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alyx murphy
Fiche d'identité
Nom MurphyPrénoms Alyx, IsabelÂge 23 ansDate de naissance 9 juillet 1992Lieu de naissance Pas loin de BostonStatut amoureux LibreOrientation sexuelle Va savoir...Classe sociale ModesteÉtudes majeures Musique (6ème année) Études mineures Histoire de l'artJob Vendeuse chez une petit disquaire Choix de groupe #1 Lowell House Choix de groupe #2 Mather HouseGROUPE 1.
Pourquoi la Lowell House ? Parce qu'Alyx baigne dans l'art depuis son plus jeune âge. Parce qu'elle respire art, parce qu'elle vit art et parce qu'elle aspire à l'art. Comprenez par là qu'elle pourrait se sentir perdue dans une autre fraternité et chez elle dans la Lowell House. Là-bas, elle ne serait pas vraiment dépaysée. Avant de mourir des suites d'un cancer, sa mère était une artiste peintre épanouie dans son milieu et elle a toujours eu à cœur d'apprendre à sa fille que l'art était partout, sous toutes ses formes, qu'il ne fallait jamais oublier de le voir. Toute une philosophie en découlait, et avec un père guitariste professionnel, cela a été aisé pour Alyx d'y croire. Ses parents n'étaient pas des artistes populaires, mais ils étaient bien dans leur peau et la modeste somme d'argent qu'ils gagnaient chaque mois leur suffisait pour être heureux. La jeune fille vit avec l'héritage de sa mère et le soutien inconditionnel de son père aujourd'hui, bien qu'il ne soit rarement présent à cause de ses tournées. Elle aussi, son truc, c'est surtout la musique. En particulier le piano et la guitare, mais elle touche aussi aux percussions et à d'autres instruments moins pratiqués tel que l'accordéon, l'harmonica. C'est une fille assez solitaire, pas le genre à être entourée d'une ribambelle d'amis. D'ailleurs, ce sont plus souvent des garçons. Les filles et Alyx, c'est un peu plus compliqué, parfois prise de tête. Les conflits ? Elle cherche au maximum à les éviter mais si on la cherche, elle pourrait se révéler un tantinet impulsive ou sèche...
GROUPE 2.
Pourquoi la Mather House en second choix ? Parce qu'à sa façon, elle est un peu en marge Alyx. A ne jamais vouloir suivre les modes, à ne jamais vouloir être un mouton, tout simplement. Assez tôt dans sa vie, elle a dû apprendre à vivre de façon autonome et quand elle avait besoin d'aide, son père n'était que rarement là (sa mère est décédée quand elle avait onze ans). Durant son adolescence, elle a surtout pu compter sur ses grands-parents, autant vous dire que ce n'est pas un schéma de vie classique. C'est une jeune fille qui tient plus que tout à sa liberté et aux souvenirs qu'elle a de son enfance. Il lui arrive de fumer, plus pour être "bien" que pour suivre la mode, mais ça reste très très occasionnel. Quand à la drogue, non, jamais. Elle ne veut pas ruiner sa santé, bien trop précieuse à ses yeux. Si elle est solidaire ? Disons qu'elle ne refusera pas d'aider une personne à laquelle elle tient ou même une à laquelle elle ne tient pas particulièrement, mais dans le second cas, elle aura tendance à se méfier comme un chat sauvage des retombées.
Pourquoi la Lowell House ? Parce qu'Alyx baigne dans l'art depuis son plus jeune âge. Parce qu'elle respire art, parce qu'elle vit art et parce qu'elle aspire à l'art. Comprenez par là qu'elle pourrait se sentir perdue dans une autre fraternité et chez elle dans la Lowell House. Là-bas, elle ne serait pas vraiment dépaysée. Avant de mourir des suites d'un cancer, sa mère était une artiste peintre épanouie dans son milieu et elle a toujours eu à cœur d'apprendre à sa fille que l'art était partout, sous toutes ses formes, qu'il ne fallait jamais oublier de le voir. Toute une philosophie en découlait, et avec un père guitariste professionnel, cela a été aisé pour Alyx d'y croire. Ses parents n'étaient pas des artistes populaires, mais ils étaient bien dans leur peau et la modeste somme d'argent qu'ils gagnaient chaque mois leur suffisait pour être heureux. La jeune fille vit avec l'héritage de sa mère et le soutien inconditionnel de son père aujourd'hui, bien qu'il ne soit rarement présent à cause de ses tournées. Elle aussi, son truc, c'est surtout la musique. En particulier le piano et la guitare, mais elle touche aussi aux percussions et à d'autres instruments moins pratiqués tel que l'accordéon, l'harmonica. C'est une fille assez solitaire, pas le genre à être entourée d'une ribambelle d'amis. D'ailleurs, ce sont plus souvent des garçons. Les filles et Alyx, c'est un peu plus compliqué, parfois prise de tête. Les conflits ? Elle cherche au maximum à les éviter mais si on la cherche, elle pourrait se révéler un tantinet impulsive ou sèche...
GROUPE 2.
Pourquoi la Mather House en second choix ? Parce qu'à sa façon, elle est un peu en marge Alyx. A ne jamais vouloir suivre les modes, à ne jamais vouloir être un mouton, tout simplement. Assez tôt dans sa vie, elle a dû apprendre à vivre de façon autonome et quand elle avait besoin d'aide, son père n'était que rarement là (sa mère est décédée quand elle avait onze ans). Durant son adolescence, elle a surtout pu compter sur ses grands-parents, autant vous dire que ce n'est pas un schéma de vie classique. C'est une jeune fille qui tient plus que tout à sa liberté et aux souvenirs qu'elle a de son enfance. Il lui arrive de fumer, plus pour être "bien" que pour suivre la mode, mais ça reste très très occasionnel. Quand à la drogue, non, jamais. Elle ne veut pas ruiner sa santé, bien trop précieuse à ses yeux. Si elle est solidaire ? Disons qu'elle ne refusera pas d'aider une personne à laquelle elle tient ou même une à laquelle elle ne tient pas particulièrement, mais dans le second cas, elle aura tendance à se méfier comme un chat sauvage des retombées.
APRÈS LA BOMBE.
Je m'en souviens comme si c'était hier. Peu avant le début des explosions, je me trouvais dans l'une des salles de musique de l'université. Assise sur le rebord d'une estrade, les jambes en tailleur, je grattais quelques notes de musique sur cette guitare que j'avais empruntée à l'une de mes amies les plus proches, Tess. Et Tess d'ailleurs, elle était à quelques mètres de moi, au piano, les yeux accrochés aux notes, le sourire pendu aux lèvres. Nous jouions le plus simplement du monde, sans prétention, pour notre unique plaisir. Et elle a eu l'idée regrettable de tout stopper, le temps d'aller s'acheter une boisson chaude à la cafétéria située dans le Annenberg Hall. Vite, trop vite elle avait disparu de la pièce, me laissant seule pour quelques minutes. Trop longues. Surtout quand tout a commencé, et que le temps s'est arrêté, en quelque sorte.
Les bombes ont commencé à exploser et mon cœur aussi. Je me revois bondir, abandonner la guitare sur l'estrade et me précipiter vers la porte, dans le couloir... être bloquée par des individus plus grands, plus forts que moi. Leurs bras nous retenaient d'avancer, mais j'ai réussi malgré tout à me faufiler suffisamment loin. Ou suffisamment près du carnage. Le bâtiment du Annenberg Hall avait été touché et cela ressemblait un peu au chaos, avec ces bruits d'explosion qui ne cessaient plus.
J'étais saine et sauve. Pas touchée physiquement, et j'aurais dû être heureuse de l'être. Mais j'ai perdu mon amie, ce jour-là. Elle, et toute sa joie de vivre, sont parties trop soudainement et souvent je pense à elle. Trop souvent, elle me manque.
Je m'en souviens comme si c'était hier. Peu avant le début des explosions, je me trouvais dans l'une des salles de musique de l'université. Assise sur le rebord d'une estrade, les jambes en tailleur, je grattais quelques notes de musique sur cette guitare que j'avais empruntée à l'une de mes amies les plus proches, Tess. Et Tess d'ailleurs, elle était à quelques mètres de moi, au piano, les yeux accrochés aux notes, le sourire pendu aux lèvres. Nous jouions le plus simplement du monde, sans prétention, pour notre unique plaisir. Et elle a eu l'idée regrettable de tout stopper, le temps d'aller s'acheter une boisson chaude à la cafétéria située dans le Annenberg Hall. Vite, trop vite elle avait disparu de la pièce, me laissant seule pour quelques minutes. Trop longues. Surtout quand tout a commencé, et que le temps s'est arrêté, en quelque sorte.
Les bombes ont commencé à exploser et mon cœur aussi. Je me revois bondir, abandonner la guitare sur l'estrade et me précipiter vers la porte, dans le couloir... être bloquée par des individus plus grands, plus forts que moi. Leurs bras nous retenaient d'avancer, mais j'ai réussi malgré tout à me faufiler suffisamment loin. Ou suffisamment près du carnage. Le bâtiment du Annenberg Hall avait été touché et cela ressemblait un peu au chaos, avec ces bruits d'explosion qui ne cessaient plus.
J'étais saine et sauve. Pas touchée physiquement, et j'aurais dû être heureuse de l'être. Mais j'ai perdu mon amie, ce jour-là. Elle, et toute sa joie de vivre, sont parties trop soudainement et souvent je pense à elle. Trop souvent, elle me manque.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
Mon père revenait d'une tournée de quelques semaines dans l'ouest. Après avoir enchainé les dates, c'était repos bien mérité et j'étais bien décidé à rester le plus possible avec lui. Je n'ai donc pas vécu de près toutes ces horreurs, juste de loin. Enfin "loin"... Poste de télévision allumé, radio allumée, Internet... J'ai tenté de suivre ce qu'il se passait par tous les moyens possibles, incapables de me décrocher des écrans. Sans doute parce que cela aurait pu être moi. Une prise de conscience que mon père a réussi à tempérer, par chance. Les jours suivants, je ne me suis pas empêchée de sortir, non ça n'aurait pas été mon genre ça, mais je ne peux pas cacher que j'étais un brin anxieuse. Le ventre retourné à cause de tout ce qui venait de se passer.
Mon père revenait d'une tournée de quelques semaines dans l'ouest. Après avoir enchainé les dates, c'était repos bien mérité et j'étais bien décidé à rester le plus possible avec lui. Je n'ai donc pas vécu de près toutes ces horreurs, juste de loin. Enfin "loin"... Poste de télévision allumé, radio allumée, Internet... J'ai tenté de suivre ce qu'il se passait par tous les moyens possibles, incapables de me décrocher des écrans. Sans doute parce que cela aurait pu être moi. Une prise de conscience que mon père a réussi à tempérer, par chance. Les jours suivants, je ne me suis pas empêchée de sortir, non ça n'aurait pas été mon genre ça, mais je ne peux pas cacher que j'étais un brin anxieuse. Le ventre retourné à cause de tout ce qui venait de se passer.
Eléa
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Eléa et j'ai 24 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à Bazzart, il y a longtemps. Je recherchais un forum actif et attractif alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Kate Harrison comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Shouu. Je fais environ 500-800 (parfois plus) mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
Mot de la fin ? ▲ Vodkaaaa.
Je souhaite ▲
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainer si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)
Mot de la fin ? ▲ Vodkaaaa.
Je souhaite ▲
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainer si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)
Once upon a time
Enfance d'Alyx Murphy
Quand elle est née, nous savions avec Isabel - sa mère - que nous n’aurions pas d’autres enfants ; elle serait l’enfant unique de notre famille. Alors, bien évidemment, cette décision a eu des conséquences sur son éducation. Isa et moi-même ne roulions pas sur l’or à l’époque, d’ailleurs ça ne sera jamais le cas, mais c’était encore plus flagrant, il y a vingt-trois ans en arrière. Alyx est arrivée dans un foyer où elle allait certes être choyée davantage que si elle avait eu des frères et soeurs, mais sans pour autant être gâtée au sens matériel du terme. Avec nos professions de modestes artistes, c’était impossible pour nous d’offrir de grandes choses à Alyx, mais c’était à nos yeux dans les petites choses que se trouvait l’essentiel. Sa mère et moi tenions à ce qu’elle devienne une jeune fille heureuse, le plus simplement du monde. Autonome aussi, nous souhaitions qu’elle le devienne rapidement, mais le destin a décidé que cela arrive trop tôt. Bien trop tôt…
Isabel a été touchée par un cancer du sein. Deux fois, et la deuxième fois, elle y succomba. Malgré la lutte, malgré son amour pour la vie et tout ce qu’elle comptait. Alyx, en grande partie. Alyx était son tout, et Alyx ne jurait que par sa mère. Il y avait cette fusion remarquable entre elle et dans laquelle même moi, surtout moi d’ailleurs, je n’avais pas ma place. La disparition d’Isabel a été quelque chose de très difficile à comprendre pour la petite et sans l’aide des parents de sa mère, je ne sais pas si j’aurais réussi à m’en sortir. Alyx ne voulait pas y croire et déjà à cette époque, elle était butée. Avec des idées arrêtées, impatiente, franche. Trop, parfois, au point de faire mal. En apparence, elle semble être une fille douce et calme. Méfiez-vous, la tempête n’est jamais bien loin et il suffit parfois de se frotter un peu trop à elle pour la voir apparaître. Je crois que c’est une carapace qu’elle s’est forgée suite au décès de sa mère. Je n’ai pas été là autant qu’il le fallait pour l’écouter, je ne savais pas comment agir avec elle, malgré toutes mes bonnes volontés. Une succession de maladresse qui l’ont renfermée sur elle, à sa façon…
Dan Murphy - père d’Alyx - 54 ans - musicien
Adolescence d'Alyx Murphy
Cette enfant a un sacré tempérament. On ne dirait pas comme ça, mais la petite Murphy comme ils la surnomment dans le quartier, elle fait parler d’elle. Quand ce n’est pas pour son insolence, c’est pour un élan de violence mal contrôlé en guise de défense. Parce qu’elle a son charme, Alyx, un peu le même que celui du chat sauvage mystérieux et méfiant, vous voyez ? Plusieurs fois on me l’a rapportée à la maison, le regard sauvageon, prise sur le fait en train de gifler tel garçon “un peu trop insistant” ou telle fille “insupportablement pimbêche” (selon ses dires). Elle ne mâche jamais ses mots, et parfois ce sont les gestes. C’est qu’elle a grandi trop vite, obligée de devenir autonome avant l’heure. Obligée de se faire sa propre loi quand sa mère n’était plus là et son père loin avec son groupe. Ils étaient les deux figures d’autorité, absentes, et avec mon mari nous n’avions pas de légitimité, au début.
Pourtant, elle a cette bonté au fond d’elle, semblable à celle de sa mère, Isabel. Dans chaque personne, elle saura voir le bien, autant que le mal. Et quand elle aime, elle ne le fait jamais à moitié. Oh, elle n’a pas eu beaucoup d’histoires amoureuses… Un garçon, surtout. Tout du moins de ce que j’en sais… Mais le jour où elle m’a dit avoir aperçu ce dernier aux lèvres d’une autre fille, Alyx a détruit tout ce qu’elle gardait de lui, autant en elle que dans sa chambre, pour ne plus jamais parler de lui. Jamais. Et chaque fois que j’ai tenté de ramener cette histoire sur le tapis, elle m’a adressé ce regard noir que nous lui connaissons tous si bien… Celui qui veut dire “n’insiste pas ou je m’enfuis”.
Helen Springfield - grand-mère maternelle d’Alyx - infirmière retraitée
Alyx, la jeune adulte
Je me demande si elle m’a un jour capté. Enfin j’veux dire, si elle a un jour compris qu’elle m’intéressait. On dit que les filles observent tout et comprennent tout avant même qu’on ne le comprenne nous-même, mais alors elle… Elle reste mon plus grand mystère.
C’est simple, on s’est rencontrés par le biais d’un pote en commun, on a traîné ensemble pendant deux ou trois ans au lycée, on a même suffisamment été proche pour dormir dans le même pieu quelques fois, “parce qu’il ne faut pas être idiot, quand même, ce n’est qu’un lit partagé”, et j’ai essayé plusieurs fois de lui faire comprendre qu’elle me plaisait mais jamais, non jamais elle n’a eu cette illumination. J’en venais même à me demander si elle était intéressée par les mecs… quand bien même elle traînait presque toujours avec nous. Mais je ne l’ai jamais vue non plus très proche d’une fille. Enfin, ça m’a peut-être échappé. Elle était incompréhensible, qu’on se le dise. Un jour très proche de telle personne, le lendemain de telle autre personne… Changeante comme le vent, en fait. Et quand on a le malheur de lui montrer trop d’intérêt, elle ne semble jamais le prendre au sérieux. Enfin… Peut-être qu’elle s’en foutait juste de moi, au final. Qui sait ? Il faudrait un décodeur pour Alyx Murphy, j’vous le dis.
Cole Sanders - 24 ans - étudiant qui lui a trop couru après
Alyx, l'adulte
Elle adore apprendre de nouvelles choses, et travailler toujours plus. On sent que la musique est sa plus grande passion, et l’art, plus largement. Elle a cette façon d’interpréter les morceaux, vous savez, avec son corps, comme si elle était littéralement possédée par les mélodies et les rythmes. Elle ne fait rien à moitié, c’est une grande perfectionniste et si on se met en travers de son chemin, Alyx peut se montrer impitoyable. Elle a un petit côté taureau impulsif, ce qui pourrait être amusant, si cela n’arrivait pas en cours. Heureusement, ce n’est pas trop fréquent.
C’est en discutant avec elle en privée, plusieurs fois, que j’ai pu découvrir la jeune fille qui se cache derrière cette façade un peu brute de décoffrage. Alyx est en réalité d’une extrême douceur, attentionnée et seulement désireuse de rendre fière ces gens qui la soutiennent, derrière. Je n’ai jamais eu l’opportunité de rencontrer son père. A vrai dire, je ne connais de lui que ces quelques photographies et musiques que j’ai pu trouver sur Internet, mais à en écouter sa fille, il est un idéal à atteindre. Une réussite à toucher du bout du doigt.
Je sais qu’elle est à Harvard grâce à une bourse qu’elle a obtenue avec de très bons résultats scolaires. Les études sont importantes pour elle dans le sens elles vont lui permettre de gagner les compétences nécessaires à sa réussite future, mais on sent qu’Alyx veut tracer sa propre route, suivre son propre chemin quitte à se rebeller quelques fois s’il le faut contre les règles. Pour ça, on en entend parler, de la petite Murphy…
Victoria Smith - 32 ans - professeur de piano à Harvard
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