Invité
est en ligne
Invité
mila-rose russell
Fiche d'identité
Nom russellPrénom(s) mila-roseÂge 22 ansDate de naissance 4 novembre 1993Lieu de naissance new-yorkStatut amoureux célibataireOrientation sexuelle hétéroClasse sociale moyenneÉtudes majeures relations internationalesÉtudes mineures économieJob barmaidChoix de groupe #1 cabotChoix de groupe #2 dunsterCABOT HOUSE.
Parce que je suis la femme parfaite. Celle qui sait cuisiner, gérer un foyer tout entier, faire le ménage, aider ses semblables et, en même temps, défendre les droits de la femme ! Bon, évidemment, je dis pas ça très sérieusement. Je ne suis peut-être pas parfaite mais je fais de mon mieux pour être quelqu’un de bien. Et je pense que c’est l’image d’une bonne Cabot, d’avoir soi-même une bonne image auprès d’un peu tout le monde. S’assumer est une chose importante, je pense – c’est ainsi qu’est une bonne femme.
DUNSTER HOUSE.
La détermination est sans doute la clé de voûte d’une bonne Dunster. Et autant dire que j’en ai assez, pour une si petite femme. Je suis assidue et je saurai rendre ma fraternité fière de moi. Je saurai d’autant plus porter leur image au fil du temps. Et oui, parce que la réussite d’études et de la vie professionnelle est la continuité de la vie d’une Dunster, n’est-ce pas ?
Parce que je suis la femme parfaite. Celle qui sait cuisiner, gérer un foyer tout entier, faire le ménage, aider ses semblables et, en même temps, défendre les droits de la femme ! Bon, évidemment, je dis pas ça très sérieusement. Je ne suis peut-être pas parfaite mais je fais de mon mieux pour être quelqu’un de bien. Et je pense que c’est l’image d’une bonne Cabot, d’avoir soi-même une bonne image auprès d’un peu tout le monde. S’assumer est une chose importante, je pense – c’est ainsi qu’est une bonne femme.
DUNSTER HOUSE.
La détermination est sans doute la clé de voûte d’une bonne Dunster. Et autant dire que j’en ai assez, pour une si petite femme. Je suis assidue et je saurai rendre ma fraternité fière de moi. Je saurai d’autant plus porter leur image au fil du temps. Et oui, parce que la réussite d’études et de la vie professionnelle est la continuité de la vie d’une Dunster, n’est-ce pas ?
APRÈS LA BOMBE.
Ce jour-là, j’ai eu la chance (dieu merci) de ne pas être sur le campus. J’étais rentrée chez mes parents, à New-York, pour l’anniversaire de mon père. Pour tout vous avouer, j’ai été choquée, blessée moralement de ce qui a pu arriver aux étudiants. Je crois que si les attentats s’étaient passés ailleurs… je l’aurais pas ressenti de la même façon. Sans doute aurais-je été détachée. Mais là, c’est impossible de se dire qu’il ne s’est rien passé ou que ce n’est pas grave alors que lorsqu’on revient, on peut constater tous les dégâts. Quand je parle de dégâts, c’est à la fois physique et mental… Je me suis montrée présente pour ceux qui en avaient besoin, même ceux que je ne connaissais pas. C’est dans ce genre de moment qu’il faut se serrer les coudes et se montrer humain.
Ce jour-là, j’ai eu la chance (dieu merci) de ne pas être sur le campus. J’étais rentrée chez mes parents, à New-York, pour l’anniversaire de mon père. Pour tout vous avouer, j’ai été choquée, blessée moralement de ce qui a pu arriver aux étudiants. Je crois que si les attentats s’étaient passés ailleurs… je l’aurais pas ressenti de la même façon. Sans doute aurais-je été détachée. Mais là, c’est impossible de se dire qu’il ne s’est rien passé ou que ce n’est pas grave alors que lorsqu’on revient, on peut constater tous les dégâts. Quand je parle de dégâts, c’est à la fois physique et mental… Je me suis montrée présente pour ceux qui en avaient besoin, même ceux que je ne connaissais pas. C’est dans ce genre de moment qu’il faut se serrer les coudes et se montrer humain.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
Cette fois-ci, j’ai flippé. Je crois bien ne jamais avoir eu aussi peur. On n’arrêtait pas de parler de toutes ces agressions, tous ces viols pendant des semaines ; ça m’a rendue malade. J’ai fait mon possible pour ne pas mettre un pied dehors pendant une semaine, puis je me suis dit que vu tout ce qui se passait, ça ne servait à rien. De toute façon, arrêter de vivre n’est pas la bonne solution, n’est-ce pas ? La prudence, oui. J’ai évité de me déplacer seule, ça me semblait être la meilleure solution. J’ai fait mon possible pour rester auprès de mes amis – de toute façon, ils avaient bien remarqué mon niveau de trouille. Puis le 17 janvier, vers les coups d’11h : ma pire idée. Mon estomac criant famine, j’ai décidé d’aller mettre les pieds au Mcdo, où je me suis vite retrouvée prise au piège par un gars armé… A deux doigts de me pisser dessus, mes larmes ont coulé jusqu’à desséchement total (presque). Et ce pendant plusieurs semaines après l’agression. Je n’ai plus su quoi faire, je suis restée clouée au sol, la main sur l’arrière du crâne, le visage aplati contre le carrelage du Mcdo. Je me suis faite la plus petite possible et j’ai tenté d’être quasi-invisible pour que l’agresseur m’oublie… ça aurait presque été le cas, mais c’est pas trop possible dans ce genre de situation. Je dois avouer que même avoir consulté une psy pendant des mois, il m’arrive encore de me réveiller la nuit en sanglotant après avoir une nouvelle fois rêvé de cet horrible instant.
Cette fois-ci, j’ai flippé. Je crois bien ne jamais avoir eu aussi peur. On n’arrêtait pas de parler de toutes ces agressions, tous ces viols pendant des semaines ; ça m’a rendue malade. J’ai fait mon possible pour ne pas mettre un pied dehors pendant une semaine, puis je me suis dit que vu tout ce qui se passait, ça ne servait à rien. De toute façon, arrêter de vivre n’est pas la bonne solution, n’est-ce pas ? La prudence, oui. J’ai évité de me déplacer seule, ça me semblait être la meilleure solution. J’ai fait mon possible pour rester auprès de mes amis – de toute façon, ils avaient bien remarqué mon niveau de trouille. Puis le 17 janvier, vers les coups d’11h : ma pire idée. Mon estomac criant famine, j’ai décidé d’aller mettre les pieds au Mcdo, où je me suis vite retrouvée prise au piège par un gars armé… A deux doigts de me pisser dessus, mes larmes ont coulé jusqu’à desséchement total (presque). Et ce pendant plusieurs semaines après l’agression. Je n’ai plus su quoi faire, je suis restée clouée au sol, la main sur l’arrière du crâne, le visage aplati contre le carrelage du Mcdo. Je me suis faite la plus petite possible et j’ai tenté d’être quasi-invisible pour que l’agresseur m’oublie… ça aurait presque été le cas, mais c’est pas trop possible dans ce genre de situation. Je dois avouer que même avoir consulté une psy pendant des mois, il m’arrive encore de me réveiller la nuit en sanglotant après avoir une nouvelle fois rêvé de cet horrible instant.
ITEM LIBRE.
› Métisse américano-vietnamienne.
› Cheveux décolorés à profusion.
› Petite et svelte : du haut de son mètre 51, sa poitrine ne dépasse pas le bout de son nez et son fessier ne ressemble pas à une table de chevet.
› Métisse américano-vietnamienne.
› Cheveux décolorés à profusion.
› Petite et svelte : du haut de son mètre 51, sa poitrine ne dépasse pas le bout de son nez et son fessier ne ressemble pas à une table de chevet.
klsh
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle klsh et j'ai 20 ans. Je suis française et je connais le forum depuis sa création. Magnifaïque alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise amy pham comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par moi-même. Je fais environ 200-500 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
Mot de la fin ? ▲ Je reprends le rp après un an, soyez indulgeeents :rvmp:
Je souhaite ▲
adhérer un flood d'intégration (?)
Mot de la fin ? ▲ Je reprends le rp après un an, soyez indulgeeents :rvmp:
Je souhaite ▲
adhérer un flood d'intégration (?)
(Invité)