit basculer sa tête en arrière afin de poser son regard sur le mannequin.

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La vie du jeune homme était chamboulé, il était beaucoup plus perdu qu'avant. Il a appris que son frère jumeau n'était pas mort, il l'a recroisé par hasard à Harvard comme si de rien n'était, il en voulait à son petit frère, de ne pas avoir cherch" à le re-contacter alors que lui se détruisait chaque jour à petit feu pensant que son frère était mort. Cette nouvelle avait fait l'effet d'un coup de massue. D'ailleurs il partageait son chalet avec ses meilleures amies et son frère. Cela leur permettrait de rattraper le temps perdu .Mais le jeune homme était également chambouler par ses sentiments, il ne savait plus du tout où il en était, il avait l'habitude de contrôle la situation alors que là il ne maîtrisait rien. Il s'était même confié à sa meilleure amie sur le sujet. Damen était devenu un homme à femme, ayant chaque jour une différente conquête, seulement une prenait une place dans son coeur Victoria, même si Damen est irrémédiablement attiré par Ruby, Victoria et celle dont son coeur n'a jamais cessé d'aimer. Sauf que ni l'un ni l'autre ne savait s'ils étaient réellement en couple. Damen fuyait ses sentiments quant à Victoria elle avait peur de poser la question. Damen continuait en vain de fréquenter les filles, mais plus il passait du temps avec elles, plus il pensait à Victoria.


Le jeune mannequin était actuellement dans le chalet de sa confidente Elia, les deux jeunes gens s'entendaient à merveille toujours en train de se faire des câlins ce qui rendait suspicieux tous les membres de leurs équipes respectifs et qui les amusaient plus qu'autre chose, cette dernière était avec son frère jumeau, nous étions tranquillement posés sur le lit avec Tyler en faisant une bataille du jeu Temple Run pour savoir qui pouvait battre le meilleur score, pendant qu'Elia nous racontait ces dernières péripéties, les nanas je vous jure elles adorent parler c'est un truc de fou! Damen ne pouvait s'empêcher de se moquer d'elle, il aimait passer du temps avec eux, il évitait son jumeau en quelque sorte il ne savait pas comment réagir avec lui.

Alors qu'il jouait tranquillement, son Iphone se mit à vibrer, merde! il avait perdu, il lâcha un juron de désespoir alors que Tyler savourait déjà sa victoire. Tant pis il prendrait sa revanche, d'un coulissement de pouce assuré il lu son message, lorsqu'il vit que le message était de Victoria une montée de stresse parcouru son corps. « J'ai besoin de te parler. On peut se voir, s'il te plait ? Je suis au lac. »- Il répondit donc positivement , tout en appréhendant un peu d'aller au Lac, que voulait-elle lui dire, en vérité il le savait, mais il ne voulait pas admettre la vérité. Il quitta donc ses amies, avant de se mettre à marcher en direction du Lac. Il marchait lentement, d'un côté il avait hâte de la retrouver, mais de l'autre il avait peur de la tournure de la discussion.

Plissant le nez à cette délicate fragrance digne d'une lessive bon marché qu'apportait à ses sinus brusqués un courant d'air étonnamment fort, il prit une profonde inspiration savourant cet air frai , avant de Tourner son regard abruti vers le haut, il apperçu Victoria, sans le savoir un sourire s'étira sur ses lèvres, sa simple présence l'apaisait déjà . Il se fit le plus discret possible avant de la rejoindre et de poser ses mains sur ses épaules. Il se posa derrière elle avant de déposer un baiser sur ses lèvres.« Salut toi! Tu voulais me voir». Il observa le paysage magnifique avant de reporter son attention sur son interlocutrice. Il referma ses bras autour d'elle l'attirant le plus possible contre lui. Il se mit à sourire aux souvenances enflammés de la dernière fois qu'ils s'étaient vus


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Cela faisait plusieurs semaines maintenant que Damen et elle étaient retombés dans les bras l’un de l’autre. Il était évident que tous les deux en rêvaient depuis longtemps. Bien sûr, ils avaient tous les deux essayé de se faire une raison, de passer à autre chose. Damen s’était mis à coucher avec toutes les filles qui lui passaient sous le nez tandis que Victoria essayait tant bien que mal de s’attacher à un autre garçon. C’est pour cette raison qu’elle avait eu un coup de cœur pour Ezra. Seulement la complicité qui régnait entre les deux étudiants n’avait en rien disparu ne les aidant pas à tourner la page.

Depuis leurs retrouvailles, Victoria se posait un tas de questions, elle l’aimait, c’était évident mais ce n’était pas pour autant que lui et elle s’étaient remis en couple, loin de là. Damen continuait à voir d’autres filles et ce tous les soirs probablement, comme à son habitude depuis quelques années. Imaginer le garçon dans les bras d’une autre lui faisait énormément de mal et c’était pour cette raison qu’elle avait décidé de lui en parler. Lui confier ses sentiments par rapport à cette situation lui ferait certainement le plus grand bien. Après tout, Damen était la première personne concernée. Elle lui avait envoyé un message l’invitant à la rejoindre, espérant sincèrement qu’il accepterait. En voyant sa réponse positive, elle ne put s’empêcher de sourire. Comme par magie, elle fut débarrassée d’un poids malgré le fait que le stress soit toujours bien présent. Elle redoutait quelque peu la réaction de Damen. Voir des filles différentes tous les soirs et ne pas s’attacher était devenu son lot quotidien depuis plusieurs années et peut-être qu’il ne voudrait pas en changer. Quoi qu’il en soit, ni l’un ni l’autre ne pouvait rester dans cette incertitude.

Victoria n’avait pas entendu le mannequin arriver avant que celui-ci ne pose ses mains sur ses épaules. Elle bascula la tête en arrière alors qu’un sourire s’étira sur ses lèvres. Le simple fait de le voir, de sentir ses mains sur sa peau l’apaisait, la rendait heureuse tout simplement. Il s’assit derrière elle, déposant ensuite ses lèvres sur les siennes. Elle sentait déjà des papillons faire leur apparition dans son ventre. Ce garçon, elle l’aimait plus que tout, c’était certain. Qu’est-ce qu’elle ferait si ça se passait mal ? Pourrait-elle vivre sans lui ? Pourrait-elle l’oublier ? La jeune brésilienne tenta tant bien que mal de ne pas réfléchir aux réponses à ces questions. Pour le moment elle était auprès de lui et c’est bien tout ce qui comptait. « Salut toi! Tu voulais me voir» dit-il finalement en passant ses bras autour d’elle. « Je veux toujours te voir. » chuchota-t-elle pour elle-même avant de sourire une nouvelles fois. Elle prit l’une de ses mains dans la sienne avant d’entremêler ses doigts aux siens. Elle ferma les yeux une seconde et respira profondément avant de se retourner pour lui faire face. « Je voulais te parler de quelque chose. » Elle osait à peine le regarder dans les yeux. Elle avait peur de ne pas pouvoir continuer mais pourtant il le fallait. Elle hésita quelques instants encore avant de poser fixement ses yeux marron dans ceux du garçon. « Je t’aime et… J’ai vraiment envie qu’on soit à nouveau ensemble, comme avant… Seulement… je ne sais pas si c’est ce dont tu as envie toi aussi… » Le fait de tenir sa main l’apaisait quelque peu, la calmait, lui donnait du courage pour lui avouer ce qu’elle ressentait.

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Victoria & Damen



Ce fut un temps ou Damen croyait en ce sentiment "l'amour", le bon vieux Damen aurait tout donner pour une femme, si l'on remontait quatre ans en arrière et que l'on lui disait qu'il finirait par se taper tel nombre de nombre de nanas ne serait-ce qu'en deux jours, le jeune homme aurait halluciné, si l'on lui aurait dit qu'il aurait changé du tout au tout, également. Désormais Damen avait peur de ses sentiments , il avait changé et ne pouvait plus être fidèle, il avait peur de faire du mal à Victoria de la perdre à jamais, de renoncer à tout ses petits démons.

Leur dernière soirée avait valu au jeune homme de gros doutes sur ses sentiments, sur ce qu'il voulait vraiment, il n'avait trouvé aucune réponse aucune solution, il laisserait faire le temps, on verra bien ce qu'il se passera, il aimait Victoria leur histoire n'était pas finie du moins elle ne devait pas se terminer comme il l'avait fait. Leur rupture avait été brutale pour le jeune homme, il se souvient encore de la réaction qu'il avait eue lorsqu'il avait raccroché le téléphone, les affaires sur le sol, les meubles qui fusaient. Tout était venu d'un coup, hors Victoria était la seule qui réussissait à le calmer. Il n'avait jamais accepter la rupture et en voulait à toutes les filles pour cela, il s'était enfermer dans un tel engrenage qu'il avait peur de tout arrêter. Vous savez combien un évènement peut vous changez du tout au tout ?



Ces doutes revenaient le soir venu où il était face à lui-même, mais à l'instant précis lorsqu'il était avec Victoria, il ne pensait à rien, un sourire débile étirait son visage, il détestait être niait comme ça mais si il y a bien une chose que l'on ne contrôle pas c'est cette sensation à ce moment précis, l'amour, le désir, de l'être aimé, l'envie que le monde s'arrête. « Je veux toujours te voir. » chuchota t-elle avec une voix à peine audible. Il la seras fort contre lui nichant sa tête dans le creux de son cou, respirant la douce odeur de sa belle. « Je voulais te parler de quelque chose. » Il ferma les yeux avant de les ré ouvrir sentant un regard posé sur lui, il resta muet «Je t'aime et... J'ai vraiment envie qu'on soit à nouveau ensemble, comme avant... Seulement... Je ne sais pas si c'est ce dont tu as envie toi aussi...» Il resta toujours aussi silencieux, il caressa de son index la joue de la belle Brésilienne avant de prendre son visage entre ses mains et d'y déposer un doux baiser. « Je t'aime, c'est ce dont j'ai envie également, j'ai juste peur, peur de te faire souffrir, peur que tu te rendes compte que je ne suis plus le même gars, que tu finisses par me détester, peur de te perdre...» Il colla son front contre le siens. Un sourire étira une nouvelle fois ses lèvres. « Tu sais le jour on nous nous sommes quittés, j'ai frappé tout ce qui était sous ma main, t'étais ma vie, celle avec qui je voulais fonder une famille, j'ai tant rêvé de ce moment. tu es la seule Victoria. » Il déposa un baiser sur ses lèvres encore une fois, tout en la serrant fort contre lui comme si elle n'était qu'un rêve comme si elle allait s'évaporer la seconde d'après. Il avait perdu l'habitude de dire ce qu'il ressentait il s'en voulait pour ne pas lui avoir faite une belle déclaration
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Victoria se demandait comment elle avait fait pour tenir tout ce temps sans Damen à ses côtés. Sans pouvoir sentir sa peau contre la sienne, sans voir son visage si parfait, sans pouvoir plonger ses yeux dans les siens pendant des heures, sans l’embrasser, sans caresser sa peau. Maintenant qu’elle l’avait retrouvé, sa seule envie était de passer tout son temps avec lui, être près de lui en permanence, se réfugier dans ses bras dès qu’elle le pouvait. Damen restait son premier et seul grand amour, sa première histoire sérieuse qui avait duré. En réalité, elle n’était jamais restée aussi longtemps avec un garçon qu’avec lui. Elle n’avait pas non plus eu de sentiments aussi forts pour quelqu’un d'autre. Damen était le seul et l’unique et ce depuis toujours même s’ils s’étaient séparés. Il était le garçon qui lui fallait, elle en était certaine et elle se trompait rarement. Bien sûr il avait changé depuis leur séparation mais elle savait qu’au fond, il était toujours le même. Toujours aussi gentil, aussi doux, aussi attentionné, aussi câlin qu’il ne l’avait été auparavant. Elle était prête à l’aider à redevenir celui qu’il avait toujours été.

Toujours blottie dans ses bras, le garçon enfouit sa tête dans son cou alors qu’elle entremêla ses doigts aux siens. Ce garçon était parfait, elle ne voulait en aucun cas le laisser partir une seconde fois. Elle se retourna vers lui, jugeant qu’il était à présent temps de lui parler de ce qu’elle ressentait. Il fallait qu’elle lui parle et ce au risque de le perdre définitivement. Durant toutes ses confidences, elle ne détacha pas ses yeux des siens. Il ne répondit pas de suite, se contentant de prendre son visage dans ses mains et de poser un baiser sur ses lèvres. « Je t'aime, c'est ce dont j'ai envie également, j'ai juste peur, peur de te faire souffrir, peur que tu te rendes compte que je ne suis plus le même gars, que tu finisses par me détester, peur de te perdre...» Il posa son front contre celui de la brésilienne tout en souriant. Ce moment était parfait. « Jamais je ne pourrais te détester. C'est impossible. » répondit-elle doucement avant de laisser, elle aussi, apparaitre un sourire sur ses lèvres. L’homme qu’elle aimait venait clairement de lui avouer que lui aussi désirait être avec elle pour la vie. « Tu sais le jour on nous nous sommes quittés, j'ai frappé tout ce qui était sous ma main, t'étais ma vie, celle avec qui je voulais fonder une famille, j'ai tant rêvé de ce moment. Tu es la seule Victoria. » Victoria ne put empêcher un léger rire de s’échapper. A cet instant, des papillons venaient de faire leur apparition dans son ventre. Elle ne pouvait être plus heureuse qu’à ce moment précis, elle ne savait même pas quoi répondre à cette déclaration plus que parfaite. Ces mots, elle avait rêvé de les entendre depuis des années. A présent, elle ne parvenait pas à s’arrêter de sourire. Le beau brun posa une seconde fois ses lèvres sur celles de la jeune fille pour un baiser langoureux qui dura plusieurs minutes mais qui s’avérait trop court aux yeux de la brésilienne. Elle passa ses bras autour de la taille du mannequin, laissant glisser ses doigts sur son dos et posa ensuite sa tête sur son épaule.

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Ils étaient donc officiellement en couple, le beau Damen était bien l'homme le plus heureux, contrairement aux femmes les hommes ont beaucoup plus de mal à exprimer leur sentiment puis avec tout ce qu'il s'est passé Damen pense qu'il à un coeur en pierre, il s'est forgé une carapace lourd à porter, une image dur à détruire, mais il savait que grâce à Victoria tout allait changer, il n'avait d'yeux que pour elle et ça tout le monde le sait, dès qu'il était entré à Harvard il avait essayé de la reconquérir, mais celle ci en aimait un autre, un de ses amis proche, il faut l'avouer Damen était jaloux, il n'avait jamais accepter leur séparation, et cette nouvelle lui faisait comprendre peu à peu que rien était possible entre eux, jusqu'à ce qu'à force de rester ensemble, leur lien était devenu plus fort, il ne pouvait pas échapper à ses sentiments d'ou le fait qu'il se tapait bon nombre de nanas sur le campus, en espérant qu'une réussirait à combler ce manque. Mais c'est évident , il porte Victoria dans la peau, il ferait tout pour elle, comme il a quelques années.


Damen n'attendait aucune réponse de sa part, il connaissait à présent ses sentiments envers lui elle n'avait rien à prouver. Il passa une main dans ses cheveux tout en souriant. Il regarda le crépuscule. Il savait que ce moment allait le marquer à vie. « Je ne veux plus jamais qu'on se sépare Vic' ... Jamais » laissa t-il échapper de ses lèvres. « Et si on allait se balader » Il n'était pas un homme qui souvent exprimerait les sentiments qu'il envahissaient. Victoria tellement importante à ses yeux maintenant, il ne pouvait vivre sans ce doux visage qui illumine son coeur si terne. Il pourrait crier son prénom jusqu'à s'en briser les cordes vocales. Pour elle, il serait prêt à briser les plus hautes montagnes de l'Himalaya, à brûler la Terre entière, à faire dix mille ans de prison avec comme seul envie de survivre, la serrer contre lui. Il n'était pas très fière de sa petite déclaration il était bien plus à l'aise à l'écrit qu'à l'oral, mais ils e rattraperait. Il se releva tout en lui tendant sa main afin de l'aider à se relever également, il garda sa main contre la sienne, tout en effectuant une petite pression comme si cette main pouvait disparaître à tout moment. Il passa son bras autour de sa taille.

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Le sentiment qu’elle éprouvait après ces quelques mots était compliqué à expliquer, c’était une sensation de bien-être total, l’impression d’être sur un nuage et de ne jamais devoir en redescendre. Cette sensation elle l’avait déjà ressentie pas mal de fois lorsqu’elle était en compagnie de Damen. Et malgré les années qui étaient passées, la distance qui les avaient séparés, leur lien était resté intact. Les deux étudiants se comportaient toujours de la même manière quand ils étaient ensemble, comme si plus rien ni personne n’existait autour d’eux. En réalité, Victoria s’apercevait maintenant que leur rupture les avait encore davantage rapprochés. Plus ils essayaient de s’éloigner l’un de l’autre et de passer à autre chose, d’oublier, plus leur relation se renforçait les rapprochant encore un peu plus. A l’heure qu’il est, tous les deux ne devaient plus s’efforcer de s’éloigner, ils étaient ensemble et ils redevenaient eux-mêmes s’avouant enfin leurs sentiments qui ne s’étaient jamais éteints. Damen faisait partie d’elle, et malgré leur éloignement, il était toujours resté en elle, dans un coin de sa tête et surtout de son cœur.

Victoria savait pertinemment que le garçon n’était pas le genre de mec à étaler ses sentiments. Bien au contraire, il avait l’habitude de tout garder pour lui, pourtant aujourd’hui et pour elle, il avait fait un effort et il s’en était très bien sorti. La main du garçon dans ses cheveux la fit légèrement frissonner. « Je ne veux plus jamais qu'on se sépare Vic' ... Jamais » avoua-t-il doucement en plongeant ses yeux dans les siens. Leur visage n’étaient séparés que par quelques centimètres et la jolie brésilienne pouvait aisément sentir le souffle du garçon sur sa peau. « Ça n’arrivera pas. » répondit-elle avant de coller tendrement ses lèvres sur les siennes pour un doux baiser. Elle ne pouvait détacher son regard de lui et ne put empêcher un nouveau sourire d’étirer ses lèvres. « Et si on allait se balader » Le garçon se releva et lui tendit la main pour qu’elle fasse de même. « Je te suis n’importe où. » murmura-t-elle à son oreille alors que la main du mannequin se resserra quelque peu sur la sienne. Il passa son bras autour de sa taille, tous les deux, serrés l’un contre l’autre, étaient comme seuls au monde. En cet instant, plus rien ni personne ne comptait excepté lui.

Ils longèrent le lac, admirant la beauté du site tout en s’adressant quelques regards par ci par là. « J’ai bien fait de venir à ce camp finalement. » Elle lui lança un sourire complice. Il est vrai qu’elle avait hésité à venir au début. Elle avait envisagé de passer ses vacances au Brésil pour retrouver sa famille. Seulement vu le nombre de ses amis proches qui y seraient présents, elle n’avait pas pu résister bien longtemps. De plus, elle ne voulait pas laisser la situation avec Damen telle quelle et encore moins être loin de lui pendant deux mois. Elle n’aurait pas supporté de ne pas le voir pendant autant de temps. Cette soirée ne faisait que confirmer qu’elle avait pris la bonne décision.

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"Aime-là cette fille, petit con, aime-là car elle pourra peut-être enfin te faire aimer la vie. Tout le monde dit que l'amour fait mal, ce qui est faux. La solitude fait mal. L'envie fait mal. Perdre quelqu'un fait mal. Se faire rejeter fait mal. Tout le monde confond ces petites choses avec l'amour, mais en réalité, l'amour est la seule chose dans ce monde qui fait fuir tout ce mal et qui te fait sentir si bien à nouveau. Petit con pendant tout ce temps tu as tu t'es détesté, tu t'es jurée de ne plus tomber amoureux, pendant tout ce temps t'es resté là à faire des conneries au lieu de te battre pour elle plus vite. Aime là, protège-là, donne lui tout ce que tu as, soit jaloux, taquine là, agis comme son meilleur ami, chamaille toi avec elle comme tu le faisais avec ton frère, prends soins d'elle! Regarde comme elle est belle tu vois son sourire, ces étoiles dans ses yeux, c'est l'amour Claes." Je ne cessais de lui répéter ceci, enfin plutôt je me répétais ceci, si on considère que je suis sa voix off.

A chaque fois qu'il posait son regard sur la belle jeune femme c'était comme s'il se recevait des coup d'éléctro-choque, lorsqu'il plongeait son regard dans le sien, il pouvait y lire l'amour qu'elle y éprouvait pour ce dernier, lorsqu'il l'étreignait on pouvait y sentir son envie de la protégé, la peur qu'elle ne disparaisse et que ceci ne soit qu'un rêve, il l'aimait, et encore ce mot n'est pas assez fort pour décrire ce qu'il ressent pour elle, il faut dire de nos jours les gens lancent des je t'aime à tout vas à force ce mot à perdu toute sa signification. Trouverais-je un mot assez fort pour vous décrire son amour pour Victoria?

Après avoir livré ses craintes, il proposa une petite balade « Je te suis n’importe où. » cette réplique lui décrocha un sourire assez pervers et enfantin. « Même dans ma chambre ? » lança-t-il tout en plaisantant, il lui vola un baiser tout en enlaçant sa taille. Ils se mirent à marcher sans aucune destination précise, en fait cela ne lui importait peu, il voulait juste profiter de cette instant.
« J’ai bien fait de venir à ce camp finalement. »- Il lâcha un petit rire avant de répliquer aussitôt « Je savais que tu allais venir pour me surveiller!Après la nuit que nous avions passé je parie que tu rêvais de moi toute les nuits. » Il avait dit cela tellement naturellement sur un ton assez prétentieux que cela en devenait drôle. « En tout cas moi je t'ai surveillé depuis que tu es ici... et préviens tout les gars qui s'approche de toi que tu n'es plus à prendre sinon il vont avoir de gros problèmes. Tu es ma propriété privé toi et Beyoncé! ».

Après quelque secondes de réflexions il s'était dirigé vers un côté du lac où se trouvait, de nombreuses barque. De nombreux Winthrop venait faire des courses en partant d'ici pour rejoindre le jardin des étudiants ou se déroulait généralement les fêtes., merci à Soliman qui lui avait montré cet endroit, les Winthrop de vrais enfants dans l'âme. Il aida Victoria à s'installer sur la barque avant de déclarer «Si tu tombes ne compte pas sur moi pour te repêcher » Il dénoua la corde qui reliait la barque au piquet avant de venir s'installer à son tour prenant les deux rames. Tout en ramant il demanda . "Tu ne ma même pas raconter ton retour au Brésil, ça ta fais du bien de revoir ta famille un peu?" s'enquit-il.



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Victoria se sentait bien. Elle se sentait sereine et rassurée en sa présence. En cet instant précis, elle repensait à tous les moments qu’elle avait déjà pu passer avec Damen, tous ces moments parfaits pendant lesquels elle se sentait si bien, moments parfaits où elle avait pu profiter de sa présence et de son amour. Tous ces moments qui lui semblaient être des rêves tous plus beaux et agréables les uns que les autres. Elle repensait aussi à cette nuit qu’ils avaient passée ensemble, cette nuit où tous les sentiments qu’ils avaient refoulés pendant plusieurs mois étaient ressortis d’un coup. Au fond, peut-être que l’hospitalisation de son grand-père était un coup du destin. Si celui-ci n’avait pas atterri à l’hôpital, peut-être que jamais elle n’aurait embrassé Damen et ils en seraient toujours à ignorer leurs sentiments l’un pour l’autre. Peut-être que le destin avait fait ça uniquement pour que Damen et Victoria se retrouvent sans pour autant que l’état de son grand-père ne s'aggrave. La jeune brésilienne n’était pas du genre à se faire dicter ses actions par le destin. Elle ne croit pas à l’astrologie, aux horoscopes et ce genre de chose, cependant tout aurait pu se passer différemment.

Se relevant, le garçon lui proposa une petite balade. Victoria se fichait de savoir où ils iraient, tout ce qui comptait pour elle, c’était d’être en présence de Damen et de personne d’autre. « Je te suis n’importe où. » murmura-t-elle à son oreille. Elle ne disait pas ça à la légère, c’est réellement ce qu’elle pensait. Il pouvait aller n’importe où, elle le suivrait, elle l’aimait trop pour rester sans lui. Toujours collés l’un contre l’autre, cette réponse fit sourire le mannequin. « Même dans ma chambre ? » plaisanta-t-il avant de l’embrasser. La brésilienne laissa échapper un léger rire, Damen n’avait pas changé et d’ailleurs elle refusait qu’il ne le fasse, son humour ainsi que bien d’autres de ses qualités faisaient son charme. Et c’était pour des centaines de raisons qu’elle l’aimait. « N’importe où, ça veut bien dire ce que ça veut dire. » répondit-elle en lui adressant un sourire complice. Ils marchaient sans destination précise quand la jolie brune lui avoua qu’elle avait fait le bon choix en venant à ce camp. « Je savais que tu allais venir pour me surveiller! Après la nuit que nous avions passé je parie que tu rêvais de moi toute les nuits. » Victoria réfléchit un instant avant d’avouer « A vrai dire, je n'ai pas attendu cette nuit pour rêver de toi. » En effet, malgré ses efforts pour l’oublier et se convaincre qu’elle ne ressentait plus rien pour lui, elle en était éperdument amoureuse. Elle y pensait sans cesse et ne pouvait s’empêcher d’être jalouse voire envieuse de toutes les filles qui s’approchaient du jeune homme. Lui aussi n’avait pas cessé de la surveiller et ça lui faisait plaisir de savoir qu’il avait pu être jaloux des garçons qu’elle avait fréquentés. Elle leva la tête dans sa direction en souriant. « Oublie Beyoncé et ce sera parfait. » Pour la énième fois, elle posa ses lèvres sur les siennes. C’était comme si elle manquait d’oxygène et que ses baisers étaient les seuls à pouvoir lui en délivrer.

Elle se serra un peu plus contre lui quand son parfum vint lui chatouiller les narines. Il sentait tellement bon, elle déposa un baiser sur sa joue alors qu’ils marchaient toujours. Après quelques minutes, ou heures, elle n’en savait rien à vrai dire, - elle ne voyait pas le temps passer en sa compagnie, tellement elle était bien avec le garçon - ils arrivèrent à un ponton ou plusieurs barques y étaient attachées. Damen aida Victoria à monter à bord de l’une d’entre elles en annonçant que si elle tombait à l’eau, il ne fallait pas compter sur lui. Il grimpa à son tour et défit la corde qui reliait la barque au ponton. « Heureusement que je sais nager, je me doutais bien que je ne pourrais pas compter sur toi. » répondit-elle avec un air faussement boudeur.

Le garçon s’installa en face d’elle et se mit à ramer. Victoria posa son regard sur le paysage qui l’entourait avant de le ramener sur le garçon qui lui paraissait bien plus beau et intéressant à regarder. Elle avait en fait beaucoup de mal à détacher son regard de ce dernier. « Tu ne ma même pas raconter ton retour au Brésil, ça ta fais du bien de revoir ta famille un peu? » Elle acquiesça doucement. « Oui, beaucoup. Puis mine de rien, le Brésil m’avait énormément manqué. L’état de mon grand-père s’est amélioré, il a pu rentrer à la maison mais il doit continuer à faire attention. Disons, qu’il ne peut pas faire trop d’efforts. » Elle lui adressa un sourire qui en disait long sur son humeur. Elle était tout simplement heureuse. Heureuse d’être là, heureuse d’être avec lui, heureuse d’avoir eu le courage de lui dire ce qu’elle ressentait. A présent, rien ne pourrait lui gâcher son bonheur. « Et toi ? Je ne sais presque rien de ce que tu as fait ces dernières semaines. » Leur éloignement de ces semaines passées avaient fait beaucoup de mal à la jeune fille mais pas seulement, elle ne savait plus rien de sa vie, ses derniers projets, ses cours,… Elle voulait rattraper tout ce temps.

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Victoria & Damen



Damen jouait avec ses sourcil décidément elle était prête à le suivre partout, intéressant. « De toute façon c'est décidé tu vas passer la fin du camp avec moi, 24h sur 24 ». La conversation devenait de plus en plus intéressante, les réponses de Victoria ne cessait de l'amuser. « A vrai dire, je n'ai pas attendu cette nuit pour rêver de toi. »-«Oh ça je sais on rêve de moi tout les soirs, on bave à mon passage, tu sais c'est dur d'être un mec sexy, beau et parfait? » Il posa une nouvelle fois ses lèvres contre les siennes. Il ne pouvait plus s'en passer. Il posa sa main sur sa joue avant de la glisser sur son menton. « T'es jalouse hun? Bien sûr que je vais oublié Beyoncé il n'y a que toi qui compte à mes yeux, tu es mon seul fantasme » avait-il déclarer tout en plongeant son regard dans le siens. Il répondit au baiser avec une ardeur non dissimulé, lui non plus avait besoin de ses baiser, de son contact, elle lui apportait un bien être fou, elle faisait battre son coeur, et lui délivrait une sensation impossible à décrire.L'amour.


Le jeune Winthrop avait opté pour une petite ballade en barque pour pouvoir rejoindre plus facilement les chalets. Il pourrait ainsi prendre de ses nouvelles, le jeune était tellement occupé qu'ils s'était éloigné de tout le monde et ainsi n'était plus au courant de l'actualité autant au campus que dans la vie de ses amis. « Heureusement que je sais nager, je me doutais bien que je ne pourrais pas compter sur toi. » Il fit mine de la fusiller du regard à ces mots avant de se mettre à rire. Alors qu'il ramait regardant les alentours tout en reportant le plus souvent sur la magnifique femme qu'il avait devant lui, Damen prenait des nouvelle de la famille de la jeune brésilienne. « Oui, beaucoup. Puis mine de rien, le Brésil m’avait énormément manqué. L’état de mon grand-père s’est amélioré, il a pu rentrer à la maison mais il doit continuer à faire attention. Disons, qu’il ne peut pas faire trop d’efforts. » Cette nouvelle lui décrocha un soupire de soulagement, il s'était inquiété pour l'état de son grand père, il savait combien Victoria était attaché à ce dernier. Elle avait la notion de famille chose qu'il admirait chez elle. Ce fut un temps où Damen avait cette notion jusqu'au jour ou son père lui avait balancé clairement qu'il aurait préféré que ce soit Damen qui meurt lors de l'accident. « Je suis content de l'apprendre, je compte t'emmener au Brésil pendant les vacances cette année histoire que tu puisse passé du temps avec ta famille je sais que tu en meurs d'envie... » Il était prêt à tout pour qu'elle puisse continuer à prendre soins de ses proches. On dit bien que rien n'est plus important que la famille non? . « Et toi ? Je ne sais presque rien de ce que tu as fait ces dernières semaines. » Damen lâcha un soupire . « A vrai dire je suis très occupé, je voyage souvent et je ne gère plus le rythme avec les cours parfois je pense à arrêté Harvard mais j'y suis bien trop attaché, je m'éloigne de tout le monde même de Roxanna et de mes autres amis... Je suis juste débordé et assez perdu, si tu vois ce que je veux dire, je perds le fil, je serais incapable de te dire quand remonte ma dernière soirée tellement je n'arrive plus à m'investir dans la vie d'étudiant m'enfin qu'importe tant que je t'ai de nouveau à mes côtés ...»



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