Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityyou are the fugitive but you don't know what you're running from ✰ mackenzie-lux
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you are the fugitive but you don't know what you're running from ✰ mackenzie-lux

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Tu restes scotcher face à tout ses débiles, entre ceux qui n'arrête pas de pleurer et ceux qui se lamente sans cesse. Si c'est ça que l'hôpital appel un groupe de soutient, je demande remboursement. Tu roules péniblement des yeux et fronce les sourcils à chaque fois que l'animateur prend la parole, ses paroles n'ont rien de réconfortante « prenez sur vous », « ne vous faite pas remarquez », « laissez les choses couler » c'est loin d'être des bon conseilles à donner des gosses qui sortent à peine de l'hopîtale. Et puis rien n'était intéressant ici, les murs sont vides, la musique est lente, les médoc ne font même plus d'effet, tout à par Mackenzie. Ses yeux vert, ses lèvres parfaites, ses long cheveux bruns tombant en cascade sur ses épaules et son petit dos courbée, des choses que tu aimerais étudier plus en profondeur. Et puis, elle semble tout aussi exaspéré que toi, et tout aussi exténuer par ce mec débile. Discrètement, tu lui files un petit coup dans sa chaise, rien de brusque pour ne pas attirer le regard des autres débilos. « Tu m'avais promis un verre la dernière fois, dis moi que t'es toujours okay. » c'était plus une affirmation qu'une question.
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Faudrait vraiment qu'on pense à t'expliquer pourquoi est ce que tu étais obligée d'aller à ce genre de réunion. Parce que vraiment, à chaque fois, on t'y trainais de force et toi, ça te fatiguais plus qu'autre chose. C'était pas intéressant, t'en avais rien à faire de ce que le mec pouvait dire et en fait, t'avais probablement besoin d'un tas de chose, sauf ça. Alors forcément, comme à chaque fois, tu n'y mettais absolument pas du tiens préférant t'affaler sur ta chaise contemplant le plafond aussi blanc que les murs. Ouais, en fait ce genre d'endroit c'était carrément ce qui pouvait donner des idées suicidaires. Même la musique semblait souffler à tes oreilles des idées morbides. Tu poussais un soupir un peu trop bruyant puisque tu avais le droit à un regard lourd de représailles de la part de l'intervenant mais.. T'en avais rien à faire. Il pouvait bien te virer, toi ça t'arrangeait. Et puis y avait Zéphyr qui attirait soudainement ton attention et tu tournais lentement le regard vers lui. Si je le suis plus tu vas devenir aussi lourd que lui ? que tu demandais désignant le type d'un signe de tête. Un sourire venait étirer tes lèvres alors que pour la énième fois de la semaine, tu contemplais Zéphyr en long, en large et en travers. Il était le seul que tu trouvais intéressant ici à vrai dire. Tu savais pas pourquoi mais y avait un truc chez lui qui.. Bref. J'suis toujours okay, idiot.
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Faut pas se mentir. Ce groupe merdique, fais chier tout le monde, et n'aide personne. Et ce mec à beau vous lancer des éclaires pour que vous vous taisez ou que vous participez, vous vous en fichez pas mal. Tu lâche un rire à peine discret lorsqu'elle répond à ta question, elle a ce truc qui fait que tout semble meilleure avec elle. Tu hausses les épaules et lâche : « J'pense que ça doit être compliqué d'être plus lourd que lui. » Parce qu'il est bien lourd lui, et encore plus quand il fait des petits silences pour tournez la tête vers vois, comme si ça allez changer quelques chose. Tu t'en fiches, tu fais ça pour tes parents, pour te fondre dans la masse et faire genre que ça t’apporte quelques choses de partager le fond de ta penser avec ces tarés. Alors, avant même qu'il est finit sa phrase : tu te lèves et récupère ta veste. Fais un signe à ce mec, et emporte Lux avec toi. « Ciao, les naze. » dis-tu en claquant la porte derrière toi. « Vient, on va prendre de quoi s'amuser. » Tu la traîne un peu jusqu'au bout du couloir ou se trouve la pharmacie de l'hôpital, grâce à la carte de ton père, tu ouvres la porte sans problème. Histoire de prendre de quoi planer un peu, faire des mix de saveur.
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J'avais un tas de surnom super chouette dans le même genre. Et idiot était probablement était un des plus gentils que j'avais en réserve. C'était toujours mieux qu'Haytam qui avait le droit à gros tas la plupart du temps. Oui, un jour je reverrai mes marques d'affections. Sauf que, rien n'est impossible. Tu veux que j'essai ? Et j'étais complètement persuadée qu'avec un peu de concentration, j'pouvais devenir la personne la plus lourde tout les temps. Sauf que la seule chose que je gagnerais serait probablement trois gifles dans ma tête de la part de Zephyr et réflexion faite, j'avais pas vraiment envie de me faire frapper. Bref, fallait que j'arrête de déconnecter mon cerveau par moment puisqu'un d'un coup, Zeph était debout, moi à moitié à son bras prêt à sortir de la salle. Attends, ATTENDS. J'réouvrais la porte un petit sourire angélique sur le visage, attrapant un cupcakes sur le buffet de la salle avant de repartir en trombe vers la sortie. T'es conscient que je tiens jusqu'au bout pour les gâteaux ? Tu peux pas me priver comme ça. Non, non. Une Lux sans son cupcake, c'était pas une Lux. Quoi que faudrait que je me calme un peu, j'avais un bourelet qui allait pas tarder à dire coucou au jean taille 38. M'enfin, avec lui j'avais l'impression d'être un peu le genre de boulet qu'on traînait partout. La preuve était que je me faisais emmener jusqu'à la pharmacie sans tellement avoir le choix. Tu me conseilles de prendre quoi ? Ouais bah maintenant que j'étais passé si près de la mort, disons que je profitais de la vie dans tout les sens du terme.
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« On va s'en passer. » tu glousses en posant ta main sur son épaule pour lui faire signe de ton départ. Parce qu'il était hors de question de t'abrutir encore la tête une seconde de plus. Elle de suit de bon cœur, mais frêne tes ardeurs pour.. RAMASSER UN CUPCAKE ? Tu ris de plus belle, elle vient juste pour les cupcake sérieusement ? « Le pire, c'est qu'ils sont plein de gras cela. » dis-tu en piquant un peut de la crème qu'il y a au dessus de son cupcake. Un verre c'est cool, mais avec des petits trucs en plus, ça l'est encore plus. Tu ouvres donc la pharmacie grâce au badge de ton cher père et l'invite à entrée au premier. En premier lieu, pour pouvoir le mater cul pendant qu'elle passe, mais aussi, parce que tu devait faire en sorte que personne ne vous voit entrée. Tu refermes donc la porte aussi vite que tu l'as ouvert, et allume la lumière, pour voir la caverne d'ali-baba. « Tu sais la première fois que je t'ai vu, je me suis dit : elle, elle mérite d'avoir un cocktail à la Zéphyr. Et j'ai aussi eu envie de te tâter les seins, mais ça c'est un autre détail. » tu lui fais un clin d'oeil, avant d'ouvrir ton sac à deux, et sors une petite liste. Ce que cette été t'as appris, c'est qu'il ne faut jamais acheter de drogue à un dealer, ils coupent tout le temps ce qu'ils font et ça te fait encore plus triper que d'habitude. « J'ai ici la liste magique pour faire des pilules magiques, il nous faut juste quelques trucs. Mais si t'as besoin de morphine ou de dafalgant sert toi. » dis-tu en remplissant ton sac, jetant des coups d'oeil vers elle, et son fessier de temps à autre.
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C'était un peu comme si je changeais du tout au tout. Parce que clairement, prendre des drogues, voler es produits dans un hôpital c'était absolument pas le genre de chose qui me ressemblait. Bien sûr, j'avais toujours croqué la vie à pleine dents. Mais j'étais pas non plus réellement dans l'excès. Disons que j'passais beaucoup de temps à rire, à raconter n'importe quoi et à faire subir au monde mes pires maladresses mais là, peut être que je dépassais légèrement les bornes. J'savais pas trop en fait. Mais j'avais besoin de m'amuser. D'repartir du bon pied puisque j'avais frôlé de si près la mort et que je devais me sentir chanceuse d'être encore là. Et ? J'ai le droit de bouffer autant de gras que je veux. Les gros seront à la mode un jour. Que je répondais la bouche pleine de gâteau. Ouais, c'était pas totalement glamour mais c'était moi. Un peu trop nature par moment, pas le genre de fille que les gens avaient tendance à qualifier de gracieuse. Non mais parce que clairement, j'étais un gros tas la plupart du temps, j'rotais en public sans m'excuser et les trucs pas spécialement propre m'faisait rire. Peut être qu'au fond, j'étais un peu un mec. Erf, whut ? J'haussais un sourcil secouant la tête. Tu m'aurais dis de tater les fesses, j'aurais compris. Mais les seins ? Ils sont invisible steuplaît. J'ai l'impression d'être une gamine de huit ans pas évoluée. Sauf que j'ai des poils. Glamour. Exactement ce que je disais. Mais c'était la vérité. J'crois que Dieu, quand j'suis née, il a décidé que j'serais le genre de pauvre meuf qui n'aurait pas le droit à un peu de forme. Résultat, j'étais plate, lisse, tout ce que vous voulez. Mh, j'te laisse faire pour moi. J'veux juste que.. Tu m'fasses planer. A toi de jouer Zeph, montre ce que tu peux faire.
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