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calleigh mcdaniel
Fiche d'identité
Nom McDanielPrénom(s) CalleighÂge Vingt ansDate de naissance 31 Octobre 1995Lieu de naissance ProvidenceStatut amoureux CélibataireOrientation sexuelle PansexuelClasse sociale AiséeÉtudes majeures DroitÉtudes mineures PolitiquesChoix de groupe #1 Winthrop HouseChoix de groupe #2 Eliot HouseWINTHROP HOUSE
Si Calleigh a bien appris une chose depuis le début d'année 2014, c'est comment approcher les gens. Qu'ils soient femmes ou hommes, par ailleurs.
Le nombre de ses aventures n'est pas le fruit d'une coïncidence hasardeuse, de mélanges d'ADN qui donnèrent un beau visage sur un bel enfant, mais bien sur les mots qui s'échappent de ses lèvres, lorsqu'il se met à parler.
"La politesse et la galanterie sont les deux premières clés à toutes les portes", que dirait Calleigh. La maîtrise du langage et du vocabulaire donnent également une fondation solide au personnage qu'il se crée à chaque rencontre.
Parce que Calleigh est un personnage.
Calleigh est sociable.
Ou pas tout à fait.
Calleigh est drôle et extraverti.
Enfin, pas exactement.
Calleigh est charismatique.
Précisément.
Calleigh, c'est le jeune homme qui a toutes les caractéristiques du leader, du manager, du beau-parleur. Et en plus de le savoir, il en use avec finesse, que ce soit pour multiplier le nombre de ses conquêtes, ou à des causes plus floues, moins évidentes, de manipulation subtile...
ELIOT HOUSE
A en croire le dossier familial de Calleigh, l'entrée à Harvard était presque une évidence, ou bien alors, une inutile perte de temps. S'il était le personnage d'un film, on l'arrêterait en lui demandant s'il est bien un McDaniel, mais la vérité vraie, c'est que ça ne lui est jamais arrivé.
McDaniel Jennifer est ce qu'on appellerait une "étoile montante" de l'économie. Approchant les cinquante ans, sa carrière a décollé au cours des années deux-mille, lorsqu'elle a commencé à maîtriser les secrets de la Bourse NYSE. Si vous vous rappelez son nom, ou s'il vous semble familier, c'est normal: McDaniel Jennifer a aussi été le point central du 'Scandale de Wall Street' de 2007, et a fait depuis le temps plusieurs apparitions télévisées. Il s'est avéré, selon les médias en tous cas, que c'était en fait un coup monté de la part d'une corporation adverse à celle où travaille justement Shelton Christopher, le père de Calleigh.
Shelton Christopher, sans être à la tête de ladite corporation, dirige plusieurs de ses entreprises, dans ce qu'ils appellent être le secteur PR-073. Il fait également partie du conseil interne, constitué d'uniquement vingt personne à travers les USA, ainsi que du Président, accompagné du Vice-Président. Christopher est l'un de ces cadres dynamique et actif, qui a étudié dans de prestigieuses écoles, sans pour autant accéder à Harvard. Il a eu ce qu'on appellerait une vie fructueuse, si l'on oublie les derniers événements.
Enfin, pour ce qui est de McDaniel Sara, elle était la jeune fille talentueuse et parfaite qui réussissait la vie d'un claquement de doigts. 'Bad luck and damned life'. Calleigh, cependant, lui ressemble sur presque tous les points... la partie conciliante en moins.
Si Calleigh a bien appris une chose depuis le début d'année 2014, c'est comment approcher les gens. Qu'ils soient femmes ou hommes, par ailleurs.
Le nombre de ses aventures n'est pas le fruit d'une coïncidence hasardeuse, de mélanges d'ADN qui donnèrent un beau visage sur un bel enfant, mais bien sur les mots qui s'échappent de ses lèvres, lorsqu'il se met à parler.
"La politesse et la galanterie sont les deux premières clés à toutes les portes", que dirait Calleigh. La maîtrise du langage et du vocabulaire donnent également une fondation solide au personnage qu'il se crée à chaque rencontre.
Parce que Calleigh est un personnage.
Calleigh est sociable.
Ou pas tout à fait.
Calleigh est drôle et extraverti.
Enfin, pas exactement.
Calleigh est charismatique.
Précisément.
Calleigh, c'est le jeune homme qui a toutes les caractéristiques du leader, du manager, du beau-parleur. Et en plus de le savoir, il en use avec finesse, que ce soit pour multiplier le nombre de ses conquêtes, ou à des causes plus floues, moins évidentes, de manipulation subtile...
ELIOT HOUSE
A en croire le dossier familial de Calleigh, l'entrée à Harvard était presque une évidence, ou bien alors, une inutile perte de temps. S'il était le personnage d'un film, on l'arrêterait en lui demandant s'il est bien un McDaniel, mais la vérité vraie, c'est que ça ne lui est jamais arrivé.
McDaniel Jennifer est ce qu'on appellerait une "étoile montante" de l'économie. Approchant les cinquante ans, sa carrière a décollé au cours des années deux-mille, lorsqu'elle a commencé à maîtriser les secrets de la Bourse NYSE. Si vous vous rappelez son nom, ou s'il vous semble familier, c'est normal: McDaniel Jennifer a aussi été le point central du 'Scandale de Wall Street' de 2007, et a fait depuis le temps plusieurs apparitions télévisées. Il s'est avéré, selon les médias en tous cas, que c'était en fait un coup monté de la part d'une corporation adverse à celle où travaille justement Shelton Christopher, le père de Calleigh.
Shelton Christopher, sans être à la tête de ladite corporation, dirige plusieurs de ses entreprises, dans ce qu'ils appellent être le secteur PR-073. Il fait également partie du conseil interne, constitué d'uniquement vingt personne à travers les USA, ainsi que du Président, accompagné du Vice-Président. Christopher est l'un de ces cadres dynamique et actif, qui a étudié dans de prestigieuses écoles, sans pour autant accéder à Harvard. Il a eu ce qu'on appellerait une vie fructueuse, si l'on oublie les derniers événements.
Enfin, pour ce qui est de McDaniel Sara, elle était la jeune fille talentueuse et parfaite qui réussissait la vie d'un claquement de doigts. 'Bad luck and damned life'. Calleigh, cependant, lui ressemble sur presque tous les points... la partie conciliante en moins.
APRÈS LA BOMBE.
« Une quarantaine de morts selon les autorités ; des témoins rapportent des centaines de blessés, dont douze personnes dont le pronostic vital est engagé. 'C'est une tragédie' affirme la directrice, accablée par la nouvelle. Une première, pour un site aussi sécurisé et calme que le campus d'Harvard. » Sur l'une des télévisions de la maison au croisement entre Forest Street et Ivy Street, dans la ville de Providence, une journaliste déblatère avec une panique contenue les événements qui se déroulent à Harvard. Au travers de l'écran à cristaux liquides, ce sont des images d'horreur qui défilent. Des forces d'intervention spéciales qui s'attaquent aux portes fermées, des étudiants en pleurs dans les bras des ambulanciers.
Et plus loin dans la chambre, la sonnerie d'un téléphone qui se répète dans le vide. Il recommence plusieurs heures durant, jusqu'à ce que même les tonalités ne sonnent plus. Correspondant injoignable.
Les minutes passent. Puis ce sont les heures, les jours. Le téléphone patiente pour un appel qui ne viendra pas. Il a l'espoir qu'elle n'a plus de batterie. Il imagine qu'elle n'a pas entendu. Il croit qu'elle est occupée. Puis on lui annonce et à partir de là, il n'y a plus rien.
Harvard: vingt-et-un mille étudiants, quarante morts, et ça tombe sur Sara. Pourquoi ça ?
Combien y avait-il de chances que la talentueuse Sara McDaniel ait fait le voeu d'entrer à Harvard, qu'elle y soit admise et qu'elle reçoive la lettre sans encombre, qu'elle soit ce jour-ci à l'intérieur de l'une des cibles d'un fou armé, sur un campus de plusieurs miles ? Elle était le "1" sur combien de millions ? De milliards ? Quel était le pourcentage, les statistiques qui expliquaient que cela arriverait, mais qu'on les avait volontairement oubliées à cause de leur trop faible importance ?
Tout ce que Calleigh savait à l'instant, c'est qu'elle avait été un numéro ignoré et lui, le dommage collatéral d'une petite faute de négligence. Vous savez ce que ça fait, d'être la victime indirecte d'une connerie aussi infime ? Ça met en rage.
« Une quarantaine de morts selon les autorités ; des témoins rapportent des centaines de blessés, dont douze personnes dont le pronostic vital est engagé. 'C'est une tragédie' affirme la directrice, accablée par la nouvelle. Une première, pour un site aussi sécurisé et calme que le campus d'Harvard. » Sur l'une des télévisions de la maison au croisement entre Forest Street et Ivy Street, dans la ville de Providence, une journaliste déblatère avec une panique contenue les événements qui se déroulent à Harvard. Au travers de l'écran à cristaux liquides, ce sont des images d'horreur qui défilent. Des forces d'intervention spéciales qui s'attaquent aux portes fermées, des étudiants en pleurs dans les bras des ambulanciers.
Et plus loin dans la chambre, la sonnerie d'un téléphone qui se répète dans le vide. Il recommence plusieurs heures durant, jusqu'à ce que même les tonalités ne sonnent plus. Correspondant injoignable.
Les minutes passent. Puis ce sont les heures, les jours. Le téléphone patiente pour un appel qui ne viendra pas. Il a l'espoir qu'elle n'a plus de batterie. Il imagine qu'elle n'a pas entendu. Il croit qu'elle est occupée. Puis on lui annonce et à partir de là, il n'y a plus rien.
Harvard: vingt-et-un mille étudiants, quarante morts, et ça tombe sur Sara. Pourquoi ça ?
Combien y avait-il de chances que la talentueuse Sara McDaniel ait fait le voeu d'entrer à Harvard, qu'elle y soit admise et qu'elle reçoive la lettre sans encombre, qu'elle soit ce jour-ci à l'intérieur de l'une des cibles d'un fou armé, sur un campus de plusieurs miles ? Elle était le "1" sur combien de millions ? De milliards ? Quel était le pourcentage, les statistiques qui expliquaient que cela arriverait, mais qu'on les avait volontairement oubliées à cause de leur trop faible importance ?
Tout ce que Calleigh savait à l'instant, c'est qu'elle avait été un numéro ignoré et lui, le dommage collatéral d'une petite faute de négligence. Vous savez ce que ça fait, d'être la victime indirecte d'une connerie aussi infime ? Ça met en rage.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
Il se souvient aisément des SMS qu'il recevait le seize Janvier, deux ans après l'Affaire Sara. Il se rappelle notamment du petit sourire qui s'est reflété dans l'écran noir de son téléphone portable lorsqu'il a vu la date. Seize Janvier, tiens. La veille de l'anniversaire de sa mort, comme une sorte de malédiction, de fantôme qui revient sur le campus pour se venger qu'on l'ait oublié au milieu d'autres chiens écrasés.
Il n'a répondu à aucun des messages reçu ce soir-là, se félicitant d'avoir repoussé son inscription d'une année. Peut-être était-il alors appelé à plus grande destinée, à plus sombre dessein.
Il se souvient aisément des SMS qu'il recevait le seize Janvier, deux ans après l'Affaire Sara. Il se rappelle notamment du petit sourire qui s'est reflété dans l'écran noir de son téléphone portable lorsqu'il a vu la date. Seize Janvier, tiens. La veille de l'anniversaire de sa mort, comme une sorte de malédiction, de fantôme qui revient sur le campus pour se venger qu'on l'ait oublié au milieu d'autres chiens écrasés.
Il n'a répondu à aucun des messages reçu ce soir-là, se félicitant d'avoir repoussé son inscription d'une année. Peut-être était-il alors appelé à plus grande destinée, à plus sombre dessein.
.1019
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle .1019 et j'ai 18 ans. Je suis français et j'ai connu le forum grâce à Google. Je l'ai trouvé joli et actif alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Ezra Miller comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par des photographes talentueux dont je ne suis que le piteux esclave monteur d'avatars. Je fais environ beaucoup de mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
Mot de la fin ? ▲ Bonjouuuuuuuuuur. Moi c'est .1019, ça fait à peu près un an et demi que j'ai pas RP forum, j'adore dire n'importe quoi et écrire en capslock n'importe quand. J'ai une petite appréhension concernant les forums IRL, étant donné que je n'y ai eu que de mauvaises expériences et même si j'ai l'air d'un obsédé avec mes blagues à deux balles, je le suis pas du tout. Même si là j'ai l'air super sérieux, je le suis absolument pas 90% du temps et si je vous emmerde, faut pas hésiter à me le dire, je mords pas !
Je souhaite ▲
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainé (voir la liste des parrains)
Mot de la fin ? ▲ Bonjouuuuuuuuuur. Moi c'est .1019, ça fait à peu près un an et demi que j'ai pas RP forum, j'adore dire n'importe quoi et écrire en capslock n'importe quand. J'ai une petite appréhension concernant les forums IRL, étant donné que je n'y ai eu que de mauvaises expériences et même si j'ai l'air d'un obsédé avec mes blagues à deux balles, je le suis pas du tout. Même si là j'ai l'air super sérieux, je le suis absolument pas 90% du temps et si je vous emmerde, faut pas hésiter à me le dire, je mords pas !
Je souhaite ▲
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