Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityNAIROS • « Des fois je suis seule, je suis perdue, des remords sur mon passé... »
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NAIROS • « Des fois je suis seule, je suis perdue, des remords sur mon passé... »

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Encore une fois, il était difficile pour moi de me lever ce matin. Je ne savais pas ce que j’avais, je ne savais pas non plus ce que je pouvais faire pour me sentir mieux mais je voulais faire des efforts. Mes papiers pour la fac étant totalement remplis à présent, j’avais cela en moins à penser. Maintenant, j’en venais à espérer que le divorce de mes parents serait vite prononcé pour que je puisse enfin aller habiter chez mon père. Je soupirais doucement. Le réveil était plus que difficile … j’essayais de me sortir du lit, de quitter cette couette si reposante et agréable pour enfin aller en cours. Il fallait bien que je fasse quelque chose sinon j’allais devenir folle. Entre ma situation avec Hadès et les cours qui ne semblaient plus m’intéresser tant que ça, je ne respirais plus. Je décidais donc de traîner un peu, allumant la chaîne hifi pour écouter deux ou trois chansons à la mode puis, je me levais pour aller prendre une douche. Une fois lavée et habillée, je jetais un dernier regard à ma tenue avant d’aller récupérer mon sac et mes clés, me préparant à partir en cours, la tête toujours aussi lourde. Une fois arrivée sur le campus, je me dirigeais vers ma salle de classe, suivant le cours à moitié, comme à mon habitude. J’essayais de noter tant bien que mal ce que disait notre professeur puis, lorsque ce fut l’heure de déjeuner, je sortis de la salle en compagnie de mes camarades de classe, qui m’invitaient gentiment à déjeuner avec elles. Souriant doucement, j’acceptais leur invitation, les suivant jusqu’à la cafétéria la plus proche sans rien dire, me trouvant particulièrement amorphe depuis ce matin. Arrivée à la cafétéria, je pris un peu plus de temps que mes collègues pour choisir si bien que je me retrouvais avec mon sandwich au saumon, seule au milieu de la salle. Dépitée, je me fis une raison et allait m’asseoir dans un coin, à une table pour deux, le nez plongé dans mon téléphone, surfant sur les réseaux sociaux tout en envoyant quelques messages. C’est peut-être pour cela que je ne vis pas Eros assis en face de moi lorsque je m’asseyais à la table. Relevant enfin les yeux de mon téléphone, je le vis en face de moi et je ne pus m’empêcher d’être particulièrement surprise. Ouvrant de grands yeux étonnés, je lui disais « pardon ! je t’avais pas vu en m’asseyant… je suis désolée » avant de faire mine de ranger mes affaires pour partir. Eros et moi, ça n’avait jamais été facile, du moins depuis que j’étais partie il y a de cela deux ans. J’avais encore peur de ce qu’il allait me dire. Rhaaaa … pourquoi j’avais pas regardé avant de m’asseoir, vraiment..
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La première chose qu'il entendu fut les oiseaux chantant dans ce merveilleux paysage vêtu de vert. S'étirant, il prit un moment pour se dégager des bras de Morphée, pourtant si agréable. Il prit un moment pour regarder la fenêtre, déjà ouverte. Cela faisait du bien de se réveiller, une légère brise dans le dos, un soleil accueillant nous invitant à commencer notre journée. Devant cette demande, il ne se fit pas prier et dégagea sa couette afin d'aller prendre une rapide douche avant de reprendre les cours. Tout cela était un leurre, certes, il n'était pas vraiment à Harvard pour le diplôme, étant déjà embauché. Certains le traiteraient même de fou de continuer les cours, considérés comme une vrai torture par beaucoup de monde. Ici, c'était différent. Il était certes obligé d'y rester, sa mission lui en incombant, mais cela valait le coup. Il n'était pas en stress, en pleine recherche vingt-quatre heures sur vingt-quatre, et vivre des journées comme celles-ci lui gonflait la poitrine. Une école, c'est comme un gros concentré de vie. On y a nos amis et nos ennemis aux même endroits, c'est pas magique ? Pour des jours comme celui ci, il se disait que ça valait vraiment la peine.

Ne restant pas plus longtemps sous l'eau chaude, le temps étant chronométré, il en sortit et en profita pour attraper une serviette en chemin. Il resta un vif moment devant ses affaires et attrapa une chemise et un jean. Il n'avait vraiment pas besoin de plus pour une journée de cours, et cela lui sied parfaitement. Maintenant paré pour passer une journée d'étudiant tout à fait normal, il prit tout ce don il avait pour et sorti de chez lui. Il faisait un peu froid, mais cela lui faisait du bien. C'est souriant qu'il arriva en cours, prêt à passer ce qui semblait être une bonne journée. Même les cours c'étaient plutôt bien passé : il ne fut distrait par quoi ce que soit, tel un élève modèle. Ses notes ont toujours été au dessus de la moyenne et on ne se demande pas pourquoi. Il ne se rendit même pas compte que l'heure du déjeuner était déjà arrivé. Enfin ! Il s'en rendit pas compte, mais son ventre commençait à quémander de quoi le rassasié. Ne pouvant refuser cette demande, il pressa de le pas vers la cafétéria. Les différentes odeurs lui mit directement l'eau à la bouche, et pêcha sa nourriture dans ce qu'il trouvait le meilleur. Son plateau plein, il partit s’asseoir sur une table, seule, afin de se sustenter. Malheureusement, la bonne humeur dont il faisait preuve depuis ce matin n'allait pas être éternelle.

En plein dans la dégustation de son plat, une jeune femme s’assit en face de lui. D’habitude, il aurait été content qu'une nouvelle conquête vienne à lui et lui aurait offert tout naturellement la place. Mais là, c'était différent. Ses couverts tout deux retournés sur son assiette, il reconnu le visage de son interlocutrice quand elle releva le visage de son téléphone. Naima. D'un coup, comme ça, un gros flash lui rappela tout ce qu'il savait sur la jeune femme.  Sa journée semblait s'assombrir d'un coup. Celle qui avait lâchement planter son frère sans rien lui dire, ayant ainsi briser son cœur. Eros n'est pas vraiment rancunier à la base, mais quand il a un lien aussi fort qu'avec son frère, ce n'est pas la même chose. Il la détestait et aurait préféré qu'elle ne revienne jamais. Pourquoi était elle là, d'ailleurs ? Pour rebriser son cœur à nouveau ? Jamais cela n'arrivera, et il allait bien faire tout pour. La voyant remballer ses affaires aussitôt que leurs deux regards s'entrecroisa, il eu une idée de génie. Ce n'était pas la plus éthique des méthodes et il se serait arrêter lui même si cela aurait était autre chose, mais rien n'est plus important que sa famille. « Pourquoi tu t'excuse ? Il y a vraiment pas besoin ! Tu peux venir t’asseoir ici, si tu veux. » dit-il, avec un indiscernable faux sourire. Il allait la prendre à son propre jeux, et montrer à son frère qui elle était vraiment. Ce n'était que ce qu'elle méritait, après tout. Elle a oser briser le cœur de son frère, il allait faire de même avec le sien.
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je me sentais particulièrement bête en ce moment même. Même conne pour tout dire. J’aurais pu lever la tête de mon écran, chercher une table vide où m’installer tranquillement, sans gêner personne mais non. Il avait fallu que ça tombe sur lui. ça me rendait totalement malade. Je connaissais Eros depuis longtemps. Depuis le temps où je sortais avec son frère jumeau d’ailleurs. A cette époque, tout était calme et on s’entendait particulièrement bien. Jusqu’au moment où il avait fallu que je quitte le pays pour le divorce de mes parents et là, ça s’était gaté. Depuis, lorsque l’on se croisait sur le campus, Eros était particulièrement distant, froid et inhospitalier avec moi. chose que je comprenais parfaitement. Il voulait protéger Hadès de moi. je m’étais sentie bizarrement troublée, peut-être plus touchée que ce que je voulais admettre et au fond, j’avais eu envie d’aller m’expliquer avec lui, de lui dire la vérité sur tout ça. Je n’en avais jamais eu l’occasion. Je m’attendais à une tornade, à une déferlante qui s’abattrait sur moi en une fraction de seconde mais … non. Rien n’arrivait pour le moment. Je m’apprêtais même à partir, récupérant toutes mes affaires avant de me lever de ma chaise dans le même mouvement. Je ne m’attendais certainement pas à ce qu’il me parle tout à coup. Sa voix était douce, presque gentille et j’ouvrais de grands yeux ébahis en le regardant comme s’il venait de me donner un coup de massue bien placé sur la tête. Il venait de me dire que je n’avais pas besoin de m’excuser ? c’était bien cela que j’avais entendu ? je déglutis difficilement avant de me rasseoir … ou plutôt de me laisser tomber à nouveau sur la chaise. Que devais-je dire ? ou faire ? je ne savais pas. Eros me perturbait. Pas dans le bon sens d’ailleurs. Je me sentais carrément mal à l’aise devant tant d’attentions soudaines si bien que je ne pus que lui répondre un « merci, c’est gentil » prononcé sur un ton doux et presque trop calme. cela ne décrivait pas du tout mon état intérieur actuel. Mon cœur me faisait mal, ma tête aussi par la même occasion et je me sentais particulièrement bizarre. je n’osais pas lui dire que sa réaction en me voyant me rendait particulièrement nerveuse si bien que je me contentais de regarder la table, comme si cela allait m’aider à me concentrer ou à lui dire quelque chose. Je devais me forcer pour rester là. Je savais qu’il m’en voulait toujours et que je n’avais pas pu avoir une discussion correcte avec lui depuis que nous étions revenus à Harvard pour la rentrée. Je devais bien me faire une raison. Eros semblait avoir changé. Je lui adressais alors un sourire doux, reposant mes affaires avant d’ajouter un « je suis contente de te voir, ça faisait longtemps » avant de lui sourire plus timidement. je n’avais pas osé évoquer le prénom de son frère, de peur de le braquer ou de réveiller des souvenirs douloureux pour lui, comme pour moi. je me sentais déjà assez mal à l’aise comme cela, mieux valait ne plus penser à des choses qui pourraient me mettre encore plus nerveuse que cela. Déglutissant doucement, je plongeais mon regard pour la première fois dans le sien, lui demandant « tu vas bien ? » d’un ton toujours aussi doux. Il fallait bien commencer quelque part…
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Un sourire narquois se dessinait dans sa tête. Elle réagissait comme il le voulait, cela allait peut-être être plus facile qu'il n'y pensait. Elle était déjà déboussolée, c'est à peine si elle tenait sur ses jambes. Un choc, ça ouais, c'est sur. Il aurait certainement dans le même cas si les rôles aurait été inversé. Cependant, cela s'arrête à la première impression, car la jeune femme n'est définitivement pas assez prudente, et se jette dans la gueule du loup. Il aurait du faire Théâtre en études mineures, hein ? Son sourire, dans cette situation où ses dents auraient normalement grincer plus que jamais, était chaleureux et accueillant. Pourtant, un volcan bouillonne sévèrement dans son corps, et même si rien le le laisse paraitre, il est bel et bien là. Une rose à tout le temps des épines, comme on dit. Mais c'est plus une expression de meuf, ça.

Malgré son sourire, elle semblait très mal à l'aise. Il leva un sourcil quand il le remarqua, se demandant si elle avait tout de même des suspicions ou pas. Il espérait bien évidemment que non, cela aurait rendu la tache plus ardue. Son ton doux le rassura, lui indiquant que le poisson avait bien été pris dans le filet. Le sourire de son interlocutrice lui en décrocha un. Il paru candide en cet instant, son sourire rayonnant face à elle. Après cet échange, il reprit ses couverts et continua son déjeuner. En en prenant une bouchée, il regarda ce qu'elle avait prise. Un simple sandwich, madame avait-elle perdu l’appétit ? Elle se rendait malade qu'Hadès ne lui soit pas aussi vite retombé dans les bras ? Pauvre petite chatte, elle qui croyait avoir pourtant une proie si facile. Elle avait réussi à trouver son point faible et à prendre son cœur, mais l'a foutu en lambeaux juste après. Malheureusement pour elle, il allait faire de même. La nourriture de la cafétéria ne lui paru jamais aussi savoureuse. Oh, et en plus, elle était heureuse de le revoir ? Lui l'était encore plus, mais pas pour les mêmes raisons. « Moi aussi, j’espérais vraiment te revoir. J'ai peut-être était un peu distant sur le moment, mais... le choc, tu comprend. », dit-il s'en se défaire de son sourire, sauf pour reprendre une bouchée. Il se demandait si sourire autant était naturel, mais autant la mettre à l'aise dès le début, il sera triste qu'elle s'enfuit maintenant.

Un bruit discret provenant de sa parvint aux oreilles du grecque, qui remonta son regard de son assiette jusqu'au yeux de Naima. Si il allait bien ? Oh que oui il allait bien. Tout marchait comme sur des roulettes, l'Elliot semblant vraiment triste de la difficulté à retrouver son amant. Eros voulait définitivement anéantir ses chances de tout ça, ne la voyant que comme une succube empoisonnant son frère. Ils avaient pourtant été amis, à l'époque. « De mon côté, tout baigne ! Côté cœur ou études, je m'en sors plutôt bien. » Il laissa échappa un petit rire, avant d'avaler une autre bouchée. Son assiette était quasiment finie désormais, ainsi il reposa ses couverts dans la même position, libérant ainsi ses mains. « Et toi, du coup ? » Il savait très bien que ce n'était pas du tout le moment de lui demander ça, mais il allait jouer avec elle. Profitant que ses mains étaient libres, il se rapprocha d'elle. Pas lourdement, mais juste pour être plus impliqué dans la conversation. Pas assez pour se faire repérer, en somme.
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J’étais toujours un peu méfiante par rapport à lui, me demandant pourquoi tout à coup, il semblait si enclin à être doux avec moi. je me posais des questions, je me demandais ce que je pourrais bien dire ou faire pour engager la conversation entre nous. Je lui avouais donc que j’étais contente de le revoir après tant de temps passé loin de lui et de son frère. Il me disait qu’il avait aussi espéré me revoir et que s’il avait mal réagi jusque là, c’était parce qu’il avait eu un choc en me revoyant sur le campus. Lui adressant un sourire toujours aussi timide, je déposais à nouveau mon portable et mon sac sur la table comme si je comprenais ce qu’il se passait, comme si je lui faisais légèrement plus confiance qu’avant. Je le voyais sourire, ne préférant rien dire sur ce que je voyais, le laissant manger tandis que je mordais moi-même dans mon sandwich. Je ne savais trop que dire. Manger face à lui après tout ce temps me mettait légèrement mal à l’aise et je ne savais pas comment je devais me comporter devant lui. naviguant sur mon téléphone pendant quelques secondes pour répondre à deux ou trois sms avant de me reconcentrer sur celui qui me tenait compagnie, malgré lui. je déglutis difficilement, continuant de manger avec une lenteur que je ne me connaissais pas. Je lui demandais alors s’il allait bien, m’inquiétant quelque peu de son état de santé avant de me rendre compte que son regard était remonté jusqu’au mien. Mon cœur semblait louper un battement tandis qu’il m’annonçait que tout allait bien de son côté que ce soit pour les études ou en amour. Je restais interdite en entendant sa phrase, me demandant où il voulait en venir et ce qu’il cherchait à me faire dire. Le voyant se rapprocher légèrement de moi alors qu’il me demandait comment cela allait pour moi, je déglutis à nouveau difficilement avant de baisser les yeux pendant quelques secondes. Son regard vif et pénétrant me rappelait celui d’Hadès et j’eus du mal à soutenir son regard, même pendant quelques secondes. Me laissant le temps de digérer cette question, je relevais la tête pour plonger mon regard brillant dans le sien, lui avouant « côté études, ça se passe, tranquille » avant de lui offrir un léger sourire. Je laissais un léger blanc s’installer, ne sachant pas comment aborder le sujet « Hadès » si bien que je me mordis légèrement la lèvre avant de lui avouer « sinon je suis amoureuse de quelqu’un, oui. Mais je sais pas s’il m’aime encore… c’est compliqué… » tandis que ma poigne se resserrait plus fermement contre la fin de mon sandwich. C’était difficile pour moi de parler de son frère, difficile de faire comme si tout allait bien, dans le meilleur des mondes. Je n’avais jamais eu que son frère dans mon cœur, je n’avais jamais pu l’oublier mais je comprenais qu’Hadès puisse m’en vouloir et ne plus jamais vouloir être en contact avec moi. Eros devait aussi être dans le même cas que son frère. J’avais été bête de croire qu’ils ne pourraient pas me soutenir à l’époque. Je soupirais doucement, levant les yeux au ciel avant de lui murmurer « tu sais, je suis vraiment désolée, pour tout… » tandis que quelques secondes plus tard, je replongeais mon regard brillant dans le sien si perturbant.
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