we are an epxression of the universe ✰ shae

you're a work of art not everyone will understand you but the one who do will never forget about you

Un retour au source. C'est ce dont tu avait besoin. Tu es donc rester une vingtaine de minutes a regarder ce tableau complètement farfelue de Frida kahlo, à te demander si toi aussi tu ferais mieux de laisser tes sourcils se rejoindre et ton duvet pousser pour enfin réussir à pondre quelques choses. Non pas que la plume de la fabuleuse Dumbelrosie soit sec, mais les fans commencer à se lasser des mêmes histoires entre Ron et Hermione. À un moment, tu t'es prèsque demander si Harry Potter n'avait pas fait son temps, avant de t'auto-donner une baffe. C'était dure de penser à coment est-ce que Frida mono-sourcil avait utiliser comme peinture pour que son premier plan soit plus leger que son deuxième plan. Terme technique d’histoire de art aight. Lorsque ton ésprit était tout à fait ailleurs. Ton esprti était sur facebook, enfin ce matin, quand t'étais sur facebook t'as reçu une notification de souvenir pour te rappeler ce qui s'est passer à la même date et surprise mother fucker, ça fait un an exactement que tu as commencer à stakler Shae Conroy-Williams. Et un an exactement que son regard à croiser le tien autour de la table ronde des nemesis, un an exactement que tu t'es amuser à aimer toutes ses photos sur instagram et un an exactement que vous étiez sur le point de devenir Shalaska. Mais tu essayer de ne pas y penser, tu voulais que ça devienne une simple amie. Tu lui avait donc envoyer un message ce matin pour lui dire ou tu serais cette après midi, en l'invitant indirectement. En réalité tu lui as juste dit que sa présence ici et maintenant te ferais bénéfique avec un smiley immeuble pour ne pas semer le doute, ni l’angoisse dans sa personne. Si elle vient, tant mieux, si elle ne vient pas, tu tiendras compagnie à Frida Khalo. Quoi qu'il en soit, tu as ramener ton petit kit de la lowell par excellence et commence à dessiner les avec un crayon hb s'il vous plais.

 SHALASKA IS BACK   

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Shae était plongée dans ses cours lorsqu'elle avait reçu le message d'Alaska. Tout d'abord, elle avait décidé de l'ignorer, elle était concentrée sur ses notes de cours, elle pensait partiels, réussite de son année, fin du semestre en approche … puis finalement elle soupira, rangea ses feuilles, attrapant une veste au hasard dans sa penderie, saluant rapidement l'un de ses colocs qui était dans le salon avant de rejoindre le musée des Beaux-Arts où il semblerait que la Lowell se cachait. Ses pas résonnaient dans les couloirs vides à cette heure-ci du musée et elle n'eut pas de peine à retrouver l'étudiante. Elle semblait d'ailleurs plongée dans ses pensées face à un tableau, pensées auxquelles la blonde l'arracha en s'asseyant à ses côtés, les mains dans les poches, elle observa un court instant le tableau en silence avant de tourner la tête vers la brune, lui souriant. « Je te manquais ? » demanda-t-elle, sourcils relevés, petit sourire en coin, n'oubliant pas la discussion qu'elles avaient eu la dernière fois. Puis elle se tut, observant les crayons courir sur la feuille de papier sous les gestes précis de Granger. « Enfin si j'en crois le smiley immeuble tu avais peut-être besoin d'un conseil d'un architecte ce que je ne suis pas mais je peux toujours t'en conseiller de très bons, à moins que tu n'aies pas de logements en ce moment ? » Elle la taquinait, si leur relation avait été étrange, elle l'était encore plus aujourd'hui et Shae se retrouvait comme d'habitude lorsqu'il s'agissait de cette jeune femme : inconfortable, mal à l'aise, incapable d'agir sans se sentir un peu faible, c'était un sentiment à la fois rassurant, de se sentir un peu humaine, un peu vivante, mais aussi troublant et perturbant. Et Alaska savait très bien qu'elle la mettait dans cet état.

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Un sourire se dessine, avant même qu'elle arrive. Ses claquements sur le carlage, te rappeler ô combien Shae aimer faire des entrée grandiose. Ici, c'était un lieu de culte pour les artistes, ils aiment faire un avec les peintures et l'état d'esprit des créateurs. Et n'importe quel petit bruit, les mettaient dans une fureur noir. Certain d'entre eux, se retournèrent donc lorsque la fabuleuse Shae fit son entrée, ils leurs jettèrent des regards noir plein de : vous ne respectez rien, mais aucun d'entre eux n'oseras lui faire ça. « Wow, super entrée. T'aurais carrément dû ramener une petite fanfare pour accompagner ton défiler Conroy. » dis-tu, toujours le regard sur ton croquis. Maggie avait hérité du côté dessin et toi du côté écrivain, tu avais donc un peu de mal a mettre en forme les choses que tu voulais, ne cessant de gommer à chaque coup de trait. Elle te fit une remarque sur ton subtile emoji immeuble, il faut dire que tu a essayer d'être originale et surtout évité de lui envoyer des émoji chaton comme tu as l'habitude de faire. Après tout, tu n'étais plus son secret, et elle, plus le tiens. « Le tableau que tu as devant toi s'appelle : Les deux Frida, il dates de 1939. d'après ce que j'ai lu sur le net, il représente Frida Khalo et son amie imaginaire a qui elle parle de tout ses problèmes. Elles se tiennent la main, parce qu'elles se connaissent parfaite l'une et l'autre, et d'après d'autre source, elles ont étaient amante. Parce que Frida avait pour habitude de se toucher le minou quand elle était toute seule. » dis-tu dans un murmure pour ne pas te faire remarquer. Tu lui adresse un sourire au coin, et un clin d'oeil, peut discret. Elle était superbe aujourd'hui, comme toujours. Comment rester amie avec une personne à qui on aimerais arracher tout les vêtements ? Tu secoue la tête comme pour virer ses idées folles de ta tête. A M I E, Alaska ressaisie toi. « Je voulais juste que tu admires la beauté de ce tableau. T'en penses quoi ? Tu penses qu'un jour je pourrais devenir comme Frida Khalo et avoir un bout de musé rien que pour mes œuvres ? Attend toi a être ma muse. » dis-tu dans un gloussement cette fois-ci et en fuyant son regard pour se re-concentré sur ton dessin.

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La remarque d'Alaska la fait rire ce qui déconcentre une nouvelle fois les artistes en herbe présent dans la pièce. D'un froncement de sourcils désapprobateur, Shae les remet à leur place avant de reporter toute son attention sur sa Lowell préférée. Elle n'était pas contre l'idée que toutes ses entrées soient triomphales, mais pour montrer qu'elle avait l'habitude et que le regard des autres lui importait peu, elle haussait les épaules avant de s'asseoir auprès de la brune. Le problème n'était pas qu'elle ne s'intéressait pas à l'art, elle aimait même plutôt bien ça lorsque cela lui était expliqué correctement. Seulement, elle, c'était l'écriture, le mouvement du monde, devenir une tête pensante de ce petit monde qui lui plaisait. Loin de considérer l'art comme secondaire, elle ne se sentait pas assez rêveuse pour voir plus loin que ce que l'image sur le tableau. Tandis qu'elle lui expliquait un peu l'histoire du tableau, Shae regarda Alaska en coin, lâchant même un peu rire avant de se pencher un peu plus vers l'étudiante. « Pourquoi je ne suis pas surprise ? Vous avez pas mal de points communs avec cette Frida finalement. » Elle lui glissa un clin d’œil complice avant de reporter son attention sur le tableau. Il n'était pas véritablement beau, travaillé, soigné, on ressentait l'intention derrière le dessin pourtant ça ne la subjuguait pas. Néanmoins, elle ne dit rien, écoutant de nouveau Alaska avant que celle-ci ne se replonge dans son dessin. Son regard se fit plus lointain et elle finit par lui répondre. « Pas qu'un musée, le département d'art de l'université qui portera mon nom aussi ! » Elle ne savait pas si elle devait la prendre trop au sérieux, mais l'idée d'être la muse de quelqu'un avait quelque chose d'excitant, d'intrigant aussi. « Wahou, je suis honorée, j'espère que je serai à la hauteur de la charge que tu me donnes. Je dois faire quoi exactement ? Être fabuleuse ? Ça devrait pas être compliqué ! »

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Tu roules péniblement des yeux, avant de gloussais. N'est-elle pas fabuleuse ? Je vous interdis de tomber amoureuse de cette belle blonde, parce qu'il fut un temps où elle était tienne. Tu glousses d'ailleurs et secoue la tête comme épuisée de son comportement, pourtant c'est elle en entier que tu aimes tant. Le petit monde autour de vous, se tourne sans cesse à chaque fois que la demoiselle ouvre sa grande bouche. Les fans d'art, on d'ailleurs complètement déserter la salle, au fur et a mesure, vous laissant seules, en tête à tête avec Frida et son œuvre insensé. Va savoir pourquoi tu as choisit de te mettre là, ici, et l'invité elle. Peut être qu'effectivement, cette œuvre avez beaucoup de similarité avec votre situation actuelle, et en venant ici tu pensais que Frida aller t'aider à trouver la solution. « Tu trouves qu'on se ressemble ? J'espère que tu parles pas du mono-sourcil, parce que j'me suis épiler avant de venir. » dis-tu en riant. Frida est l'une de tes artistes préféré, elle avait le don de rendre les choses humaines, et c'était la seule dont tu te sentait vraiment proche. Et surtout don le film était super bien réalisé. « ça ne sera pas trop lourd pour toi d'être fabuleuse ? T'es sûre que tu veux pas que je t'aides à porter ? » dis-tu en poussant un peu son épaule, tu finit par laisser tomber ton calepin, les dessins, et l'art en générale pour te tournée vers la seule œuvre d'art digne de ce nom dans cette salle : Shae. C'était différent maintenant, vous étiez... amie ? Non pas qu'avant vous ne l’étiez pas, mais tu as envie de t’efforcer à le redevenir, parce que la perdre n'était pas la bonne solution, et la forcer à se mettre avec toi non plus. Un terrain neutre, c'était ce dont il vous fallait. « Tu sais, j'ai vu que c'était grave cool Londres pour le nouvelle an, et puis c'est chez toi alors.. peut être qu'on pourrais aller passer le réveillons à Londres toutes les deux ? Autant qu'amie bien sûre, rien de sexuelle, ni de pervers, genre faire l'amour sur des bonbons harry potter, en écoutant Adèle, rien de tout ça. » amicalement parlant bien sur. Bien que faire l'amour sur Adèle ce serais le top.

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« Oui c'est surtout au niveau du mono-sourcil justement que vous vous ressemblez. » dit-elle en riant avant de reprendre son sérieux ou plutôt … plutôt elle offrit un petit sourire en coin à Alaska, son regard se plongeant dans le sien. « Non je rigole, je pensais plutôt à ce que vous faites toutes les deux quand vous êtes seules. » C'était un peu lourd, pas très fin mais la blonde faisait passer le message en toute finesse. C'était toujours assez particulier de déconner sur ce genre de choses avec la Lowell, mais Shae ne montrait rien du trouble que ça pouvait provoquer chez elle. Depuis le retour de l'étudiante, les choses semblaient claires, plus de dérapages, une amitié un peu particulière, mais rien de plus. « Je m'en sortirais, puis tu as ta part à porter. » dit-elle en offrant un regard complice à la brune avant de regarder le tableau en face d'elle. Elle restait un instant bloquée dans l'observation du tableau, comme si elle arrivait à comprendre un peu plus Granger dans ce tableau. Ça restait particulièrement complexe. La proposition de la jeune femme lui plaisait même si elle sourit en entendant les paroles d'Alaska, pas certaine de comprendre là où elle voulait en venir. Enfin si, elle lui disait justement qu'elles passeraient un Nouvel An entre filles, à l'ancienne, rien de Shalaska dans tout ça. « Et bien … pourquoi pas ? Je m'occuperai de réserver l'hôtel si tu veux, on s'offre le grand luxe pour une soirée comme ça ! Puis ça me donnera l'occasion de te montrer mon Londres alors. » Elle ne releva pas de suite ce qu'elle avait ajouté après, ses doigts frôlant ceux d'Alaska avant qu'elle ne pose sagement ses mains sur ses genoux, sage Shae qu'elle était. « Pour ce qui est du reste tu as raison, je vois qu'on partage le même état d'esprit. » Comme pour se contredire, son regard croisa celui de l'étudiante, elle lui sourit avant de détourner le regard comme si de rien était.

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Qu'est-ce qui pourrais se passer de mal de toute façon ? Partir en amie, être rien qu'elle et toi, faire des choses entre copine, c'était comme partir en colonie de vacance mais à deux ? J'veux dire, faut pas que tu commences à te stresser pour rien, tout ce passe bien et elle semble apprécier ton idée, et le fait que tu t'engages dans quelques chose de relativement simple et platonique, alors que rien entre vous n'est simple et platonique. Ce serai plus facile si elle avait dix ou vingt kilo de plus et peut être une petite barbichette pour repousser les gens et des poils sous les aisselle, mais ce n'était pas le cas, elle était aussi belle et délicieuse qu'au premier jour et ça c'était DE LA TORTURE. « Shae, j'ai accepter d'être ton secret parce que tu me plaît horriblement, et que je pensais que t’allait prendre du poids et devenir plus laide avec les vacances, mais apparemment l'Arizona te vas bien au teint, puisque t'as la peau plus caramel qu'avant. » tu n'as aucune idée de ce qui vient de sortir de ta bouche, mais c'est sortit c'est tout. Tu pensais vraiment qu'elle aller arrêter de te plaire après avoir copuler avec plusieurs mec pendant les vacances, mais rien OH GRAND DIEU RIEN, n'arrive à la cheville de Conroy-Williams ici présente. « Mais t'es toujours aussi canon, et j'arrive pas à comprendre comment t'as fait pour prendre encore des centimètres à ton âge, on arrête pas la croissance à 18 ans ? Et j'veux pas qu'on soit amie, ej sais que c'est totalement débile avec tout ce que je viens de dire mais.. je.. » et puis merde. Tu laisses tomber ta plaquette de dessin, c'était fameux de toute façon, et prend sa tête entre tes doigts, avant de plaquer tes lèvres contre les siennes. Elle a eu le droit de le faire la dernière fois, alors pourquoi tu n'avais pas le droit de le faire à ton tour ? Et puis, il n'y avait plus personne dans cette partit du Musée, elle les avait déjà fait fuir avec son rire de baleine et son franc parler, il n'y avait personne qui puisse vous jugez à part Frida Khalo, et j'pense qu'avec ses idées tordu, elle serais du genre à t'applaudir.

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La jeune femme ne savait pas trop comment on avait basculé à cette situation là. Elle avait écouté Alaska d'une oreille distraite, les mots de la jeune femme lui faisait plaisir bien qu'elle était peu mal à l'aise de remettre ça sur le tapis alors qu'elles avaient convenu qu'il valait mieux pour elles qu'elles se contentent d'une relation plus tranquille. Elle ne comprenait même pas vraiment ce qu'il se passait, elle l'écoutait, un léger sourire aux lèvres, son regard posé sur le tableau en face d'elle avant de sentir les mains de la brune attraper son visage pour qu'elle regarde dans sa direction. Les lèvres d'Alaska se posaient sur les siennes, elle se laissait embrasser, sans bouger. Quoi maintenant ? Shae ne savait vraiment plus quoi penser, certes elle avait peut-être un peu allumé la jeune femme mais elles étaient censées faire quoi. Elle retrouvait la sensation des lèvres d'Alaska contre les siennes comme un certain réconfort, le souvenir bien présent d'une période révolue où elle s'abandonnait à de nouvelles expériences, où elle menait son petit monde. Son passé était là, devant ses yeux, contre ses lèvres et le futur lui semblait flou, rien, aucun horizon. Après un temps d'hésitation où elle réfléchissait à ce qu'elle devrait faire ou non, elle attrapa à son tour le visage de l'étudiante entre ses mains, répondant à son baiser, sa langue glissait doucement contre la sienne, ses doigts se perdait dans ses cheveux. Elle oubliait qu'elle était dans un lieu public, elle oubliait à peu près tout. Elle s'était rapprochée de la jeune femme, elle rompit lentement leur baiser, appuyant son front contre le sien. « Je comprends pas où tu veux en venir. Tu me veux ou pas ? Choisis, arrête de jouer, arrête de changer d'avis à chaque fois qu'on se voit, je peux pas suivre le rythme, je te laisse mener les choses ce qui est un grand effort pour moi mais tu peux pas décider qu'on soit amies et m'embrasser au milieu d'un musée une semaine après. » Elle éloigna un peu son visage pour regarder Alaska bien droit dans les yeux. « Arrête d'essayer d'être mon amie. »

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Tu l'embrasses. Parce que sur le coup, tu te dis qu'il n'y a pas d'autre solution que d'assourivr cette folle envie de l'embrasser. Et puis il n'y a personne, il n'y a qu'elle, frida et toi. Et frida sait garder des secrets.. J'pense. Alors tu l'embrasses parce que c'est ce que tu aimerais faire à chaque fois que vous êtes dans la même pièce, et peut être lui tenir la main ? Et sentir ses cheveux et en faire une moustaches sous ton nez pour la faire rire, bien que ça ne fasse rire personne. Et quand cette envie est passer, tu te rassoit correctement et tu l'as regarde, tu lui fait fasse mais aussi : tu fais fasse à la réalité. Alors Alaska ? TU LA VEUX OU PAS ? AMIE OU PAS? * musique dramatique et fond fondue au noir comme dans tellement vrai * « J'peut être honnête avec toi ? 'fin en fait, j'vais pas attendre que tu me réponde : tu ne me donnes pas le choix. C'est de ta fautes tout ça Conroy ! Si j'suis obliger de mettre une barrière entre nous, c'est parce que tu m'as demander de le faire. On peut pas être plus que des amies alors soit on est amie soit on est rien. Et j'ai essayer de n'être rien et c'est toi qui m'as embrasser devant le supermarcher ! » tu hausses vachement le ton et fait une tonne de geste avec tes mains, alors on est pas trop sûre que soit réellement facher ou que tu essaie de ré-inventer la langue de signe, même si tes sourcils sont froncer et que tu essaie d'avoir un regard méchant. « C'est toi qui m'as obliger à envoyer ce foutu emoji immeuble ! » parce que bordel, PERSONNE N'UTILISE CETTE EMOJI EN 2015. OUH OUH, les créateurs d'émoji, cette émoji est aussi inutiles que le crayon de couleur blanc ou les ongles de pied ou les aimant à frigot, ses trucs là ne servent à RIEN, et l'émoji immeuble en fait partit. Alors tu te redresse et ramasses tes affaires. « C'est à toi d'arrêter d’essai d'être mon amie, parce qu'on est pas amie. Quand je parle à mes amies, je les images pas nue sur le tapis de mon salon. »

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