Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityA time filled with us ▬ Orphée
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A time filled with us ▬ Orphée

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Dans la solitude de l'instant, posée au fond de mon lit, je laissais divaguer mes souvenirs dans mon esprit, sur l'année qui s'était écoulée relativement vite à mes yeux. Toutes ces choses que j'ai pu vivre, ces moments que j'aurai dû prendre plus à coeur, ces sourires offerts à des gens que je ne connaissais pas, le bonheur que j'essaie d'apporter parfois autour de moi, les choses que je n'ai pas pu faire, ces gens que j'aurai dû revoir avant. Toutes ces choses me rappelaient que rien n'est éternel, mis à part les sentiments qu'on a pu y mettre. Et me rappelait également que je n'avais pas souhaité la bonne année à une personne qui pourtant, m'a souvent apporté du réconfort dans les moments les plus tendus de mon existence. Je sautais de mon matelas pour enfiler des fringues décentes, ma casquette et un kefieh pour affronter le froid de la nuit tombée depuis un moment déjà, avant de quitter mon duplex et mes colocataires, histoire de me mettre en route pour me planter devant la porte d'Orphée, dans l'espoir qu'elle ne soit pas occupée avec quelqu'un ou bien absente. Avant de partir, je laissais tout de même un mot à l'attention d'Echo et Neela, si jamais je ne revenais pas dans les jours qui suivaient, qu'elles ne s'inquiètent pas, et j'attrapais une bouteille d'alcool dans mon bar. Autant ne pas venir les mains vides, après tout.
Arrivée aux abords de la Cabot House, je ne me sentais vraiment pas dans mon élément, comme à chaque fois. Autant dire que les filles comme moi ne sont pas spécialement les plus appréciées de habitantes, mais peu importe. Je me faufilais dans les couloirs de la maison entièrement composée de femmes, afin de gagner les dortoirs, en particulier celui de la jolie blonde. Je croisais quelques regards étonnés de ma présence ici, mais peu m'importait, en réalité. J'adressais de simples sourires à ces filles, sans prendre la peine de regarder vraiment qui elles étaient. Une fois à destination, mon poing venait cogner sa porte à trois reprises, tandis que je m'appuyais sur le cadrant de la porte, en attendant qu'elle ne m'ouvre, ou ne daigne répondre vocalement l'autorisation d'entrer dans sa chambre.
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Il faut te rendre à l’évidence Orphée. La vérité c’est que tu t’ennuies. Les pieds en l’air dressés vers le plafond en attendant que ton vernis sèche et un Elvis Presley en fond sonore, tu regrettes que Maëlys ne soit pas là. Mais aujourd’hui tu as décidé de prendre une journée pour toi, et pourtant cette dernière s’annonce bien moins jouissante que tu ne le pensais. Depuis ce matin tu passes ton temps sur ton portable à consulter les mêmes infos, dévorer des sucreries et changer la couleur de ton vernis d’un bleu turquoise à un bleu lagon. Quelle est la différence ? Tu n’en sais rien. Tu te dis que demain sera un autre jour et tu regrette presque de ne pas avoir plus de devoir. Tu as essayé d’appeler Timéo mais voilà que pour une fois ce dernier s’applique à laver sa voiture et que Léopold est en cours. Tu as choisis le mauvais moment pour t’ennuyer. La musique s’estompe peu à peu et passe à un autre morceau mais c’est quelqu’un qui toque à la porte qui t’interrompt dans ton soupir. Tu sursautes un peu en te redressant, trop contente de te dire que tu n’attendais personne mais que le destin à décider de te sauver. Et quand tu ouvres la porte, ta bouche fait de même en -o magistral. Tu la fixes avec de grands yeux, surprise comme rarement. Sur le coup, tu te figes en oubliant presque de la faire entrer. « Gwen. » Tu fais doucement avant d’enfin t’effacer pour la laisser rentrer, te grattant la nuque alors que rien n’est rangé et que tes cheveux blonds se baladent en petites piques fourchues. « Je ne pensais pas te voir d’aussitôt. » Tu ne sais jamais quand elle va venir. Pourtant tu souris, comme une idiote. « B-Bonne année ? » Tu fais doucement, finalement.
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Toute la journée durant, j'ai dormi, histoire de récupérer de la semaine de folie que j'ai passée à Los Angeles avec Neela, à revoir tous nos anciens potes, à picoler, faire la fête comme des dingues, peu dormir, discuter de la vie qu'on mène à Harvard alors que la plupart d'entre eux ont été viré de l'UCLA ou qu'ils tentent de gagner leurs vies à vendre des frapuccino au Starbucks d'Hollywood Boulevard ou des hot-dogs sur la plage. Mais grâce à eux, j'ai compris la chance que j'avais d'avoir été ré-intégrée après mon séjour en prison. D'ailleurs, en fin de journée, mon agent de probation est passé me voir, et il était fier de savoir que je n'avais plus touché à la drogue dure depuis plus d'un mois. Pour lui, je suis passée de la case "junkie" à la case "en progression sociale". Je hais ce mec, profondément. Mais il ne me reste plus que huit mois à le supporter, ce qui est une bonne nouvelle en soi.
Dès lors que j'ai franchis les murs de la maison de ces dames, je me sentais comme une intruse, un peu comme les fois où je pénétrais dans l'Eliot House, pour tout saccager ou même, quand j'y étais. Comme quoi, je ne pourrais jamais être l'une des leurs, bien qu'elles soient loin d'être seulement des bimbos. Disons que c'est comme si j'étais le loup qui entrait dans la bergerie. Quand Orphée décidait d'ouvrir sa porte, sa réaction m'arrachait un sourire amusé. En chair et en os, ma belle. Elle me laissait alors entrer, après quelques instant de bug. Je pénétrais alors dans sa chambre, après avoir déposé mes lèvres sur sa joue. J'ai toujours l'art de te surprendre, à ce que j'vois. Je lui souriais en retour, en déposant la bouteille que j'ai apporté dans un coin, avant de me rapprocher d'elle à nouveau. Bonne année à toi aussi, ma jolie. dis-je d'une voix suave, en ouvrant les bras pour qu'elle vienne me faire un câlin. En même temps, je ne lui ai pas rendu visite depuis le mois de septembre, au moins, je dois l'avouer.
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C’est une immense joie et une excitation que tu peines à dissimuler qui s’empare de toi lorsque tu l’aperçois sur le seuil de la porte. Gwen c’est ton petit bout de paradis que tu as le bonheur de voir passer de temps en temps, sans jamais vraiment réussir à le retenir. Votre relation n’a pas plus de règle que tu n’as d’explication, pourtant dès que tu la voit enfin, tout te semble clair et aussi simple qu’un bonjour. Pourtant ce n’est pas le cas, mais elle est l’une des rares à apaiser tes doutes le temps de quelques heures ou quelques jours que tu aimerais ne jamais voir s’enfuir. Mais elle était là, juste maintenant, et le reste n’avait plus aucune importance. Ton corps fin se remplissait de joie sur les bords de ton coeur jusqu’aux creux de tes reins. Après la chaleur d’un petit baiser contre ta joue, tu la laissas entrer en le lui rendant, un peu embarrassée par le bordel de ta chambre. C’était le problème de votre relation imprévisible, tu ne pouvais pas arranger les choses à l’avance et éviter ce genre de situation. Mais cela n’était pas tant un problème car elle ne sembla pas y prêter attention. « Il faut dire que là tu as fais fort… Ca fait combien de temps ? Six mois ? » Oui, ça faisait un sacré bout de temps que vous ne vous étiez pas vu. Tout ça fonctionnait par cycle, par crise, il n’y avait aucune explication. C’était juste elle et toi, lorsque l’une de vous le voulait. Et malgré le temps, vous ne vous oubliez jamais. Tu souris grandement en la voyant ouvrir les bras et sans même réfléchir plus d’une seconde tu viens te nicher entre eux, te serrant fort contre elle avec la même joie qu’un enfant le jour de Noël. Tu inspires son odeur avec une petite inspiration, nichée contre elle. « Tu m’as manqué. » Tu lui fais avec une certaine tendresse dans la voix. « Tu veux boire, manger quelque chose ? »
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J'ai toujours agit sous l'impulsion de mes envies, jamais sous la contrainte. Je suis du genre accro à ma propre liberté d'action, ce qui est difficilement supportable pour certaines personnes. Je ne préviens presque jamais lorsque je rends visite aux gens, ce qui a pu me mettre mal à l'aise quelques fois, notamment lorsque j'ai surpris une de mes ex copines avec une autre fille alors que je voulais à nouveau livrer une bataille acharnée avec elle. Autant dire qu'avec ce coup là, elle avait gagné pour la première fois depuis toutes ces années. Mais cette fois, je suis bien heureuse de constater qu'elle est seule, que je ne la dérange pas. Elle semblait légèrement embarrassée cependant, étant donné que sa chambre n'était pas aussi ordonnée qu'elle semblait le vouloir, et que ses cheveux n'étaient pas aussi bien peignés qu'elle le désirait. Si seulement elle voyait le bordel qui traîne chez moi, elle serait moins complexée par le rangement. Ceci explique pourquoi je ne porte aucune attention au désordre environnant, me contentant de profiter de sa présence et de sa solitude avortée. Tant que ça, tu crois ? Wow...on a du temps à rattraper alors. C'est vrai que j'ai une notion temporelle précaire. Dans ma tête, ça faisait quoi, quatre mois à tout casser, mais visiblement, c'était encore plus éloigné que ça. Ceci dit, rien ne l'empêchait de me rendre visite si l'envie lui venait, elle le savait. Elle venait par la suite se lover contre moi et mes bras l'entouraient, avant que je ne dépose un baiser sur son front. Toi aussi tu m'as manqué. dis-je en donnant quelques caresses dans sa nuque avec mon pouce. J'ai ramené de quoi boire si tu veux, mais j'préfère profiter un peu de l'instant, pas toi ? lançais-je doucement, un sourire au coin de mes lèvres.
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Elle fait fort c’est vrai, mais toi non plus rien ne t’empêchais d’aller lui rendre visite à ton tour lorsque son absence se faisait trop insupportable. Sans doute n’avais tu pas sentis le moment opportun puisque tu ne l’avais pas fait. Ce n’était pas l’envie qui t’avais manqué, mais comme elle, vous aviez parfois de ces moments où vous étiez très occupées, ou durant lesquels vous n’y pensiez simplement pas. C’était ce sur quoi votre relation se passait, de longs moments de solitude ou d’extase avec d’autres ponctués par ces petits bouts de longues nuits particulières, rien qu’à vous. Et toi tu aimais ce principe, sans complexe ni possessivité, sans problème. Vous en aviez sans doute bien largement assez. Tu étais contente d’avoir réussi à établir quelque chose comme ça avec Gwen, et tu savais que ça lui plaisait à elle aussi. « Eh ouais. » Tu confirmes lorsqu’elle s’étonne que ça fasse déjà six mois que vous ne vous êtes pas vues. Toi aussi tu as l’impression que c’était hier, et pourtant c’est presque une demi année. « Promis cette année nouvelle résolution : tâcher de venir toquer à ta porte plus souvent. » Tu lui confis dans un petit sourire en caressant son dos tandis que tu te trouves dans ses bras. Elle te confie à son tour que tu lui a aussi manqué, et ses mots bien que banals te font plaisir. Tu lui proposes quelque chose à boire, et sans surprise elle a déjà pensé à la boisson. De la part d’une mather, ça ne t’étonne même pas. Tu comprends sans mal ce qu’elle entend par ‘’profiter de l’instant’’. « Evidement, comme toujours. » Tu fais avec un petit sourire charmeur en glissant tes bras autour de son cou, ce soir tu ne seras pas seule.
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Entre Orphée et moi, ça a toujours été comme ça, au plus loin de mes souvenirs. On laissait filer le temps avant de se revoir, le temps représentant parfois quelques semaines ou quelques mois. On s'enlisait souvent dans d'autres draps avant de prendre la peine de se rendre visite, comme pour provoquer un manque de l'autre ou quelque chose du genre, mais certainement plus une joie de se retrouver l'espace de quelques heures ou quelques nuits, sans les inconvénients d'une véritable relation. C'était notre relation à nous, une non exclusivité qui nous plaisait et qu'on ne saurait expliquer aux autres. J'ai pas vu le temps passer on dirait. répondis-je alors quand elle me confirmait que c'était bien plus ancien que je ne le croyais. Cela confirmait bien le fait que je n'avais pas vu filer l'année qui s'était écoulée avant que je ne me décide à lui rendre visite ce soir. Je lâchais un léger rire suite à sa résolution. T'es toujours la bienvenue, même si mon appart' ressemble à un squat. Vivre avec deux filles et un mec n'est vraiment pas de tout repos, surtout quand il y a des animaux au milieu. Je relâchais l'étreinte que je lui donnais quelques instant pour retirer ma veste, laissant apparaître mes bras remplis de dessins, avant de lui sourire à mon tour. On a six mois à rattraper, en même temps... lui dis-je avant de déposer mes lèvres au creux de son cou délicatement. Mais si t'as soif, on peut boire un verre et discuter. murmurais-je à son oreille, avant de reculer mon visage souriant pour la regarder.
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Qu’est-ce qui rend une princesse heureuse au fond ? Pas grand chose on dirait, ou plus banalement, une présence, une visite, une expérience. Gwen étaient de celles qui y parvenaient, et cette petite visite surprise était une perspective parfaite pour égayer un peu cette soirée trop vide. Tu ne l’avais pas vu depuis presque six mois et pourtant elle semblait avoir choisi le moment parfait sans même le savoir. A vrai dire, tu ne lui en voulais absolument pas pour son absence. D’ailleurs elle n’en était pas la seule responsable. Vous aviez toutes les deux, deux vies chargées qui vous convenaient parfaitement et parfois surgissait d’une solitude nouvelle une envie de vous voir. Vos absences pouvaient être très courtes ou au contraire très rapprochées ; tu l’avais particulièrement vu pendant l’été, là où il fait chaud et où tu as le plus besoin d’être ‘proche’ des gens. Si ça pouvais être avec quelqu’un que tu apprécies en plus, c’était encore mieux. « J’aime bien les squats. » Tu avoues avec un petit sourire en riant, la regardant retirer son manteau et allant le lui accrocher au porte manteau. Puis tu reviens vers elle, te nichant à nouveau dans ses bras en caressant lentement les tatouages dont elle est couverte et qui te fascine toujours autant. C’est d’ailleurs comme ça que vous vous êtes rencontré, elle a été ta tatoueuse ; ta lyre à la cheville, symbole de ton prénom et du mythe qu’il représente. Elle te dis que si tu as envies de discuter vous pouvez le faire, tu ris doucement en entourant sa nuque de tes bras. « J’aurai sûrement soif… Après l’amour. » Tu fais en roulant les yeux avant de rire, hochant la tête. « Tu me raconteras encore les histoires de tes tatouages, hein ? » Tu fais en glissant doucement tes lèvres contre les siennes. Vos discussions après l’amour sont tes préférées, blotties dans un lit. Avec elle tu te sens femme.
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Malgré son statut de princesse, Orphée ne m'a jamais jugée pour ce que je suis, et c'est une qualité que j'apprécie grandement chez elle. Elle en a un tas d'autres, d'ailleurs. Elle n'est pas dans la même tranche que ces filles snobs qui jugent ceux qui se démarquent dans leurs différences, leur statut social ou que sais-je encore. C'est l'une des raisons pour lesquelles on s'entend si bien depuis tout ce temps, et qu'on n'hésite jamais à se rendre visite sans même prendre la peine de se prévenir d'une arrivée fortuite. Et ce soir, j'ai brisé sa solitude, son ennui et visiblement, mit un peu de couleur dans sa journée monochrome. Je ne pensais pas toujours à lui rendre visite, entre ma relation avec Dixie, le règlement de mon addiction à la drogue, ma déprime post rupture, les cours, la semaine passée à Los Angeles pour les fêtes de fin d'année, mes pétages de plombs à cause de mes crises de manque de came qui m'empêchaient d'aller travailler et toutes les petites choses du quotidien qui m'incombaient. Mais ce soir, j'avais pris la décision rapide de reprendre cet élan de légèreté. Elle me faisait rire quand elle me disait qu'elle aimait bien les squats, avant de prendre ma veste pour la pendre au porte manteau et revenir vers moi. Tu serais pas déçue du voyage. Elle caressait mes tatouages qu'elle a déjà vu des centaines de fois mais qui la fascinent toujours autant dès que je les découvre, puis elle passait ses bras autour de mon cou une nouvelle fois, et sa remarque m'arrachait un large sourire, avant qu'elle ne me demande de lui raconter encore une fois l'histoire de chaque dessin qui recouvrait ma peau. Tout ce que tu voudras, princesse. dis-je alors en souriant, avant que nos lèvres ne se retrouvent dans une douceur qui caractérise malgré tout cette relation. Durant ce baiser, l'une des mains qui se trouvait dans son dos venait se glisser jusqu'à sa joue, avant que je n'intensifie la sensualité de ce contact.
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