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j'ai vraiment une vie de merde (annalynne)

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Encore et toujours une soirée. Ces derniers temps, j'étais toujours dans les bars à enchaîner les verres. J'adorais ça, j'adorais la sensation que l'alcool me donnait, ça me faisait un bien fou. Mais à force de boire, de fumer, de danser, je n'en pouvais plus et j'avais envie de prendre l'air. Alors quoi de mieux pour prendre l'air que de monter sur le toit ? En plus, je pouvais me rouler et me fumer un petit joint tranquillement en regardant la ville illuminée. Je laissais donc mes amis et je montais en haut. Il n'y avait personne, j'étais donc tranquille. Je m'asseyais par terre, sortant tout ce qu'il me fallait pour rouler. J'étais habitué, j'en roulais tout les jours, j'en fumais tellement souvent, c'était devenu une habitude comme boire et manger. Je le roulais rapidement et je l'allumais, regardant la ville. Mon dieu ce que j'étais bien. Mais d'un coup, j'entendais du bruit derrière moi, j'me retournais et une petite brune apparaissait devant moi. « Est-ce que je peux t'aider ? » demandais-je avec un sourire.
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Je ne connais plus la raison, c'est tout ce qui tourne en boucle dans mon esprit pour l'instant. Que j'ignore la raison de ma présence ici, je ne saurai dire si je suis là pour fêter un anniversaire ou bien représenter la marque comme il se doit. Tout ce que je sais, c'est que l'alcool me donne la nausée. J'ai trop bu, trop mélangé. Et une amie, une connaissance, ou je ne sais quoi m'a tenu le bras, au moment de me servir une nouvelle vodka. C'est dans ma poitrine, que tout a commencé. L'oppression et cette étrange sensation. Etouffée, oppressée, avec l'exquise envie de prendre l'air et de quelques secondes, oublier. Parce que la musique tape trop fort dans mes tympans, qu'elle les explose et que ça me démange d'envoyer balader les gens. Les faire taire, et juste mon bon plaisir, le satisfaire. Vipère. Aliénée par l'alcool et ses tourments, je m'éclipse, et sur le sol, malgré le brouhaha ambiant, entends claquer les talons d'une paire de chaussures qu'il aurait surement détesté. Et je me hais un peu plus, de l'avoir toujours là, quelque part, dans mes pensées. Accuse ma stupidité quand j'emprunte les escaliers. Mes pas se pressent, et ma main sur une porte métallisée va se plaquer, l'ouvre, à la volée. L'air claque mon visage une seconde de trop, et mes paupières se closent, je profite du silence dans les bruits de la nuit, avant que ce dernier, ne soit brisé. « Est-ce que je peux t'aider ? » Mes prunelles s'accrochent alors aux siennes, intriguée par le fait, que je ne suis pas la seule à avoir voulu fuir quelque chose ce soir. Même s je ne saurai réellement définir ce que je fuis, moi. Je me sens pleine de n'importe quoi, et je blâme mon mariage et la vie. « Pourquoi ? » Chantonne ma voix, après tout, c'est assez grand pour nous deux, personne ne nous oblige à faire semblant, de s'intéresser à l'autre en quoi que ce soit. « Je voulais prendre l'air. » Sans trop m'adoucir, je me permets de lui préciser ne voyant encore aucun intérêt à l'attaquer, sans savoir non plus si nous venions de la même soirée.
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Je n'en pouvais plus de cette soirée. Trop de mondes, je ne connaissais pas grand-monde, je me faisais chier. Très clairement, il n'y avait pas d'autres mots. Et l'alcool n'y changeait rien, si ce n'est que ma tête tournait un peu plus que la normale. Alors j'avais décidé de partir, de m'en aller loin de cette pièce et de tout ces gens. Le toit. Il n'y avait personne, il n'y avait qu'un bruit de fond de la soirée qui battait son plein un peu plus bas et une magnifique vue sur la ville de Boston. Je ne pouvais pas demander mieux pour finir cette soirée. Alors je sortais ce qu'il me fallait et je rouler rapidement un joint. Je n'avais pas pu le faire en bas, alors je n'allais certainement pas me gêner pour le faire ici. Une fois fait, je l'allumais et commençait à le fumer. Je laissais échapper un soupire, avant de sourire et de fermer les yeux, profitant de l'air glaciale de l'extérieur. Ca me faisait du bien, il faisait beaucoup trop chaud à l'intérieur. Mais ma solitude fut brisé par l'arrivée d'une belle brune. Je me retournais, entament la conversation. « Tout simplement car ce n'est pas habituel de voir de jolies filles aussi bien habillé finir sur le toit d'une soirée qui est sûrement bien faite pour vous. » répondais-je en haussant les épaules. On avait réellement pas l'air du même monde, elle avait l'air d'être au-dessus de moi si on en croit les critères sociaux. Mais tout le monde savait que moi, je me croyais au-dessus des autres. « Prenez donc l'air et, par pitié, ne prévenez pas la sécurité en bas que je fume un pétard. Je n'embête personne. » rajoutais-je avec un petit sourire. Je préférais le dire, elle avait l'air différente de moi, elle devait donc être ce genre de personnes anti-drogues. Même si je pouvais me tromper.
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Sans trop le détailler, j’accroche tout de même son regard, malgré le fait que je n’attende pas spécialement de réponse à ma question, l’intrus, ou plutôt, le premier arrivé ici, se décide, à m’adresser à nouveau la parole, et rétorque doucereusement. « Tout simplement car ce n'est pas habituel de voir de jolies filles aussi bien habillé finir sur le toit d'une soirée qui est sûrement bien faite pour vous. » A ses mots, qui ne sont pas idiots, mes paupières s’abaissent et observent mon accoutrement. Il est vrai que je suis à moi seule, un indéniable cliché. Cette fille riche qui sort et qui fête la vie sans s’apercevoir que le monde ne tourne plus aussi bien, et que de son univers elle n’en contrôle pas du tout le destin. Je divague, putain. « Tu sais combien ? » Enigmatique je le questionne, sans pour autant lui donner d’explications. A quoi cela pourrait servir de se plaindre encore de quelque chose dont toutes les petites filles peuvent rêver. Pourtant, je le fais. « Tu sais combien j’en ai fait de ces soirées ? » Avant qu’elles ne me lassent, avant que mon envie de les vivre trépasse.

« Prenez donc l'air et, par pitié, ne prévenez pas la sécurité en bas que je fume un pétard. Je n'embête personne. » Derechef mes iris reviennent à lui et glissent en direction de ses doigts, entre son index et son majeur droit, se tient ce dont il vient de parler. Et appeler la sécurité me semble présentement quelque chose qui se pourrait être attrayant, ça rendrait presque la soirée intéressante, et je n’en serai que plus piquante. Alors tentée, je me retourne et regarde la porte que je viens d’emprunter. Refermée. Et l’évidence a du mal à faire son chemin dans mon esprit alcoolisé. Nous sommes bloqués, mais je ne veux pas encore le réaliser, comme si je pouvais repousser le moment où je vais me mettre à paniquer. « J’aurai du mal. » Me positionne à nouveau face à lui, et m’avance même. « Je n’ai pas mon téléphone. » En le prononçant d’ailleurs, j’en viens à m’interroger sur le sujet. Où est-ce que j’ai bien pu mettre l’objet qui me sert à appeler ?
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Alors que je pensais être tranquille sur le toit, à fumer mon pétard, à rêver de choses et d'autres, cette fille m'avait rejoint. Je l'observais, elle ressemblait à une riche. En fait, elle devait être riche. Elle devait faire partie de ses personnes fortunées, qu'il y a en masse dans cette soirée. J'avais été invité, car j'avais de meilleurs moyens depuis que les thomspers m'avaient adopté certes, mais ça ne me plaisait pas. Cette soirée, entourés de gens plus riches les uns que les autres. « J'en ai absolument aucune idée, mais vous devez être une habituée. J'imagine en tout cas. » répondais-je en haussant les épaules. Je détournais mon regard et je me concentrais sur la vue. C'était magnifique Boston, la nuit. J'adorais faire ça, me poser sur un toit, arrêter de réfléchir, arrêter de penser à ma vie, à mes problèmes et juste rêver. C'était sans aucun doute le meilleur moment de cette soirée. Si on oubliait cette fille qui interrompait mes rêves, évidemment. Elle s'avançait vers moi, m'expliquant alos qu'elle n'a pas son téléphone. Tant mieux, je pourrais partir avant qu'elle ne prévienne quelqu'un de ce que je faisais sur le toit. Si elle partait, je partirais aussi. « J'espère pour toi que personne ne te l'a volé, quoique, tu pourras t'en racheter un très facilement de toute façon. » disais-je en me souriant à moi-même. Les gens riches se foutaient de ses détails, après tout. Ils avaient ce qu'ils voulaient, quand ils le voulaient. Tout ce que je détestais, en soit.
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Je ne saurai dire réellement pourquoi je pose mes mots comme une interrogation, comme s’il pouvait réellement savoir et deviner, à combien de soirée j’ai bien pu participer. « J'en ai absolument aucune idée, mais vous devez être une habituée. J'imagine en tout cas. » De façon subtile je me surprends, à sourire, à la suite de ce que propose son imagination. C’est son audace, je crois, qui provoque cette réaction chez moi. Sa candeur aussi, oui, la capacité qu’il a à me tenir doucement tête quand d’autres auraient choisi de devenir mon chevalier servant. Alors, c’est fluette, que je lui réponds finalement. « Perspicace. » Puisque je me dois de l’avouer, mais je me permets de le prononcer quelque peu ironique, parce que je ne saurai pas être autrement. Pas vraiment.
Et lorsqu’il me parle de la sécurité, j’en viens à réaliser le manque de mon téléphone à portée de main, réfléchissant difficilement à l’endroit où il pourrait se trouver. Alors en écho à ses précédentes paroles, mon esprit me chantonne « aucune idée. » et ce n’est pas que, mais ça pourrait devenir embêtant. Approchée de lui, je le regarde en biais, jongle de son regard, à ses doigts, et puis les lumières, et le semblant de liberté que je crois avoir le pouvoir de m’octroyer. « J'espère pour toi que personne ne te l'a volé, quoique, tu pourras t'en racheter un très facilement de toute façon. » Dans un automatisme stupéfiant, mes sourcils se froncent, et mon agacement est surement palpable. Oui, je pourrai, m’en racheter un, m’acheter quoi que ce soit, c’est comme ça. Mais j’en reviens à cette idée futile d’être libre, constate à regret, que c’est ce que je vends pour pouvoir acheter. Bien évidemment, je blâme mes verres de trop, ceux qui me forcent à penser et réfléchir trop fort, aux détails qui de ma vie, font que je déraille. « Certainement. » Ma voix s’élève tandis que je hausse les épaules, fixe le bitume, au loin. « Mais je devrai retourner le chercher. » Ou retrouver je ne sais qui pour parler d’un de ces sujets futiles et sans intérêt. « Puis ce serait mal vu, que les gens se rendent compte que c’est ensemble, qu’on a disparu. » C’est encore une fois une supposition, mais je suis forcée d’avouer, qu’elle me fait silencieusement rire, c’est vrai.
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Cette fille avait l'air différente, spéciale, pas comme les autres. Je ne savais pas encore pourquoi, mais c'était l'impression qu'elle me donnait. Et je ne savais pas du tout comment réagir avec elle. Est-ce que je devais être le connard ou le gentil Adriel ? Alors pour l'instant, je restais assez neutre, ni méchant, ni trop gentil. Après tout, je ne connaissais pas cette fille. Je souriais simplement quand elle me disait que j'étais perspicace. Peut-être qu'en me voyant au début, mon joint entre les doigts, mes paroles légèrement je-m'en-foutiste, elle avait pensé que j'étais un mec idiot. Mais non, j'étais loin de l'être, je me prenais juste pas la tête et je prenais les choses comme elle venait, sans réfléchir. J'étais sans aucun doute parfois trop insouciant. Je ne savais pas réellement si c'était un défaut ou une qualité. La petite brune me sortait de mes pensées, alors qu'elle cherchait son téléphone et qu'elle avait l'air de vouloir absolument le retrouver. Et ma petite remarque n'avait pas l'air de lui avoir plu, vu la tête qu'elle faisait et la façon dont elle me répondait. Pourtant, je n'avais pas encore montré à quel point je pouvais être con. Je ne pouvais m'empêcher de rire après ses paroles. « Je suis totalement d'accord. » répondais-je en me tournant, pour la regardant en face. « S'il t'arrive quelque chose, je serais directement accusé, moi le petit être qui galère pour payer son loyer, qui fume des joints, qui boit tout les jours, qui fait des soirées tout le temps avec un lourd passé qui en fait flipper plus d'un. » Ah, l'époque où je dealais, où je me suis fait passer pour mort, où j'étais en cavale. Cela me paraissait loin, même si ça ne l'était pas tellement. « Tu connais la sortie. » rajoutais-je avec un petit sourire, avant de me concentrer de nouveau sur la vue.
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Faire demi-tour, retourner jouer les hypocrites, me noyer de faux semblants, et vanter à qui voudra l’entendre à quel point il est charmant, Alan. L’idée, sur le coup, ne me parait pas des meilleures, et d’y penser me force à nouveau à suffoquer. « Je suis totalement d'accord. » Pourtant, je suis persuadée que je ne lui ai pas demandé la permission, et c’est amusée que je relève mes paupières à son intention. « S'il t'arrive quelque chose, je serais directement accusé, moi le petit être qui galère pour payer son loyer, qui fume des joints, qui boit tout les jours, qui fait des soirées tout le temps avec un lourd passé qui en fait flipper plus d'un. » Je lui concède le fait de raviver avec ses paroles un tant soit peu mon intérêt à son sujet, curieuse de nature, j’avoue même que quelques questions peinent à rester sur ma langue que je n’ai de cesse de tourner. Et à la réflexion, je me contente de lui souffler, railleuse. « C’est fou ce que tu sais te vendre. » Vraiment, il a l’air adorable, et aimable. Bien évidemment, mes paroles sont agrémentée d’une ironie que je n’essaie pas de cacher.

Et son sourire, et ses mots de conclusion, et mon envie de ne pas lui donner raison. « Tu connais la sortie. » Un soupir. Une seconde. « Certes. » Mes ongles s’enfoncent un peu dans ma paume serrée d’être frustrée par ses dires et par le fait d’avoir perdu un peu de mon répondant – mordant – sur le moment. Je choisis alors de ne rien rajouter, et de m’approcher de la porte qui m’a vu faire mon arrivée il y a quelques minutes à peine. Mes doigts se posent sur la poignée, et je remarque alors qu’elle est bel et bien fermée, ne s’ouvrant que de l’autre côté. Un rire nerveux s’échappe de mes lèvres, et je me retourne à nouveau, toujours en ricanant. « A l’évidence … » Je commence en grimaçant. « Ce ne sera pas aussi simple. » Non du tout. « Je crois que je vais tout de même m’imposer. » Et ma main frotte mon front pour palier à l’alcool qui tape encore sur mes tempes. « En plus d’être une princesse friquée, j’ai bloqué la porte. » Tu peux me maudire, je suis habituée.
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