(malia) ☀ hello babe.

Ce soir, je devais rendre une petite visite à ma meilleure amie Cornélia. J'avais envie de la revoir, oui, il n'y a pas très longtemps je l'ai vu dans la rue. Mais bon, je ne pouvais pas me passer d'elle, vu qu'on délire assez bien ensemble. Puis, avec son petit sale caractère, je peux la faire chier quand je veux, héhé. Ce matin, j'avais acheté chez le fleuriste un gros bouquet de fleurs. Oui, ça m'a peut-être coûté un peu cher, mais quand c'est pour la petite Cornélia, c'est vraiment différent. J'avais pris la décision de me préparer en enfilant des affaires assez chaudement, parce qu'il faisait assez froid dehors en me rendant directement chez elle, à pied un peu comme d'habitude. Après avoir marché plusieurs minutes dans ce froid glacial, je me retrouve enfin devant sa porte en espérant ne pas tomber sur un mec complètement à poil. Je frappe plusieurs fois à sa porte avec ma main droite, en mettant le bouquet de fleures devant mon visage. C'est vrai que j'avais hâte de la revoir, juste pour passer un bon moment à ses côtés. Puis, un peu de compagnie ne me ferait pas de mal.

Ce soir, j'ai l'appartement pour moi toute seule. Pour une fois que mon frère sort avec ses potes et me laisse toute seule, c'est rare. En plus, il a pris tout son temps pour se préparer comme si il attendait que je file en douce ou alors que je rate mes rendez-vous. Toute façon, comment lui en vouloir ? Combien de fois je lui ai dis que je restais tranquillement à la maison pour réviser et qu'au final j'attendais que monsieur se couche pour pouvoir sortir et du coup le rendre fou de rage le lendemain matin. Faut croire que j'aime l'entendre crier dans tout l'appart' même si je plaint les voisins . Posé comme une merde sur le canapé devant la télé, c'est seulement quand j'ai entendu la porte d'entrée claqué que je me suis levé en allant directement dans la salle de bain. Ce soir, pas de sortie, mais une bonne soirée devant la télévision après un bon bain, un verre de vin et ensuite commander de quoi manger. Filant sous la douche, j'en profite pour y rester un moment avant de sortir et de m'entourer d'une serviette autour du corps. M'habiller ? C'est ce que je pensais faire avant d'entendre frappé. Je ne cherche pas plus loin pour savoir qu'il a oublié ses clés ou je ne sais quoi comme d'habitude. Je ne prends même pas la peine de vérifier « Tu le fais exprès ? Oublier quelque chose pour me... » et là, grosse blague ! Des fleurs ? « Je peux vous aider ? » c'est pas mon frère qui va ramener des fleurs et vu que je ne vois pas la tête de mon interlocuteur, autant demander non ? Aucune réponse... Tant pis, j'ouvre grand la porte et je sors même si mon simple vêtement est une serviette de bain. « Tu peux pas répondre ? » dis-je en lui donnant un coup de coude quand je vois enfin sa tête « T'as perdu ton téléphone je suppose ? » on ne sait jamais vu qu'il n'a pas dit qu'il passait.

Oui, en ce moment j'avais envie un peu de parler à quelqu'un. Des fois, j'avais l'impression qu'il avait une certaine solitude chez moi, puis en ce moment ce n'était pas trop la fête. Je n'étais pas vraiment motivé à bouger de chez moi, je préférais plutôt mâter des films ou séries à la télé que de bouger dehors pour faire la fête ou faire de nouvelles rencontres dans d'autres horizons. Ouais, c'était ça un peu mon quotidien en ce moment-même. Et fallait que tout cela change à partir de maintenant, oui je suis quelqu'un d'assez flemmard, je l'avoue complètement et je ne me le cache pas, au contraire. Mais, ce n'était pas pour autant que je ne bougeais pas dehors avant... Au début, je ne répondais pas à la question de Cornélia quand j'étais derrière sa porte avec ce gros bouquet de fleures. Seulement pour la faire chier sans que ce soit excessif bien sûr. D'habitude, je lui faisais les pires coups parce qu'elle me faisait bien marrer quand elle s'énervait pour rien. En toute honnêté, ça me faisait vraiment du bien de rigoler, juste pour me changer les idées de mes problèmes personnels. Puis, elle décide enfin d'ouvrir sa porte. Elle me donne un coup de coude pour voir qui était la personne, moi. Désolé je suis sourd. Dis-je en souriant jusqu'à que mon visage se décompose petit à petit en remarquant qu'elle avait seulement une petite serviette autour du corps. MY GOD MY GOD, faut que je retienne mes pulsions absolument là. Euh, j'ai voulu te faire une petite surprise vu que ça fait un petit peu longtemps qu'on ne s'est pas vu et... Dis-je en restant plus concentré à détailler ses jolies formes que de lui parler face à face. T'es belle dis-donc comme ça. Dis-je en la regardant dans les yeux cette fois-ci. Putain, j'avais l'air vraiment d'un con dans cette situation.

Dire que je comptais passer une soirée tranquille avec un bon verre -ou une bouteille- et me poser devant des films toutes la soirées jusqu'à ce que je trouve le sommeil ou plutôt en attendant que mon frère rentre de sa soirée avec ses potes. Je ne sais pas pourquoi, mais il ne m'a toujours pas présenté ses amis. Peut-être parce qu'il a peur que ses potes passent à tour de rôle dans mon lit qui sait... Quelle surprise de voir une personne avec un bouquet de fleur et puis encore plus surprise en voyant que c'est Max. Sa bouille m'a manqué quand même et puis de toute façon, je ne compte pas lui dire sinon il va me le rabâcher durant des semaines et ça va me rendre folle. « Oh vraiment ? T'es sourd quand ça t'arrange oui. » dis-je en croisant les bras pour tenir ma serviette qui a envie de se faire la malle. « C'est vrai, tu réponds même plus à mes appels de toute façon. Tu voulais faire le mort c'est ça ? » faut croire que monsieur a décidé de ne plus donner signe de vie et puis son bouquet de fleur c'est sûrement pour se faire pardonner. Je me baisse pour pouvoir croiser ses yeux qui eux, se promène sans complexe sur ma serviette et pourtant je n'ai pas envie de me changer. Si je peux le faire un peu baver autant en profiter non ? « Ooooh, t'es adorable » dis-je en souriant même si je me fiche plus de lui qu'autre chose. « Dommage, c'est pas pour toi. » et là avec ce grand sourire de joueuse, je fais demi tour pour rentrer à l'intérieur de l'appartement en accrochant bien mieux cette fichu serviette « Reste pas dehors et ferme la porte derrière toi. » dis-je en criant en étant dans la cuisine avec cette bouteille de vin posé sur la table. « T'as combien de temps devant toi ce soir ? » ce soir, j'ai envie de le séquestrer, profiter de sa présence et de l'appartement pour être avec le meilleur.

Non, je te jure que je ne t'avais pas entendu c'est pour ça. Dis-je en esquissant un petit sourire, seulement parce que ça me faisait marrer son petit caractère. Elle était tout le temps comme ça, toujours en train de s'énerver à faire la fille qui était dure comme de la pierre. Je voulais la voir absolument, parce que tout simplement ça faisait quand même longtemps qu'on ne s'était pas revu. Puis, ça serait quand même dommage que je ne lui parle plus, alors que c'était quand même ma petite femme adorée. Pardon, ma meilleure amie. Oui je l'appelais ainsi régulièrement, parce que je tenais beaucoup trop à elle. Cornélia faisait partie de ma petite vie, elle était presque tout pour moi. Elle a fait plein de choses, elle m'a beaucoup aidé et m'a surtout soutenu dans mes petits problèmes. Je lui devais bien ça. J'ai cassé mon téléphone à cause d'une partie en ligne sur FIFA 16 qui m'avait bien fait rager. Voilà pourquoi tu n'avais plus de mes nouvelles. Ouais, ça pouvait paraître un peu bizarre pour vous mais c'était malheureusement vrai. En fait, un soir j'avais joué une partie sur Fifa avec des potes et genre j'avais perdu contre eux. Et tellement que je rageais sur le moment, j'ai tout de suite pris mon portable sous le coup de la colère, et je l'ai jeter par la fenêtre en espérant qu'il crève en paix. C'était fou de ma part et je l'assumais parfaitement. PROBLEM MOTHERFUCKER ? Je sais, c'est ma nature Van Rosen. Lui répondais-je en lui faisant un petit sourire séducteur comme à mon habitude. Je m'en fou, il y a mieux que toi de toute façon. Un petit sourire provocateur se dessinait sur mon visage en rentrant dans son appartement pour ensuite fermer la porte à clé qui était juste derrière moi. Toute une soirée pour faire une bonne sex-tape entre nous. Rigolais-je de ma phrase en jetant ce fichu bouquet sur le canapé, pour ensuite m'asseoir en m'afflallant dessus comme un porc. Sinon, comment ça va ? Bah ouais, j'avais envie de s'avoir un peu son humeur ce soir.

Son absence m'a bien fait peur. Monsieur qui ne répond plus à les messages et mes appels, je trouvais ça bien louche de sa part alors qu'il est toujours le premier à me répondre et surtout le premier à me faire chier comme il faut et me mettre hors de moi. Lorsqu'il avoue avoir cassé son téléphone et la raison, je secoue la tête. Le désespoir va finir par s'emparer de ma personne avec lui. Une partie de foot en ligne ? Non, mais ce mec il est irrécupérable, c'est pas possible. « Attend... Tu as cassé ton téléphone parce que tu as perdu à un jeu de foot stupide ? » dis-je le plus simplement du monde. Ce genre de jeu, c'est pas ma tasse de thé et Dieu seul sait à quel point j'en souffre avec ce frère qui pourrait passer son temps devant cette console de jeu et à courir derrière un ballon tout bêtement. « C'est vrai, t'es toujours adorable babe. » autant lui rendre la monnaie de sa pièce et puis j'aime le taquiner, c'est dans ma nature et puis il n'est pas mal lui non plus, on ne va pas se mentir. De la cuisine, j'entends sa remarque. Heureusement qu'il y a mieux que moi sinon le pauvre. « C'est pas faux, mais en ce moment c'est toi qui bave devant moi. » et prend ça dans ta figure Steadworth. Après avoir mis le vin dans des verres, je le rejoins, déjà avvaché sur le canapé comme une grosse merde, on peut le dire. « Fait attention à toi, je ne dirais pas non. » dis-je pour sa proposition de sex-tape avant de lui tendre le verre de vin et de poser le mien sur la table « Ça va super, mon frère est enfin sorti et je peux profiter de l'appartement pour moi toute seule même. Et toi ? Comment tu vas depuis le temps ? » je m'éloigne pour allé dans la salle de bain et enfiler un short avec un haut et d'attacher mes cheveux rapidement et revenir dans le salon à ses cotés. « C'est bon, tu peux arrêter de baver maintenant, j'ai enfilé des vêtements. » un sourire malicieux sur mes lèvres, j'attrape les fleurs pour les mettre sur le comptoir de la cuisine et de le rejoindre dans le canapé.

Oui, j'ai cassé mon téléphone à cause d'un jeu de foot stupide qu'est Fifa 16. Laisse tomber, ça ma saoulé ce jeu de merde. Quand je le vois, j'ai envie de le cassé en deux. Rigolais-je en observant Cornélia qui était assez choquée de mon comportement pour un simple jeu-vidéo. Bah écoute hein, c'était mon impulsivité aux jeux vidéos et on ne pouvait pas me changer du jour au lendemain. C'est vrai que des fois je m'énervais beaucoup dessus quand je perdais un match, j'étais vraiment un mauvais joueur dans l'âme et c'était un peu dommage pour ma poire. Puis, je ne l'assumais pas devant mes potes et je m'en foutais complètement de leurs avis envers moi. Je sais, je sais chérie, tu me l'as toujours dit depuis notre rencontre dans cette forêt. La fille qui flippait quand elle entendait un petit bruit de rien du tout. Bam, dans tes dents Van Rosen, elle a trop cru qu'elle allait me clash comme ça la meuf. I'm the big boss and fuck the world. Bon, j'avoue que moi aussi j'avais été parano durant notre rencontre ce soir-là, mais c'était un secret confidentiel qui ne fallait répéter à personne d'autre. De toute façon, je sais que tu m'aimes et que tu as envie de moi. De plus, je suis sûr et certains que tu souhaites aussi que je te baise par derrière toute la soirée. Riais-je de ma perversité en enlevant mon manteau pour le jeter sur la table ayant la flemme de me bouger le cul. Bah moi, rien de spécial dans mon petit quotidien. La routine, un peu comme d'habitude j'ai envie de dire. Souriais-je en prenant le verre de vin que Cornélia m'avait tendu, pour le boire directement tout en la posant sur la petite table qui se situait devant moi. Tu sais, je peux te déshabillé à tout moment et même quand je veux. Un large sourire se faisait voir sur mon visage en la regardant dans les yeux pour voir sa réaction, et ce qu'elle allait me répondre par la suite.

« C'est dommage... Dire que je voulais faire une partie avec toi ce soir. Tant pis, je demanderais à un autre mec. » dis-je en haussant les épaules en étant déçu mais surtout pour l'emmerder plus qu'autre chose et me foutre de sa gueule vu qu'il casse facilement ses affaires. Un regard noir ! C'est ce qu'il récolte en parlant de cette soirée où tu as cru que la vie allait te quitter. C'est pas de ta faute. Ta voiture qui ne démarre pas et tu te retrouve toute seule a entendre des bruits bizarre et un mec que tu ne connais ni d’Ève, ni d'Adam. « Et alors ? Toute façon t'es pas un vrai mec. Peureux et même pas fichu de réconforter une jeune femme qui a peur. Pitoyable même. » dis-je en croisant mes bras et en le laissant planté comme une grosse merde. Il m'a énervé sur le coup et m'éloigner est la meilleure chose même si ce n'est que quelques secondes. Oui, je suis impulsive et alors ? « J'suis sûr que tu t'es déjà tapé tout Harvard et c'est fou comme tu es romantique comme mec. Tu parle comme ça à toutes tes conquête ou petite amie ? Pas étonnant qu'elle ne reste pas longtemps. » et oui, le clash de Van Rosen dans toute sa splendeur. Je reviens avec les verres pour ensuite ramener la bouteille car une fois posé j'aurais trop la flemme de lever mon jolie petit cul du canapé. Changé et enfin présentable avec un peu plus de vêtement, j'attrape mon verre pour prendre une gorgée ce qui ne me fait pas de mal. L'alcool c'est mon mea culpa, il y a pas mieux. « Quand tu veux, on sait tous les deux que tu n'en ai pas capable, tu retiens trop tes pulsion babe. » dis-je en plongeant mon regard dans le sien. C'est mon meilleur ami, celui qui me pourri la vie mais qui me rend heureuse et sans compter que c'est aussi l'homme de ma vie, celui que je ne veux pas partager. On est proche, on se cherche tellement tous les deux et pourtant on a jamais franchi ce pas. Ce pas vers l'intimité.

Dommage, on aurait pu faire un magnifique couple ensemble. Je dis ça, je ne dis rien Van Rosen. Lui répondais-je en haussant les épaules tout en sifflotant, faisant le gars ignorant qui n'avait rien dit. Elle commençait à s'énerver petit à petit à cause de ma remarque sur notre première rencontre cette nuit-là. Je la regardais bien dans les yeux en rentrant dans son petit jeu, en faisant bien le petit sourire provocateur pour bien l'énerver. Cette fille était très impulsive, fallait vraiment que je fasse attention à ma vie. Je ne suis pas un vrai mec. Ah d'accord, donc si je ne serais pas un vrai mec je n'aurais pas de bite et ni de couilles. Et de plus, je n'arrêtais pas de te réconforter pour que tu sois rassuré, et que tu dormes bien dans ton petit coin alors que je ne te connaissais pas du tout. Dis-je en mettant mes pieds sur la petite table en croisant les bras pour reproduire les mêmes faits et gestes qu'elle. Je voulais tout simplement la faire rager encore plus, parce qu'elle était excitante dans ses petites réactions. On se cherchait mutuellement et fallait se l'avouer qu'on aimait ça, même si on ne se l'avouait pas en face. Je ne me suis pas tapé tout Harvard, ce n'est pas vraiment mon genre de baiser avec n'importe qui. Puis, tu sais je peux être romantique avec qui je veux et quand je veux poupée. Et de toute façon je n'ai pas vraiment envie de l'être avec toi, parce que t'es une fille vilaine. Riais-je de toutes mes forces en entendant ma propre phrase tout en attendant qu'elle ramène son petit cul. Bim, encore dans tes dents Van Rosen, il ne fallait pas que tu me cherches et malheureusement pour toi tu m'as bien trouvé, je t'ai accueilli à bras ouvert avec fierté. Mais malgré ça, elle continuait encore et encore à être sur la défensive contre mes petits clash, et je suis sûr et certains qu'elle allait continuer toute la soirée à me bassiner pour un rien. Si j'ai des pulsions en te regardant, ça veut dire que j'ai peut-être de l'affection pour toi. Souriais-je en attrapant mon verre pour boire une bonne grosse gorgée. Dire que j'adorais l'alcool, j'étais pire qu'un addict à cette merde qui détruisait des millions de gens. Alors qu'à la base je n'étais pas du tout comme cela avant. C'est bizarre on était pourtant proche, mais on n'avait jamais osé franchir le pas vers cette intimité. J'avoue qu'elle me plaisait bien, physiquement et mentalement. Cette fille était vraiment parfaite en tout point, et je ne comprenais pas pourquoi elle n'avait pas encore de petit ami. Même si j'avoue que j'avais toujours des sentiments forts pour Alaska, malgré qu'elle m'a envoyer chier comme une pauvre merde.

« Dommage, t'auras pas de beaux enfants. C'est triste hein. » dis-je en haussant les épaules. Tant pis pour lui, il rate une occasion en or de pouvoir fonder une belle et grande famille. On sait tous les deux qu'on est fait l'un pour l'autre. De toute façon, il passe son temps à m'énerver et ça marche à chaque fois. Pauvre de moi... Qu'ai-je fais pour mériter un mec comme ça ? Il devrait me soutenir et non m'embêter à chaque fois qu'on se voit. « Bah écoute, j'sais pas ce que t'as entre les jambes, j'ai pas été voir tu sais. » et oui, on a jamais couché ensemble honey alors comment je pourrais le savoir ? Les bras croisés contre ma poitrine, il essaye d'avoir le dernier mot et il sait que je n'aime pas ça. Il s'amuse de mes réactions, me cherche encore et encore pour que j'exploser, mais ce soir je vais me contrôler, ne pas satisfaire cette envie qui grandi en lui. Parole de Van Rosen ! « Allez ! Tu peux l'avouer non ? T'as une liste à rallonge de fille qui sont passé dans ton lit. » dis-je en revenant par la suite après être changé histoire qu'il arrête de promener ses yeux sur mon corps peu vêtu « Vilaine ? Moi ? J'suis désolé mais là j'vois pas de quoi tu parle. Je t'ouvre la porte de chez moi et c'est comme ça que tu me remercie ? J'pensais que t'étais mieux comme gars. » une petite mine boudeuse s'affiche sur mon visage juste pour le faire culpabiliser et aussi pour avoir un câlin de sa part. Faut dire que ses bras son réconfortant et ça m'a aidé à pas mal de reprise qu'il soit là. « Vraiment ? Pourquoi tu ne laisse pas tes pulsions agir alors ? » dis-je en prenant un verre de vin. Un élixir contre tout cette merde et pourtant je ne peux pas m'en passer. Je le cherche encore et encore, mais je le connais et il n'osera jamais passer cette barrière qui nous sépare. Une barrière tellement fine qu'on est tous les deux presque en train de plonger dedans.