Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility{FF} I hate you so much... • Andrew
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{FF} I hate you so much... • Andrew

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I hate you so much ~
@Andrew R. Windsor
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Un cauchemar... C'était ce que Nate avait vécu depuis l'ouverture de l'Ivy League. Depuis cette putain de soirée où il avait perdu son sang-froid face à ce prince nommé Andrew. Ce type, depuis ce jour, s'amusait à harceler Nate. Le blond ne savait pas comment il avait réussi à obtenir son numéro de téléphone. Mais... Il recevait régulièrement des messages pour le narguer avec des photos de Robin dans des situations plus ou moins flagrantes de leur vie de couple.

L'équilibre psychologique du jeune homme déjà en miette continuait de se réduire en cendres. Du harcèlement... Il en avait tellement subi pendant son passé qu'il n'en pouvait plus aujourd'hui. Il n'en pouvait plus d'être la cible d'un malade qui veut passer ses nerfs. Il en avait assez. De toute façon... Nate avait perdu tout espoir de pouvoir se remettre avec Robin. Il savait qu'elle était avec Andrew, il en était persuadé et... Le prince lui rappelait assez souvent.

Alors même s'il aimait profondément la jeune femme... Il s'était fait à l'idée que c'était trop tard et... Qu'elle était finalement tombée amoureuse d'Andrew. Il ne fallait pas se leurrer... Entre Nate, fragile, sensible, solitaire et atypique et Andrew qui était le mec viril et protecteur par excellence... Le choix devait être vite fait pour la blonde. Lui aussi, à sa place... Il aurait vite fait d'oublier Le fade Nate pour Andrew. C'était logique.

Alors, il était assis sur un banc sur le campus. Il avait son téléphone en main, tremblant. Il regardait les photos et les SMS qu'il avait reçu de la part du prince les larmes aux yeux. C'était dur... Trop dur... Pourquoi il regardait déjà ? Aucune idée. De toute façon il était plus qu'un type paumé qui savait plus vraiment ce qu'il faisait. Il était au bout du rouleau. Littéralement au bout du rouleau. L'envie de partir et de changer d'université avait même germé dans son esprit. Prendre la fuite...

Mais au final... Ça se passerait toujours de cette façon. Il attirait la connerie humaine comme la merde attirait les mouches. À croire que le mot victime était tatoué de façon indélébile sur son front. Un peu de paix... Ce serait vraiment trop demandé ? Ou faudrait-il vraiment qu'il s'endorme à tout jamais pour pouvoir s'échapper... ?
(Invité)