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Everything Has Changed ✰ charlie

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All I know is you held the door end you'll be mine and I'll be yours. All I know since yesterday is everything has changed

Tu as croiser le père de Charlie au blackfriday. Tu pensais être chanceux, éviter une discussion génante et te faufiler entre les mères de familles en fury prête à  se couper un bras pour avoir le mixer à moitié prix. Mais il a eu raison de toi, comme toujours d'ailleurs, monsieur Harrington avait ce don d'avoir tout le monde à sa merci, comme un chasseur qui serais capable d'attraper n'importe quel gibier même si il s’efforce de se camoufler. Il ne t’apprécier pas quand vous étiez enfant, et pourtant il t'avais pris de côté, entre les soutient gorge demi-tarif et les verre deux pour le prix d'un pour demander des nouvelles de sa fille. À sa grande surprise, vous étiez tout deux dans l'ignorance total quant à la vie de Charlie. Il fût d'ailleurs surpris et fit un visage que tu n'avais jamais vu au par avant : de l'inquiétude. Si toi tu ne sais pas, alors qui le sait ? Avait-t-il dit dans un rire. Il finit par te relâcher lorsqu'une petite brunette fit son apparition les bras remplis d'objet, elle te salua et tu fit de même poliment. Sur le chemin du retour, tu avais cette étrange sensation. Zéphyr et Charlie étiez inséparable. Le mot amitié était graver sur vos chair. Et à présent qu'en est-il ? Les promesse envolé, les : je serais toujours là pour toi partit à la trappe, les toi et moi c'est pour la vie s'envole vers les autres promesse briser que d'autre crétin vivant l'un pour l'autre ce sont fait. Une fois rentrée, tu as décide de laisser la rancœur de côté. Sur le chemin, tu avais pris la boîte de biscuit préféré de Charlie. Pas besoin de lui parler, ni de s'expliquer pour cette longue absence, tu irais juste à la Quincy House, déposer ça dans son bureau et quitter les lieux. Un geste anonyme et altruiste qu'elle pourrais apprécier. Bien sur, tu savais ou elle vivait, et ce qu'elle faisait, mais c'était le genre d'info qui ne ferais qu'enrager son père, et ce n'est pas l'esprit que tu avais aborder en venant à New york pour les fêtes. Tu voulais juste : être gentille. Chose très étrange et plutôt suspecte de la part de Zéphyr Van Der Machin chouette. Comme le stipuler ton plan, tu es donc rentrée dans la quincy house avec ta boite à la main, faisant un coucou à Palmyr par la même occasion et poser la boîte sur le bureau de Charlie, en espérant ne pas la trouver.
ZARLIE    
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Un sac plein de décoration de noël à la main, mon sac à dos chargé de bouquin de cours sur le dos, je traînais des pieds jusqu'à la porte d'entrée de la confrérie, l'ouvrant maladroitement, manquant de vider le contenu de mon sac par terre tant il était rempli à ras-bord. Palmyr était dans le salon, devant la tv, je la saluais, venant poser le sac de déco de noël sur la table basse, annonçant que j'avais ramené plusieurs guirlandes lumineuses mais que malheureusement étant au fond du sac, je n'étais plus certaine qu'elles fonctionnent à présent. Après avoir plaisanté quelques minutes avec la jolie blonde, j'abandonnais mon sac plein de guirlande et rejoignais le bureau réservé à la présidence de la maison. C'était là où l'on rangeait tout, des factures en passant par les archives de tout les events organisés par la maison, ainsi que les coupes gagnés par cette dernière. C'était à présent le bureau de Nevada puisqu'elle était présidente, mais c'était aussi un peu le mien étant sa suppléante. Je dois bien avoué que l'idée d'avoir un coin à moi dans cette maison me rendait terriblement heureuse. Plus besoin de m’enfermer dans ma chambre à la colocation ou d'aller à la bibliothèque, je pouvais venir m'installer ici pour bosser tranquillement et être entouré de mes orange préféré. Je poussais donc la porte du bureau tout en retirant mon sac de mon dos. Je tombais alors nez à nez avec Zephyr. Je m'arrêtais net, alors que la porte se refermais lentement derrière moi dans un vieux grincement. Ça faisait une éternité que je n'avais pas revu sa petite tête brune. Il n'avait pas changé, enfin presque pas. J'avais envie de lui sourire, de le prendre dans mes bras, de lui dire qu'il m'avait manqué, mais une par de moi m'en empêchait. Il avait coupé les ponts avec moi, qu'il avait décidé du jour au lendemain de m'ignorer, de m’éviter... C'était donc tout naturellement que je lui en voulais un peu et étant du genre rancunière, je n'avais pas oublié toute les fois où j'avais laisser des messages sur son répondeur sans réponse, où je lui avais donner rendez-vous et qu'il n'était jamais venu... J'avais finis par abandonner, me figurant qu'il ne servait à rien de s'acharner, je n'allais pas passer ma vie à attendre quelqu'un qui ne voulait pas me voir, j'avais mieux à faire. La porte vint enfin heurter son montant dans un petit claquement et ce bruit me sortir de mes pensés. « Qu'est ce que tu fais là ? » dis-je d'une petite voix. Je secouais légèrement la tête avant de passer à coté de Zephyr, faisant le tour du bureau pour venir poser mon sac dessus. Je notais alors une boite de biscuit posé sur le meuble en bois verni. Mes préférés en plus et pourtant pas une seconde l'idée qu'il soit venu pour me voir et m'offrir des biscuit ne me traversa l'esprit. Non je me dis tout naturellement qu'il était là pour voir Nevada, puis qu’après tout, c'était elle la présidente, c’était plus son bureau que le mien.  « Si t'es venu pour voir Nevada, elle ne passera que ce soir, elle est vachement occupée. » Dis-je simplement, d'un ton neutre. Je regroupais rapidement les papiers qui traînaient sur le bureau avant d'en faire un tas bien propre pour les poser dans un coin, puis je reposais enfin mes prunelles bleu sur le jeune homme, évitant de sourire, mais évitant également d'avoir l'air trop froide.

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Ça aurait pu être rapide, et efficace, comme lorsqu'on enlève un pansement. Elle serait rentrée, vu la boîte, vu le gros signe New York et le même ruban dans lequel son père emballais toujours ses surprises, elle aurait lu le mot sous le couvercle et se serait-dit qu'un ange gardien veiller sur elle quelques part. Pas d'affrontement, pas de tension, juste une bonne action fait dans l'ombre pour une amie de longue date. Mais le destin t'encule, tu le sait bien Zéphyr, non ? Le destin, il te chie dessus, et moi je suis là pour te rappeler qu'un de tes plans ne marche jamais et avec le destin on a fait un deal pour que ta vie sur terre soit un bordel pas possible. Alors au lieu de te la couler douce, en mode Joséphine l'ange gardien, tu te retrouve nez à nez avec la dite blonde. « Je.. je » tu n'arrives à rien sortir de ta bouche. Ça faisait longtemps que ça ne t'était pas arriver, avoir une tonne de chose à dire, une dizaine de chose à débattre et au final, rien ne sors de ta bouche. Elle nettoie un peu le bureau, et te parle de Nevada. Il te faut une vingtaine de seconde avant de te rappeler, qui est Nevada, tu été beaucoup trop absorber par ses longues fine jambes, on dirait des frites, et j'adore les frites. « Je ne sais pas du tout qui est Nevada. » dis-tu simplement. Parce que c'était le cas, on s'en fou de Nevada, on est là pour elle. Elle était plus grande que toi maintenant, de quelques centimètres à peine alors qu'enfant tu la dominer de deux tête au moins, ses cheveux sont toujours de ce blond parfait qui ressemble à des feuilles d'or délicatement poser sur un tapis de soie et ses yeux d'un bleu comparable à la profondeur de l'ocean atlantique. Par là j'entends que si on va jusqu'au milieu de l'océan atlantique, qu'en plongée la tête la première et qu'on se laisse couler, on voit se bleu là avant de mourir. Tu restes inerte à la scruter de haut en bas, avant que sa voix ne te fasse redescendre. « J'suis aller à New York pour Thanksgiving. Et j'ai vu ton père, il m'a dit de te remettre ça et te souhaité de bonne fête. » c'était faux, c'était toi, et il n'a jamais dit ça, même pas toi, il t'as juste tapoté l'épaule et s'est fondu dans la masse New Yorkaise déchaîner. « Il m'a demander comment tu aller, et je n'en avait aucune idée. J'me suis dit que je suis vraiment un ami de merde. » tu pousse le siège se trouvant près du bureau et tu t'assoie ne face d'elle.

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Il restait planté devant le bureau, bégayait un peu, je rangeais quelques papiers, avant de planter mes yeux dans les siens. Il avait l'air terriblement mal à l'aise, c'était mignon, mais quelques part ça m'agaçait, sachant que c'était de sa faute si ces retrouvailles étaient si awkward., puisque c'était lui qui avait mi fin à notre amitié du jour au lendemain. Je retirais mon manteau pour le pendre au dossier de ma chaise avant de m'installer sur cette dernière, vidant les livres que j'avais dans mon sac. Zephyr m'avoua ne pas savoir qui était Nevada et je relevais la tête dans sa direction presque immédiatement. « C'est la présidente de la Quincy », répondais-je calmement. Il reprit alors la parole, expliquant être allé à New York pour Thanksgiving et y avoir croisé mon père. Il poursuivit affirmant que ces gâteaux était de la par de ce dernier et qu'il me souhaitait de bonnes fêtes. Il m'avait coupé les vivres, il m'avait délibérément renié pour la plus stupide des raisons et voilà qu'un ans après, il envoyait Zephyr, qu'il détestait, pour me remettre un boite de gâteaux ? Tout ça me semblait totalement improbable. Déjà pourquoi mon père voudrait m'offrir quelques choses alors que depuis septembre 2014 il refusait de me parler ou de me voir ? Et ensuite : pourquoi est ce qu'il aurait ne serait-ce qu'adressé la parole à Zephyr ? Il n'avait jamais pu le blairer ! « J'ai un peu de mal à y croire... » avouais-je en me pinçant les lèvres. Le jeune homme ajouta alors que mon père lui avait demandé comment j'allais et qu'il avait alors réalisé qu'il n'en avait aucune idée et que par conséquent ça faisait de lui un mauvais ami. J'échappais un petit rire sarcastique avant de marmonner : « ça fait bien longtemps qu'on est plus amis... » Je me raclais ensuite la gorge, reposant mon sac vide par terre, poussant ma pile de livre sur le coté du bureau, avant de prendre celui en haut de la pile pour l'ouvrir devant moi. « Tu pourras dire à mon père que je vais bien. » lâchais-je, sans relever les yeux de mon bouquin. J'espérais quelques part que le fait que j'aille bien puisse faire culpabilisé mon père, le faire regretter d'avoir gâcher notre précieuse relation père/fille. Après tout il m'avait coupé les vivres pour me punir d'avoir rejoins la Quincy House. Et aujourd'hui : j'en étais la Vice-Présidente. C'est donc bien que ça punissions n'avait en aucun cas entacher ma détermination à faire partie de cette confrérie. Bon après lui dire que j'allais bien était à la limite du mensonge : j'étais malheureuse en amoure, j'avais passé un an à utiliser les économies que j'avais sur mon compte et à l'approche de noël j'allais me retrouver dans le rouge à coup sur et ce pour la première fois de ma vie... bref 2016 s'annonçait vraiment difficile financièrement et j'allais enfin sentir les conséquences de cette fameuse punissions. Mais tout ça : je le gardais pour moi, je ne voulais en aucun cas lui donner la satisfaction d'apprendre que j'allais galérer par sa faute l'année prochaine. Je relevais enfin la tête de mes bouquins, esquissant un faible sourire à l'égard de Zephyr : « Tu peux garder les gâteaux. »Dis-je d'une voix douce. Puis je posais brièvement les yeux sur la boite, sentant mon estomac se noué en me rappelant du goût de ces fameux biscuits que je n'avais pas manger de puis plus d'un an. « Ou alors tu me les laisses, mais lui dis que je n'en ai pas voulu... » ajoutais-je, laissant clairement parler mon ventre. « Vu qu'il t'as toujours détesté et que c'était réciproque... tu peux bien lui mentir pour moi. » ajoutais-je reposant mes prunelles bleu sur le jeune homme, un petite sourire innocent sur les lèvres. Dire que je m'étais juré de lui en vouloir et voilà que pour quelques gâteaux je lui faisais presque les yeux doux.

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Ah bon ? Bon à savoir, étant donner que tu ne t’intéresse pas du tout aux maisons, ni à leurs dirigeant. C'est la raison pour lequel tu avait décider de quitter la whintrop house, deux jours à peine après ton arriver dans la maison. « Oh. J'avais jamais entendu parler d'elle, mais merci, ça me feras de la culture générale. » dis-tu en secouant positivement la tête. Mais tu n'es pas là pour avoir un cours de culture g, à vrai dire tu l'avais déjà eu jadis et t'avais abandonner, et c'était sûrement pas pour reprendre, même avec Charlie en professeur. Tu étais là pour recoller les morceaux, essayer de réparer les choses qui se sont briser par ta faute dans le passer et prendre de ses nouvelles, surtout prendre de ses nouvelles en fait. Parce qu'il est très peu probable que tu arrives à remettre les choses en ordre. Ça devait se faire par étape, d'abord la boîte de biscuit, puis se croiser à des fêtes, puis recoller les morceaux pas à pas, mais le destin sait ruiner tes plans et faire en sorte que tu fasses toujours cinq pas au lieu d'en faire un. Tu te retrouves donc, nez à nez avec elle, sans savoir comment agir, ni que faire, ni comment se comporter pour que la situation ce ne soit pas étrange et inconfortable. « Moi non plus. J'étais au black friday avec mes parents et il y était aussi. A ma grande surprise il est venu me parler. Sans ta présence ça faisait bizarre, alors j'ai fait comme toujours : je l'ai regarder parler et j'ai secouer la tête en guise de réponse. » ce que tu as toujours fait depuis toutes ses années, le père Harrington avait le don de te mettre mal à l'aise, en sa présence tu restes toujours muet et discret et dans la plus par du temps, tu attendais qu'il quitte la pièce avant de pouvoir respirer correctement. « C'était un coup de chance qu'il arrive à me chopper entre les femmes de foyer enragé. Je ne pense pas aller lui rendre visite d'aussitôt, alors je lui ai juste dit que tu été vice-présidente de la maison que tu as intégré. » ne sachant rien d'autre sur la vie de charlie, c'est ce que tu t'es contenter de dire. Les sourcils du père ce sont hausser à se moment là et il a secouer la tête à son tour, ne sachant pas comment réagir. D'après ce que tu avais pu comprendre, ils avaient couper les ponts et le premier problème c'était la quincy house, hors elle en était vice-présidente maintenant. Ce qui fait quand même cool sur un cv de savoir qu'on peut géré une maison d'une bonne trentaine de personne, tout en réussissant ses examens haut la main. « Il a hausse la tête et a dit que c'était bien, il avait ce même regard que quand tu as décider de prendre médecine. » dis-tu en prenant place sur le siège en face d'elle. Ils sont pas comme vous les Harrington, si un de tes papas s'engueule avec toi, il est capable de venir jusqu'à ton appartement pour venir en parler, ou te convoquer pendant une opération à cœur ouvert pour parler de vos problèmes devant les internes et les infirmières, c'est pour ça que tu évites toujours le conflit avec tes pères. Tu adresses un sourire amuser à charlie lorsqu'elle te demande de mentir à son père, okay, pas de soucis, ce ne seras pas la première fois que tu ment pour charlie. Ni la dernière, si les choses se passe bien. « j'essaierais de me taire, tu sais que j'ai toujours sût garder les secrets. » dis-tu en fermant ta bouche avec tes doigts, et faisant genre de jeter la clés ensuite. « Si tu me donne un biscuit, celui au chocolat, c'est mon préféré. » dis-tu en te penchant sur la boîte à l'attente qu'elle l'ouvre, pendant tout le trajet tu as été tentez d'en manger un ou deux, avant tu le faisait toujours et elle ne le remarquer jamais. Il lui arriver même de penser qu'ils oubliaient à chaque fois de lui mettre ceux au chocolat. « J'pense que tu devrait rentrée un peu pour les fêtes de fin d'année. Essayer de renouer avec New York, et voir comment ton père se porte. Il sors avec quelqu'un je crois, une brunette pas très grande avec une petite voix, je n'ai aucune idée de comment elle s'appelle par contre. » tes yeux ce pose sur elle, et sur cette air qu'elle a toujours quand la discussion commence à devenir sérieuse, tu ne sais pas trop par où commencer cette réconciliation. Faut-il que tu t'excuse ? Ou juste que tu lui prouves que rien n'as changer, parce que dans ton cœur : rien n'as changer. Cette flamme qui brûler sans cesse pour charlie continue à bruler. « Tu devrait venir avec moi ? Mes parents sont toujours content de te voir. » toujours oui, les van der woodson aime charlie comme la fille qu'ils n'ont jamais eu. Entre temps, il y a eu luna bien sur, mais charlie a trôner pendant trop longtemps pour que luna la détrone aussi rapidement, aussi petit et mignonne qu'elle soit.
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Il n'avait jamais entendu parler de Nevada. Et en l'entendant me dire ça j'eu comme un pincement au cœur. J'idolâtrais totalement Nevada et entendre l'ignorance de Zephyr m'attristait presque. Que ça vie devait être triste sans Nevada ! Everything Has Changed ✰ charlie 2157042859 Le jeune homme m'expliqua rapidement la situation et j'esquissais, malgré moi, un petit sourire lorsqu'il se décrivit brièvement en face de mon père. Je l'imaginais très bien, hochant timidement la tête, s'arrêtant presque de respirer, jusqu'à ce que mon père ne trace ça route. Il avoua ensuite qu'il ne comptait pas le revoir, ce qui ne m'étonnais pas venant venant de Zephyr, puis ajouta qu'il c'était contenté de dire à mon père que j'étais la VP de ma confrérie. Bon... il ne connaissait pas Nevada, mais savait que j'étais vice-présidente de la QH, il se rattrapait un peu. Il poursuivit, décrivant le regard de mon père, le comparant à celui qu'il avait eu en entendant que j'allais faire médecine. Donc ça devait certainement être un regard de fierté... A moins que ce ne soit ce regard grave, celui qui semble te mettre au défi, celui qui te juge lorsqu'il se demande si tu seras à la hauteur de ses attentes. Enfin bon, quoi qu'il en soit ce n'était pas de la déception et ça : c'était une bonne nouvelle ! En entendant tout ça j'en oubliait presque que j'en voulais à Zephyr.
Il s'installa dans le siège de l'autre coté du bureau et esquissa un sourire lorsque je lui proposais de mentir à mon père pour moi (enfin pour mon estomac surtout). Il accepta sans hésiter, et je retrouvais là le Zephyr qui m'avait tant manqué, celui qui pouvait faire tout et n'importe quoi pour moi, celui en qui je pouvais avoir confiance... ce même Zephyr qui bizarrement m'avait laissé tomber. Il marchanda tout de même, bah oui : son silence avait un prix qui se chiffrait en biscuit au chocolat. « Y'en a aux chocolats ? » lâchais-je. Question rhétorique puisque je m'empressais déjà d'ouvrir la boite pour avoir la réponse. Et oui : il y en avait aux chocolats et mon dieu que ça sentait bon. J'en attrapais un et le lui tendis sans plus attendre.
« Quoi ? Il sort avec quelqu'un ? » j'écarquillais les yeux en entendant ça. Non pas que je sois le genre de fille à papa jalouse qui refuse de voir son père se caser (bon peut-être un peu...) mais c'était surtout que j'avais toujours connu mon père seul. Ma mère nous ayant quitté alors que je n'avais que 4 ans, je ne gardais qu'un très vague souvenir d'elle, ainsi qu'un tas de photos. J'avais du coup toujours connu mon père comme un homme marié à son travail, qui dormait avec une photo de son mariage sur sa table de chevet. L'idée qu'il sorte avec quelqu'un me choquait et me mettait presque mal à l'aise. Je ne l'imaginais tout simplement pas au bras d'une autre que ma mère, c'était impossible. Zephyr me sortit de mes pensés en m'invitant à venir avec lui à New York, m'assurant que ses parents seraient ravi de me voir. C'est sur que c'était tentant : retourner dans ma ville natale, qui me manquait terriblement, passer du temps avec Zephyr qui m'avait lui aussi horriblement manqué et en plus revoir ses parents qui étaient tout simplement adorables... C'était une invitation pour retomber en enfance et j'en mourrais d'envie. J'avais besoin de déconnecter un peu avec la réalité, avec tout mes soucis de cœur, d'argent et les cours. Mais voilà, même si j'avais envie d'accepter je n'en fis rien. « Écoute, c'est une proposition très alléchante, presque aussi alléchante que ces biscuits.. » je marquais une courte pose pour refermer la dite boite de biscuit.« ...Mais tu n'peux pas revenir comme une fleur et faire comme s'il ne c'était rien passé. » poursuivais-je un peu plus froidement que tout à l'heure. Le petit sourire qui était venu illuminer mon visage un peu plus tôt avait disparu : c'était une conversation sérieuse. Je n'avais pas envie de rester fâcher contre lui pour le restant de mes jours, et je n'avais pas non plus envie de faire comme si de rien n'était. Je voulais une explication et que l'on mette les points sur le ''i'' une bonne fois pour toute. « Tu m'as laissé tombé Zephyr. Tu m'as ignoré, du jour au lendemain. T'as fais comme si toute ces années d'amitié n'avait jamais existé. Et maintenant tu débarques, m'offres de biscuit et m'invites à passer les fêtes chez tes parents ? Tu penses pas que c'est un peu gonflé ? » Je restais étrangement calme et ne le quittais pas des yeux. Bien que je voyais là des tonnes de bonne raison pour m'énerver, je n'en faisait rien, parce qu'il était tout simplement trop adorable et que l'idée de lui hurler dessus me brisais le cœur.
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« Toujours, sauf qu'avant je les mangeaient avant de te les offrir. » tu penches ta tête au dessus de la boîte pour sentir l'odeur alléchante des biscuits de nowel. Ceux aux chocolat sont en forme de sapin en plus, tes préférés. La tête de Charlie change de tout au tout, lorsque tu lui annonces que monsieur Harrington n'était plus seul dans son lit. C'était tout à fait compréhensible qu'elle se sente perdue, tu avais la chance de voir tes parents très très très régulièrement, comme si rien n'avais changer en somme, quand tu rentres tout est pareille : ils parlent déco, musique, fashion, parlote sur les autres parents qui sont dans la classe de Luna, toujours eux quoi. Tu n'est jamais rentrée cinq ans après et découvrir que ton père n'est plus gay, qu'il est marier à une prostituer russe et ton autre père partit en Lituanie élever des laitues. « Petite, brune, les yeux pétillants, accent européen, trench coat marrant allant jusqu'à ses genoux, des moufles avec des têtes de chats et elle a réussi à choper le dernier nettoyant visage, avant qu'ils soit en rupture de stock. » dis-tu entre deux boucher de biscuit, et puis c'est tout ce que tu pouvais dire d'elle. Elle t'as adresser un sourire polit et elle a tirer le père Harrington par le bras, avant de disparaître dans la foule. « Si tu veux en savoir plus, il va falloir aller vérifier de toi même. » dis-tu un sourire au coin des lèvres, alors que tu prenez un autre biscuit, en forme de bonhomme de neige cette fois-ci, et au coco il me semble. Et pour je ne sait quel raison, tu lui demande de rentrée avec toi. Va savoir, tu le fais c'est tout, parce qu'elle a sûrement rien d'autre à faire à moins que ses obligations présidentielle lui oblige. Et peut être parce que tu as envie de rentrée avec elle? Tu lèves timidement les yeux vers elle d'ailleurs, pour la regarder se perdre dans ses penser, passant au peigne fin chaque détail et son visage. A ses sourcils soigneusement épiler, à ses yeux bleu, en descendant sur ses lèvres couver d'un léger labello. « C'est ton père qui t'as acheter les biscuits pas moi. » tu t'enfonces dans ta chaise et croise les bras sur ton torse. Ce serais peut être plus simple de lui dire : « en fait je t'aime, charlie. Fin, je pensais t'aimer, mais je sais plus où j'en suis, maintenant, et quand j'te voit, j'nous revoit à huit ans essayant de compter les étoiles les étoiles à travers les rideaux buzz l'éclaire de ma chambre. » mais rien ne sors, tu fronces les sourcils à la recherche de bonne raison, mais mon zéphou y'en a pas. « ça a été une période très difficile pour moi. L'adolescence est différent pour tout le monde et j'pense que j'avais besoin de faire la mienne seul. Mais tu sais ce que tu représentait pour moi à cette époque là, sache que les choses n'ont pas changer pour moi, et que notre amitié est toujours une chose très précieuse, même si. Je suis un ami de merde. » rien n'a changer, je veux que rien ne change, malgré Briony, malgré Palmyr, malgré toutes les meilleurs que tu as pu avoir entre le moment ou tu lui a dit au revoir et maintenant, RIEN N'A CHANGER. « Certaines choses en fait que j'avais besoin de m'éloigner de toi et de tout l'univers que tu englobes, parce que crois le ou non, tu es un univers à toi toute seule. Et j'avais besoin de m'éloigner de ton univers, pour me crée le mien. Et maintenant.. maintenant j'ai besoin de rentrée un peu, chez moi et aussi dans cette bulle qu'on avait. Je sais que je débarque comme ça, que j'aurais pu au moins envoyer un texto ou essayer de reprendre contacte par facebook, mais voir ton lieu de travail, ta maison, c'est un peu comme entrée de nouveau dans ton univers. »  tu te penches vers elle pour capté son attention, son regard, la sentir intéresser par ce que tu dis, des choses réel qui sorte tout droit du coeur-de-zéphyr.
ZARLIE    
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Zephyr s'enfila deux biscuits, je le regardais faire sans dire un mot, l'écoutant m'avouer que je n'avais jamais vu de biscuit au chocolat parce qu'en règle général il les mangeait avant. J'esquissais un sourire amusé. Je ne préférais pas lui en tenir rigueur, il avait au mois l’honnêteté de me l'avouer, même s'il ne le faisait que maintenant. Il se lança ensuite dans une description plus ou moins précise de ce qui, d'après ses dires, était ma futur belle-mère. A sa description j'imaginais déjà une bonne femme avec un look décalé, limite excentrique. Les moufles avec des têtes de chats me laissaient presque imaginer une vieille femme, célibataire endurcie, vivant avec une tribut de félins. Bref … rien qui ne me rassure vraiment. Si ça se trouvait mon père sortait avec une folle ! Mais avec cette description succincte Zephyr piquait ma curiosité. Il fallait que je rencontre cette femme, ou au moins que je la vois de mes propres yeux. Zephyr sauta sur l'occasion pour m’inviter chez lui, et cette adorable proposition fut la piqûre de rappelle qui me fit aborder LE sujet sensible, celui que Zeph' semblait délibérément éviter depuis qu'il avait débarqué dans mon bureau : sa disparition et son silence radio. Il n'était pas question qu'il s'en tire comme ça. Oui il était encore plus beau qu'avant, toujours aussi adorable et il m'avait terriblement manqué ; mais c'était trop facile de revenir avec des gâteaux et de belles paroles. Je voulais des explications, qu'il justifie ses actes. Il commença directement par insister sur le fait que les biscuits était de mon père et je levais les yeux au ciel, agacée qu'il comment déjà à éviter le sujet. Il y eu un court silence et je ne le quittais pas des yeux, le détaillant du regard alors qu'il semblait un peu perdu dans ses pensés, certainement entrain de réfléchir à la réponse que j'attendais tant. Il rouvrit enfin la bouche, évoquant l'adolescence qu'il avait eu besoin de passer seul. C'était une excuse valable, même si l'idée qu'il soit resté seul pendant ces années lycée m'attristait un peu. Toutes ces sorties, ces soirées qu'on aurait pu faire ensemble s'il ne m'avait pas laissé tomber.... Il ajouta que pour lui rien n'avait changé quand à ses sentiments à mon égard, qu'il était toujours mon ami. J'esquissais un faible sourire et hochait lentement la tête lorsqu'il se traita lui même ''d'ami de merde'', je n'aurais pas mieux dit ! « J'aurais pas répondu à tes textos, ni à tes messages facebook donc ça aurait été peine perdu. » avouais-je, à mi-voix. « Du coup je vais être obligée de te pardonner... » j'étais déçus d'être aussi faible face à ses  yeux bleu et de laisser tomber aussi facilement ce que je m'étais jurée de ne jamais lui pardonner. « T'aurais quand même pu m'expliquer, ou me prévenir que tu voulais rester seul. J'aurais compris, je ne t'en aurais pas voulu. Au lieu de passer une soirée de fou avec moi et puis ne plus me parler après ça... » je marquais une courte pause avant d'ajouter: « J'ai cru que c'était de ma faute. » Je me souviens de cette soirée comme si c'était hier. Enfin je m'en souviens pas totalement, parce que c'était ma première cuite, donc il y a certains passages qui restaient un peu flou. Mais c'était de loin la meilleure soirée de ma vie. Zephyr et moi, des bouteilles de vin blanc, dans les rues de New York. Je me souviens qu'on avait marché jusqu'à Central Park et qu'on c'était roulé d'en l'herbe, qu'on c'était une fois de plus promis de rester toujours amis, que j'avais partagé avec lui la souffrance que c'était d'avoir ses règles pour la première fois, qu'on avait longuement regarder les étoiles, puis que j'avais vomis au pied d'un arbre ... Bref une soirée mémorable. Une soirée spéciale, passée rien que nous deux. Ce n'était pas la première, bien que ce soit la première sous les effets de l’alcool. Et à l'époque j'étais persuadée que ça ne serait pas la dernière... Pourtant après ça : silence radio, plus de nouvelles, plus rien. Je fus forcée de me trouver d'autres amis, qui n'égalaient en rien ce lien si spécial que j'avais avec Zephyr. Alors que je me remémorais tout ça, un silence s'installa. Silence que je brisais sans trop réfléchir en lâchant : « Ton père fait toujours aussi bien les spaghettis bolognaise ?  » C'était sorti tout seul, mais c'était certainement ma façon à moi d'enterrer la hache de guerre et d'accepter son invitation.

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« Je n'ai pas choisit d'être seul, c'est la solitude qui m'as choisit. J'avais besoin d'un moment pour réfléchir et me poser les bonnes questions, et la solitude m'as pousser vers lui. Parce que j'en avait besoin. Avec The Mother, l'association contre la maltraitance des animaux, la découverte de ma sœur jumelle, égare quelques part.. C'est toutes ses choses qui ont fait que j'avais besoin d'un moment à moi.. Et rester avec toi ne faisait que repousser le moment ou je devait réfléchir à tout ça. » Tu t'es ouvert, à moitié bien sur, mais il y avait quand même un tiers de vérité dans tout ça. Tu avais besoin de rester seul, mais aussi de t'éloigner d'elle. Ce n'est pas de sa faute. Ou peut être en partit, après tout lorsqu'il s'agit d'un baiser, d'un coup d'un soir ou d'un gamin, il ne peut pas avoir qu'un seul fautif. Alors tu hausses les épaules lorsqu'elle dit qu'elle pensait que c'était la seule responsable, et tu lui adresses un sourire amuser. « La seule chose dont tu es responsable c'est d'avoir mis plein d'éclat de vomit sur mon jean. Je l'ai jeté, heureusement. » Si vous n'aviez pas bue, si vous n’étiez pas aller au centre park, si vous n'aviez pas été bercer par la lumière du ciel et des étoiles, si le destin ne vous avez pas poussez à vous embrassez l'un l'autre, dans une folle étreinte, peut être que rien de tout ça ne serais gênant ? Tu avales un autre biscuit, avant qu'elle ne brise le silence. Sa remarque tu fais gloussait, et quand tu glousses tu fais ce truc bizarre avec tes épaules, genre ils bougent tout seul ou on dirit que quelqu'un te secoue pour faire bouger tes épaules, bref, t'es chelou. « Ils sont devenu 100% végétarien il y a trois ans de cela, je l'étais déjà mais mon père à faillit s'étouffer avec un morceau de steak un jour et ils ont décrété que la viande peut nous tuée. Mais j'suis sûre que pour toi ils seraient prêt à tué une vache laitière. » tu glousses de nouveau, mais c'était vrai, tes parents ont toujours voulue plus qu'un enfant, et quand charlie était là, ça leurs donner l'impression d'en avoir deux, et une fille qui plus est. Ils l'aimais comme leurs enfants et avec le temps ils ont appris a arrêter de te demander de ses nouvelles, jusqu'à ce que cette obsession d'avoir une petite fille donne naissance à Luna. « Ils ont adopté une petite afro-américaine en 2010, j'crois qu'ils avaient vraiment besoin d'une fille. Et j'ai choisit son prénom, comme un gentil grand frère ! J'ai pas chercher loin, je l'ai appeler comme mon personnage préféré dans Harry Potter : Luna Van Der Woodson. C'est pas beau ? » Luna est la petite créature qui vous a réconcilier tes parents et toi. Après que tu es fait un tour en prison à cause de tes actions pour l'association contre la maltraitance des animaux et fait de la pub horrible pour ton père chirurgien, ils étaient à deux doigts de te bannir des Van Der Woodson. « ça avait comme un goût de déjà-vu, je sortait de l'hôpital après avoir déjeuner avec mon père et cette fille venait de laisser son bébé dans un carton entre deux poubelles. Au début j'me disait : elle tris pas ce carton ou il faut, et quand je suis aller déplacer le carton j'ai vu le bébé. La fille était déjà partit, et le bébé dormais profondément.. j'ai paniqué et je l'ai pris à la maison. Ils ont un peu duper la justice avant de pouvoir l'adopté officiellement l'année dernière. Des héros ses Van Der Woodson. » puisqu'elle va rencontré Luna, c'est bien de savoir d'où elle sors. Bien que tu es sûre à 80% que tes parents vont lui raconter de nouveau cette histoire. « Donc tu viens à la maison ? » notre maison, pas seulement la tienne.
ZARLIE    
( MADE BY MOI MEME)  
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« Une sœur jumelle ?! » répétais-je choquée. « Y'a de quoi être choquée, je comprend que t'ai eu besoin de temps pour réfléchir à tout ça. » avouais-je. Soudain je m'en voulais un peu de lui avoir fait la gueule. Ses excuses étaient totalement acceptables et compréhensibles. Enfin de compte il avait certainement eu raison de couper les ponts avec moi, sans quoi il aurait peut-être pété un câble par ma faute. Il eu avait besoin de temps pour analyser toute ces informations, j'aurais dû le comprendre sans qu'il n'ai à me le dire... peut-être que c'était moi la mauvaise amie enfin de compte. Il évoqua ensuite le vomis sur son jean et je ris comme une idiote prenant un air faussement désolée. « Fallait pas rester à coté, je t'avais prévenu. » dis-je sur le ton de la plaisanterie. En réalité, je ne l'avais certainement pas prévenu. Après avoir fait des roulades dans l'herbe j'avais titubé jusqu'à un arbre et il m'avait immédiatement rejoins pour tenir mes cheveux, qui était bien plus long à l'époque. Un vrai gentleman, qui avait sacrifier son pantalon pour m'éviter l'humiliation la plus totale. « C'est dommage j'aimais bien ce jean. » ajoutais-je toujours ce petite sourire nostalgique collé aux lèvres. Ma question au sujet des spaghettis de son père le fit rire, ce qui eu le dont de me faire pouffer de rire aussi. Le rire de Zephyr avait toujours été terriblement contagieux à mes yeux, puis c'était aussi le genre de chose qui me remontais le morale (ça et les chatons!). Il m'avoua ensuite que ses parents étaient végétariens depuis trois ans maintenant, mais qu'ils pourraient tuer une vache pour moi. J'agitais la mains comme pour lui indiqué de laisser tomber : « Spaghettis bolognaise sans viande ça me va aussi ! » assurais-je. Il m'annonça ensuite que ses parents avaient adopté une petite fille en 2010 et mon visage s'illumina presque aussitôt. C'était une super nouvelle. Je savais combien ses parents mourraient d'envie d'avoir une petite fille, et combien il ferait des merveilles pour en élevé une, ayant moi même été chouchouté par les Van Der Woodson. « ça ne m'étonne même pas que tu ais choisi ce prénom ! » avouais-je. « c'est super beau. » Il me raconta ensuite brièvement l'histoire de Luna, son abandon, le moment où il l'avait trouvé, ses parents qui avaient tout fais pour pouvoir l'adopté quitte à flirter avec l’illégalité. Tout ça ne m'étonnais pas venant de sa famille, c'était des gens têtu et terriblement généreux. On ne pouvait tout simplement pas leur dire non et le refus ne faisait pas partie de leur vocabulaire. « Oui je viens. Ça ne me fera pas de mal de revoir New-York en plus. » avouais-je.« Puis.. tu m'as manqué. »

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