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ELLIOTT JACOB WHISE ► josh beech

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Elliott Jacob Whise
fiche; en cours - terminée

C'est le 12 février 1990, que la famille Whise m'ont accueilli dans leurs bras, ils m'ont prénommé Elliott Jacob. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis bisexuel et j'en suis fier. Je viens d'une classe sociale aisée. J'ai décidé de participer au Summer Camp organisé par Harvard pendant l'été. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de Design de mode (majeur) et Arts plastiques (mineur) depuis 4 ans. Et pour terminer, je voudrais intégrer les mather house ou dunster house.

Études
Partie intègre de cette partie de la population des jeunes gens sur Terre rêvant de se faire un nom dans le monde de la mode, étudiant en mode depuis 4 ans, Elliott dessine et gribouille depuis tout jeune. D'abord prit par l'envie d'être artiste et pauvre, il finit par se découvrir une passion pour les vêtements. Art plus moderne, plus profond, parce qu'il y a presque quelque chose de malsain à se dire qu'on habille les gens, que nos œuvres d'arts collent littéralement à la peau des personnes, glissent sur leur épidermes et vivent grâce à eux. Et doué, il l'est. En dessin, à l'encre et à l'aquarelle, mais aussi en couture, capable de voir au-delà d'une simple mode. Et si la plupart des ses compagnons d'études sont en fait des compagnes Elliott n'a aucun soucis sur ce côté-là, il a cette philosophie qui lui murmure que les femmes sont partout, sauf au sommet, et qu'il a toutes ses chances. Son mépris et sa fascination pour la gente féminine font de lui un homme relativement instable qui, hors des cours, passe plus son temps avec des garçons que des filles. Les filles, ils les aiment dans son lit et pendant les fêtes qui fleurissent dans son existence, les femmes ils les adulent sur la piste de danse, transpirantes et naïves. Puisqu'il passe le plus clair de son temps à dessiner ou à faire la fête, adepte de la cigarette, de l'alcool et du sexe, amateur en décollage avec des drogues, il sait que l'inspiration pour ses vêtements vient du déchaînement de la nouvelle génération. Les futurs adultes au plus bas lors des soirées, quoi de mieux pour prévoir la mode de demain ?


Caractère
Loin d'être l'homme le plus sympathique de la Terre, Elliott est légèrement atypique. Dans le genre plutôt lunatique, quoi que peu susceptible, il allie de subtils mélanges entre le besoin maladif d'être entouré de personnes, et sa méfiance naturelle envers l'être humain. C'est un garçon qui, parce qu'il veut habiller le monde, veut connaître le monde. C'est quelqu'un qui peine à juger les gens au premier coup d’œil, il ne parvient jamais à savoir si la personne en face de lui est bonne ou mauvaise pour lui, si elle lui sera néfaste ou bénéfique, alors dans le doute, Elliott aurait plutôt tendance à se refermer comme la bonne vieille huître associable qu'il est. Et pourtant, pourtant il supporte plutôt mal la solitude. Souvenirs d'enfance et traumatisme de la terrible maison désespérément silencieuse, il lui faut sans cesse une présence, ou au moins du bruit – d'où son perpétuel casque à musique à portée de main, en cas de silence approchant sournoisement. Cette faiblesse de caractère ne fait pas de lui un homme agressif, mais plutôt un pommé qui essaye vainement de trouver sa place au milieu du monde. Et cette place, il se la fait en soirée, quand l'alcool et la musique abaisse toutes les barrières. C'est bien en soirée qu'il s'est fait la majorité de ses amis, et c'est en soirée qu'il s'assure aussi une vie sexuelle potable et régulière. Faute de quoi, ses relations avec les femmes sont plutôt catastrophiques, et sa presque homosexualité le laisse encore perplexe. Néanmoins, ne demandant qu'à se faire une petite place, il est capable de montrer des prouesses d'ingéniosité lorsqu'il s'agit de se droguer en cachette, d'arranger un coup, de filer en douce, ou même de sortir quelqu'un de la merde. Lunatique donc, car capable de vous faire confiance pendant quelques heures, et puis brusquement se refermer, croire qu'on le persécute, et retourner à son monde de musique et d'inconnus, son palais de robes et de costumes, de pinceaux et de plumes. Les nuances plus subtiles de son caractère sont, elles, en chantier dans le bordel de son esprit.


Everyone Has Their Own Story

THE XX - INTRO ► Pas issu de l'amour de deux personnes. C'était sûrement la première chose que les gens se sont dit en regardant Elliott lorsqu'il venait de naître. Issu de l'utérus d'une amie de son père, homosexuel invétéré qui avait toujours rêvé d'être papa. C'est attendrissant, vous me direz, un homme qui désire plus que tout de pouvoir prendre un bébé dans ses bras ; son fils, son enfant, sa petite moitié miniature, il réussit à l'avoir grâce à sa meilleure amie, à des fécondations in vitro et tout le tintouin scientifique. Et donc, un matin pluvieux, dans la belle ville de Vancouver au Canada, Elliott s'éveilla. A peine arrivé est déjà suspecté de devenir étrange, parce qu'après tout, se disaient les gens, comment grandir normalement en ayant un père homosexuel qui bossait 7 jours sur 7, et 20 heures sur 24. Mais lui, ce père, il n'avait demandé d'avis à personne, si ce n'est à sa meilleure amie, homosexuelle elle aussi. Que faire alors ? Et bien grandir, oui, sans aucun doute. Grandir dans un univers tout particulier, ses deux parents étant homosexuels et meilleurs amis. Pas d’ambiguïté, pas de divorce ou d'engueulades, une ambiance chaleureuse et presque aimante. Presque joyeuse. Le père d'Elliott avait tout pour être un bon père : de l'amour à revendre, de la patience, du sérieux, du calme. Il ne lui manquait d'une chose : du temps. Des heures à passer avec son gosse, celui qu'il désirait tant, celui qu'il essayait d’élever, mais qui finissait toujours par s'élever tout seul. L'enfance n'était pas malheureuse. L'adolescence non plus. Il n'y avait rien de malheureux, chez ce mioche, mais rien d'heureux non plus. L’insipidité d'une vie entrecoupée d'apparitions paternelles et maternelles, d'éclaircies.

PASSION PIT - SLEEPYHEAD ► « Bonsoir mon cœur. » « Bonsoir papa. » Dans l'immense appartement, les deux voix se répondirent avec une habitude de métronome. Celle, grave et profonde d'un homme âgé de la quarantaine, et celle toute fluette et toute innocente d'un mioche de six ans, ou pas loin. Le gosse, penché au-dessus d'une feuille blanche, était assit sur une chaise et avait les jambes qui pendaient mollement dans le vide, uniquement concentré sur son crayon qui gribouillait le vide devant lui, pour donner forme à on ne savait quoi, issu de son imagination légèrement décalée. Dans les grandes pièces, tout sentait l'argent : ici on ne comptait pas en achetant, et ça se voyait. On pouvait même dire que ça s'entendait, au bruit des chaussures de l'adulte qui claquaient sur le sol, ou bien au doux bruissement de la veste qu'il enlevait et pliait avec minutie, la déposant religieusement sur une chaise à côté de celle de petit brun. Le père observait son fils de ses yeux perçants, son visage fin concentré, ses pupilles qui bougeaient à toute vitesse, dans l'espoir de capter les défauts en construction d'un dessin enfantin. L'adulte se racla la gorge en défaisant les lacets serrés de ses pompes noires, et se pencha avec curiosité au-dessus de la feuille. « Ça donne quoi, aujourd'hui ? » Le gosse se redressa, s'agita sur son fauteuil en mordillant ses lèvres, un tic habituel qui trahissait son hésitation. Le père insista. « Oh allez, vas-y, montre moi ! » Le petit brun sourit et leva la feuille : un visage de jeune femme prenait vie, pas très bien réussit, mais on reconnaissait les traits grossiers, et le regard doux. « C'est maman. C'est pour quand elle va revenir parce que moi, moi, moi j'ai hâte qu'elle revienne ! » « Mon poussin, on en a déjà parlé, tu sais... » « Oui mais toi, toi tu as dis qu'elle était partie, pas qu'elle reviendrait jamais ! Et puis à l'école, on m'a dit que les mamans reviennent toujours... » ajouta le mioche, avant de recommencer à dessiner frénétiquement, son crayon de papier écrasant sa mine grise sur le blanc, si fort qu'il aurait pu traverser la finesse de la feuille. Le père soupira avec tristesse, et prit l'enfant par le dessous des bras. Il le fit s'installer sur ses genoux. « Oh papa, je suis plus un bébé ! » « Tant pis ! » « … Et toi, tu vas aussi partir ? » L'homme lui ébouriffa tendrement la tête. « Oui, mais moi, je reviens toujours. » Puis le père posa son regard bleu pâle sur le dessin ; voilà plusieurs mois que la mère de l'enfant, qui était aussi sa meilleure amie, avait quitté le Canada dans un élan de colère. Sa famille ne cessait de rejeter son homosexualité, et elle avait embarqué pour la France. Les nouvelles étaient rares. Elliott était inquiet.

JOHN POWELL - ASSASSIN'S TANGO ► Au fond, cette longue table rectangulaire, ça avait toujours été leur grand lieu de discussion. Peut-être le seul, d'ailleurs. Le seul endroit où Elliott avait pu croiser son père, une fois que sa mère avait foutu le camp. Il la revit, oh oui, surtout par skype, et puis des cartes postales et des cadeaux. Une fois, son père lui offrit un voyage à Paris pour ses 15 ans ; il en revint transformé. Capitale de la mode, capitale de son rêve. Déjà franchement doué en peinture, il s'était trouvé une vocation. Et c'était cette vocation qui l'avait amené devant cette table, qui avait poussé ses bras déjà tatoués à se contracter de colère, sa mâchoire carrée tremblant de fureur. Phalanges blanchies, esprit embrumé, il défiait son père de son regard noir. L'homme en face de lui affichait toujours son air calme et placide, ses cheveux blancs éparpillaient sur le haut de sa tête et son visage, fin, parfait géniteur d'Elliott. Et si semblables dans leur confrontation. « C'est ridicule... » siffla le jeune homme de 17 ans entre ses dents. « Il n'y a rien de ridicule à vouloir entrer dans l'université la plus prestigieuse au monde ! » « Tu veux me faire rentrer là-dedans juste parce que t'y étais, et parce que tu veux leur montrer que t'as le fric pour que ton fils y soit aussi ! » « Ne dis pas de bêtises ! » Elliott détourna le regard, prit d'un haut le cœur. Sa main droite pianotait nerveusement sur la table en verre. Le bruit insupportable du choc de ses ongles sur la paroi transparente rendait chaque seconde un peu plus longue, et le supplice de cette dispute lui donnait envie de fumer un paquet de cigarettes en entier, les unes à la suite des autres. L'overdose de nicotine, est-ce que ça existait ? « En mode et en arts, il y a de biens meilleures écoles, papa... » « Mais rien ne t'empêche de poursuivre après ! Mais en sortant de Harvard tu auras toutes les portes ouvertes. » « Mais j'ai une tête à aller dans leur petit monde parfait ?! » Brusquement, son père eut l'air touché. Depuis le début de l'engueulade, c'était la première fois que le masque parfait du père pété de tune mais absent se craquelait doucement. Elliott lui en voulait. Il lui en voulait de penser faire son bonheur avec des chèques. Et pourtant, ce regard bleu qui le fixait, avec un air attristé... Le brun soupira avec lassitude. « C'est vraiment ce que tu penses ? » « Papa... » « Que j'étais comme ça ? Parfait ? » Le jeune homme manqua de gémir de douleur à la simple idée que son père soit vraiment blessé. « Tu es excellent partout. Regarde tes résultats ! Tu peux le faire ! » Il agita une feuille sous son nez. Comme si Elliott avait oublié que c'était lui qui avait bossé. Comme si sa mémoire avait effacé les heures de révisions dans sa chambre. Mais il n'avait travaillé que par ennui, par manque d'amis, par manque de tout. Et même ça, ça lui revenait en pleine gueule. « Tu as le niveau. Tu dois au moins essayer. » Elliott soupira. « … juste essayer, hein ? »

KAVINSKY - NIGHTCALLVous êtes bien sur la messagerie de... « Salut papa. C'est Elliott. Je suppose que tu dois être en Chine, au Japon, bref, que tu dois bosser... Je t'appelle parce que je... Je suis bien arrivé, et bien installé. J'ai beau avoir déjà visité le campus, c'est... grand. J'espère que tout se passera comme tu me l'as dis. Quelques personnes sont déjà venues me voir pour me demander de tes nouvelles. J'ai hâte de commencer les cours. Appelle moi dès que tu peux. Le Canada me manque déjà, ici il fait beau. Je vais devoir refaire ma garde-robe. Et j'ai besoin de soie sauvage, et de georgette de soie, si tu trouves pendant tes voyages. Et les magnifiques boutons d'Indonésie, tu sais... Enfin... Rappelle moi. Et prends soin de toi. Bonne journée, nuit, soirée, je sais déjà plus où t'es et combien d'heures de décalage y'a. » Après une brève hésitation, il raccrocha. Un soupir fila entre ses lèvres, lassé, fatigué, et ses yeux parcourent les murs vierges autour de lui, et son ouïe se concentra sur le bruit qui émanait de la fenêtre. Il ne savait plus à quel moment de sa vie il avait accepté de venir ; mais maintenant il était à Harvard. Et lorsqu'on toqua à la porte de sa chambre, Elliott ne répondit pas et se félicita d'avoir fermé à clé. Se laissant doucement glisser à terre, il posa sa joue contre le sol, et écouta. Sa respiration, son cœur, et puis rien. La vie quoi. Et puis être là, ou ailleurs, quelle grande différence ? Il n'avait laissé derrière lui que l'espace vide d'un appartement silencieux, et une vie sociale aussi sèche qu'un puits du Sahara. On toqua de nouveau à la porte, avec plus d'insistance ; mécaniquement, Elliott remonta son casque sur ses oreilles et alluma sa musique, articulant dans la plus grande clandestinité les paroles, paupières fermées. Loin, loin, en exil, l'esprit ailleurs, et le corps jamais au bon endroit.

EMINEM - NO LOVE ►La fumée lécha ses lèvres avec la sensualité du serpent, glissant le long de son menton et s'élevant mollement dans les airs. Les pieds à plat sur le sol, mais le cul encore nu posé dans le lit, la couverture négligemment remontée sur ses jambes, le jeune homme passa ses mains dans ses cheveux, se grattant la tête et se la prenant entre ses doigts, la gueule de bois lui donnant l'impression qu'on dansait et qu'on s'excitait encore dans son esprit. Alors il fumait, ne vous déplaise, et écoutait d'une oreille méfiante les bruits d'un corps qui s'agite à ses côtés, s'imaginant la peau brune et douce de la fille qui contrastait avec la blancheur des draps. Il crut même sentir son regard sur sa nuque, et ses poils se hérissèrent, en alerte générale. Elle allait parler, se dit-il, et il allait devoir assumer, et avoir une conversation. Ses paupières se fermèrent dans l'espoir qu'il se rendorme et qu'il oublie la propriétaire d'un utérus qui était derrière lui, et qui se redressait. « Dis... on s'est protégés cette nuit ? » Elliott étouffa un rire de surprise, et jeta un coup d’œil suspicieux au-dessus de son épaule. Il observa avec méfiance les cheveux bruns qui tombaient sur les clavicules de la princesse, il laissa ses pupilles s'intéresser à la courbure parfaite de son cou, la tombée de ses épaules. Les mots lui revenant dans l'esprit. Je regarde toujours la chair de leurs cous blancs brodés de mèches folles : je suis, sous le corsage et les frêles atours, le dos divin après la courbe des épaules. Et pourtant, assommé par cette vision divine, il ne put que répéter bêtement « Protégés ? » L'inconnue leva les yeux au ciel avec énervement. « Oui, tu sais... une capote. » Elle accompagna sa phrase d'un geste bien significatif qui alluma aussitôt une lumière dans l'esprit d'Elliott. Avec un petit sourire moqueur, il demanda « Pourquoi ? L'idée d'avoir des millions de petits moi dans ton utérus te plaît pas ? » Pour le coup, elle eût l'air franchement vexée et son visage prit une teinte légèrement verdâtre, blanchâtre. « Je prends pas la pilule, abruti. » Le brun soupira avec exaspération, se pencha et récupéra son jean, qu'il fouilla pour en sortir quelques billets. Il les déposa avec vulgarité sur le matelas, lâchant au passage « Moi je me suis protégé, mais tu devrais pas faire confiance à tous les mecs que tu croise. Et les filles enceintes, ça chiale et ça vomie, alors démerde toi pour pas que ça t'arrive. » « Connard... » siffla-t-elle, en froissant les billets entre ses longs doigts. Le brun haussa les épaules, s'habilla et attrapa son portable, composa mécaniquement un numéro. Trois quatre sonneries dans le vide. Vous êtes bien sur la messagerie de... Il claqua la porte de la chambre de la fille, sous une salve d'insultes et de reproches. « Papa, c'est moi. Mes résultats de 4ème année doivent être affichés. Tu m'diras ce que t'en pense, c'est encore très bon. Tu te souviens que je rentre pas cet été, hein ? Et j'ai encore besoin d'aiguilles et de fil. Je t'envois une liste par mail. Prends soin d'toi. » En descendant les escaliers, il raccrocha et intercepta le regard d'une fille qui lui souriait ; un brusque instant, son cœur loupa un battement et il fila nerveusement, anxieux à l'idée de devoir rester plus longtemps dans le coin.

the face behind
↬ PSEUDO/PRÉNOM - Beleth.
↬ ÂGE - 17 ans
↬ PAYS/RÉGIONS - France
↬ OÙ AS-TU CONNU LE FORUM - Par NYTDS
↬ TES IMPRESSIONS - Beau. Très beau forum.
↬ CRÉDIT(S) - virtual insanity ; catwalk culture ; glass skin
↬ AVATAR - Josh Beech
↬ SCÉNARIO OU PI? - Personnage issu d'une imagination martyrisée par le BAC.
↬ LE MOT DE LA FIN - J'aurai tendance à vouloir vous dire que je suis en instance de divorce avec mon autre moi, mais il paraît que c'est très étrange. On va juste redire que le forum a l'air d'être une tuerie ! Et en plus vous avez ce smiley hanwii alors j'espère me faire une (toute) petite place ici.

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Bienvenue :)
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Bienvenue et bon courage pour ta fiche ELLIOTT JACOB WHISE ► josh beech 1153642411
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    Merci à vous deux :)
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    Bienvenue sur ILH ELLIOTT JACOB WHISE ► josh beech 3850463188
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Welcome' fêtard pommé ELLIOTT JACOB WHISE ► josh beech 1629572796
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Wow, wow Beeeeeeeeeeeeech hanwii ELLIOTT JACOB WHISE ► josh beech 2931463659
Bienvenue ELLIOTT JACOB WHISE ► josh beech 3850463188
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Bienvenue ELLIOTT JACOB WHISE ► josh beech 3850463188
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Bienvenuuuuuuuue ELLIOTT JACOB WHISE ► josh beech 3850463188
Pauvre personnage huhu Le traumatisme baccien fait des ravages... x)
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    Merci tout le monde ! Z'êtes bien aimables ELLIOTT JACOB WHISE ► josh beech 2109348208
    Katell > :loukas:
    Andy > Oui bon, il prend un peu cher, mais mon imagination a besoin d'évacuer x)
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