THEO O'HURN ► Lucas Bernardini

Mon nom à moi c'est Theo O'Hurn mais bien des gens le savent déjà, je suis à la France ce que les Karshian sont aux États-Unis, un fils de. Né un Jeudi 2 Septembre en 1993 d'un père politicien et d'une mère scientifique, le nom de mes ancêtres est inscrit sur les fondements de la Tour Eiffel.
Je pourrais vous raconter mon histoire, comment j'en suis arrivé là, comment ma famille à fait fortune et ainsi de suite mais cela a-t-il vraiment de l'importance pour vous ? Ce que vous souhaitez savoir en  réalité c'est ce que les tabloïds Français ont déjà vomit à maintes et maintes reprise dans leurs papier merdiques n'est-ce pas ? Mes innombrables frasques, mon arrogance légendaires, mes consommations illégale et mon goût pour le bois de Boulogne, pas vrai ? Si seulement c'était le résumé de ma vie, qu'il y avait un point finale à la fin de cette phrase, tout serait beaucoup plus simple. Mais puisque c'est ce que vous voulez, alors allons y.

J'ai grandit dans le 16ème arrondissement dans un appartement terrasse sur les toits de Paris, avec une cuillère en or dans la bouche, ne nous cachons rien. Je n'ai rien demandé, cette vie s'est imposée à moi, même si je comprendrais votre jalousie et j'en jubile. Voulez-vous que je m'en plaigne ? Non merci, pourquoi faire ? Je passe mon tour et vous laisse la main, vous aurez surement plus de matière que moi saleté de provinciaux. L'histoire est classique, je suis l'ainé de deux enfants, il y à ma sœur et il y a moi. Nous somme les progénitures d'un couple « heureux » mais peu disponible. C'est une habitude à prendre, pas une fatalité. Nos parents sont ce que l'ont peu décrire comme des gens bien. Baignés dans les mondanités parisiennes mais demeurant humble, du moins si on les compare à la population de la classe sociale dont nous faisons partie. Je n'y voit pas grand intérêt personnellement, l'humilité n'est pas une qualité dont j'ai hérité et je n'en suis pas déçu. Mes parents ont toujours eu de grandes ambitions pour moi, mais la seule ambition que j'ai toujours souhaiter poursuivre c'est de faire bonne usage du compte en banque qu'on m'avait léguer. Mes parents étant des gens discret et apprécié du peuple d'en bas, j'ai vite fais la une des journaux par mon exubérance. « Theo O'Hurne saccage une chambre d'hotel », « l'héritier O'Hurn refuse de prendre une photo avec une jeune autiste », « O'Hurn fait encore des siennes », « Nouvelle affaire de prostitutions chez les O'Hurn ». Dieu, ce que tout cela à pus me fatiguer. Vous y voyer de l'arrogance, j'y voit un jeune homme qui profite de la vie et qui voudrait qu'on lui foute la paix. Une chambre d'hôtel saccagé ? Oui et alors, ma famille à versé de quoi rebâtir une suite prestige. Une photo refusé ? Expliquez-leur que des flashs incessant après 24 heures d'insomnies et quelques 5 litres de bourbons ingurgités, n'est pas quelque chose d'agréable et pour finir des prostitués ? Qui y a-t-il de mal à contribuer à l'amélioration de la vie de cette minorité ?  
Alors quoi, vous voulez des frasques et de quoi animé vos petites vies miséreuses et bien voilà ma vie dans ses grandes lignes. Mes parents ont vite été dépassé et se sont mordu les doigts d'avoir fait l'impasse sur mon éducation, ils ont commencé à s'en vouloir et à me regarder comme un ovni. Que répondre ? Qu'il est trop tard, bien sur et que ce n'est pas non plus une fin en soit. Oui ce n'est pas bien glorieux, c'est certains, mais ça ne changera pas le cour du monde. Je n'ai pas pour intention de construire de chambre à gaz ou bien de me coller une ceinture d'explosif autours de hanches. Non, alors continuez donc à perdre votre temps à me regarder avec dédain, je vais faire usage du miens pour me casser sur un yacht à la Barbade.

Mais assez parlé de mes escapades océanique, ce que vous voulez savoir à présent c'est ce que je fou là, à Cambridge dans l'université à la meilleure renommée mondiale ? Et bien il à été jugé par mes paternels et leurs agents qu'un asile outre-atlantique de quelques années me et leur ferait le plus grand bien. Je n'ai pas été contre l'idée, après tout pourquoi pas. J'ai donc emprunter le jet de mon père et ai atterrit ici il y a de ça 3 ans. Il me reste encore 2 ans au moins à tirer, je ne sais pas encore si je rentrerais à Paris après ça, je me sens plutôt bien ici, mais on verra bien ce que l'avenir nous dira.