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Haruka Sano
Fiche d'identité
Nom SanoPrénom(s) HarukaÂge 20 ansDate de naissance 07/11/1995Lieu de naissance KyotoStatut amoureux CélibataireOrientation sexuelle GayClasse sociale MoyenneÉtudes majeures ArtsÉtudes mineures AucuneJob Photographe amateurChoix de groupe #1 StudentsChoix de groupe #2 Lowell House Students
Haruka n'a jamais été spécialement fan du système des confréries... A vrai dire, il trouve même ça ridicule. La vie en société il n'aime pas ça, alors se retrouver à faire partie d'un groupe dont il ne connait qu'à peine les membres, ça ne lui plaît pas trop. Il a vu plusieurs séries américaines avant d'arriver là, et pour lui, confrérie = groupe d'étudiants tarés aux pratiques plus ou moins douteuses. En bref, s'il peut s'en passer, c'est avec plaisir!
Lowell House
Haruka a développé une passion pour l'art quand il était jeune. Le dessin et la photographie sont ses moyens de s'échapper de la réalité et d'oublier ses problèmes. Il s'est d'ailleurs lancé dans un projet de bande dessinée, sur lequel il travaille régulièrement. Il serait plus à sa place dans cette maison que dans n'importe laquelle puisque l'art est sa passion principale et son centre d'intérêt majeur. Il l'aime sous toutes ses formes et aime vanter ses mérites dès qu'il en a l'occasion. Pour lui c'est grâce à l'art que chaque civilisation a une culture et une existence.
Haruka n'a jamais été spécialement fan du système des confréries... A vrai dire, il trouve même ça ridicule. La vie en société il n'aime pas ça, alors se retrouver à faire partie d'un groupe dont il ne connait qu'à peine les membres, ça ne lui plaît pas trop. Il a vu plusieurs séries américaines avant d'arriver là, et pour lui, confrérie = groupe d'étudiants tarés aux pratiques plus ou moins douteuses. En bref, s'il peut s'en passer, c'est avec plaisir!
Lowell House
Haruka a développé une passion pour l'art quand il était jeune. Le dessin et la photographie sont ses moyens de s'échapper de la réalité et d'oublier ses problèmes. Il s'est d'ailleurs lancé dans un projet de bande dessinée, sur lequel il travaille régulièrement. Il serait plus à sa place dans cette maison que dans n'importe laquelle puisque l'art est sa passion principale et son centre d'intérêt majeur. Il l'aime sous toutes ses formes et aime vanter ses mérites dès qu'il en a l'occasion. Pour lui c'est grâce à l'art que chaque civilisation a une culture et une existence.
APRÈS LA BOMBE.
Haruka n'était pas encore rentré à l'Université cette année là, et il n'a suivi l'histoire que par le peu d'infos qui sont passées sur la télévision Japonaise. Toujours en quête d'action, le jeune homme a trouvé cet évènement très intéressant et s'en est même inspiré pour un passage de sa bande dessinée. Cela ne l'a en rien déstabilisé ou poussé à changer de projet concernant son inscription, bien au contraire. Il a suivi l'affaire du début jusqu'à la fin, s'aidant des réseaux sociaux pour compléter les informations fournies par les journalistes Japonais et a même présenté plusieurs clichés et dessins illustrant le drame dans son dossier pour rentrer à Harvard.
Haruka n'était pas encore rentré à l'Université cette année là, et il n'a suivi l'histoire que par le peu d'infos qui sont passées sur la télévision Japonaise. Toujours en quête d'action, le jeune homme a trouvé cet évènement très intéressant et s'en est même inspiré pour un passage de sa bande dessinée. Cela ne l'a en rien déstabilisé ou poussé à changer de projet concernant son inscription, bien au contraire. Il a suivi l'affaire du début jusqu'à la fin, s'aidant des réseaux sociaux pour compléter les informations fournies par les journalistes Japonais et a même présenté plusieurs clichés et dessins illustrant le drame dans son dossier pour rentrer à Harvard.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
Il était là le jour de la prise d'otage. Il a plongé son regard dans celui des fous qui ont rendu le campus chaotique pendant plusieurs semaines et a contenu avec difficulté sa furieuse envie de leur sauter à la gorge pour exprimer toute sa haine à leur égard. Il a senti la peur et l'angoisse des gens présents eux aussi ce jour là. Il a vu les larmes des personnes enfermées comme lui à la cafétéria. Seulement, loin d'avoir été tétanisé par la situation, il se souvient seulement d'avoir ressenti une profonde colère: une haine viscérale face à ces quatre individus trop faibles pour agir sans arme. Trop faibles pour avoir de vraies valeurs et les exprimer avec des mots. Haruka reste souvent très silencieux à propos de cet évènement par peur de s'enflammer en en parlant.
Il était là le jour de la prise d'otage. Il a plongé son regard dans celui des fous qui ont rendu le campus chaotique pendant plusieurs semaines et a contenu avec difficulté sa furieuse envie de leur sauter à la gorge pour exprimer toute sa haine à leur égard. Il a senti la peur et l'angoisse des gens présents eux aussi ce jour là. Il a vu les larmes des personnes enfermées comme lui à la cafétéria. Seulement, loin d'avoir été tétanisé par la situation, il se souvient seulement d'avoir ressenti une profonde colère: une haine viscérale face à ces quatre individus trop faibles pour agir sans arme. Trop faibles pour avoir de vraies valeurs et les exprimer avec des mots. Haruka reste souvent très silencieux à propos de cet évènement par peur de s'enflammer en en parlant.
ITEM LIBRE
La seule chose essentielle que j'aimerais aborder ici est cette fameuse bande dessinée sur laquelle travaille Haruka. Il l'a commencée lorsqu'il avait 15 ans, peu après son arrivée au lycée. Elle se déroule dans un monde post-apocalyptique dans lequel un groupe d'adolescents essaye de fonder une ville prospère loin des conflits et émeutes qui règlent le monde dans lequel ils vivent. Le héros se nomme Styx - comme le fleuve menant aux Enfers, oui oui, il a d'ailleurs pris ce nom pour faire une référence à l'enfer dans lequel sont plongés ses personnages - et est en quelque sorte le leader de son petit groupe. Entre action, et réflexion sur la société, il mêle des scènes glauques et morbides à des scènes presque humoristiques ou pleines de douceur. Il a pour l'instant dessiné une cinquantaine de pages et continue son œuvre régulièrement dans l'espoir de la voir un jour publiée. Néanmoins, il garde ses planches secrètes et ne les montre qu'à ses amis proches. Quiconque y jette un œil sans son approbation s'expose à sa colère.
La seule chose essentielle que j'aimerais aborder ici est cette fameuse bande dessinée sur laquelle travaille Haruka. Il l'a commencée lorsqu'il avait 15 ans, peu après son arrivée au lycée. Elle se déroule dans un monde post-apocalyptique dans lequel un groupe d'adolescents essaye de fonder une ville prospère loin des conflits et émeutes qui règlent le monde dans lequel ils vivent. Le héros se nomme Styx - comme le fleuve menant aux Enfers, oui oui, il a d'ailleurs pris ce nom pour faire une référence à l'enfer dans lequel sont plongés ses personnages - et est en quelque sorte le leader de son petit groupe. Entre action, et réflexion sur la société, il mêle des scènes glauques et morbides à des scènes presque humoristiques ou pleines de douceur. Il a pour l'instant dessiné une cinquantaine de pages et continue son œuvre régulièrement dans l'espoir de la voir un jour publiée. Néanmoins, il garde ses planches secrètes et ne les montre qu'à ses amis proches. Quiconque y jette un œil sans son approbation s'expose à sa colère.
Pseudo IRL
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Fraise et j'ai 23 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à Nate-chou ♥. Le forum avait l'air fort sympathique alors j'ai décidé de m'inscrire sous les traits de Megan Halwell avant de la remplacer par ce charmant jeune homme. J'utilise Won Jong Jin comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par moi même. Je fais environ entre 200 et 1000+ mots par RP selon mon inspiration, et mon personnage est un personnage inventé.
Mot de la fin ? ▲ J'aime les Hamsters
Je souhaite ▲
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainé.
Mot de la fin ? ▲ J'aime les Hamsters
Je souhaite ▲
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainé.
Once upon a time
Parlez moi de votre enfance Mr Sano?
A quoi ça servira? Je n'ai rien de spécial à dire là-dessus. Mon enfant a été paisible... C'est d'ailleurs bien le seul moment de ma vie qui l'a été...
Eh bien parlez-moi de vos parents, de votre famille, de votre adolescence.
Mes parents? Vous voulez parler de la femme alcoolique dont la vie est un lamentable échec et qui nous a abandonnés quand j'avais douze ans et du père accro au travail que je devais voir deux heures par semaine? Personnellement je ne qualifie pas mes géniteurs de parents mais bon, à choisir, je n'ai que ça. Et ma soeur, bah... On a toujours eu une relation normale et amicale.
Je vois. Pouvez-vous développer un peu votre situation familiale? Que s'est-il passé avec votre mère?
Elle était professeur de musique à Kyoto tandis que mon père travaillait dans une grande entreprise. Quand j'étais petit tout allait bien, notre vie était paisible et j'ai eu une enfance plutôt cool.... Même si je n'ai jamais vraiment côtoyé mon père. Seulement... Ma mère a fini par perdre son boulot, elle a fait une dépression et un beau jour mes parents se sont disputés et elle s'est cassée. On l'a plus jamais revue depuis. Et comme mon père n'était jamais là j'ai dû m'occuper de ma soeur comme je pouvais.
Cela a influencé votre situation scolaire?
Oh non, pas du tout. J'ai toujours séparé l'école de la maison. Là-bas j'avais des amis, des notes excellentes, des professeurs à mon écoute... J'adorais aller en cours. J'ai toujours été bon élève, je trouvais ça rassurant de réussir dans la vie alors que j'étais entouré par deux parents minables.
Minables? Vous êtes sévère... Je croyais que votre père avait une bonne situation professionnelle?
Ah ça, c'est sûr, mais ça n'empêche pas qu'il était un gros con. J'ai toujours été passionné par le dessin et la photographie, mais il trouvait ça débile. Sûrement par peur que je finisse comme ma mère. Sauf qu'il n'a jamais essayé d'aller plus loin et de s'intéresser à ce que je faisais. Il ne me connaissait pas, pas plus que moi je ne le connaissais. En tant que père il a toujours été nul et n'a jamais essayé de s'améliorer... Et depuis que je me suis lancé dans des études d'art, nous sommes en froid tous les deux. Les seules personnes que j'apprécie dans ma famille se sont mes grands-parents paternels. D'ailleurs l'avantage d'entrer à Harvard c'est que ça me rapproche d'eux.
Oh? Vos grands-parents habitent aux USA?
Oui. Ma mère est Coréenne et mon père Japonais, mais j'ai de la famille ailleurs. Mes grands-parents m'ont toujours soutenu dans mes projets artistiques, et c'est eux qui m'ont parlé d'Harvard. C'est aussi ma grand-mère qui m'a offert mon premier appareil photo pro. La plupart des clichés que j'ai pris pour mon dossier d'inscription ont été pris avec cet appareil. Je l'ai depuis mes dix-sept ans, c'est une des choses les plus précieuses à mes yeux.
D'accord, je comprends mieux. Donc vous avez eu une enfance calme et une adolescence plutôt mouvementée.
C'est ça. Mais bon, je ne suis pas du genre à m'attarder sur les gens qui ne m'apportent rien. Donc ça ne m'a pas empêché d'avoir des amis qui m'ont apporté beaucoup de choses et d'avoir eu mon bac avec mention très bien. Je n'avais pas envie de gâcher ma vie à cause de mes parents. Mais ça m'a appris à me méfier des gens que je ne connais pas... Parce que je sais que même si certaines personnes peuvent apporter plein de bonnes choses, d'autres peuvent détruire ta vie si tu n'y prends pas garde.
Et à propos de votre soeur?
Oh beh, on s'est un peu éloignés l'un de l'autre depuis que je suis au lycée. On n'a pas du tout les mêmes intérêts dans la vie alors on a fini par prendre chacun notre chemin. On n'a jamais été si proches que ça de toutes manières donc ça ne m'affecte pas vraiment.
Très bien. Et je crois voir que vous n'avez pas fait votre première année à Harvard?
Non... Mon père refusait que j'y aille au début. Du coup je suis entré à l'université à Kyoto, en lui faisant croire que j'avais oublié mes projets artistiques et que je faisais des études d'anglais. En vrai j'ai fait un an en cursus d'arts plastiques. Quand il l'a découvert il a été furieux, on s'est violemment disputés et je suis parti de chez moi. Mes grands-parents ont payé mon inscription à Havard, et voilà.
D'accord. Merci pour vos réponses, et bonne continuation à vous.
A quoi ça servira? Je n'ai rien de spécial à dire là-dessus. Mon enfant a été paisible... C'est d'ailleurs bien le seul moment de ma vie qui l'a été...
Eh bien parlez-moi de vos parents, de votre famille, de votre adolescence.
Mes parents? Vous voulez parler de la femme alcoolique dont la vie est un lamentable échec et qui nous a abandonnés quand j'avais douze ans et du père accro au travail que je devais voir deux heures par semaine? Personnellement je ne qualifie pas mes géniteurs de parents mais bon, à choisir, je n'ai que ça. Et ma soeur, bah... On a toujours eu une relation normale et amicale.
Je vois. Pouvez-vous développer un peu votre situation familiale? Que s'est-il passé avec votre mère?
Elle était professeur de musique à Kyoto tandis que mon père travaillait dans une grande entreprise. Quand j'étais petit tout allait bien, notre vie était paisible et j'ai eu une enfance plutôt cool.... Même si je n'ai jamais vraiment côtoyé mon père. Seulement... Ma mère a fini par perdre son boulot, elle a fait une dépression et un beau jour mes parents se sont disputés et elle s'est cassée. On l'a plus jamais revue depuis. Et comme mon père n'était jamais là j'ai dû m'occuper de ma soeur comme je pouvais.
Cela a influencé votre situation scolaire?
Oh non, pas du tout. J'ai toujours séparé l'école de la maison. Là-bas j'avais des amis, des notes excellentes, des professeurs à mon écoute... J'adorais aller en cours. J'ai toujours été bon élève, je trouvais ça rassurant de réussir dans la vie alors que j'étais entouré par deux parents minables.
Minables? Vous êtes sévère... Je croyais que votre père avait une bonne situation professionnelle?
Ah ça, c'est sûr, mais ça n'empêche pas qu'il était un gros con. J'ai toujours été passionné par le dessin et la photographie, mais il trouvait ça débile. Sûrement par peur que je finisse comme ma mère. Sauf qu'il n'a jamais essayé d'aller plus loin et de s'intéresser à ce que je faisais. Il ne me connaissait pas, pas plus que moi je ne le connaissais. En tant que père il a toujours été nul et n'a jamais essayé de s'améliorer... Et depuis que je me suis lancé dans des études d'art, nous sommes en froid tous les deux. Les seules personnes que j'apprécie dans ma famille se sont mes grands-parents paternels. D'ailleurs l'avantage d'entrer à Harvard c'est que ça me rapproche d'eux.
Oh? Vos grands-parents habitent aux USA?
Oui. Ma mère est Coréenne et mon père Japonais, mais j'ai de la famille ailleurs. Mes grands-parents m'ont toujours soutenu dans mes projets artistiques, et c'est eux qui m'ont parlé d'Harvard. C'est aussi ma grand-mère qui m'a offert mon premier appareil photo pro. La plupart des clichés que j'ai pris pour mon dossier d'inscription ont été pris avec cet appareil. Je l'ai depuis mes dix-sept ans, c'est une des choses les plus précieuses à mes yeux.
D'accord, je comprends mieux. Donc vous avez eu une enfance calme et une adolescence plutôt mouvementée.
C'est ça. Mais bon, je ne suis pas du genre à m'attarder sur les gens qui ne m'apportent rien. Donc ça ne m'a pas empêché d'avoir des amis qui m'ont apporté beaucoup de choses et d'avoir eu mon bac avec mention très bien. Je n'avais pas envie de gâcher ma vie à cause de mes parents. Mais ça m'a appris à me méfier des gens que je ne connais pas... Parce que je sais que même si certaines personnes peuvent apporter plein de bonnes choses, d'autres peuvent détruire ta vie si tu n'y prends pas garde.
Et à propos de votre soeur?
Oh beh, on s'est un peu éloignés l'un de l'autre depuis que je suis au lycée. On n'a pas du tout les mêmes intérêts dans la vie alors on a fini par prendre chacun notre chemin. On n'a jamais été si proches que ça de toutes manières donc ça ne m'affecte pas vraiment.
Très bien. Et je crois voir que vous n'avez pas fait votre première année à Harvard?
Non... Mon père refusait que j'y aille au début. Du coup je suis entré à l'université à Kyoto, en lui faisant croire que j'avais oublié mes projets artistiques et que je faisais des études d'anglais. En vrai j'ai fait un an en cursus d'arts plastiques. Quand il l'a découvert il a été furieux, on s'est violemment disputés et je suis parti de chez moi. Mes grands-parents ont payé mon inscription à Havard, et voilà.
D'accord. Merci pour vos réponses, et bonne continuation à vous.
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