C. LESLEY CARMEN ► audrina patridge.

23 avril 1989 dans la belle et grande ville de New York naquit une petite fille dont la vie choyait déjà de naitre dans une famille riche. Cette fille c’est moi. Mes parents, mon père, un médecin possédant sa propre clinique privée dans la ville, et ma mère, s’occupant tant qu’à elle de l’entreprise que son grand-père lui a légué, me prénommèrent Clara Lesley Carmen, mais simplement Lesley ira totalement. Je fus leur premier enfant, donc j’étais très désiré. Ils étaient déjà tous les deux très bien installé dans une grande maison bourgeoise donc dès ma naissance je nageais dans l’argent, ayant tout ce qui m’était nécessaire, et moins utile également. Un an plus tard naquis mon petit frère, prénommé Cameron Marc Carmen. Nous fûmes les deux seuls enfants de la famille Carmen puisque nos parents n’étaient pas souvent présents donc deux s’étaient assez, présent l’un pour l’autre donc ils ne s’ennuieraient pas, disaient-ils. Heureusement, moi et Cam on se fit des amis dans notre quartier, d’autres enfants de riches dont les parents étaient peu présents donc on était très bien ensembles. Bien sûr, en grandissant, j’ai toujours eu tout ce que je voulais, j’utilisais beaucoup mes parents, faisant des crises lorsque je n’avais pas ce que je voulais. Mais comme ils se sentaient coupables de ne pas être bien présents, ils voulaient se faire aimer en m’achetant plein de choses mais je peux vous le dire à présent que l’amour ne s’achète pas, c’est vraiment différent de ce que j’aurais eu avec des parent normaux. Dès mon enfance, j’étais une jeune fille qui avait confiance en elle, la «populaire» de sa classe, jolie, intelligente que tout le monde voulait comme amie. Puis il y eut James, un ami de Cameron qui habitait à côté de chez nous, donc passait beaucoup temps à la maison, étant enfant unique. Ils jouaient très souvent avec mon frère aux jeux vidéos, des trucs de gars quoi, et ce fut le premier garçon à lequel je tombai éperdument amoureuse. Il était si mignon et gentil avec moi. C’était le meilleur ami de mon frère et il était plus jeune que moi. Toutefois, je n’ai jamais tenté quoi que ce soit, sachant que ça ferait bien du mal à mon frère que j’adorais. À l’adolescence, j’eus plusieurs petits copains bien sûr, j’avais tout pour moi, mais bien sûr je continuais à penser au beau James. De plus, vers l’âge de 16 ans, j’eus mon premier baiser avec une fille. Étrangement, j’appréciai beaucoup l’expérience et c’est là que je découvris que j’étais bisexuelle car tout de même je restais très attirée par les hommes. Je m’assumais totalement, de toute façon j’étais assez populaire donc quoi que je fasse ou dise, les gens m’approuvaient. J’ai eu une très belle voiture dès le moment où j’obtins mon permis, je m’achetais tout ce que j’avais besoin avec les cartes de crédits de mes parents, je ne pouvais pas compter sur eux pour s’occuper de moi donc je passais la majorité de mon temps avec mon petit frère ou mes amis. Puis, fut le temps de quitter le nid familial et aller à l’université. Je choisis personnellement d’aller à Harvard, proche de chez moi et en plus c’était l’université la plus réputé. Je m’inscrivis en droit, j’étais très bonne et mes parents avaient de l’argent donc j’y fus accepté. Je ne pus bien sûr m’empêcher d’attendre avec enthousiasme l’arrivée de James ici, j’étais certain qu’il allait venir et en attendant que mon frère rejoigne l’université de Harvard, je pourrais nettement me rapprocher de lui. En vieillissant, il était devenu de plus en plus beau, mais bien sûr en attendant je fréquente des hommes et des femmes. Mes années à l’université se passèrent merveilleusement, j’étais toujours populaire, j’étais bonne dans mes cours et il faut dire que j’adore les partys ici, c’est tout simplement parfait. Puis, James eut l’âge de venir à l’université et il choisit Harvard, la meilleure. Je l’ai approché en faisant semblant de ne vouloir que du sexe avec lui, ce qui était faux puisque je l’aimais comme une folle. Je le connaissais, il était du genre à tout faire pour du sexe avec une belle femme, comme mon frère… Pour rester proche de lui et qu’il continu de répondre à mes désirs, je le menace assez souvent de tout dire à mon frère, de lui révéler qu’il jouait avec moi, alors là Cameron il serait vraiment fâché et en voudrait vraiment à son meilleur ami, pas à sa petite sœur chérie. C’est le seul moyen de le garder proche de moi, mais je sais qu’il ne tombera pas amoureux de si tôt de moi puisque ce n’est pas son genre, comme s’il ne connaissait pas l’amour. Donc mon petit jeu continue… Puis, maintenant les cours terminés, j’ai pensé retourner à New York pour l’été, mais l’université nous proposa un Summer Camp dans le Vermont, ce qui me paraissait une très bonne idée pour rencontrer d’autres personnes, faire le party et en plus j’ai su que James y serait, ce sera un été vraiment parfait…