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(FB) Welcome back to the City of Angels ♣ NEELAËLLE

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24 Décembre, arrivée à Los Angeles.
Alors que la veille, chacune dans nos chambres respectives de l'appartement, nous nous envoyions des messages pour discuter de nos programmes mutuels pour le réveillon de Noël, il m'était venue l'idée de prendre chacune une valise pour s'échapper du Massachusetts pour rejoindre la Californie quelques jours. Etant donné que Los Angeles est notre ville natale et que nos familles s'y trouvent, on a pris l'avion relativement tôt dans la journée pour rejoindre notre berceau le temps de fêtes de fin d'année. L'occasion en plus, de revoir certaines têtes qui ont marqué notre jeunesse, et de faire plaisir à nos proches. Dans l'avion, on discutait de tout et de rien, un peu comme la nuit précédente alors qu'elle est venue me rejoindre dans mon lit. Et je tiens à préciser qu'il ne s'est rien passé de plus. Après ces quelques heures dans les airs, nos pieds frôlaient enfin le sol du LAX. Home sweet home, comme dirait l'autre. J'regardais alors mon amie, avec un grand sourire. Bon, qu'est-ce qu'on fait en premier ? On va s'balader sur les plages ou on va déposer nos affaires chez ma mère ? Ou t'as une autre idée ? J'étais contente d'être là, de changer d'air et tout le bordel. Ca m'empêchait de penser à tout ce qui me ruinait l'esprit à Cambridge dernièrement.
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Ça ne me disait pas spécialement de passer le temps des fêtes à Boston, alors que tous les ans, je le passais loin des cours, loin de la routine, pour le passer plutôt chez mes petits parents adorés. Mon père, avec son arthrite, avait bien du mal à faire les sapin de Noël depuis quelques années, et même si j'arrivais souvent la veille de Noël, il m'attendait toujours pour que je le fasse avec lui. Toutefois, cette année, je les avais d'abord averti que je n'irais pas à LA, mais les plans ont changé subitement suite à une conversation spontanée avec Gwen, à partir de nos chambres respectives. Parfois, on est tellement flemmardes de sortir de nos lits pour se parler face à face, qu'on prend nos portables pour communiquer. Après avoir fait nos valises et êtres parties en direction de notre ville natale, on débarque enfin de l'avion. Bon, qu'est-ce qu'on fait en premier ? On va s'balader sur les plages ou on va déposer nos affaires chez ma mère ? Ou t'as une autre idée ? Je souris tout en réfléchissant, alors qu'on récupère nos effets personnels à la sortie de l'aéroport de LA. J'ai une meilleure idée. On va d'abord décorer le sapin de Noël chez mes parents ! Ils m'attendaient pas cette année... Et ils vont être trop contents de te voir! Je lui fais mes yeux de biches en rigolant, sans prendre la peine de téléphoner à mes parents avant, puisque je préfère leur faire la surprise. Oh-oh, ils vont êtres R-A-V-I-S.
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Noël sans la famille, c'est un peu comme perdre le peu de magie enfantine qu'il nous reste quand on passe à l'âge adulte, c'est un peu comme perdre pied. Et dire que pendant des années je ne prenais même pas la peine de passer un coup de téléphone à ma mère pour lui souhaiter son anniversaire, une bonne année ou un joyeux Noël... Maintenant que j'y repense, j'aurai dû mettre ma fierté de côté bien avant. Enfin bref, les choses se sont arrangées depuis. Au départ, je savais que Neela était un peu déçue de ne pas fêter les fêtes de fin d'année avec ses parents, ce qui m'a encore plus donné envie de bouger mon cul de Boston jusqu'à Los Angeles en moins de vingt-quatre heures. Alors qu'on se trouvait devant le tourniquet à bagages pour récupérer nos affaires, je lui laissais le choix pour une activité. J'ai une meilleure idée. On va d'abord décorer le sapin de Noël chez mes parents ! Ils m'attendaient pas cette année... Et ils vont être trop contents de te voir! Cela m'arrachait un sourire alors que je récupérais mon sac de voyage sur le tapis, ainsi que celui de la jolie blonde, qui me lançait son regard de biche comme si elle cherchait à m'attendrir. Elle sait y faire, la petite... Ils seront contents de me voir sobre surtout, depuis l'temps ! Puis, tu seras leur cadeau de Noël, la petite Jésute. Je ne pouvais m'empêcher de rire à la connerie que je venais de sortir, tellement c'était débile. Viens, on va louer une voiture, à moins que tu préfères un skate..mais on y sera dans deux bonnes heures dans ce cas.. dis-je en attrapant son bras avec le mien, pour gagner la sortie de l'aéroport.
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Mes parents, j'les voyais peut-être trois ou quatre fois par année. Dès que j'les voyais, c'est direct la nostalgie qui embarquait. Ils me manquaient terriblement, et même si j'ai clairement l'air d'une gamine dépendante en manque d'amour, je leur passais un coup de fil tous les jours pour prendre et donner des nouvelles. Je m'éloignais pas trop de mes racines, en réalité puisque je demeurais en contact distant, mais constant avec eux, et je vivais en colocation permanente avec ma merveilleuse amie d'enfance, Gwen. Ils seront contents de me voir sobre surtout, depuis l'temps ! Puis, tu seras leur cadeau de Noël, la petite Jésute. Rigolant de bon coeur, je lui fiches un violent coup de poing sur l'os de l'épaule en roulant des yeux. C'est vrai qu'à bien y penser, ils l'avaient jamais vraiment vue sobre. Ils l'avaient rarement vue aussi dans un état normal, sans crise de nerfs, sans larmes, sans yeux rouges, sans ses histoires de cul à raconter dès qu'elle passait dans l'entrebâillement de la porte... Du changement, ça leur f'ra pas d'mal! Puis arrête, j'suis pas Jésute, j'suis même pas née l'25 décembre. Mais ils l'avaient toujours beaucoup aimée, Gwen. Mes parents, deux gens bien aimants, avaient un coeur d'or, un grand coeur qu'ils m'ont transmis en me donnant naissance. Viens, on va louer une voiture, à moins que tu préfères un skate..mais on y sera dans deux bonnes heures dans ce cas.. Bras dessus, bras dessous, nous allons rapidement louer une voiture à la sortie de l'aéroport, nos bagages en main. C'est moi qui conduit!, sifflai-je en lui arrachant rapidement les clés des mains, lorsque le monsieur les lui remet. Je ris aux éclats, me sauvant vers la voiture qui nous est prêtée. Tu conduis trop mal, de toute manière., lui dis-je en lui tirant la langue. Puis, lorsque tout est embarqué et que nous sommes assises, sur nos sièges, je démarre la voiture et roule en direction de la maison de mes parents.
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J'appelle ma mère en général une fois par semaine, ou bien quand j'y pense. Quand j'y pense pas, elle n'y pense pas tellement non plus, ou bien elle attend que j'le fasse, j'en sais rien. J'ai jamais réussi à percevoir ce que pensait ma mère depuis le jour où Lionel est mort, et encore moins le jour où elle a su que j'avais couché avec Jillian. Comme si elle avait fermé tous ses chakras envers moi en me pensant responsable de tous les maux qu'elle a pu ressentir et que je puisse me servir de ses faiblesses. Je sais que c'est stupide, mais j'essaie de trouver une explication à tout ça. Et quand je l'ai appelée ce matin pour la prévenir qu'on arrivait dans la journée, elle semblait heureuse, ce qui me réchauffait le coeur et me donnait envie de rester sobre un maximum de temps dans la journée. Quand j'ai dit que Neela serait la petite Jésute quand on allait arriver chez ses parents, elle ne pu s'empêcher de me frapper dans l'épaule, tout en riant. Aïeuuuuh ! m'exclamais-je en tenant mon épaule, avec une tête d'enfant triste. Du changement, ça leur f'ra pas d'mal! Puis arrête, j'suis pas Jésute, j'suis même pas née l'25 décembre. C'est vrai que j'ai pas toujours été un invité surprise et cadeau pour ses parents, même s'ils m'aiment bien. J'sais pas comment ils font d'ailleurs, pour bien m'aimer avec toutes les fois où j'racontais de la merde parce que j'étais trop défoncée ou encore toutes les fois où j'venais fièrement dire que j'avais trompé Lou. Ils me voyaient sobre au réveil, j'avais juste la gueule de bois. Aujourd'hui, j'crois que c'est la première fois en dix ans que j'suis aussi clean. T'es p'têtre pas née le 25 décembre, mais tu viens leur faire la surprise de venir le 24. T'es une demie Jésute. On allait alors louer une voiture, et à peine eu-je le temps de payer le mec que Neela attrapait les clés que j'allais saisir en disant C'est moi qui conduit! Je tournais furtivement la tête pour la voir se sauver vers le véhicule de prêt, remerciant rapidement le mec au comptoir qui se tapait un fou rire, avant de la suivre. Tu conduis trop mal, de toute manière. qu'elle me disait, en me tirant la langue. Parce que j'suis toujours un peu alcoolisée quand j'conduis, pas aujourd'hui ! M'en fous, j'conduis pour aller chez ma mère après, tu verras que j'suis une pilote. dis-je alors en riant, avant de mettre les bagages dans le coffre et prendre place côté passager. C'est moi qui choisis la radio par contre, t'assumes ! lançais-je en touchant au poste de radio, pour caler une bonne radio rock old school. [...] Arrivée devant chez les parents de la charmante conductrice qui est restée relativement calme dans la dense circulation de la cité des Anges, je me passais un rapide coup de peigne dans les cheveux devant le rétroviseur de la voiture. C'est bon, on peut y aller, Jésute.
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Aïeuuuuh ! Haussant un sourcil, je l'analyse de mon regard sérieux, étonné, mais tout de même amusé. Dis-moi pas sérieusement que t'es si faible que ça!? J'te prendrai pas en pitié, miss. Et j'insiste sur le miss, comme pour la provoquer dans ce jeu que je viens d'enclencher. Ça m'plait d'être ici avec elle, à Los Angeles, alors que je déteste plus que n'importe quoi cette ville d'extravagance et de fausse richesse. J'ai jamais aimé vivre ici, mais c'est ici que j'ai pu vivre les plus beaux moments d'ma vie, d'mon enfance et que j'ai pu rêver comme seule une gamine sait le faire. Ils me voyaient sobre au réveil, j'avais juste la gueule de bois. Aujourd'hui, j'crois que c'est la première fois en dix ans que j'suis aussi clean. T'es p'têtre pas née le 25 décembre, mais tu viens leur faire la surprise de venir le 24. T'es une demie Jésute. J'lui souris tendrement, j'suis tellement nostalgique putain. De mettre le pied sur le sol de LA, ça m'donne la nausée, parce que ça m'manque, mes parents m'manquent, ma naïveté d'enfant m'manque, tout m'manque. Mais merde, j'suis une adulte, maintenant. J'ai des responsabilités, des rêves. Des rêves étranges, mais tout d'même des rêves... Attends toi à c'qu'ils te vénèrent, dans c'cas. T'es comme la deuxième fille qu'ils ont jamais eus. Parce que mes parents avaient jamais réussi à avoir d'autres enfants, après moi. Jamais, malgré les nombreuses tentatives. Parce que j'suis toujours un peu alcoolisée quand j'conduis, pas aujourd'hui ! M'en fous, j'conduis pour aller chez ma mère après, tu verras que j'suis une pilote. J'lui tire la langue comme j'ai l'habitude de faire. On verra bien.. Fait gaffe, c'est possible que j'te choppe les clés! Puis, j'conduis dans le plus grand des silences (ou presque). La musique que Gwen a choisi dans la voiture m'apaise, elle m'fait relaxer dans tout cet énervement. J'aime ses goûts, on a pratiquement les mêmes, sauf à quelques détails près.  C'est bon, on peut y aller, Jésute. Je souris, mais commence à être nerveuse, sans trop savoir pourquoi, avant même de sortir de la voiture. Ça va? J'suis bien? J'ai les cheveux bien placés? J'ai l'air heureuse? Ils vont voir hein, que j'suis bien? Ils vont être contents, t'crois? Je connaissais déjà les réponses, mais.. j'étais toujours un peu nerveuse, à l'idée de revoir mes parents, surtout à Noël. Puis, sans même prendre le temps d'aller sortir les bagages, je me précipite vers l'entrée, sans même prendre le temps de toquer à la porte. Maman et papa avaient déjà vus qu'on était là, sûrement bien calés devant leur TV, lorsqu'ils ont vus la voiture se garer. Ils m'ouvrent la porte, je saute dans les bras de mon père et je crie de joie, comme une vraie gamine. Après un instant, j'm'éloigne, en me retournant. M'man, p'pa, j'ai amené Gwen avec moi ! Enfin, c'est elle qui m'a emmenée avec elle, on voulait vous faire la surprise... On s'en vient faire le sapin d'Noël. Ravis, ils sourient à mon amie, la serrant dans leurs bras comme si c'était moi, l'embrassant sur chaque joue. Quelle belle journée!
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Dis-moi pas sérieusement que t'es si faible que ça!? J'te prendrai pas en pitié, miss. me disait-elle, à la fois sérieuse et étonnée de voir un brin de faiblesse dans mon regard, ce même regard dont je me jouais souvent pour avoir des câlins..ou des femmes dans mon lit. Mais le fait qu'elle insiste sur le mot "miss" me laissait dubitative. Elle se foutait royalement de ma gueule, c'est pas possible autrement. J'voulais un câlin, mais tant pis. J'pensais pouvoir t'avoir. Et c'est quoi ce "miss" tout pourri là ? Tu m'as prise pour une catin des bois ? lançais-je, faisant semblant d'être offusquée. Ca me fait tellement de bien de quitter le quotidien de l'étudiante de l'université ayant une renommée mondiale et cette ville que je commençais à trouver insupportable. J'avais besoin de voir ma soeur, ma mère, de passer du temps comme avant, avec les anciens du lycée, retrouver le bon vieil air pollué de la grande ville et ses faux airs de ville glamour. Los Angeles est tellement adulée pour les beaux quartiers d'Hollywood et ses hauteurs, mais les "étrangers" ne connaissent pas la banalité des terres hostiles du sud de la ville, qui mêlent guerres de gang, braquages en tous genres, trafics de drogues, d'armes, vol à la sauvette et j'en passe. Mais Boston est trop calme à mon goût, bien que je ne sois pas la fan numéro une de L.A. Attends toi à c'qu'ils te vénèrent, dans c'cas. T'es comme la deuxième fille qu'ils ont jamais eus. Je souris bêtement à cette réflexion, car même si je savais que ses parents avaient beaucoup d'affection pour moi, jamais je n'aurai imaginé une seule seconde qu'ils me considéraient comme leur deuxième fille. A ces mots, je ne pouvais me résoudre à les décevoir désormais, impossible. Ils ont pas eu de chance avec moi, dans ce cas ! dis-je alors dans un léger rire, bien que proche de la réalité. Ma mère a sûrement toujours préféré avoir Neela comme fille que moi, sans aucun doute, mais on en a jamais parlé, c'est un sujet tabou, ce que je suis. Elle n'a aucun problème avec Dylan, du moins, elle lui en a beaucoup moins créé, elle n'a pas été la cause de son malheur avec Lionel, ni de sa crise avec Jillian, contrairement à moi. On verra bien.. Fait gaffe, c'est possible que j'te choppe les clés! me dit-elle en tirant la langue, comme d'habitude pour me charrier. Je roulais simplement des yeux, sans répondre, puisque après tout, je déteste conduire dans Los Angeles, et j'ai pas envie d'insulter la ville entière, j'y risquerai ma peau, aux vues de ma grande gueule. Arrivées devant chez ses parents, Neela commençait à stresser, ça se voyait dans ses yeux. Ça va? J'suis bien? J'ai les cheveux bien placés? J'ai l'air heureuse? Ils vont voir hein, que j'suis bien? Ils vont être contents, t'crois? Je la regardais religieusement durant quelques instants, scrutant ses cheveux, ses yeux, son sourire absent à cause de son angoisse de l'instant, puis m'exprimais enfin. Là ils vont surtout voir que t'as peur de les voir, mais t'es toujours aussi parfaite. Je lui lançais un grand sourire, avant qu'elle ne s'avance jusqu'à la porte d'entrée comme une enfant heureuse de rentrer de colonie de vacances, tandis que je restais un peu en retrait, le temps de ces embrassades familiales. M'man, p'pa, j'ai amené Gwen avec moi ! Enfin, c'est elle qui m'a emmenée avec elle, on voulait vous faire la surprise... On s'en vient faire le sapin d'Noël. A ce moment là, j'ai laissé passer ma tête dans l'encadrement de la porte, un grand sourire aux lèvres qui laissait entrevoir mes dents parfaitement alignées et blanches. Surpriiiiise ! Puis s'en venaient les embrassades de retrouvailles, vu le temps passé sans que je ne les vois. [...] Après la décoration du sapin avec ses parents, des instants privilégiés de rires, et de contemplation hilarantes de vieilles photos de Neela cul nu sur le pot ou sur son tricycle dans le jardin, j'ai même eu droit à des photos dont je n'avais aucun souvenir, où ils se sont bien moqués de moi dans mes phases de sommeil post défonce, qu'ils faisaient mine d'avoir oublié. Je ne savais pas que j'étais capable de m'endormir avec une fourchette dans les mains, mais bon, passons. On a aussi eu droit aux photos de notre enfance, de nos soirées pyjama devant les dessins animés Disney, avec mes beaux chaussons Mickey -quelle ironie-. Il était temps pour nous désormais de se rendre chez ma mère, qui n'arrêtait pas de m'envoyer des messages du genre "Vous arrivez quand ?" ou "Dylan est impatiente de vous voir" ou encore aussi "Putain Gwen c'est ta soeur bouge ton gros cul j'veux un câlin !". La délicatesse dans cette famille de barge m'étonnera toujours. Je venais chuchoter à l'oreille de mon amie. J'me fais harceler par ma mère et ma soeur, elles veulent nous voir. Tu crois qu'elles croient qu'on est ensemble genre ensemble ? J'essayais de m'empêcher de rire à cette idée, sachant que c'est tellement probable venant d'elles.
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J'voulais un câlin, mais tant pis. J'pensais pouvoir t'avoir. Et c'est quoi ce "miss" tout pourri là ? L'air faussement las, je hoche les épaules en m'abstenant de rire, bien que ce ne soit pas l'envie qui manque. Mon attitude moqueuse démontre déjà bien assez de ce que je pense de son commentaire. Y'aura plein d'autres occasions où je pourrais te câliner. T'es un peu exigeante, misssss. J'enfonce le "s" sur le dernier mot, accentuant ce dernier pour la faire chier au maximum, alors que je sais qu'elle a tiqué là-dessus. Elle me fait bien marrer, à voir son expression, j'éclate de rire. Pendant la route, le silence, ou presque, est de mise. Je semble déjà stressée par la rencontre avec mes parents. Il me semble les avoir vus depuis un siècle déjà. Je suis tellement redevable à Gwen d'avoir proposé de m'emmener sur notre p'tite terre natale, pour revoir nos géniteurs, parce que mon Noël aurait été fichtrement triste, maussade et ennuyeux, sans cela. J'l'aime tellement cette meuf, c'est un amour inconditionnel. Ils ont pas eu de chance avec moi, dans ce cas ! J'me remets à penser à l'époque où on était adolescentes toutes les deux. Ce n'est jamais facile pour des parents d'avoir à vivre cette phase avec son ou ses enfants. Avec moi, ils n'avaient jamais eus trop de problèmes, mes parents. Mais avec Gwen qui squattais souvent à la maison lorsqu'elle sortait de quelque part, défoncée comme un trou, ou en larmes parce qu'il s'était passé quelque chose avec Lou... Mes petits parents en avaient sûrement vus des belles et des pas mûres, les pauvres. Malgré cela, ils la considéraient toujours autant comme la deuxième fille qu'ils n'ont jamais eus et qu'ils auraient tant aimés avoir. Arrivés sur place, c'est la surprise, ce sont les embrassades, les câlins, les rires, un bon repas, l'assemblage et la décoration de ce majestueux sapin qui fait la tradition chaque année dans notre famille. Ce sont les albums photos qui défilent et nous font rire et parfois, qui font pleurer ma chère mère. Trop occupée par ce qu'ils ont à me raconter, je ne remarque pas Gwen envoyer et recevoir une tonne de SMS. Je sursaute toutefois lorsqu'elle chuchote à mon oreille, ayant profité du fait que mes parents soient partis à la cuisine. J'me fais harceler par ma mère et ma soeur, elles veulent nous voir. Tu crois qu'elles croient qu'on est ensemble genre ensemble ? Je me mets à glousser, espérant que mes parents ne m'entendent pas rire de façon aussi niaise. J'en sais rien de ce qu'elles pensent, ta mère et ta soeur. Pourquoi elles croiraient ça, puisqu'elles ne nous ont pas vues toutes les deux depuis des siècles, il me semble? Et si elles croient ça, on joue le jeu?, dis-je à la blague, sans même savoir si c'était sérieux ou non. Moi aussi, j'ai bien hâte de revoir Dylan et sa mère, je les aimais beaucoup les Black-Hoover. Je me lève alors du canapé en faisant signe à Gwen de faire de même, nous dirigeant alors vers la cuisine, là où mes parents se trouvent. Je serais restée encore des jours, mais... on doit aussi aller rendre visite à la mère et à la soeur de Gwen. Elles s'impatientent, les pauvres. Je vais vous appeler quand on est installées, promis! J'embrasse alors mes parents et de nouveau, Gwen et moi repartons à l'aventure, vers sa maison. C'est moi qui lui ai volé les clés, comme je l'avais prédit et je nous conduis jusqu'à destination, saines et sauves, sans jurer contre la ville, comme mon amie l'aurait fait. [...] Enfin, nous sommes arrivées après une dizaine de minutes de route de plus. Je débarque de la voiture en ouvrant le coffre. Puisque nous dormons ici, il faut bien rentrer les bagages, n'est-ce pas? Vas-y, vas voir Dylan et ta mère, elles s'impatientent dans la fenêtre..., dis-je en rigolant, les saluant de la main, alors que je ramassais les quelques bagages que nous possédions, pour les rentrer à l'intérieur au plus vite.
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Y'aura plein d'autres occasions où je pourrais te câliner. T'es un peu exigeante, misssss. Elle le fait exprès en plus, avec son air faussement las de mes pseudos exigences en matière affective, et quant au surnom qu'elle devrait me donner. Je soupirais alors en secouant la tête de gauche à droite. Je ne supporte pas ce soi-disant surnom, ça fait pétasse, et j'ai rien d'une pétasse, je crois. Arrête avec ce "miss" c'est moche ! Elle savait que ça me faisait chier, et elle s'en amusait bien. Moi, en revanche, ça m'énervait assez, mais je ne disais rien de plus, pour ne rien plomber de l'ambiance enfantine. Sur la route, je regardais les paysages défiler à la même allure que le véhicule, et parfois, le paysage restait figé quelques instants, parce que dans cette ville, ces trous du culs ne savent pas conduire, ne connaissent pas la priorité à droite, changent de voie sans foutre leur clignotant et j'en passe. J'aimerai tellement gueuler qu'ils devraient tous repasser leur putain de permis de conduire, mais je m'abstiens, me contentant de pester dans ma tête, laissant fuser toutes les insultes possibles et imaginables. Et je laissais mes souvenirs vagabonder des fois où j'étais revenue, ou du temps où je vivais ici. On passait devant le salon de tatouage où j'ai fait mes débuts comme apprentie, ce qui m'arrachait un sourire. Je me demandais comment allait le bon vieux Skully et tous les autres. Je chantonnais la plupart des chansons qui passaient à la radio pour palier au silence de Neela, concentrée sur la route. Après le repas et les séquences souvenirs, autant émotionnelles qu'hilarantes, je devais prévenir Neela que ma mère et Dylan étaient impatientes de nous voir, la faisant sursauter puis glousser, niaisement. J'en sais rien de ce qu'elles pensent, ta mère et ta soeur. Pourquoi elles croiraient ça, puisqu'elles ne nous ont pas vues toutes les deux depuis des siècles, il me semble? Et si elles croient ça, on joue le jeu? Mon téléphone vibrait encore une fois, mais je ne lisais pas le message dans l'immédiat, me contentant de rire à l'idée de mon amie, bien que l'idée m'intéresse bien plus qu'il n'y paraît. Ma mère rêve de t'avoir comme belle-fille j'pense, donc vu que j'lui ai dit qu'on venait ensemble, elle doit s'imaginer ça. Mais j'suis partante pour jouer l'jeu ! Puis je regardais mon téléphone, où Dylan m'envoyait "Bon les amoureuses, c'est pour aujourd'hui ou pour demain ? Magnez vous bordel ! ♥", ce à quoi je me retenais de rire quand Neela m'invitait à me lever du canapé pour dire au revoir à ses parents. Je serais restée encore des jours, mais... on doit aussi aller rendre visite à la mère et à la soeur de Gwen. Elles s'impatientent, les pauvres. Je vais vous appeler quand on est installées, promis! Ce à quoi j'ajoutais Mais ne vous en faîtes pas, on reviendra vous voir avant de rentrer à Boston. Ses parents nous donnèrent une accolade, avant que nous ne reprenions la route jusqu'à chez ma mère, à dix petites minutes de là. Avant que je ne sorte de la voiture, je montrais le fameux message de Dylan à la jolie blonde qui m'accompagnait. Prête à jouer le jeu, mon coeur ? lançais-je en riant avant de sortir du véhicule, une nouvelle fois. Vas-y, vas voir Dylan et ta mère, elles s'impatientent dans la fenêtre... Je n'allais pas la laisser prendre les bagages seule, je suis un minimum galante quand même. Donne moi ça... dis-je alors en déposant mes lèvres sur sa joue, attrapant des bagages avant de les ramener à l'entrée de la maison, où je n'ai même pas eu le temps lever le poing pour frapper à la porte que Dylan l'a ouverte, m'arrachant les sacs des mains pour les poser dans un coin et me sauter au cou, faisant signe à Neela de se joindre à nous pour un câlin "de la mort qui tue" comme elle dit, c'te conne. C'est bon de t'revoir, Dylan.[...] Après ce moment de tendresse avec ma soeur, c'était au tour de ma mère, d'être heureuse de nous voir. Ca me faisait du bien de la voir câline avec moi, ça faisait des années que ça n'était pas arrivé.
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