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Do you want a drink ?
Le théâtre s’était bien rempli. Ce n’était plus le petit lieu presque vide du début de soirée. Les New-Yorkais étaient arrivés. Et chemin faisant, j’en avais rencontré quelques-uns, tous différents, semblant presque amicaux. Ou en tout cas, moins méchants que l’image que j’avais d’eux. Pensant compétition en premier lieu, j’avais omis le détail de la socialisation qui se révéla pourtant bien plus important que n’importe quoi d’autre. Comme quoi, de nouvelles rencontres sont si faciles à être réalisées dans le coin. Slalomant entre les groupes, les couples, les discussions sans arguments, les discussions passionnées ou encore les discussions curieuses. Je décide de jeter un regard circulaire autour de moi, cherchant d’un œil intéressé une probable connaissance à aller voir. Cible en vue. Thémis Dornan. La seule. L’unique. L’inaccessible. D’un sourire ravi et ravageur, je décide de tenter une nouvelle fois ma chance, voulant tout mettre de mon côté, tenter le tout pour le tout. Faisant un détour par le bar, je saisis deux coupes de champagne, une dans chaque main avant d’aller à sa rencontre. Slalomant sur mon chemin et prenant un grand soin de ne rien renverser.
Enfin à la hauteur de la sexy Dunster, je lui tends une coupe de champagne avec ce sourire aux coins des lèvres. « Un verre Mademoiselle ? » Ravi de voir qu’elle ne peut pas refuser, cette fois. Comme une légère victoire je savoure ce moment. Cette soirée commence à me plaire on dirait bien. Buvant une gorgée du liquide gazeux, je ne lâche pas Thémis du regard, soutenant d’un air de défi et d’amusement la belle femme. Ajoutant, toujours avec cette impression de victoire. « Un verre ne t’engage à rien, savoures le comme il se doit. » Ne t’engage à rien, oui, enfin non, mais ce n’est pas pour autant que je n’ai pas envie de plus. De l’application d’un célèbre dicton : plus si affinités.
Le théâtre s’était bien rempli. Ce n’était plus le petit lieu presque vide du début de soirée. Les New-Yorkais étaient arrivés. Et chemin faisant, j’en avais rencontré quelques-uns, tous différents, semblant presque amicaux. Ou en tout cas, moins méchants que l’image que j’avais d’eux. Pensant compétition en premier lieu, j’avais omis le détail de la socialisation qui se révéla pourtant bien plus important que n’importe quoi d’autre. Comme quoi, de nouvelles rencontres sont si faciles à être réalisées dans le coin. Slalomant entre les groupes, les couples, les discussions sans arguments, les discussions passionnées ou encore les discussions curieuses. Je décide de jeter un regard circulaire autour de moi, cherchant d’un œil intéressé une probable connaissance à aller voir. Cible en vue. Thémis Dornan. La seule. L’unique. L’inaccessible. D’un sourire ravi et ravageur, je décide de tenter une nouvelle fois ma chance, voulant tout mettre de mon côté, tenter le tout pour le tout. Faisant un détour par le bar, je saisis deux coupes de champagne, une dans chaque main avant d’aller à sa rencontre. Slalomant sur mon chemin et prenant un grand soin de ne rien renverser.
Enfin à la hauteur de la sexy Dunster, je lui tends une coupe de champagne avec ce sourire aux coins des lèvres. « Un verre Mademoiselle ? » Ravi de voir qu’elle ne peut pas refuser, cette fois. Comme une légère victoire je savoure ce moment. Cette soirée commence à me plaire on dirait bien. Buvant une gorgée du liquide gazeux, je ne lâche pas Thémis du regard, soutenant d’un air de défi et d’amusement la belle femme. Ajoutant, toujours avec cette impression de victoire. « Un verre ne t’engage à rien, savoures le comme il se doit. » Ne t’engage à rien, oui, enfin non, mais ce n’est pas pour autant que je n’ai pas envie de plus. De l’application d’un célèbre dicton : plus si affinités.
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