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Jacobs Hell Ford fiche;ass="fiiche"> C'est le dernier jour de décembre qu'il y a 22 ans à Bristol, que la famille Ford m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Jacobs Hell. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis bisexuel et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale Aisée (Mais très modeste durant son enfance. J'ai décidé de participer au Summer Camp organisé par Harvard pendant l'été. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de la femme et Psychologie OU je travaille en tant que métier depuis nombre d'années. Et pour terminer, je voudrais intégrer les dunster house ou les eliot house (uniquement si confréries). |
Études Les femmes. Chose qu'il l'a toujours fasciné au plus haut point, surtout une : sa mère. Née folle, morte folle. Celle-ci enchainait crises d'hystérie comme saute d'humeur, sans se soucier des conséquences. Qu'est-ce qui l'avait donc rendue ainsi ? Victime d'un traumatisme durant sa plus tendre enfance ? Ou n'est-ce qu'une farce du destin ? C'est en se posant cette ribambelle de question que le jeune homme a finit par s'intéresser de près à ces étranges créatures et à les comprendre un peu mieux. Malgré leur attitude farouche -et illogique, Jacobs leur trouve une certaine poésie qui le pousse à suivre des cours à leur sujet, retranscrit dans une sorte de mémoire tout ce qu'il a put tirer comme conclusion, aussi stupide soit-elle. La psychologie est indispensable dans cette approche bien qu'il lui accorde beaucoup moins d'importance qu'à ce premier domaine : il a un don pour cerner celui qui lui fait face. Cette particularité renforcée par les nombreux ouvrages de Charles Jung dont il se délecte depuis sa treizième année. | Caractère Belles paroles coulant d'entre ses lèvres sensuelles. En véritable Dom Juan, Ford aime séduire son entourage même s'il n'en pense, parfois, pas un traitre mot. Son sourire charmeur envers les filles comme les hommes, ses gestes attentionnés mais mesurés, vous feront fondre presque aussitôt. Il n'hésite pas à moduler son caractère selon son interlocuteur, et sait pertinemment ce que celui-ci veut plus que tout, si bien qu'il acquiert la réputation d'une personne adorable et très conciliante. Le premier adjectif n'est peut être pas le plus approprié dans le mesure où Jacobs n'éprouvera aucun remord quant à votre chute, puisque cela fait partie de son plan. Rien n'est imprévu avec lui, tout est calculé au millimètre près : même l'imprévu ! Ce jeune homme est intéressé et choisit ses proches en fonction de ce qu'ils peuvent lui apporter plutôt que leur compagnie, et prend garde à conserver de la prestance en les choisissant à son image ! Son perfectionnisme le poussera à réaliser chacun de ses mouvements à la perfection, si bien qu'il lui arrive de temps à autre de saboter son propre travail en voulant atteindre un degré au dessus... Malgré ses nombreux défauts, si Ford aime quelqu'un, Ford l'aimera à en perdre la raison. Son côté romantique est des plus charmant, tout comme sa tendance à resté reclus à se plonger dans ses réflexions. La plupart de ses compagnes restent à l'observer penser avec une délectation proche de l'admiration, et se font un plaisir de boire ses paroles comme délicieux mensonges. En bon idéaliste qu'il est, il est convaincu que l'homme est presque parfait, mais que le pêché lui procure ce dernier chouillat qui lui manque afin d'atteindre l'excellence. |
Everyone Has Their Own Story
«Né à Bristol, je n'entendis que de l'Anglais en naissant. D'ailleurs, ça me fait tout drôle de revoir l'Angleterre, c'est très différent des Etats-Unis.» murmure le jeune homme à l'oreille d'une femme sur un lit d'hôpital. Celle-ci devait être belle, mais elle est ravagée par le poids des années qu'elle a traversé en toute insouciance. Sa voix est posée, comme celle d'un enfant qui raconte une histoire. «J'aimais bien cette ville, elle était déjantée. Même si, je ne m'y plaisais pas. Tu m'avais envoyé dans la mauvaise école, sans prendre la peine de réfléchir à mes souhaits. Tu aurais dû te douter que le garçonnet binoclard et mal habillé que j'étais ne se ferait pas une place de sitôt auprès de la populace.» Un soupir coupe sa tirade, la vielle tend une main vers ce visage si éclatant du conteur. «Je ne t'en blâme pas. Tu étais folle. Tu n'avais pas le temps de t'occuper de moi : tu devais d'abord te soigner toi-même. Même si tu n'aimes pas lorsque je te le dis, et l'on me l'avait crié lorsque j'avais douze ans, par une gamine encore plus chétive que moi. Folle m'avait-elle répété sans l'once d'un remord, sur le ton du défi. Je ne l'ai pas écouté et je suis partie en courant. Aujourd'hui, je me rends compte qu'elle a bien raison.» Ford laisse transparaitre un sourire envers son interlocutrice. «Tes crises d'hystérie nous limitaient tous à la maison, mais bon, c'était peut être le destin, qui sait ? On dit souvent que lorsqu'une mère accouche et porte son enfant folle, son marmot nait génie. Dois-je te remercier d'avoir fait de moi un génie, ou bien de le reprocher ? Je n'en sais rien : j'aurais bien aimé être normal, mais je me serais abaissé à ce niveau plus bas que terre de la plupart des personnes sur Terre. Alors, je suis parti du fait que j'étais exceptionnel pour commencer une nouvelle vie.» Il porte son attention sur la carafe entreposée sur la table de chevet aux couleurs mornes, il s'en sert un verre afin de reprendre son souffle. Lui-même ne sait pourquoi il se livre ainsi à sa mère alors qu'ils n'ont jamais rien partagés entre eux. «Vers ma quinzième année, je ne sais plus, la nature m'a accordé sa bonté en laissant mon physique s'épanouir si bien qu'aujourd'hui je compte parmi les plus bels hommes de tout Harvard. Du coup, j'ai séduit la sotte qui m'avait ridiculisée puisqu'elle pouvait m'apporter bien plus que toutes ces bécasses. C'est un peu grâce à elle que j'ai découvert une tout autre vocation que les études : les arnaques. Cette dernière avait pour père un fourbe invétéré, et alors qu'elle avait beaucoup trop bu, elle me confia les tourmentes que causait le paternel à sa famille -et aussi tout l'argent qu'il amassait- ainsi que les différentes manière d'arnaquer.» Afin de garder un chouillat de suspense, Jacobs marque une pose sous le regard flamboyant de sa mère, devinant d'ors et déjà la suite de l'histoire. D'un mouvement élégant, il porte le breuvage ses lèvres pour enfin poursuivre. «Désormais, je gagne ma vie en volant l'argent de femmes mariées tombées amoureuse de mon charme juvénile, et je les quitte dès que je leur ai tout soutiré. J'ai pu me payer des choses que je n'aurais jamais imaginé, puisque je viens d'un milieu très modeste. Je ne fais pas que cela, je dealle. Oui tu as bien compris, je ruine encore plus la vie des autres juste pour m'enrichir. J'ai pris par la force ce qui me revient : la puissance et la supériorité. Ainsi maman, tu dois te demander pourquoi je t'avoue tout cela, de but en blanc...» Ford se lève de l'endroit où il siégeait jusqu'à présent, et toise sa mère. Ce discours ne cache qu'une amertume sans font. Tout en se dirigeant vers la porte de sortie, le jeune homme se retourne, lui faisant face. Et le visage déformé par la colère, il lui profère ses dernières paroles. «Je vais te dire pourquoi, pour te montrer sous tous les angles que tu as fabriqué quelque chose dont tu ne peux pas mesurer l'ampleur.» Sur ce, il prend la poudre d'escampette.
the face behind
↬ PSEUDO/PRÉNOM - Thekillingmoon, mais je suis Lucien pour les intimes. ↬ ÂGE - 16 ↬ PAYS/RÉGIONS - Inyourass, le plus beau pays que je n'ai jamais visité. ↬ OÙ AS-TU CONNU LE FORUM - PRD, ah! ce merveilleux PRD ! ↬ TES IMPRESSIONS - Beau, beau, beau... ↬ CRÉDIT(S) - Bazzart, et tumblr pour le gif, thekillingmoon pour l'icon, ↬ AVATAR - Ben Barnes, le seul l'unique. ↬ SCÉNARIO OU PI? - PI ↬ LE MOT DE LA FIN - J'aime le nutella lorsqu'il est fondu et étalé sur le ventre de Karlie Kloss, mais je le veux bien en tartine. |
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