JAMES KELVIN WILSON : "Notre amour est incencée c'est juste une histoire de cul " ♫

C’est un après midi de mai plus précisément le 23 Mais 1992 à L’hôpital de New York. Ma mère était une jeune actrice peu connue en se temps là tandis que mon père lui était un de ces hommes jouant avec la bourse. Il fallait être aveugle pour ignorer qu’ils étaient riches.
Depuis tout petit je n’était privé de rien, et comme tout enfants à qui ses parents n’ose rien refuser ou même n’ont surtout pas l’envie de dire non, j’en profitais énormément. Ce fus très dure pour moi lorsque je dût entrer à l’école maternelle puisque bien sur avec mon caractère prétentieux je ne mettais pas du tout préparer à ce que quelqu’un refuse de me lever, de manger ou encore pire juste de parler. Mais bien sur peu à peu je me suis habitué à respecter l’autorité des professeurs mais par contre c’elle de mon père ne m’atteignait pas du tout, plus je grandis et j’oubliai que je devais un énorme respect à mon père et ceci était certainement dû au fait qu’il n’était jamais présent lorsqu’il le fallait.
Mon entrée au collège fut certainement une bonne chose pour cette relation entre moi et mon père puisque chaque matin il me ramenait et le soir venait me recherchait et cela permit de parler ensemble afin de se rapprocher. Mais, un matin il se dépêchât de partir sans me prendre, c’était bien la première fois depuis bientôt quatre ans que je dû partir à l’école sans que se soit lui qu’il m’emmena à ce parking devant l’école. C’est alors, que je pris mon vélo et partit seul, mais arrivé au deuxième carrefour j’aperçus la voiture de mon père devant une grande maison blanche, c’est pour cela que je me rapprochai doucement pour observer à l’intérieur si c’était bien sa voiture. J’aurais peut être pas dû, j’aurais peut être dû par contre continuer mon chemin afin d’arriver à l’école, mais ma curiosité avait était bien plus forte que la raison. Arrivé à moins de un mètre de la voiture c’est là que je vis mon père et l’une de ses collègues entrain de s’embrasser.
Je repris mon vélo à tout de vitesse je partis pour aller rejoindre ma mère et quand j’entre dans la maison elle, elle était avec le voisin, ce voisin qui depuis tout petit venait lors des anniversaires avec tout ces mioches, et lui mon père avec cette femme qui avait plus de dix ans de moins que lui.
C’est à ce moment précis de ma vie que pour moi l’amour était rayer, personne ne m’aurais de tout manière il était certains dans ma tête qu’il n’y avait pas d’amour dans ce monde juste remplis d’hypocrite et de chercheurs de sexe.
Après cette journée où je crus mes parents ne s’aimait plus c’était assez difficile de manger à table avec eux alors, je préférais monter dans ma chambre avec mon assiette les laissant ensemble sans devoir le leur dire pourquoi depuis j’avais cet air si triste car aucun des deux ne savait que j’étais au courant de ces deux liaisons secrète. Quand mon père un matin attendis après moi pour me ramener à l’école je préférai sortir par derrière de la maison afin d’y aller seul ce qui permettait d’éviter tout discutions avec lui.
Puis fut arrivé l’année où il fallait choisir l’université que je voulais rejoindre, et mon père bien sur connaissant énormément de monde puissant, fut tout pour que lorsque je lui dis que je voulais entrer à Harvard que j’y entre.