bêtises, encore des bêtises ► kai

  bêtises encore des bêtises.
Arwën Sixten + Kai Burrows

J'avais travaillé toute la nuit, encore un soir, où le bar était bondé. J'avais pas perdu une seule seconde de mon temps, je me donnais toujours à fond car j'avais besoin de mon salaire pour payer mon loft, puis j'avais une place de gérante à gagner. Seulement, depuis quelques temps, lorsque je rentrais, je n’étais plus seule, puisque j'avais laissé Kai emménager avec moi. Il était de New York, encore un endroit où je n'avais jamais mi les pieds, seulement j'avais tout de suite aimé son attitude et au feeling tout s’était enchaîner. Une fois dans le loft, mon regard se porte sur la pendule, quatre heure trente, je n'ai pas envie de dormir seule. Du coup, avec malice je me faufile jusqu’à rejoindre Kai endormi et je viens glisser de l'eau dans son cou, me retenant de rire.  « ON SE REVEIL !!! » Je venais de signer sans doute mon arrêt de mort, seulement je m'en fichais j'avais envie de l’embêter. Ces yeux s'ouvrirent et je lâchais un large sourire, l'embrassant furtivement avant de m’échapper : que les hostilités commencent.

© LOYALS.

  bêtises encore des bêtises.
Arwën Sixten + Kai Burrows

New-York te manquait, mais Boston était vraiment accueillante comme ville. Pourtant, t’étais pas arrivé au top de ta forme et t’as rencontré cette fille : Arwën. Pétillante, pleine de vie, le feeling était passé et sans passer par quatre chemins elle t’avait accueillis chez toi et plus si affinités. Elle était fun, pas prise de tête et avait le don pour savoir t’emmerder comme il se doit. Pour une fois que t’étais pas rentré tard, la voilà qui s’en que tu l’entendes s’approche de toi pour finalement te renverser de l’eau dans le coup. La douche froide ! Tu te réveilles en sursaut avant de froncer les sourcils. Le rire de la demoiselle emplie la pièce de ce son agréable et tu ne mis pas plus longtemps pour être totalement réveille. Tu te relèves, encore tout habillé (t’avais du t’endormir comme ça, bien joué). Une course-poursuite s’ensuit dans l’appartement, jusqu’à ce que tes mains agrippent ses hanches et que vulgairement tu la poses sur ton épaule. « Tu vas le payer cher ! » lances-tu en te dirigeant directement vers la salle bain. Ni une ni deux, tu ne lui laisses pas le temps de s’enfuir que t’attrapes le pomo de la douche et le tend vers elle, l’aspergeant de l’eau sûrement froide. « Tu peux pas rivaliser avec moi petite. » dis-tu un air triomphant sur le visage.

© LOYALS.